Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 39 J'aime
  • 4 Commentaires

Morgan

Chapitre 8

Pluralité

Trash
Voilà six mois, que le site “ le dressage de Morgan, la chienne adultère ” existe. Nous commençons à avoir suffisamment d’abonnés pour gagner de l’argent. Rien de bien important, quelques dizaines d’euros par mois, c’est tout. La vidéo de mon premier fist-fucking fait encore un véritable tabac. Chaque semaine, Julien met en ligne un nouvel épisode de mes aventures : balade en forêt nue, port de vêtements à la limite de l’indécence, exhibe discrète de mes seins, mon cul, ou ma chatte au milieu des passants, gorge profondes dans la grande roue de Paris, baise dans des lieux publics, etc... Notre petite communauté en est très friande. Et c’est presque un travail à temps plein de les contenter. Heureusement, mon amant à une imagination presque sans limite.
J’arrive toujours à gérer cette double vie. Je n’en suis pas fière, j’ai même très souvent honte quand je croise Maxence. Car oui, nous ne faisons que nous croiser. Son travail, le mien et mon amant, nous prennent trop de temps. Quand il rentre et quand il repart je suis bien souvent endormie et je travaille souvent le samedi. Il ne nous reste plus que le dimanche pour nous et seulement pour nous, même Julien n’a pas le droit d’avoir une quelconque emprise sur ma personne ce jour-là. Généralement, c’est cocooning et repos, parfois sexe mais rarement. La seule chose positive dans notre histoire c’est que je n’ai plus besoin de lubrifiant pour l’accueillir en moi, peut-être est-ce dû à Julien qui comble la part obscure de mes envies.
Je me sens de plus en plus à l’aise dans mon travail. Nous formons une bonne équipe Julien et moi. Il m’a appris toutes les ficelles du métier et j’arrive maintenant à gérer des clients pratiquement toute seule, même s’il vérifie tout de même que le voyage proposé est en adéquation avec leurs desiderata.
***

Ce soir, nous sommes invités à un grand raout du voyage organisé. Ambiance chic, mets raffinés, vins ensorceleurs, discussion cordiale. Tout cela est très sympathique, mais je m’ennuie terriblement, d’autant qu’un mal de tête me tourmente le crâne. Et c’est sans compter sur mon voisin de gauche qui me lorgne de ses yeux libidineux, je le surprends à plusieurs reprises les yeux plongés dans mon décolleté, qui est, une fois n’est pas coutume, d’une probité exemplaire. Malheureusement, je ne peux l’envoyer paître, nous avons besoin de lui et lui de nous. Il a plusieurs complexe hôtelier dans les caraïbes, il nous propose des prix au rabais et nous lui envoyons des clients plutôt qu’à la concurrence. Le problème est qu’avec le vin il devient de plus en plus entreprenant. Je n’ose même pas m’éclipser aux toilettes de peur qu’il prenne cela pour une invite et ne me suive pour tenter sa chance ; je serais alors obligée de lui remettre les idées en place avec une paire de gifles ce qui serait du plus mauvais effet.
Quand Julien siffle l’heure du départ, je ne réprime qu’à peine mon soupire de soulagement et je plante là mon voisin dépité. Dans la voiture, je savoure le silence. Mon mal de tête commence à passer. Je ferme les yeux en me laissant bercée par la conduite assurée de mon collègue, voisin et amant.
Quand il coupe le moteur, je rouvre les yeux et me rend compte que nous ne sommes pas dans le parking de notre immeuble.
— Qu’est-ce que...— Sort !
C’est la voix de mon maître. Je suis à deux doigts de refuser, je n’ai vraiment pas la tête à cela et puis je suis fatiguée. Mais je m’exécute malgré tout. Nous sommes garés sur le parking qui jouxte un parc. Ce n’est pas vers les grilles fermées que Julien se dirige mais dans les fourrés qui bordent le grillage. Derrière un bosquet d’arbres, il y a une troué. Il passe en premier et me tend la main.
— Tu es sûr que ça ne risque rien ?— Mais oui vient.
Tremblante, j’accepte son aide et le suis à travers les arbustes. Nous arrivons devant un espace dégagé et nous rejoignons les allées de ce grand parc vide de la banlieue parisienne. Nul bruit de la ville, juste ceux de la nature vivant la nuit et le claquement de mes talon-aiguilles, nulle lumière artificielle pour nous guider, que celle de la lune et des étoiles. Nous sommes seuls au monde. Il y a quelque chose d’irréel dans cette situation. Je suis bien.
— Enlève ta robe.
J’obéis, non sans me dire que si nous nous faisons prendre, je serais dans une très mauvaise posture. Il récupère mon vêtement et nous continuons notre promenade comme si de rien n’était. La douceur de cette nuit de printemps fait naître la chair de poule sur mon corps. Je sens mes seins se contracter dans mon soutien-gorge et ma vulve s’humidifier.
Nous approchons des toilettes. Il m’emmène dans les WC pour hommes. L’odeur y est forte. Mon cœur bat la chamade. Qu’a t-il prévu pour moi en ce lieux ? Il actionne la minuterie. La lumière, pourtant chiche m’aveugle à moitié.
— Enlève ta culotte et ton soutien-gorge, m’ordonne-t-il de sa voix puissante.
Me montrer nue, ici, dans ce lieux uniquement masculin ? Où l’urine se dispute la prédominance olfactive avec la matière fécale ? C’est comme transgresser un tabou. Excitée, je m’exécute avec célérité. Cette fois, je dois jeter mes sous-vêtements à terre. Il me prend en photo, j’exhibe mon sexe, écarte mes lèvres, montre mon cul en m’appuyant contre la cloison en plastique séparant les deux urinoirs.
Il me place face à l’un d’eux et m’ordonne de me soulager debout. Même si l’idée m’attire beaucoup, il met difficile de lui obéir, faire ça devant quelqu’un, dans des conditions pareilles, n’est pas à la portée de tout le monde. Je ferme les yeux, je me concentre. Ça y est, je sens que ça vient, dans moins de 5 secondes mon urine va jaillir.
Une grosse claque sur les fesses referme les vannes.
— Alors ? — J’y arrivais Monsieur mais vous m’avez bloqué. — Tu es en train d’insinuer que c’est de ma faute ?
Je baisse les yeux en guise de réponse, j’ai beau avoir raison je me tais, il est mon Maître et je lui dois une indéfectible obéissance et soumission même quand il a tord.
— Dépêche-toi si tu ne veux pas avoir le cul aussi rouge qu’un babouin. — J’essaye, Monsieur. J’essaye.
Je me concentre mais rien ne vient, il me stresse trop. Perdant patience, Julien me fesse une nouvelle fois.
— Tends ton cul en arrière.
J’obéis, il a changé d’avis, il veut d’abord me tanner la couenne avant que je n’urine. Les yeux fermés, les mains à plat contre le mur, le corps plié en deux, les reins cambrés, le visage à la verticale de l’urinoir, j’attends mon châtiment. Il frappe une fois. La douleur est vive mais brève, une douce brûlure la succède. deux fois, dix fois, j’ai perdu le compte à 16. Mes fesses doivent être cramoisies, la chaleur qui s’en dégage est intense maintenant, la douleur n’est plus vive mais sourde. Mes yeux clos et mes joues ne sont que larmes, mon nez de la morve, ma bouche de la bave. Tout ce mélange et tombe de mon menton à la faïence. Je crie de douleur, je pleure de plaisir, je le supplie de continuer de dresser son jouet. Mon sexe coule à flot, l’intérieur de mes cuisses est trempé, mes bas se gorgent de mon suc intime.
Mes forces m’abandonnent, mes jambes rompent, je glisse le long du mur et mes mains se retiennent au bord de l’urinoir pour m’éviter de tomber à terre. À genoux, je pose mon front brûlant contre la faïence sale, la fraîcheur me fait du bien. Sans vraiment m’en rendre compte, je me soulage. L’urine chaude frappe le sol et se répand tout autour de moi. Je vide ma vessie sans aucune honte. Je suis son jouet, son animal et mon Maître dresse au doigt et à l’œil.
Je reprend mon souffle, le bourdonnement à mes oreilles s’estompe. Je reprends possession de mon corps et de mon environnement.
C’est le bruit qui me fait me rendre compte de la chose. Des murmures, des pieds qui frottent le sol. Nous ne sommes pas seuls. Je me retourne, ils sont cinq entourant mon Maître.
Je pousse un cri de surprise, je tombe sur mes fesses douloureuses dans la mare chaude que je viens de créer. J’essaye dans un mouvement pathétique de cacher mes seins et de fermer mes jambes. Ma tentative de pudibonderie les fait bien rire. Ils ont tous une caméra à la main. Ils viennent de filmer ma déchéance.
— Ne fais pas ta pucelle effarouchée Morgan et dis plutôt bonjour à tes admirateurs de longue date.
Il me faut un moment pour comprendre. Ce sont des contributeurs de notre site. Il les a invité à un show dont je suis la vedette.
— Viens à quatre pattes montrer comme tu es obéissante.
Je me soumets à cette injonction, je suis dans un état second. Ils sont six en comptant Julien. Que va-t-il m’arriver ? Mais je le sait déjà et j’en frémis d’avance. Je m’agenouille à leurs pieds en prenant bien garde de ne pas poser mes fesses douloureuses sur mes talons.
— Bonjour.
Ma voix n’est qu’un filet. À peine un murmure. Je baisse la tête non par déférence envers eux mais pour cacher ma honte d’être nue, exhibée, de leur avoir montrer mes penchants masochiste et urophile.
— Salue nos amis comme il se doit.
Je relève la tête, leur sexe sont sortis et pour certains dressés. Mon Maître m’encourage d’un signe de tête. Il faut que je me fasse une raison, mon premier gang-bang se déroulera ici, dans ces toilettes nauséabondes et la part la plus sombre de mon être se réjouit de ce choix. J’embrasse timidement la queue la plus proche. Bien vite, je la prend en bouche. Mes mains en saisissent deux autres. Des doigts tâtent mes seins, les claquent sans méchanceté, étirent mes mamelons. Je commence à m’échauffer, mon sexe reprend vie. Une sueur rance recouvre mon corps. Je suis en chaleur.
— Baise-moi ! dis-je a celui que je suçais.
Julien lui tend un préservatif pendant que je me met à quatre pattes. Une queue se présente à ma bouche, il n’en faut pas plus pour que je l’avale. Mon sexe se remplit de la bite tant convoitée. C’est extraordinaire, plus fort que ce que je m’imaginais. Deux sexe en soit est une sensation indescriptible. Je jouis presque immédiatement. Mais on ne me laisse pas de repos. Ils continuent, se vident dans ma bouche, sur mon visage, déversent leur capote sur mon dos, mes cheveux. Bien vite mes trois trous sont investis. Être prise en sandwich avec de vrais queue, quel plaisir. Ils se relaient sans relâche. Je jouis tant et tant que je ne sais plus où je suis, qui je suis. Je ne suis plus que plaisir et orgasme.
Après, deux bonnes heures de baise intense, mes admirateurs sont vidés. Les queues ne peuvent plus bandées. Je les ai essorées. Moi-même, je ne suis plus bonne à rien. Ma mâchoire est de plomb, mon sexe et mon anus sont en feu. Je suis à terre, allongée dans la flaque froide de ma propre urine. Des spasmes involontaires de plaisir parcourent mon corps.
Qui a lancé l’idée ? Je ne le sais pas. Mais il se mettent tous les cinq autour de moi et, pour me remercier et me laver, ils me pissent dessus. Ma chatte, mes seins, mon ventre, ma tête, ma bouche, mes yeux, mes cheveux, rien n’est épargné. Ils m’obligent même à en avaler, ce que je fais avec plaisir. C’est chaud, c’est écœurant, c’est bon. Quand la source se tarit, je ferme les yeux, ivre de plaisir et de jouissance. Ma folie m’a menée dans un sanctuaire de dépravation qu’il m’est difficile de quitter.
Ils sont partis depuis longtemps quand nous reprenons le chemin du retour. Les toilettes que nous laissons derrière nous sont un vrai cloaque. Au milieu de la mare d’urine trônent les capotes usagées et mes sous-vêtements. J’ai une pensée pour les personnes du ménage qui devront remettre l’endroit en ordre et je m’excuse humblement auprès d’elles par la pensée.
Je suis nue au milieu de la nuit. Mon corps pue les égouts. Julien porte ma robe et le sac dans lequel il a récupéré les caméras. Quand les a t-il achetés et donnés a ces hommes ? Quand et comment a t-il préparé cette soirée ? Trop de questions pour mon cerveau épuisé.
À sa voiture, il sort du coffre un dizaine de bouteilles d’eau. Je m’asperge le corps. Cette fois, le froid me saisit, je grelotte. Il me tend une serviette, je me sèche et enfile rapidement ma robe.
À peine installée sur le siège passager, je me rend compte que mon corps exhale encore une odeur fétide mais cela ne m’empêche pas de m’endormir en un instant.
Quand Julien coupe le moteur, nous sommes cette fois dans le parking de notre immeuble. Sur le palier, il me laisse rentrer chez lui pour que je puisse prendre une douche réparatrice. Quand je le quitte, il est déjà sur son ordinateur à visionner les images de la soirée. Je me demande quand il trouve le temps de dormir et je rentre chez moi me blottir auprès de mon mari que je viens de trahir de manière si dégoûtante.
Diffuse en direct !
Regarder son live