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Monstre ou déesse ?

Chapitre 2

Divers
Quand mon père entendit la porte de l’appartement s’ouvrir, il accourut précipitamment : « Peux-tu me dire ce que tu faisais ? Tu étais censé descendre les poubelles et ça t’a pris deux heures… Je m’inquiétais… »
Je bafouillai en rougissant : « J’étais chez Roger, notre voisin. Les sacs se sont ouverts dans l’escalier. Il m’a aidé à tout ramasser et m’a proposé de passer un moment chez lui… »
— Monsieur Pernaud ? Mais il ne parle jamais à personne celui-là ! Et il t’a proposé de passer un moment chez lui !
Mon père regardait fixement mes seins qui pointaient et tendaient le tissu du sweat. Et j’eus la honte de ma vie en me rendant compte que des taches de lait le maculaient au niveau des tétons.
— Mais que t’arrive-t-il mon fils ! s’exclama-t-il d’un air horrifié.
— Je crois qu’il est temps qu’on parle papa. J’aurais dû t’en parler depuis longtemps mais j’osais pas… Je sais même pas s’il faut que tu m’appelles ton fils ou… ta fille… ou autre chose… J’en sais rien papa. Tout ce que je sais c’est que j’ai des seins et… du lait depuis aujourd’hui…
Et je m’écroulai en sanglots, complètement anéanti : « Je sais même pas comment je vais faire papa… je sais même plus qui je suis… »
Mon père n’avait pas bougé d’un poil, abasourdi et certainement aussi anéanti que moi. Il allait probablement me rejeter, me mettre dehors et ne plus jamais vouloir me voir ou me parler… Roger accepterait-il de me prendre chez lui si jamais une telle chose arrivait ?
— Ne crois pas que je sois aveugle, fit mon père doucement. Je sais très bien que ta puberté ne s’est pas passée comme elle l’aurait dû. C’est moi qui aurais dû te parler depuis longtemps et je n’ai pas osé… Par lâcheté ou pour te protéger, je ne sais pas… Comme si ne pas parler de quelque chose pouvait l’éviter… Tu as un corps de femme n’est-ce pas ? Complètement ou en partie seulement ? Accepterais-tu de me montrer ?
Je haussai les épaules : « Je n’ai rien à te cacher papa… mais je ne sais vraiment pas à quoi ça va nous avancer… »
Je me redressai et ôtai mon sweat maculé de traces de lait. Des gouttes perlaient d’ailleurs de mes tétons et mon père en avait les yeux exorbités et on aurait dit la bouche sèche car il n’arrêtait pas de se passer la langue sur les lèvres.
— Continue Morgan, enlève le reste. Il faut vraiment que je sache comment tu es…
J’ôtai mes baskets et mon jean. Au moment de baisser mon slip, je me tournais légèrement et mon père ne put voir que les formes d’une sublime jeune fille aux courbes somptueuses et absolument parfaites.

— Putain ! s’exclama mon père. Non seulement t’es une gonzesse mais j’ai jamais vu un corps de femme aussi beau !
Il s’était levé et tournait autour de moi. Sa main effleura un de mes seins et une goutte de lait s’en échappa aussitôt. Je sentais mes glandes mammaires gonfler et durcirent et elles commençaient à me faire mal. Mon père passa doucement sa main le long des courbes de mes hanches : « T’as même pas un sexe de mec, y a rien... T’es une vraie gonzesse que tu le veuilles ou non. Et en plus une gonzesse qui vient de s’en prendre plein le cul si j’en crois ce sperme qui déborde de ton cul de gonzesse… Roger d’après ce que tu m’as dit ? »
Je devins rouge comme une pivoine et ne savais plus où me mettre. J’avais complètement oublié que notre voisin venait de me remplir et qu’il était impossible de le cacher.
— Je vais t’appeler Morgane maintenant, continua mon père. T’es une gonzesse, bah tu vas tout simplement t’habiller en gonzesse voilà tout. Et tu vas te conduire en gonzesse et ne plus chercher à tricher avec ton père…
— Je comprends pas…. Qu’est-ce que tu veux dire papa ?
— Tu vas comprendre très vite ma chérie. File dans la chambre de ta mère. Je veux te voir redescendre avec des vêtements de femme… chaussures à talon et tout le reste…. Et oublie pas les sous-vêtements... La totale ! Un peu de maquillage si tu veux et tu redescends me voir après…
Je ne comprenais rien de ce que voulait mon père mais j’obéis. Qu’attendait-il donc de moi et pourquoi me demandait-il une telle chose ? Ses yeux n’étaient plus les mêmes quand il me regardait. J’y voyais un peu la même chose que dans les yeux de Roger et j’étais mort de trouille. Si maman savait ! Mais elle ne saurait probablement jamais rien, elle qui était partie du jour au lendemain pour suivre un mec bien plus jeune qu’elle et qui nous avait plaqués tous les deux, papa et moi… Ça faisait déjà presque six mois et papa ne parlait jamais d’elle. Mais il avait changé, s’était renfermé sur lui-même, était devenu peu loquace, comme aigri et depuis, il parlait des femmes d’une manière vulgaire et très méprisante…
Quand je redescendis, oui j’étais une vraie gonzesse et en plus, le miroir de maman m’avait même renvoyé une image qui me plaisait. Si j’avais rencontré une fille comme ça dans la rue, je me serais retourné sur elle à m’en prendre un poteau.
Mon père s’immobilisa et resta pétrifié quand il me vit…
— Putain de merde ! finit-il par lâcher…
Il s’approcha lentement de moi sans me quitter des yeux. À nouveau je sentis cette lueur de sexe dans ses yeux. D’ailleurs son corps commençait à transpirer le rut par tous les pores de sa peau tout comme Roger tout à l’heure. Mon père avait beau être mon père, il n’en était pas moins homme pour autant… Je le découvrais tout d’un coup alors que cette notion m’avait totalement échappé avant. En tant qu’homme c’était un sacré bel homme, il fallait le reconnaître. Rien à voir avec Roger… mon père était puissant, avec un visage très mâle aux cheveux bruns très courts et il portait toujours une barbe de trois ou quatre jours par flemme de se raser. Des traits nobles et très virils, un corps très charpenté et lourd, puissamment musclé avec une légère toison noire sur le torse, les bras et les cuisses…
Et cet homme me prit brusquement à bras-le-corps et me renversa, le dos sur la table. Il passait la main sous ma jupe courte et étroite et caressait mes fesses. Je sentais son sexe épais et dur contre mes cuisses et je ressentis à nouveau cette espèce de vide dans mon ventre et dans mes reins. Mes seins me faisaient cruellement souffrir. Peu importe que ce soit mon père ou n’importe qui, il fallait absolument me soulager…
Je dégrafai mon corsage et écartai mon soutien-gorge qui était déjà trempé de lait…. Je pinçai mes mamelons et appuyai sur la tête de mon père….
— Tu veux… que je… boive ton lait ? demanda-t-il estomaqué.
Je n’en pouvais plus et pressai sa tête de toutes mes forces contre mes mamelles trop douloureuses.
Mon père téta juste le bout d’un mamelon, timidement et maladroitement. Mais il avala quand même quelques gouttes. Et puis brusquement, il se déchaîna complètement et pompa mes seins comme un malade, aspirant et avalant de grosses lampées de lait.
— Oh papa… c’est trop bon comme tu fais là… fis-je en gémissant.
Le creux que je sentais dans tout le ventre me dévorait de l’intérieur. La bouche de mon père, chaude et avide pendant qu’elle pompait le lait de mes tétons me procurait des ondes de plaisir des pieds à la tête. Mon père me caressait fébrilement tout le corps pendant qu’il me tétait. Il ravageait mes vêtements, pressait sa bite contre moi à travers sa braguette, passait ses doigts dans ma raie trempée du sperme de Roger qui s’écoulait encore et il soufflait comme un phoque… Son corps sentait tellement fort le sexe que toute la cuisine était imprégnée par cette odeur. Et elle m’enivrait en démultipliant mon envie de lui. Et mon père avait un tel désir sexuel qu’il me transmettait son désir et que je n’en pouvais vraiment plus. Mon corps se tordait du désir de cet homme, je râlais comme lui, geignais et gémissais... Je pressai mes seins pour en faire sortir les dernières gouttes de lait que mon père avala goulûment et je me renversais sur la table, les cuisses largement écartée et totalement offerte.
Mon père remonta ma jupe et dégrafa sa braguette précipitamment. Quant à moi, j’avais tellement envie de le sentir me remplir que je ne pensais même pas à l’obliger de se dévêtir comme je l’avais fait avec Roger. Je le désirais et le voulais tout de suite au fond de moi… Ce n’est que lorsque je sentis sa bite épaisse commencer à s’enfoncer dans mon corps au milieu du foutre de Roger que je m’apaisai un peu. Je l’attirai tout au fond de moi, voulant me remplir complètement de lui, de cet homme qui m’avait conçue et que je recevais maintenant au plus profond de moi. Et rien que cette idée m’excitait encore plus. Mon corps accompagnait le sien, le forçant à me remplir le ventre encore et encore de sa grosse bite qui occupait tout de moi jusque dans ses moindres recoins. Mon père râla et je râlai avec lui quand il déchargea sa semence au fond de mon ventre. Pour prolonger ce merveilleux moment où son sperme se déversait en moi, je le forçai à me téter en même temps et à se goinfrer du lait qui engorgeait à nouveau mes mamelles sous l’effet de l’excitation. Quand mon père n’arriva plus à pomper une seule goutte de lait, il se retira et s’affala de tout son poids sur moi.
— Putain Morgane, j’ai jamais connu quelque chose de pareil… C’est complètement dingue ce qui nous est arrivé là ! Je sais même pas si je dois te demander pardon, m’excuser de… t’avoir quasiment violée alors que je suis ton père… je sais même pas si je peux encore te regarder dans les yeux et si je pourrai me regarder en face après avoir fait un truc pareil…
— Tu peux me regarder dans les yeux papa. J’en avais envie autant que toi et j’en aurai encore envie crois-moi. Et j’ai besoin qu’un homme me soulage de mon lait quand j’en ai trop et malheureusement… je crois que ça va être souvent…
— Je te téterai autant que tu le veux ma chérie. J’aurais jamais cru pouvoir faire un truc pareil et en fait j’ai adoré. En plus ça m’a excité à un point que tu ne peux même pas imaginer. C’est trop dingue ! Tu vas dormir avec moi cette nuit ma chérie n’est-ce pas… je t’en prie dors avec moi…
Bien sûr que j’allais dormir avec cet homme. D’autant plus que j’étais certaine d’avoir encore besoin d’être soulagée dans la nuit, c’était sûr et certain…
Or avant de dormir, mon père se montra d’une tendresse incroyable. Il m’embrassa tout le corps, amoureusement et un peu comme si j’avais été sa femme. Pas un centimètre de peau n’échappa à ses baisers et il me téta le lait qui engorgeait une fois de plus mes seins pour me permettre de dormir tranquillement. Cette attention n’empêcha pas que je dus le réveiller deux fois dans la nuit pour qu’il me soulage. La deuxième fois, il en profita pour s’enfoncer en moi et me remplir encore de sa semence pendant qu’il pompait avidement mes mamelles. Partager la couche de mon père et dormir dans son odeur d’homme m’excitaient beaucoup. Il aurait pu me remplir autant de fois qu’il le voulait, je l’aurais accueilli avec bonheur. Mon père avait un superbe corps d’homme, chaud et rassurant que je me plaisais à caresser pendant qu’il se rendormait à mes côtés. Je caressais son sexe doux et tiède, encore tout humide de sperme. Ses couilles prenaient toute la paume de ma main, chaudes, élastiques et bien gonflées. Les couilles de mon père qui dorénavant se déverseraient dans mon ventre… Ce corps puissant qui pénètrerait le mien quand je le voudrais… Ces lèvres avides que je nourrirais de mon lait…
Il faisait noir mais j’imaginais mon corps fin et tout en courbes féminines contre celui de cet homme, dur, puissant et solide, si viril et si masculin… Et j’aimais cette image plus que tout. Je serais femme pour des hommes comme lui et j’obligerais ces hommes à me satisfaire en tant que femme…
Je sombrai enfin dans le sommeil.
Le lendemain quand je me réveillai, mon père n’était plus là. Il quittait la maison à 7 heures du matin et ne rentrerait que vers 17h30 ou 18h.
Je trouvai un mot sur la table de la cuisine : ‘Ma chérie, je ne veux pas que tu continues à t’habiller avec les affaires de ta mère. Je te laisse de quoi t’acheter ce que tu veux du moment que ce soit des trucs de fille. Je t’embrasse – à ce soir.’
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