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Morgan

Chapitre 10

Vacances (2ème partie)

Hétéro
Je ferme à peine les yeux que Kenneth bat déjà le rappel. Je suis exténuée, je laisse Maxence rejoindre les autres en premier. Il n’y a pas que la fatigue qui me retient au fond de mon duvet, j’ai un problème beaucoup plus terre à terre : mon corps et mes vêtements de nuit sentent le sperme. Je glisse donc mon t-shirt et ma culotte dans un sac plastique au fond de mon sac de voyage. Habillée d’un nouveau t-shirt et d’un short, je sors de ma tente, que je laisse ostensiblement ouverte afin de l’aérer, bien décidée à aller me laver. J’ai malheureusement oubliée le principe de la douche solaire dans mon programme. Comme son nom l’indique, il lui faut du soleil pour qu’elle soit chaude. Après une nuit d’hiver austral, l’eau dans les bidons sur le toit des 4x4 est glacée. Je subis cette torture et les rires de mes compagnons de route avec stoïcisme. C’est une véritable épreuve, mais cela à l’avantage de me remettre les idées en place et me fait un bien fou après cette quasi nuit blanche.
Quand je rejoins enfin la table du petit-déjeuner, tout le monde à presque fini. Au questionnement du pourquoi du comment de cette douche matinale, j’explique mon besoin de me laver de la sueur due à une chaleur excessive durant la nuit. Gregor me surnomme aussitôt la parisienne. J’accepte de bonne grâce d’être au centre des quolibets, après tout ne l’ai-je pas un peu mérité ? Max le jeune me dévore des yeux et je fais tout pour l’ignorer.
En moins d’une demi-heure, le campement est plié et son emplacement nettoyé. Au moment de repartir, mon mari me propose de changer de voiture avec lui. Apparemment, servir de chauffeur à Gregor et Anna qui répondent à ses questions sur la sainte Russie par monosyllabe entre deux embrassades n’est pas de son goût. Je refuse tout net avec une petit sourire carnassier. Il accepte sa défaite non sans me traiter d’un affectueux « salope », ce à quoi je réponds un « je sais, c’est pour ça que tu m’aimes... ». Nous ponctuons cet échange par une long baiser avant de retrouver nos véhicules respectives. Sur la banquette arrière, je retrouve mon jeune amant de la nuit. La voiture n’est pas encore partie qu’il essaye déjà de me prendre la main. Je lui fais comprendre que c’est trop dangereux en plissant les yeux. Il acquiesce et ne tente plus d’approche à mon égard.
Le programme du jour est extrêmement enrichissant. Après deux heures de route, nous arrivons dans un village aborigène. L’accueil auquel nous avons droit est chaleureux. Après une présentation de leur art ancestral et d’une démonstration du lancé de boomerang, nous sommes conviés à manger avec eux. Au menu : kangourou et oie sauvage mais aussi du serpent pour les plus courageux. Je suis la première à en goûter, c’est vraiment très bon, très délicat. Seuls les deux Maxence et, j’en suis très surprise, Mélanie me suivent dans cette découverte culinaire. Nous sommes tous les quatre ravis d’avoir dépassé les limites de notre dégoût. Nos compagnons de route nous regardent comme si nous étions des extra-terrestres.
L’accueil des aborigènes est extraordinaire. Leur vie simple et paisible. Mais en y regardant de plus près, nous ne pouvons passer à côté de la misère qui fait partie intégrante de leur quotidien. En marge d’une société sans pitié pour eux, ils essayent de survivre et de transmettre leur culture ancestrale à leur descendance sans trop se trahir. Un délicat équilibre dont nous sommes les témoins impuissants. Je suis pourtant à peu près sûre, que la plupart de mes compagnons sont totalement insensibles à ce qui se déroule devant leurs yeux.
Après une petite heure de route. Nous nous arrêtons près d’un court d’eau paisible. Nous montons dans de petites pirogues qui n’attendent que nous. Malgré la sérénité de Kenneth et son appel au calme, Harry et Barbara n’en mènent vraiment pas large, la ligne de flottaison de leur embarcation s’approchant dangereusement du bord. Finalement, Harry fait le voyage avec Mélanie, Barbara avec Maxence et moi avec Maxence le jeune. Cette répartition des pirogues met en joie mon jeune amant qui se place derrière moi. Il ne doit rien rater de ma chute de rein. Après une petit quart d’heure, nous arrivons dans un canyon où nous découvrons des peintures rupestres qui datent de milliers d’années. Je suis très impressionnée par ces témoignages du passé. Je ne peux m’empêcher de penser à ces hommes et femmes qui, malgré des moyens plus que précaire, ont défié ces lieux pour y laisser leurs traces. Mon émerveillement et ma volonté de m’attarder encore un peu en ce lieu magique inspire soupirs et agacements à certains. Je finis par céder à ce fiel silencieux et nous reprenons le chemin du retour.
C’est Ingrid qui ouvre les hostilités en arrosant Gregor. Il se venge dans la foulée et très vite c’est la cohue. Pour ne pas risquer d’accident inconsidéré, nous nous calmons juste le temps de rejoindre la berge pour poser téléphones et autres appareils électroniques. S’en suit une formidable et chaotique bataille d’eau. Rires et cris ponctuent les gerbes d’eau que nous envoyons et recevons. Dans ce maelstrom indescriptible, mes deux Maxence en profitent, chacun leur tour, pour me peloter allègrement, je ne suis évidemment pas en reste de mon côté puisque je réponds à ces caresses par des attouchements de leur attributs masculins dont j’ai le plaisir de sentir la rigidité.
De retour aux voitures, les femmes se mettent d’un côté, les hommes de l’autre. Sous l’impulsion d’Ingrid nous nous retrouvons nues pour nous sécher. Barbara, Mélanie et Michelle sont rouge de confusion mais suivent finalement le mouvement. Nous sommes toutes différentes. Loin d’être un canon de beauté avec ses kilos en trop, le corps de Barbara n’est pas si désagréable à regarder, il se dégage même une certaine grâce dans ses gestes empruntés. À l’opposé, Ingrid, Anna et, dans une moindre mesure, moi sommes calquées sur le même modèle : élancées et petits seins. La différence notable est qu’elles sont toutes les deux glabres au niveau du mont de Vénus. Bien que Michèle essaye de nous cacher son corps, je peux voir que ses deux maternités ont accentuées ses formes : son bassin est bien large et la graisse de son ventre n’a rien de déplaisante. Si ses seins lourds sont victimes de la gravité, ils ont tout de même fière allure. Mais c’est le corps de Mélanie qui me fascine le plus, Elle est à cet âge où elle n’est plus une jeune fille et en même temps pas encore tout à fait femme, je lui envie ce moment de transition, même si je me souviens que cela n’avait pas été facile à accepter à l’époque pour moi.
Une fois rhabillées, nous retrouvons les hommes. Gérard montre à sa femme le dos de leur fils où une belle griffure, souvenir de cette nuit, a fait son apparition. Max ne sait pas comment il s’est fait cela, peut-être en se grattant. Je deviens rouge pivoine quand José plaisante sur la possibilité qu’une femme ait pu être à l’origine de cette balafre. Le regard de Michelle le foudroyant du regard tue dans l’œuf, à mon grand soulagement, toute velléité de continuer sur ce sujet.
Nous montons notre camp sur place. Le repas est frugal mais délicieux. La soirée autour du feu est joyeuse et animée. Les discutions vont bon train et les regards aussi : je suis la cible des deux Maxence qui me mangent littéralement des yeux. Nous nous couchons de bonne humeur, vers 22h.
Mon mari tente une approche et j’y répond favorablement. Nous nous embrassons avec passion. Il me mange les seins avec dévotion. Je caresse sa queue avec chaleur pour qu’il raidisse un peu plus. J’écarte mes jambes pour lui donner accès à mon sexe en feu, il me pénètre avec douceur. Dieu que c’est bon. Pas très loin de nous, nous entendons Gregor et Anna gémirent de concert. Cela m’excite. Je change de position, je me mets en levrette et murmure à mon mari un « baise-moi ! » impérieux. Quand il me pénètre d’un coup, je ne peux réprimer un gémissement de satisfaction obscène. Ses mouvements de bassin sont amples, il touche bien le fond de ma matrice, peut-être pas aussi bien que mon jeune amant de la nuit dernière, mais c’est suffisant pour que je morde mon oreiller pour ne pas faire partager mon plaisir aux autres. Il pose son pouce sur mon anus et le masse doucement. C’est une nouveauté de la part de Maxence, il doit être particulièrement excité pour oser tenter cela. Je me contente d’approuver cette initiative par un gémissement. Ancré au fond de mon vagin, il essaye de faire rentrer son pouce dans mon rectum.
— Mouille-le, s’il-te-plaît, j’ai peur d’avoir mal.— Oui, désolé.
Je suis une menteuse de première catégorie, mais je préfère qu’il pense que la cyprine qu’il récolte fera un bon lubrifiant plutôt qu’il se rende compte que mes sphincters sont habitués à de plus gros calibres que son pouce. Avec impatience, il me rentre son doigt dans le cul.
— Ça va ?, me demande-t-il en ne bougeant plus.— Oui, ça fait drôle mais ça va.
Son bassin reprend son lent va-et-vient. C’est délicieusement bon.
— À toi de jouer.
Ces mots annoncent un changement de paradigme. C’est maintenant à moi de bouger sur sa queue. Je me balance d’avant en arrière. Mais à la différence de d’habitude, je m’encule sur son pouce.
— Tu aimes ?— J’adore, c’est tellement... vicieux.
Mon corps se couvre d’une pellicule de sueur poisseuse, mon excitation monte en flèche. J’essaye d’étouffer mes couinements dans mon oreiller. Maxence prend le relais, ce n’est plus l’heure des lents et doux mouvements, il me baise littéralement. Je suis aux anges. Il se répand en moi dans un cri muet pendant que je me mords les lèvres pour ne pas hurler ma jouissance.
Nous nous écroulons l’un à côté de l’autre et nous reprenons notre respiration. Très vite celle de Maxence se fait plus lente et ses doigts sur mon sein ont des mouvements saccadés.
Malgré ma nuit blanche, cette journée d’excursion et ce moment charnel, je n’ai pas du tout envie de dormir. Je jette un coup d’œil à ma montre, il est bientôt minuit. Sans bruit, je sors avec mon duvet seulement vêtue de mes chaussures et de mon t-shirt qui ne couvre nullement mes fesses et mon sexe. Je m’éloigne et me pose à une centaine de mètre du campement.
Je me faufile dans mon sac de couchage et plonge mon regard dans la voie lactée. Je suis une nouvelle fois émerveillé par ce spectacle cosmique et le temps fil à toute allure. Un coup d’œil à ma montre : minuit quarante. Il ne viendra plus.
Je sors de mon duvet pour aller soulager une envie devenue pressante. C’est à ce moment que Max arrive.
— Je suis désolé, Mélanie a mis du temps pour s’endormir.— Pas de problème, lui dis-je en l’embrassant, prépare les duvets, je dois faire pipi.
Il me regarde d’un drôle d’air.
— Qu’est-ce qu’il y a ?— Euh... ben...— Dis-moi, je ne vais pas te manger.— Je... je peux regarder.
Je l’embrasse et le prend par la main. Un peu plus loin, je m’accroupis devant lui, les jambes largement écartées. Il allume la lampe torche de son portable qu’il braque sur mon sexe. J’espère que personne ne regarde dans notre direction, cette lumière crue doit se voir à des kilomètres à la ronde. De mes doigts, j’écarte mes grandes lèvres, il a une vue privilégiée sur ma vulve ainsi exposée. Mon urine jaillit, éclairée par le faisceau lumineux. M’exhiber ainsi tout en me soulageant, m’excite énormément.
— Approche.
Il s’exécute lentement, je baisse son caleçon et, alors que mon flot se tarit, j’embrasse sa queue déjà au garde-à-vous. Je le suce avec amour, pas comme une salope, je ne veux pas lui donner de mauvaises habitudes. Il pose ses mains sur ma tête et commence un timide va-et-vient.
— Laisse toi faire. Savoure l’instant présent, lui dis-je en lui mettant les bras le long de son corps.
Je lui titille le méat urinaire du bout de ma langue, il frémit et gémit de plaisir. Je noie son gland de ma salive chaude, il râle des borborygmes incompréhensibles. Je fais de lent va-et-vient en serrant mes lèvres et en caressant sa hampe de ma langue, il en appelle à Dieu et à tout ses saints.
Cela dure longtemps, je ne ressens même pas le froid de cette nuit d’hiver austral. Je ne suis qu’une bouche et une langue qui veux faire plaisir à ce jeune garçon. Je sens son sexe frémir. Il est à deux doigts de jouir. Je n’accélère pas le rythme de ma fellation. Je veux le faire durer longtemps. Tous les muscles de son corps sont tendus à l’extrême. Ses mains s’ouvrent et se ferment frénétiquement dans le vide. Sa tête est tournée vers les étoiles. Sa gorge laisse échapper des gémissements de plus en plus fort.
Soudain, il se libère dans ma bouche dans un râle de contentement. Sa semence est épaisse, son goût est très prononcé, je me régale de cette offrande qui m’est faite.
Pour autant, je ne cesse pas de le sucer. Son méat est plus sensible que jamais, ma langue l’agace avec perversité. Sous cet assaut, il couine comme un petit enfant.
— Aaaahh !... Arrête, S’il-te-plaît. Ça fait mal. C’est... Aaaaah !... C’est trop bon !
Je stoppe ma fellation et je me relève.
— La prochaine fois, que tu seras sur le point de jouir prévient celle qui te suce. C’est la moindre des choses que de lui laisser le choix.— Oui, promis Suzanne, me répond-il d’une petite voix.— Embrasse-moi.
Il hésite.
— Quoi ? C’est mon haleine parfumé à ton sperme qui te gêne ?
Il baisse les yeux pour toute réponse. Je lui relève la tête doucement.
— Ça ne t’a pas posé de problème que je l’avale, hein ?— Non.— Ça ne fera pas de toi un homme moins viril tu sais. Embrasse-moi !
Ma voix est ferme. Lentement il s’approche et obéit à mon ordre. Sa langue est d’abord timide, puis elle devient plus audacieuse et enfin sauvage.
Je le prend par la main et retournons aux duvets. Nous nous déshabillons et nous protégeons du froid. Nos Bouches, nos langues se goûtent avec voracité. Nos mains caressent, griffent, pincent la peau de l’autre.
— À toi maintenant de me faire jouir avec ta langue.
Avec un sourire pervers, il descend le long de mon corps. Il fait une première pause au niveau de mes seins, puis une seconde à mon nombril.
— Maxence m’a fait l’amour ce soir, si tu ne veux pas goûter son sperme remonte.
Il a la bouche dans mes poils pubiens. Il n’hésite qu’une seconde avant de continuer sa course vers mes trésors cachés. Sa langue cherche et trouve ma fente, elle écarte mes lèvres intimes. Elle passe avec légèreté sur mon clitoris encore encapuchonné. Elle revient à la charge, le dégage et le lèche avec empressement. De ma bouche scellée s’échappe des gémissement de contentement. Je suis aux anges, il sait y faire le petit salopiaud.
Il délaisse mon bouton pour s’attaquer à mes petites lèvres. Il les écarte et sa langue investi le trou maintenant accessible. Il récolte mon nectar mélangé à celui de mon mari. Il étanche sa soif à cette source. Il lape le moindre recoin. Il aspire goulûment le suc. Je suis en pâmoison, mes doigts se plantent dans sa chevelure.
Il retourne à mon bouton, je pousse un petit cri de plaisir et de surprise. Sa langue est diabolique, il sait vraiment l’utiliser.
— Je vais jouir ! S’il-te-plaît remonte, fais moi l’amour.
Mais sourd à mes demandes il continue de me tourmenter. Je suis sous sa coupe, incapable de me révolter. Je subis sa loi. Il m’amène jusqu’à un orgasme ravageur et c’est dans un hurlement silencieux que je libère un flot de mouille qu’il récolte immédiatement.
Quand il remonte et m’embrasse, je goûte ma cyprine et le sperme de mon mari mélangés à sa salive. Nous nous câlinons et sans crier gare, il me pénètre de sa queue. Il reste au fond de moi sans bouger. Nous savourons ce répit avant de reprendre nos ébats.
Comme la veille, ce n’est qu’un instant avant le levé du soleil que nous nous séparons repus de sexe et de jouissance.
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