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La montée des plaisirs (mon parcours)

Chapitre 1

Erotique
Cette histoire est mon parcours, un peu romancée pour faire joli, mais très, très proche de la réalité. J’ai trouvé mieux de la mettre ici pour qu’on fasse connaissance...Bonne lecture.

Assis à la terrasse d’un café, mon copain Jean accompagné d’une femme assez âgée prénommée Odette, et moi parlions des choses de la vie. Soudainement, à l’occasion d’un silence, Odette s’adressa directement à moi en me regardant droit dans les yeux.
— Damien, plus je regarde tes beaux yeux bleus, et plus je suis persuadée que tu n’aimes pas que les femmes. Je le vois dans le fond de tes yeux. J’ai raison ?— ...
Je regardai mon copain, gêné devant cette question assez brutale et directe, surtout venant de cette femme que je ne connaissais pas.
— Vas-y Damien tu peux tout lui dire, ça restera entre nous, c’est promis. Et j’avoue que cela m’intéresse aussi.
Ça, c’était nouveau pour moi. Je ne connaissais pas Jean sous cet angle-là.
— Mais oui allez. Raconte-nous tout de toi, tu nous intrigues tous les deux. En plus, il me semble que je t’ai vu une ou deux fois dans le quartier, en compagnie de femmes très jolies, enfin je dis « de femmes », mais connaissant le quartier, je suis presque certaine qu’entre leurs jambes, il y a une petite surprise. Dis-nous que ce n’est pas vrai, si tu l’oses ? Raconte-nous comment tu en es arrivé à fréquenter des transsexuelles. J’ajoute qu’il n’y a rien de choquant, mais on aimerait connaître ton parcours.
Après beaucoup d’hésitation, je commençai à me livrer. Après tout, Jean m’avait promis que cela resterait entre nous, et le connaissant, je savais que pour lui, une parole donnée était sacrée.
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C’est vrai que je traînais dans ces endroits où j’espérais trouver des transsexuelles.Mais comment j’en suis arrivé à ce point, j’ai atteint l’âge adulte tout de même, et je suis malgré tout toujours en demande de contacts physiques avec des transsexuelles ou même des travestis.
Vers 20 ans, il m’arrivait assez souvent de me promener le soir dans des lieux très fréquentés, et il m’est arrivé aussi de suivre discrètement des hommes seuls dans des endroits sombres.
Mais comment j’en étais arrivé à ce genre de situation.
Je crois que c’est ce jour-là que tout a commencé.
Nous étions une petite bande de copines et copains en sortie sans savoir trop quoi faire. On avait tous à peu près le même âge, 18-20 ans et ça draguait dur.
L’un de nous nous avait entraînés pour aller voir « La bataille du rail », me semble-t-il, à l’occasion d’une commémoration concernant la dernière guerre mondiale. Drôle d’idée, mais nous l’avions tous accepté, faute de mieux. Ce film était diffusé dans une salle des fêtes à la mairie.
Nous étions assis sur des chaises placées là pour l’occasion. Un copain était assis à côté de moi sur ma droite, au dernier rang. Ce devait être l’automne ou l’hiver, car je me rappelle qu’on avait nos manteaux sur nos genoux.
Le film ne nous plaisait pas beaucoup, malgré les scènes d’action qui s’y passaient. La salle était dans la pénombre bien sûr, et à un moment, je sentis une présence sur le côté de ma jambe. Je pensais que mon voisin s’étirait, mais le contact devenait plus ferme, et sa cuisse frottait la mienne doucement, mais avec insistance. Là j’eus un frisson qui parcourut mon corps, et curieusement ma jambe ne fuya pas ce contact nouveau. Et je me suis même surpris à frotter aussi ma jambe contre la sienne, comme pour répondre à ses avances. Sentant que je ne reculais pas, il se pressa encore plus contre moi.
Nos yeux rivés sur l’écran, je sentis sa main qui serrait mon genou et qui remontait doucement vers le haut de ma cuisse en la malaxant gentiment. Mon cœur s’accélérait et frappait très fort contre ma poitrine. Il était nouveau dans la bande et on ne se connaissait pas beaucoup, je me posai donc beaucoup de questions à son sujet.
Était-il homo, et auquel cas, comment devais-je réagir. Je n’avais rien contre les homos, mais c’était la première fois que je me faisais draguer par un mec. Que devais-je faire, me lever et aller chercher une autre place, éloigner sa main qui m’affolait, rester et laisser faire ?
Allez savoir pourquoi, mais j’optai pour une autre solution qui m’étonna énormément. Je mis ma main sur la sienne et je la caressai comme pour lui dire, « continue à remonter ». Il le comprit tout de suite et sans doute réconforté, remonta vers le haut de ma cuisse, avec ma main qui restait sur la sienne. Elles atteignirent le haut de mon pantalon, et j’écartai un peu mes jambes. Nous sommes restés un petit moment comme ça, laissant nos désirs intrigués monter lentement. Je sentais mon sexe gonfler, et lui aussi le sentait, car il le caressa par-dessus mon levis. Puis il défit un à un les boutons enfermant l’objet de sa convoitise.
Je me laissai faire et mieux, je l’aidai. Quand tous deux furent déboutonnés, il entra délicatement sa main toujours avec la mienne, et pelota ma verge durcie qui avait atteint une taille appréciable. Il me caressait au-dessus de mon slip, et j’en profitais aussi avec ma propre main. C’est moi qui l’ai guidé à l’intérieur de mon slip, qui de toute façon n’était plus assez grand pour contenir mon membre en érection.
Là, j’ai mis ma main sur mon sexe, et c’est lui qui m’accompagnait avec la sienne. Mais il voulait me sentir sous ses doigts, et il a conduit ma main sur son entrejambe, puis est revenu sur ma bite pour la masturber avec douceur. Je me retrouvais avec sa verge bandant dans ma main. Il l’avait sortie depuis longtemps pour se branler librement sous son manteau.
Ce membre chaud et ferme me troublait profondément. C’était la première fois que je branlais une autre bite que la mienne, et cela me mettait dans un état d’excitation tel que je me surpris à la masturber avec un certain plaisir.
Je sentais sa peau glisser sur son gland grâce à mes mouvements, la douceur de ses couilles rasées m’étonna et me ravit. J’étais déconcerté par ma volonté de le faire bander pendant qu’il me branlait franchement.
Je regrettai déjà qu’il ait pris l’initiative de me toucher tardivement, alors que le film était diffusé depuis pas mal de temps. La fin arriva alors que nous étions en pleine masturbation. Cela coupa court à nos actions et nous refroidit. Il fallait se lever, et je remerciai le ciel qui nous avait conduits à prendre un manteau.
Pas un regard entre nous ne s’en suivit. La suite de la journée se déroula sans que je ne m’en rende compte, et tout le monde se quitta.Je n’ai jamais revu ce copain d’un jour, et maintenant je le regrette.Oui, je crois que c’est ce jour-là que tout a commencé.
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Les mois avaient passé, mon trouble aussi. Mais un jour que je me promenais seul et très tard dans les rues de Paris du côté du Moulin Rouge, à la recherche d’une rencontre improbable, un homme plus vieux que moi m’interpella d’une entrée d’immeuble.
— Excusez-moi, vous pouvez m’aider ?— Heu oui, que vous arrive-t-il ?— Oh rien, mais je vous ai vu déambuler déjà par ici tout à l’heure, et je pensais que vous cherchiez quelque chose, ou quelqu’un.
Je sentais mon visage rougir, et un frisson parcourut mon corps, satané frisson que je commençais à connaître.
— Peut-être que c’est moi qui peux faire quelque chose pour vous...— He bien je ne sais pas, je...— Ne t’inquiète pas, j’ai compris, me dit-il doucement en prenant ma main qu’il conduisit à son sexe.
La rue était déserte et il m’avait attiré à l’intérieur de la porte cochère.
— Ne dis rien. Caresse-moi, je suis sûr que tu aimes ça...— ...— Hum tu caresses bien, tu veux me la sortir ?
Le souvenir de mon premier contact avec une bite étrangère resurgit brusquement. Ce n’était plus moi qui commandais mes mains, mais mes sens, ma recherche encore presque inconnue d’un plaisir défendu.
Je découvrais avec surprise que ce n’était pas l’homme en soi qui m’attirait si naturellement, mais tout simplement sa bite. J’en étais effaré, mais aussi rassuré. J’avais eu pas mal de relations sexuelles avec des copines d’un soir et c’était merveilleux. Cela me convenait très bien. Et là, la preuve devenait de plus en plus évidente que j’aimais la bite.
Oui, je libérai le sexe chaud et bandant de cet inconnu. Je le masturbais pendant qu’il gémissait de plaisir. Il appuya doucement sur ma taille pour me faire mettre à genoux devant lui. J’aurai pu résister, j’aurai pu partir, le laisser dans cet état, mais non, je me laissai faire et mis mon visage à hauteur de sa verge qu’il tendait pour que je lui prenne en bouche. Il prit ma tête et la pressa avec douceur sur son sexe qui en avait tant envie.
J’ouvris la bouche timidement et sa bite glissa sur ma langue et se mit à faire des va-et-vient entre mes lèvres humides. Je l’avalais presque, et elle percutait ma gorge à chaque mouvement. Sucer une bite brûlante et douce était une première pour moi, et je découvris que ça m’était très agréable. J’aimais ça.
Je me mis à branler ce membre qui m’attirait, en le suçant de plus en plus. Il cria presque en éjaculant finalement dans ma gorge. Je fus d’abord surpris, puis je goûtai cette nouvelle saveur, et l’excitation aidant je constatai que ça aussi j’aimais. À tel point que j’avalai tout avec gourmandise, en me branlant si fort que je jutai presque immédiatement.
L’homme se réajusta, me caressa le visage, et disparut au coin de la rue me laissant fatigué, mais tout compte fait satisfait de ce qui venait de se passer, là dans une porte cochère.
Dans les semaines qui suivirent, je retournai plusieurs fois dans cette ruelle sombre, mais jamais je revis cet homme.
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Mais c’est vrai que ce quartier m’attitrait. Il y en avait d’autres aussi.
Quelques semaines plus tard, j’étais en voiture du côté de la porte Dauphine, encore en quête de sensations fortes. Cela ne tarda pas. Une femme sur le bord de la rue me fit un signe.
Je m’arrêtai et descendis ma vitre.
— Travesti ?— ...— Tu veux un travesti ?— Heu...— Eh bien, ouvre chérie.
J’ouvris la porte, et elle s’assied sur le siège du passager. Les modalités mises au point, elle me proposa de me faire une pipe.
Là, il faut que j’avoue une chose qui me fait bondir maintenant... Je ne savais pas ce qu’elle voulait dire par « travesti ». Je ne savais même pas que cela existait. Oui je sais ce que vous pensez, et je rougis de honte à présent...
Mais j’ai très vite compris, et j’avoue que sa tenue efféminée avec sa minijupe et son chemisier ouvert sur un soutien-gorge qui n’en portait que le nom, me plaisait bien. Une certaine ambiguïté entretenue par des gestes doux me mettait dans un état second. Je ressentais encore ce curieux frisson que je commençais à aimer de plus en plus.
Je me garai dans une petite rue, et il se pencha sur ma braguette pendant que je lui pelotais les fesses. La situation, encore inconnue pour moi, me faisait bander très fort et il n’eut aucun mal à sortir mon sexe de son écrin. Ses lèvres étaient douces et chaudes, sa langue titillait le sommet de mon gland. Il me léchait si bien que je me mis en arrière sur mon siège. Il me branlait encore et encore, tout en me suçant à merveille.
J’eus une envie soudaine de quitter ses fesses pour prendre sa bite dans ma main. J’avais besoin de la sentir grossir sous mes doigts.
— Ça te plaît chéri, tu veux mon sexe ?— Oh oui, donne-moi ta bite, j’ai envie de te branler.
Ce qu’il fit avec plaisir.
— Tu me plais, toi. Hum, tu branles bien, attention je vais jouir...— Oui, jouis dans ma main, j’aime ça.
Il avait quitté ma bite pour que je le masturbe à mon aise, et il éjacula dans ma main et sur ses cuisses.
— Que c’est bon chéri, donne-moi la tienne maintenant.
Il se remit sur mon sexe qui avait tant envie de ses caresses et de ses lèvres. J’eus beaucoup de peine à me retenir plus longtemps. Il le sentit et me suça plus rapidement pour que j’éjacule dans sa bouche gourmande.
C’est un souvenir qui me tient encore, et j’y pense souvent en me branlant devant ma glace.
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Plusieurs semaines s’étaient écoulées, et je retournais de temps en temps dans cette rue. J’y garais la voiture et parcourrai à pied différentes ruelles. Jamais je ne l’ai revu.C’est cela qui me fit retourner du côté du Moulin Rouge. Là je traînai à pied un peu partout, surtout dans des petites rues plus désertes. Je fus abordé par une jolie femme qui me proposa de venir passer un moment avec elle.
— Excusez-moi, vous avez du feu ?— Oui, mais vous ne devriez pas fumer.— Ha oui, et pourquoi.— Ben une si jolie femme ne fume pas, c’est tout.— Tu me plais bien toi. Je m’ennuie, tu viens avec moi ?— Eh bien, pourquoi pas.
Elle était petite et très belle avec ses cheveux châtains descendant sur ses épaules. Ses yeux gourmands me dévoraient du regard. Elle n’avait pas l’air d’une prostituée, et il semblait qu’un aimant nous attirait. Ou plus simplement, nous étions désœuvrés tous les deux au même moment, et il se trouvait qu’elle était prête à prendre le risque de m’amener chez elle, tout en sachant que le quartier était assez chaud.
— Vous devriez être plus prudente avec les hommes.— Oui je sais, mais quelque chose me dit que je peux vous faire confiance. Mais on se tutoie, d’accord ?— OK, tu habites loin ?— Même pas, on est arrivés.
Immeuble chic, escaliers cirés, nous voilà partis comme deux parfaits inconnus que nous étions. Situation surréaliste, et voilà revenu mon petit frisson que j’adorais tant maintenant.
— C’est haut ?— Quatrième étage, et l’ascenseur est toujours en panne, désolée.— Bon, on s’arrête un peu ?
Et la voilà partie dans un éclat de rire.
— Déjà fatigué, tu ne fais pas beaucoup de sport, toi.— Non en effet, du moins pas celui-là...— Ha, et quel autre sport pratiques-tu ? dit-elle en s’approchant tout près de moi.
Je n’eus même pas le temps de répondre quelque chose, de toute façon c’était inutile. Je pensai instantanément que nous étions attirés tous les deux par les mêmes envies, sans tabous, sans problèmes, libres de tout et tout de suite, et surtout avant que la magie de cet instant ne disparaisse à cause des préjugés liés à notre éducation.
Elle était là, j’étais là, ensemble vers une recherche de plaisirs que nous voulions partager, c’est tout.
Je n’avais rien prévu, elle non plus. Nous voulions tout simplement nous aimer, ne serait-ce qu’un instant, pourvu qu’il soit intense. Nos envies sexuelles guidaient nos mains, nos baisers, nos caresses qui devenaient très vite intimes.
Elle avait des seins sublimes en forme de poire, avec ses tétons qui pointaient fièrement et grossissaient sous la pression de mes doigts. Je les pelotai avec envie. J’appréciai leur forme, leur fermeté, leur douceur.
Tout en m’embrassant, elle se pressa contre moi, mettant une cuisse entre les miennes. Et là, j’eus un doute. Un doute énorme comme la forme que je sentais sur ma cuisse. Je la regardai en cherchant dans ses yeux une réponse.
— Eh bien, tu ne l’avais pas deviné ? dit-elle un peu gênée.— Ben non.— Et ça t’ennuie ?
Je réfléchis un instant qui me parut une éternité. Comment, là dans mes bras, je tenais une très belle femme qui était aussi... un homme. En fait j’avais dans mes bras une transsexuelle, et j’en étais réellement ravi.
— Tu veux que je sois franc avec toi ?— S’il te plaît oui. Je suis mal à l’aise.— Et bien je suis tellement heureux que tu sois ce que tu es. J’ai l’impression d’être dans un rêve. J’ai toujours souhaité de ce genre de situation.
Elle ne dit rien, je pense qu’elle était très émue. Elle me serra dans ses bras si fort. Elle était si heureuse de ne pas me fâcher, de pouvoir se libérer enfin de tous ces tabous stupides et de toutes ces contraintes qui en découlent et qui veulent diriger nos vies.
Nous nous sentions libres comme l’air, libres de nous aimer comme bon nous semblait. Et au diable ceux qui ne comprennent pas que l’amour doit tout commander. Que chacun est libre de vivre sa vie comme bon lui semble, du moment qu’il ne fasse de mal à personne.
Et du mal, nous n’étions pas près de nous en donner. Au contraire, le bien qu’on allait se faire à coup sûr nous fit monter les deux étages qui nous restaient à gravir comme deux oiseaux qui s’approchaient du bonheur.
On ne se connaissait pas il y a une demi-heure, et voilà que nous étions complices pour nous donner l’un à l’autre physiquement, et quelque part mentalement, sans aucune retenue pour notre plus grande joie.
— Viens.
Dans ce mot, prononcé au pied de sa porte, étaient contenues toutes les promesses que nous ne nous étions pas données, mais qui allaient se réaliser. A peine entrés dans son petit logement, nos vêtements volerent dans tous les sens. Nous voulions dévorer le plaisir qui s’approchait avant qu’il ne s’échappe.
Très vite, on se prit dans les bras l’un de l’autre, comme si nous nous connaissions depuis une éternité, et que nous nous retrouvions après une longue absence.
Nos mains parcouraient nos formes avec fougue. Nos langues se mélangeaient pour mieux se goûter. Nos bouches s’aspiraient, nos corps se frottaient l’un contre l’autre. On voulait tout, tout de suite. Et puis la tension tomba. Nous voulions, maintenant que nous savions nos désirs, goûter chaque instant, chaque caresse, chaque baiser, chaque étreinte.
— Dis, tu ne m’as pas dit comment tu t’appelles, moi c’est Justine.— Damien.— J’ai envie que tu me prennes Damien. Mais avant, j’ai un petit secret à te dire.— ...— Tu vois, mon logement n’est pas grand, mais il y a une salle de bain.— Oui, et alors.— De temps en temps j’ai une copine qui vient me rendre visite.— ...— Elle adore regarder mes ébats amoureux. Elle m’a avoué qu’elle prenait un plaisir immense à se masturber tout en me matant dans mes délires sexuels.— Oui ?— J’ai entendu du bruit dans la salle de bain.— ...— Tu veux bien qu’elle nous rejoigne ?— Dis donc, coquine, tu savais qu’elle était là avant de m’amener chez toi ?— Disons que je l’espérais.
Elle m’avoua ce qu’elle avait sans doute prévu sans me le dire, tout en m’allongeant avec elle sur son lit.
— Morgane, viens ma chérie.
Une superbe brune aux cheveux longs entra timidement dans la chambre. Vêtue seulement d’un paréo à peine fermé sur un corps magnifique, qui laissait apparaître une verge déjà bien tendue.
— Viens près de nous, Morgane. Allonge-toi Damien.
Justine m’installa sur le dos et écarta mes jambes. Ma bite toute droite reçut ses caresses et ses lèvres brûlantes me suçaient avec gourmandise. Morgane n’en perdait pas une miette et se masturbait les yeux grands ouverts. Sa pudeur était tombée en même temps que son paréo.
Justine mit ses genoux autour de ma taille, et s’assit doucement sur mon membre durci qui reçut son cul ouvert et gluant du liquide qui sortait de ma queue.Ma bite entra dans son trou accueillant sans aucune résistance. C’était un délice de l’enculer de cette manière. Je profitais de cet instant pour regarder Morgane qui se branlait tout près de mon visage. La situation était trop tentante, et je pris ce sexe bandant pour l’attirer dans ma bouche au grand bonheur de Morgane. J’appréciais le cul de Justine qui remuait de plus en plus pour rentrer ma bite au plus profond de ses entrailles. Je sentais les parois de l’intérieur de son cul, et je poussais avec elle pour aller le plus loin possible dans son corps.
Morgane augmentait ses va-et-vient entre mes lèvres tout en continuant de se branler. Elle finit par éjaculer dans un râle profond. Je sentis son sperme brûlant frapper par saccade le fond de ma gorge, et quand elle se retira, je léchai sa hampe pour boire les restes de son liquide d’amour.
J’aimais goûter le sperme chaud qui venait des profondeurs du corps d’un homme, et là une transsexuelle me le donnait à l’intérieur de ma bouche qui le reçut avec un plaisir immense.
Voyant ce qui se passait, Justine se pencha sur moi et m’embrassa pour partager avec moi le foutre de son amie. Elle en profita d’ailleurs pour lécher au passage la bite de Morgane restée légèrement tendue.
Cela l’avait rendue tout excitée. Elle remuait de plus en plus son bassin et pressait ses fesses contre mon ventre. Ses va-et-vient appuyés ne me laissèrent guère le choix, et j’éjaculai à mon tour dans son trou béant, en laissant libre cours à mes gémissements.
Justine se souleva pour se dégager de mon membre encore secoué de spasmes, et Morgane en profita pour aller glisser sa langue dans son trou resté ouvert. Un peu de mon sperme ressortait de son cul et Morgane le récupérait en y pénétrant sa langue, aussi loin qu’elle le put.
Justine, en frétillant des fesses contre la bouche de Morgane, me retourna devant elle et profita de ma position, avec mon cul bien en arrière, pour en approcher son gland tout gonflé. J’eus soudain très envie de me faire enculer par cette magnifique trans, avec sa grosse bite que je voulais en moi.
En position de levrette, c’était idéal pour la recevoir. Morgane, la bouche pleine de mon sperme, lécha mon anus qui ne tarda pas à se dilater avec l’aide de ses doigts qui me pénétraient en bougeant dans tous les sens. Je tendais mon bassin en arrière pour en recevoir plus encore. Justine le comprit et remplaça les doigts de Morgane par sa bite prête à m’enculer. Elle entra doucement en moi. Ne sentant que très peu de résistance, elle commença ses va-et-vient en me tenant les hanches. Morgane, gourmande, me caressait les seins et mes tétons se tendaient.
Puis Morgane embrassa Justine en mélangeant avec leurs langues le sperme refroidi. Elle se tenait derrière Justine qui retournait sa tête tout en continuant ses mouvements dans mes entrailles. J’offrais mon cul, mon corps tout entier à ce plaisir de se faire enculer. Je remuais ma croupe cambrée au maximum pour sentir sa bite dans mon cul. J’aimai de plus en plus être sodomisé par des bites bien tendues. Du liquide brûlant percuta mes intestins avec une vigueur encore inconnue. Justine, en poussant des cris, venait de jouir dans mon corps. Je serrai les fesses pour garder sa bite dans mon cul le plus longtemps possible.
Elle finit malheureusement par se retirer. Morgane, toujours très avide de sperme, lécha mon trou resté ouvert et en récupéra un maximum, puis me retournant sur le dos, m’embrassa goulûment avec le foutre chaud de Justine.
On s’est écroulés, épuisés et rassasiés du plaisir sans bornes que nous nous étions donné tous les trois.
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— Voilà Odette, j’espère avoir satisfait à ta curiosité. Je t’ai presque tout dit, expliquant ce qui m’a amené à fréquenter des transsexuelles. Alors oui, c’est vrai que je traîne de temps en temps dans certains quartiers. C’est sans doute vrai aussi que tu as pu m’y voir.— Merci Damien, c’est gentil de t’être confié à nous. Tu me donnes très envie d’aller y faire un tour avec toi et Jean. Tu nous y emmènes ?
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Post-scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous...
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