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Morgan

Chapitre 11

vacances (3ème partie)

Hétéro
Malgré la douche glaciale et matinale que je m’impose comme la veille pour effacer les traces de sperme de mon jeune amant qui traînent sur mon ventre, mes seins et mes fesses, et après deux nuits blanches, je n’arrive pas à remettre en marche mon cerveau. Je ne vois donc pratiquement rien de ce dernier jour de voyage en 4X4, je m’endors sans m’en rendre compte, puis me réveille d’un bond l’esprit clair et alerte avant de sombrer aussitôt une nouvelle fois dans les limbes. Cette intermittence de phase de sommeil et d’éveil n’arrive pas du tout à reposer mon corps, je suis une vrai loque. Max, assis à mes côtés, n’en mène pas large lui non plus. Ses progrès en anglais seront nuls aujourd’hui.
De retour au complexe hôtelier, nous nous donnons tous rendez-vous dans un restaurant pour terminer cette expédition en beauté. Heureusement, une bonne douche chaude et deux heures de sieste me remettent les idées en place et me redonnent suffisamment de force pour participer activement à ce dîner.
La soirée est joyeuse, nous rions beaucoup. Nous nous promettons de nous revoir dès le lendemain. Mais dans deux jours, José, Ingrid, Harry, Barbara, Gérard, Michelle, Mélanie mais surtout Maxence le jeune repartiront chez eux. Nombre de fois durant cette soirée, je croise le regard triste de mon jeune amant. Je lui souris tendrement en réponse. Notre histoire est terminée et c’est tout aussi bien pour nous deux. Il ne faut pas qu’il s’attache à moi.
Nous nous souhaitons tous bonne nuit dans le hall de l’hôtel avant de rejoindre nos chambres. À peine la porte de notre suite nuptiale est-elle refermée que Maxence me serre dans ses bras par derrière. Je sens son excitation contre mes fesses. Je roule doucement des hanches. Je me retourne et nous nous embrassons avec passion. Je lui murmure un « Fais-moi l’amour ! » en l’amenant par la main dans la chambre. Après un bouillant 69, où il m’a longuement léchée et doucement doigtée tandis que je me régalais de sa colonne de chair et de son scrotum du bout de ma langue, il me pénètre avec passion. J’aime sa douceur mais j’ai besoin de plus. À ma demande, il me prend en levrette. Je sens mieux son sexe coulisser en moi et venir taquiner le fond de ma grotte. Je soupire d’aise à chaque pénétration. Mais je veux plus, toujours plus, alors je saisis sa main droite posée sur ma hanche et mets fermement son index et son majeur sur ma rondelle brune.
L’invitation est claire et ne demande aucune explication. Il s’acquitte de sa tâche de bonne grâce. Si les deux doigts que j’ai dans mon fondement me font rapidement décoller, Maxence jouit malheureusement trop vite, bien avant que je n’atteigne l’orgasme libérateur qui me tendait les bras. Fier de sa performance, croyant que j’ai atteint le Nirvana en même temps que lui, il s’écroule à côté de moi en reprenant bruyamment sa respiration. Je ne veux pas le détromper, et malgré tout, je suis tout de même comblée qu’il ait eu du plaisir. Nous nous embrassons avec passion.
La tête posée sur sa poitrine, j’ai en ligne de vue son ventre, ses poils pubiens et son sexe au repos. Son corps est beau comme un dieu. J’aime cet homme de toute mon âme et je suis heureuse avec lui.
Alors, que la respiration de Maxence se fait plus profonde, le sommeil me fuit. Je reste longtemps éveillée. Mes pensées dérivent sur ce que je suis devenue, il est temps pour moi de faire le point.
J’ai un mari formidable, nos ébats sexuels sont classiques mais ils pourraient aller vers de nouveaux horizons si nous essayons la sodomie. Je me rends compte que depuis que nous sommes ici, je n’ai pas utilisé de lubrifiant. Je pense que c’est un bon signe même si je n’arrive pas toujours à l’orgasme dans ses bras.
J’ai un amant pervers qui m’avilit, me pousse dans mes retranchements et qui expose nos aventures sur Internet. Il comble mon besoin de sexe et de vice mais je ne l’aime pas.
Enfin, j’ai éduqué un garçon deux fois plus jeune que moi aux plaisirs de la chair. Et il est très doué. J’ai peur qu’il ne s’attache alors qu’il ne se rend pas compte qu’il m’oubliera dans les bras d’autres femmes dans un avenir plus ou moins proche.
Suis-je devenue une femme facile ? Indubitablement. Rien que mon gang-bang en atteste. Une perverse sans vergogne ? Je ne crois pas. Je n’ai pas utilisé le jeune Maxence à mes fins, je lui ai montré comment être un amant prévenant.
C’est sur cette note à peu près positive de mon autocritique que je m’endors enfin.
***

Le lendemain, je paresse une bonne partie de l’après-midi avec un livre au bord de la piscine couverte. Maxence est en train de s’initier au golf avec Harry et Barbara. Je suis bien, épanouie, heureuse.
Mon téléphone m’annonce la réception d’un SMS. Sans me précipiter, j’en prends connaissance. Il vient de Max. Il m’attend au bar de l’hôtel. Je sais pertinemment pourquoi il veut me voir et la chaleur naissante dans mon ventre me montre que j’en ai envie aussi. J’hésite. Ce n’est pas bien de ma part d’entretenir de faux espoirs. Mais le bar n’est pas du tout un endroit discret, en fait tout le complexe hôtelier n’est pas un endroit discret pour deux amants. Je lui réponds de me retrouver dans ma suite d’ici vingt minutes.
Je sais qu’il se mettra immédiatement en route, je ramasse donc mes petites affaires et je quitte la piscine. Dans l’ascenseur j’appuie sur le bouton du sixième. Au niveau zéro, les portes s’ouvrent sur Max, il a été plus rapide que prévu. D’abord surpris, il me lance un regard de prédateur. Il faut dire que mon bikini laisse beaucoup de peau à nue.
À peine les portes se referment-elles que nous nous jetons l’un sur l’autre pour nous embrasser à pleine bouche. Sa main se pose sur ma poitrine, fait jaillir un sein de mon maillot de bain. Le ding annonciateur des portes qui s’ouvrent nous sépare. Je sors à moitié débraillée dans le couloir et main dans la main nous nous dirigeons en trottant vers la suite nuptiale.
À peine la porte est-elle refermée, que nous nous jetons encore une fois l’un sur l’autre. Il n’y a nulle civilité entre nous, il n’y a que de la passion, de la sauvagerie. C’est la dernière fois que nous nous voyons et nous donnons à l’autre le meilleur de nous-mêmes.
Le soutien-gorge de mon maillot de bain ne fait pas long feu. Max me mange les seins avec voracité. Je l’encourage à les mordre avec passion. Ses mains agrippent mes fesses, ses ongles rentrent dans ma peau. Je défais sa ceinture et les boutons de son short, j’extirpe sa bite si belle et déjà au garde-à-vous. Je le branle sans ménagement. Je passe ma jambe gauche autour de sa hanche, il écarte le fond de ma culotte et, contre le mur, il me pénètre d’un coup et nous crions d’une même voix notre plaisir d’être réunis une nouvelle fois.
— Tu m’as manqué mon chéri.— Toi aussi mon amour.
Ces mots murmurés, en reprenant notre souffle, ne sont pas vides de sens, nous en avons besoin pour celer cette dernière étreinte.
Il reste ainsi en moi sans bouger. C’est merveilleux. Puis, doucement, il commence un lent va-et-vient ample. Il sort presque son gland de mon vagin et il repart l’explorer jusqu’à atteindre mon col de l’utérus. À chaque fois qu’il est bien au fond de moi, je pousse un petit cri de plaisir. C’est formidable de ne plus être obligée de se retenir, je peux pleinement lui exprimer ma satisfaction.
Pendant de longues minutes, il me prend ainsi.
— Je vais jouir !, me dit-il soudainement.— Attends, je veux te boire.
Je l’embrasse avec fougue et je glisse le long de son corps pour me retrouver à genoux. Sans préambule, je prends son sexe en bouche. Il a le goût de ma mouille, je me régale. Il ne faut pas longtemps pour qu’il décharge dans ma bouche. J’avale avec gourmandise sa semence parfumée.

Je n’ai pas joui mais je m’ en moque, là n’était pas l’essentiel de cette étreinte.Nous nous embrassons avec passion.
— Je finirai pas croire que tu prends goût à ton propre sperme.— Je ne l’ai jamais vraiment goûté ce ne sont que des effluves.— Il faudra que tu le fasses un jour alors.— Oui peut-être mais en attendant...
Il ne termine pas sa phrase il m’embrasse dans le cou, il agace mes mamelons, il descend vers mon nombril.
— Attends, attends Max ! Mon mari peut rentrer d’un moment à l’autre.— Je veux te lécher le clitoris, me dit-il d’une voix chargée de passion.
Le programme est plus qu’alléchant mais je l’écarte pour récupérer mon portable dans mon sac jeter au sol et j’appelle mon mari. Max descend la culotte de mon bikini le long de mes jambes.
— Allô Maxence ?, Max pause sa bouche mais surtout sa langue sur mon clitoris, Tu en as encore pour looongteeemmmps ? Mon jeune amant vient d’aspirer mon clitoris et le prendre entre ses dents, ma respiration s’accélère. De ma main libre je lui empoigne les cheveux pour qu’il continue son travail oral. Hein ? Non, c’est que j’ai très envie de toi et je suuiiis très excitée, je suuuiiiiiis sur notre liiiit et je me caresse en pensant à toaaaaahhh !!!! Sans pitié pour moi, Max vient de me mettre trois doigts dans le vagin, le bruit de clapotis qui en résulte est si obscène que j’en rougis de plaisir. Pas avaaannt une demi-heure ? Oooohhh que ça vaaa être loooonnnggg !!! Max s’est relevé toujours les doigts dans ma chatte et m’embrasse pendant que mon mari me parle. Oui, fais au plus viiitee mon chériiii.
Je raccroche et embrasse mon amant à pleine bouche. Sa queue a déjà repris de la vigueur, Dieu que c’est beau d’être jeune. Je l’emmène dans la chambre et je met un réveil pour dans vingt minutes.
Je me mets à quatre pattes sur le bord du lit.
— Baise-moi !
Nous n’avons plus le temps pour l’amour passion, il faut aller à l’essentiel, ce sera ma dernière leçon. Alors sans préambule mon jeune amant m’enfile d’une traite jusqu’ à ce que son gland heurte mon col de l’ utérus. Mon râle de femme soumise l’excite et il me baise avec violence. Je geins, je couine, je feule, je supplie. Je suis à sa totale merci. Soudain, l’orgasme me cueille en plein vol et je m’écroule sur le lit.
Je reprends mes esprits. Je l’allonge sur le matelas et je le suce comme une salope, je branle sa queue à en avoir mal au poignet, j’aspire son gland, je presse ses couilles. Enfin, dans un râle animal, il retapisse ma cavité buccale de sa semence.
Je me positionne au-dessus de lui, je lui ouvre la bouche et laisse tomber lentement une partie de son sperme dedans. Il l’avale sans hésiter.
— Encore !, me supplie-t-il.
Je l’embrasse et nous partageons ce qu’il restait dans ma bouche.
Le réveil nous sort de l’engourdissement post-coïtal. Je récupère mon bikini que je jette dans la salle de bain, il se rhabille, je repose mon sac à sa place et j’enfile une petite robe blanche en coton léger qui m’arrive mi-cuisse et colle à mon corps nu en me faisant un décolleté indécent. Il nous reste en théorie sept minutes avant que Maxence ne revienne. Nous nous embrassons encore une fois. Assis dans le petit salon, nous caressons nos corps pour que nos doigts s’en souviennent encore longtemps. Il rebande déjà, ce gamin est un véritable phénomène de foire.
— Suce-moi une dernière fois, s’il-te-plaît, me supplie-t-il au creux de l’oreille.
Je ne me fais pas prier pour accéder à sa demande. Mais cette fois, j’y vais avec douceur et tendresse. Je prends mon temps. Tout au long de cette dernière fellation, Max gémit, râle de plaisir et il se libère enfin dans un cri d’animal blessé. C’est au moment où j’avale sa semence que mon mari arrive enfin avec, heureusement, treize minutes de retard sur l’horaire prévu.
— Nous sommes-là !, dis-je en me rasseyant sur mon siège.
Il nous rejoint étonné, alors que sa chemise est déjà à moitié défaite.
— Max est venu nous remercier pour lui avoir laisser la place dans le 4X4 et de ne pas l’avoir laissé seul.— Oh mais c’est tout naturel, répond mon mari en remettant un bouton le plus discrètement possible.— Peut-être mais c’est très gentil, je me suis quand immiscé entre vous deux. Merci beaucoup Maxence.— Maxence.
Ils se serrent la main d’une poignée virile.
— Suzanne, encore merci pour tout.— Mais ce fut un plaisir.
Nous nous embrassons sagement sur les joues.
— Bon bah, à bientôt peut-être.— Peut-être oui.
Et sur ces dernières paroles, il nous quitte.
— Il est bien ce petit, constate Maxence.— Oui très bien.
Suis-je la seule à remarquer le fond de tristesse dans ma voix ? Oui sûrement.
— Tu crois que...— Qu’il a remarqué que tu voulais me faire l’amour ? Je pense que oui.
La mine déconfite de mon mari me fait rire.
— Mais que ça ne t’empêches pas de faire ce que tu avais en tête, mon amour.
Il se jette littéralement sur moi, il m’embrasse avec fougue. Heureusement, il ne relève pas mon haleine parfumée au sperme.
— Mais tu es toute nue sous ta robe.— Je te signale que je ne t$’attendais pas habillée, j’ai enfilé la première chose qui venait quand Max a frappé.— Tu es une véritable perverse, me murmure-t-il entre deux baisers passionnés.— Et encore tu n’as pas tout vu.
Je le repousse, me lève, prend appuie contre la table, remonte le bas de ma robe sur mes reins, cambre mes fesses, tourne la tête vers lui et, en le regardant dans les yeux, lui ordonne sans ciller : « Encule-moi ! »
Sa mâchoire se décroche de sa bouche et sa langue tombe par terre. Il est rare que j’utilise ce genre de mots crus, mais c’est toujours le signe de ma très grande excitation.
— Je me suis fait jouir tout à l’heure en pensant à ta queue dans mon cul ! Montre-moi que la réalité est meilleure que mon imagination.
Il se jette sur moi. Ses doigts pétrissent la chair tendre et ferme de mes fesses, à l’endroit même où Max faisait de même trente minutes plus tôt.
Son index, bientôt rejoint par son majeur, s’insère dans mon anus pour élargir le passage. Mais il est tellement excité qu’il me fait mal. Quand il introduit enfin son sexe, la douleur est vive. Mais je l’encourage à y aller plus fort. Je recherche cette douleur, elle est là pour exorciser mes démons intimes, pour me punir de mes écarts de conduite passés, présents et futurs, mais surtout pour me sentir vivante.
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