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Montreux Jizz Festival

Chapitre 1

Le voyage

Orgie / Partouze
Je suis une femme qui aime le plaisir sous toutes ses formes, par tous mes sens. Je l’ai découvert petit à petit au travers des expériences par lesquelles je suis passée et avec les hommes qui les ont accompagnées.
Depuis un an, bien que vivant en couple, j’ai un autre homme dans ma vie. Il a été mon amant une première fois pendant quelque temps puis, après une séparation de trois ans, nous nous sommes retrouvés et la passion entre nous s’est ravivée de manière plus forte, plus complète, plus sereine. Je m’en veux un peu de cette situation, mais le voir, le toucher, lui parler m’est nécessaire. Je dois avouer que, même si nous nous considérons comme amants, nous n’avons pas encore refait l’amour. Les circonstances n’ont pas été réunies pour que je m’abandonne complètement au désir que j’ai de lui. Évidemment, je n’ai pas pu résister au plaisir, et à ses demandes, de le prendre dans ma bouche. Il a voulu souvent aller plus loin, mais je ne le lui ai pas autorisé.
Il y a quelques jours, il a eu un déplacement professionnel à faire en Suisse pour un client, au bord du lac Léman, avec une nuit sur place.Il m’a proposé de venir avec lui, tout en ajoutant qu’il ne risquait rien à me le proposer puisque je n’oserais jamais, que je n’avais pas envie de passer une soirée de plaisir avec lui, et que je profitais de sa passion pour moi, pour le faire languir. Cette provocation, à la fois personnelle et sensuelle, m’a excitée. J’ai eu envie de le défier à mon tour et de lui montrer qu’il avait tort. J’ai donc accepté son invitation, en me promettant de lui montrer qu’en matière de provocation, il ne m’arrivait pas à la cheville. Il m’a fallu trouver une excuse pour découcher et ne pas éveiller les soupçons de mon compagnon. J’ai donc prétexté que je devais assister à un séminaire européen sur un thème relatif à mon activité professionnelle.
Il faisait beau lorsque nous sommes partis dans la matinée. J’avais mis une robe printanière et légère, avec de jolis dessous pour lui faire plaisir. Nous avions plus de 250 kilomètres à faire et je comptais bien profiter de ce temps de trajet pour lui faire comprendre qui allait donner le rythme de cette escapade coquine. J’étais heureuse de pouvoir lui donner ce temps. Je le sentais également profondément heureux et détendu. Il me souriait en me murmurant des "Je t’aime" qui me faisaient fondre doucement. Une fois sur l’autoroute de Genève, il a enclenché le régulateur de vitesse et nous nous sommes mis à deviser sur nos vies. Il aime discuter de sujets de fond, nous refaisions le monde tranquillement en profitant du paysage sublime des contreforts jurassiens.
J’ai posé ma tête sur son épaule et avec ma main j’ai commencé à caresser son torse. Il a jeté un œil vers moi, un large sourire illuminant brusquement ses traits. J’ai avancé ma tête vers ses lèvres et nous avons échangé un bref baiser. Ma main a continué sa douce caresse. J’ai écarté sa cravate, défait un puis deux boutons de sa chemise et j’ai glissé ma main sur son torse poilu et doux. Je le sentis commencer à se trémousser sur son siège. Le bassin s’est un peu avancé, libérant son entrejambe. Intérieurement j’ai souri, je savais que mes caresses lui faisaient de l’effet et que certainement une certaine tension avait commencé à naître dans son bas-ventre. J’ai continué ma douce caresse, puis sans prévenir je lui ai pincé le téton droit. Son souffle s’est coupé, un petit gémissement a percé très subrepticement entre ses dents.
J’ai pris entre mes lèvres ce téton que je venais d’endolorir et je l’ai léché, embrassé jusqu’à ce qu’il devienne dur et que je perçoive distinctement que le souffle de mon amant vibrait au rythme de mes caresses. Il était temps d’aller vérifier la solidité de son désir.
J’ai délicatement ouvert son pantalon. Il ne disait plus rien, les yeux tendus sur la route qui coulait sous la voiture. J’ai sorti son sexe, il a avancé encore un peu son bassin pour le libérer complètement, a délicatement reculé son siège pour éviter que ma tête soit gênée par le volant. Je lui susurrai alors doucement : "Tu es sûr que je vais te prendre dans ma bouche ?", "J’en ai envie." m’a-t-il simplement répondu. J’aime lui donner envie de mes caresses. Je regardais le membre chaud, palpitant déjà dressé vers le moment de plaisir que je m’apprêtais à lui offrir. J’ai commencé à le caresser avec ma main, laissant le gland toucher mes lèvres sans le prendre encore en bouche. Petit à petit, j’ai entrouvert mes lèvres, prenant juste le gland, l’aspirant et le mouillant de ma salive chaude. J’ai commencé à lécher la hampe de son sexe avec ma langue, passant autour du gland, ma main continuant un va-et-vient lent et long.
En murmurant, il m’a dit : "Je vais jouir". "Pas tout de suite, retiens-toi un peu". J’ai arrêté ma caresse pour laisser redescendre la pression, tout en alternant baisers et coup de langue sur son sexe. J’ai tourné ma tête vers lui, il m’a regardé en souriant, m’a glissé : "C’est vraiment très agréable. Je t’aime, ma belle." J’ai remonté mon visage vers le sien et nos deux langues se sont mélangé un bref instant. J’ai laissé ma tête glisser sur son cou et son torse, en continuant à l’embrasser. Cette caresse m’excitait tout autant que lui et je sentais suinter un liquide chaud à l’entrée de mon sexe. Ma main a repris son lent va-et-vient, mes lèvres son gland, ma langue titillant de la pointe le méat gonflé. Puis j’ai ouvert complètement ma bouche, pour enfourner ce sexe tendu. Ma langue caressait la hampe pendant que mes lèvres, fourreau soyeux et humide, remplaçaient ma main dans un va-et-vient plus rapide.
J’ai senti son sexe se tendre, le sperme monter et jaillir en plusieurs saccades chaudes et amères au fond de ma bouche. J’ai continué à le caresser jusqu’à ce que l’orgasme cesse. Il m’a regardé, ses yeux brillaient. "Merci" me dit-il en tendant ses lèvres vers moi pour m’embrasser. J’ai reposé ma tête sur son épaule. "Tu me laisses comme ça, le pantalon ouvert et le sexe à l’air ?" a-t-il feint de s’étonner. "Ben oui, tu ne veux pas ?" ai-je répondu en riant.
J’ai refermé son pantalon, puis, de nouveau assise à ma place, j’ai baissé le dossier de mon siège pour pouvoir poser mes pieds derrière le pare-brise. Ma robe a glissé, dévoilant mes cuisses. Il a mis sa main sur ma cuisse gauche en me disant "Et toi, cela t’a mis dans quel état ?". Il a écarté ma robe pour découvrir mon string en voilage et dentelle. Il a sifflé doucement en disant "C’est bien mignon cette petite chose." Avec sa main, il a écarté mon string, dévoilant mon pubis lisse et épilé. "Oh ma coquine" n’a-t-il pu s’empêcher de s’exclamer. Je savais depuis longtemps qu’il aimait les pubis intégralement épilés. Personnellement, je trouve que cela fait petite fille, mais j’ai eu envie de lui faire plaisir. Je n’avais laissé qu’une mince ligne de poils comme une flèche dardant vers mes lèvres intimes. Il a glissé ses doigts vers mon entrejambe et très vite il les a ressortis gluants et chauds.
Je l’ai vu sourire, j’ai aimé son visage heureux du plaisir que j’avais eu en le caressant. "Enlève ton string." m’a-t-il dit. "Pas question" ai-je répondu. "Allez, s’il te plaît", "Tu sais que tous les chauffeurs que nous doublerons auront une superbe vue sur mon intimité ?" dis-je en rigolant. Il m’a répondu : "Oui, je le sais". Je me suis exécutée, intriguée par ses intentions secrètes. Il a pris mon string et l’a mis devant son nez. "Hum, quel parfum exquis". Il l’a ensuite glissé dans la poche de sa chemise. "Eh bien, tu auras l’air fin devant tes clients avec mon string débordant de ta poche poitrine." fis-je en riant.
Il a recommencé à me caresser. Ses doigts allaient et venaient sur mes grandes lèvres. Je sentais la chaleur me prendre doucement et cette caresse, qui n’échappait pas au coup d’œil des chauffeurs que nous doublions, m’excitait au plus haut point. "Tourne-toi vers la fenêtre" me dit-il brusquement, "Tu es fou ?" lui dis-je. "Tourne-toi" a-t-il insisté. Mon bas-ventre a été parcouru par une onde de plaisir à laquelle je ne me m’attendais pas. J’ai tourné mon bassin et mes jambes vers la fenêtre de droite, mon sexe offert à ceux qui regarderaient. "Caresse-toi" m’a-t-il intimé. Je suis restée figée. "Caresse-toi, s’il te plaît" répéta-t-il. J’ai glissé ma main vers mon sexe, comme hypnotisée par son commandement. Lentement, le plaisir a commencé à monter, alors que mes doigts allaient et venaient sur mon clitoris. Soudain, alors que nous arrivions à la hauteur d’un camion, j’ai senti que la voiture ralentissait pour rester à la hauteur de la cabine du camion.
J’aperçus le chauffeur, un homme jeune, qui, découvrant la scène, ouvrit de grands yeux comme fascinés par mon sexe ouvert et ma main qui le caressait. J’ai renversé la tête en arrière pour la poser sur l’épaule de mon amant et je me suis allé au plaisir. La voiture restait à niveau du camion. Nous sommes entrés dans un long tunnel, mes doigts aussi dans mon tunnel intime. Petit à petit j’ai accéléré le rythme. Je sentais le plaisir m’envahir, alors que, découverte, offerte, je me caressais devant ce chauffeur inconnu. L’orgasme m’a pris alors que nous sortions du tunnel. Mes jambes ont tressauté et j’ai cambré mon dos tellement l’onde de plaisir a été puissante. Le chauffeur a compris que je venais de jouir et a envoyé un long coup de corne. Cet hommage a sublimé le plaisir que je venais d’avoir. Mon amant a réaccéléré en riant doucement. Je l’ai vu appuyer sur les warnings quelques secondes. Puis il a ajouté "Le chauffeur te remercie.
J’ai répondu que tu le remerciais également." "Salaud !!" "Je t’aime, tu étais très belle, offerte comme cela." Il a dirigé ses doigts vers mon sexe, puis dans mon vagin. Comme s’il venait de tremper ses doigts dans un pot de miel, il les a sucés, récupérant le nectar intime de mon plaisir, ponctuant sa dégustation d’un "C’est vraiment délicieux." Je l’ai frappé avec tendresse, tout en l’embrassant. Je me suis réinstallé sur mon siège, les pieds toujours posés sur le tableau de bord, la robe toujours descendue sur mes cuisses, mon sexe nu et mouillé de ma jouissance.
Fin du chapitre 1
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