Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 332 J'aime
  • 21 Commentaires

Morgane, jeune fille ouverte

Chapitre 1

Morgane et son père

Inceste
Morgane, jeune fille ouverte.

1) Morgane et son père
Je dois avouer qu’à cette époque, c’est à dire il y a encore très peu de temps, notre logis était bien équipé. Bâtie sur deux étages, la maisonnée était composée au rez-de-chaussée d’une grande cuisine, d’une salle où "trônait" une énorme cheminée au dessus de laquelle, le regard vide, une tête de biche nous fixait. Aujourd’hui encore, je ne comprends pas ce qu’elle faisait là. Nous disposions aussi d’un coin toilette que nous appelions très pompeusement, "l’appartement des bains", terme utilisé jadis par François 1er à Fontainebleau.
Mon père, érudit d’histoire, aimait bien cela, pour lui c’était chic comme on dit. Pourtant ce n’était qu’une simple pièce avec évier en pierre grossièrement taillée, un petit fourneau pour y faire chauffer l’eau et au centre une grosse et grande bassine en zinc sur les bords de laquelle reposait une énorme éponge naturelle.
Rien d’impressionnant certes, mais de quoi faire jalouser les membres de la famille de passage chez nous, bien que cela n’était que fort rare. Enfin, bref, au premier étage, en haut d’un magnifique escalier, se trouvaient trois belles chambres et, comble du confort de l’époque, un deuxième "appartement des bains". Mes parents occupaient la plus grande, mon frère la plus petite et ma sœur et moi une chambre mansardée mais de belle taille.
Toutes les fenêtres de l’arrière donnaient sur un joli jardinet extrêmement bien entretenu et sur les pelouses de notre parc où paradaient de nombreux arbres savamment taillés. Celles de devant donnaient sur les routes pavées de la grande rue qui ne manquaient pas de faire résonner les sabots des chevaux encore nombreux à circuler pour tirer les charrettes tant du laitier que du charbonnier. Une autre époque quoi, qui me manque énormément malgré la rudesse de la vie.
Bon, je ne suis pas là pour vous décrire notre maison d’autrefois, en fait, je suis là pour vous parler de mon père qui, physiquement était superbe et qui prenait un temps fou pour s’occuper de son corps. Loin de faire ses quarante printemps, on pouvait encore le prendre pour un jeune homme.
Mais avant tout je me dois de me présenter, je m’appelle Morgane, j’ai dix huit ans. Je suis blonde comme les blés, j’ai aussi un joli petit duvet blond sur les avant-bras ce qui ne se voit pas trop vu la longueur des manches des robes que l’on nous force à porter. Petite, avec de jolies formes, j’aime à me regarder nue dans le miroir et à jouir devant en m’enfonçant les doigts dans ma toute petite intimité. C’est un plaisir solitaire certes, mais j’adore cela et partageant ma chambre avec ma sœur aînée, il m’est difficile de le faire dans mon lit même si souvent je l’entends jouir sous ses propres caresses. Elle est plus âgée et surtout moins réservée que moi.
Un matin, lors que je m’apprêtais à utiliser la salle de bain du rez-de-chaussée, je ne pus que constater, hélas, que le fourneau n’était pas allumé. N’étant vêtue que de ma chemise de nuit des plus légères sous laquelle pointaient gaillardement mes seins, j’empruntai les escaliers pour utiliser la salle du haut. Sur le pallier, je vis que la porte était entrouverte. Sur la pointe des pieds, plus par curiosité que par vice, je me décidai à approcher pour voir qui en était l’utilisateur. Cela aurait pu être ma mère, mon frère ou ma sœur, je ne pensais pas un instant y trouver mon père même si il y passait beaucoup de temps. A cette heure il aurait dû être parti, j’avais oublié que nous étions dimanche.
Assis sur une chaise, un miroir à la main, il semblait fort pris à s’occuper de son sexe. Je ne l’avais jamais vu nu et là, bêtement, je restais à le fixer. Les épaules larges, le torse velu et aux pectoraux saillants se dessinaient dans le reflet du miroir, bien qu’il se trouva de dos, je pouvais voir son membre dressé. Mon étonnement fut encore plus grand lorsque que le vis prendre son blaireau et commencer à s’enduire le bas ventre et le sexe de la mousse à raser.
Puis, saisissant son rasoir, je l’observai se rasant le poil dru qu’il avait sur le pubis. La chose était pour moi étonnante, passionnante et surtout excitante si excitante que je commençai à me caresser l’entrejambe.
J’ignore pourquoi mais mes seins dardèrent leurs tétons et mon intimité se mit à papillonner d’une étrange façon. J’observais toujours mon père, d’un geste précis la lame semblait glisser de façon naturelle sur son membre durcit sans doute par le plaisir qu’il éprouvait. C’est alors que je remarquai qu’il était d’une taille imposante. Des idées sottes et grossières me vinrent à l’esprit.
— Voilà donc à quoi cela ressemble alors ! C’est drôle et en même temps c’est joli !

Oui, j’avoue ! Je n’avais jamais vu d’homme nu si ce n’est en peinture et le spectacle qui s’offrait à moi me faisait mouiller. Tout en continuant mon observation, je glissai un doigt dans ma fente et d’un petit va et vient, je titillai mon clitoris ne quittant pas des yeux le membre viril de mon père.Sans crier gare, il obliqua un peu plus la glace qu’il tenait, et, surpris, laissa tomber et le miroir et le rasoir. Il venait de m’apercevoir dans l’encoignure de la porte.
— Mais ma fille !!! Que faites vous là ?
Tout à sa surprise il n’avait même pas pris le temps de couvrir son sexe dressé avant de se mettre debout. Il m’offrait ainsi un spectacle magnifique et affolant.
— Rien ... Rien père... je ne faisais que passer pensant la pièce libre !— Et bien et bien... Oh pardon ma fille... je vous offre là un drôle de spectacle... Entrez et fermez la porte derrière vous, il me faut vous expliquer.
Je mis un moment à hésiter... Fallait-il que j’entre ou devais-je trouver le moyen de m’éclipser en inventant une excuse. Cependant, la vue de ce sexe et de ce torse m’incitèrent à obéir histoire de voir de très près l’engin.
— Bien père !
J’étais donc entrée dans l’appartement des bains.
— Fermez la porte à clef ma fille... si quelqu’un venait à nous surprendre ici et dans cette tenue, je n’ose imaginer ce qu’il penserait.
Effectivement, lui nu et moi les seins tentant de transpercer le tissu de ma nuisette, l’image aurait été troublante pour tout à chacun et non à tort.
— Ma fille, quittez votre chemise et mettez vous nue ! Nous serons ainsi à égalité et ce sera plus facile pour moi de vous expliquer ce que je fais. 
C’était un ordre, il me parut à cet instant impossible de refuser. Avec un geste lent, je fis donc glisser ma nuisette à mes pieds et je vis le regard de mon père qui changeait d’expression.
— Grand Dieu ma fille, que vous êtes belle et bien faite !
Son sexe grandissait encore, il devenait énorme, charnu quant à moi, je mouillais encore plus devant ce membre où battait nettement une grosse veine bleue.
— Bien... heu, il faut que je vous explique.— Oui père, je vous écoute.
A cet instant je ne parvenais pas à quitter des yeux le sexe dur et droit de mon paternel.
— Voilà... Demain votre mère et moi fêtons notre anniversaire de mariage... et ... comment vous dire ? ... Disons que votre mère a toujours adoré les statues grecques d’hommes nus. Et, pour vous expliquer la raison de ce "rasage" pour le moins étonnant, elle aime particulièrement les éphèbes au petit pénis. Je sais ma fille, je ne suis plus un jeune homme, mais j’aime à penser que de me voir complètement imberbe enthousiasmera votre chère mère pour laquelle je ne recule devant rien.— Mais père, vous êtes encore dans la fleur de l’âge, et votre apparence est celle d’un jeune homme soyez-en assuré si ce n’est que votre ... comment dire, votre engin est loin d’être petit.— Eh ma fille... Ne soyez pas ainsi courtisane ! Aidez moi plutôt dans cet exercice périlleux auquel je me livre. Un accident avec ce rasoir pourrait être vite arrivé je serais bien en peine de me faire soigner sans avoir à donner des explications qui me mettront bien mal à l’aise.
J’avais fait la fille qui ne comprenait pas, mais je savais fort bien où il voulait en venir. Cependant, cette idée me troubla et même, me tenta beaucoup.
— Pensez-vous père que ce soit à votre fille d’utiliser ce rasoir coupe choux ? Surtout pour l’usage que vous comptez m’en faire faire.
Il s’agissait en effet de ces rasoirs extrêmement coupants à lame droite. Il ne s’agissait pas de trembler ou même d’avoir une main hésitante lors de l’utilisation de cet outil masculin. J’étais même très étonnée de voir ainsi mon père prendre de tels risque en se rasant la verge. Pourtant après cet instant de brève hésitation, j’avais acquiescé. Respirant un grand coup, je pris des mains de mon père le coupe choux. Il bandait encore plus. C’était beau à voir ce sexe se dressant devant moi.
— Désolé ma fille de vous montrer ainsi mon membre tendu, mais pour la coupe il vaut mieux qu’il soit ainsi. Cela limite le risque de rater quelques poils. Je dois bien vous dire que de vous voir ainsi aussi belle et nue n’est pas sans effet.
Ma main ne trembla pas. Je pris le sexe gros et rose de mon père et, délicatement je fis en sorte de passer la lame le long de sa hampe avec beaucoup d’attention. Je voyais les bourses de mon père monter et descendre et sa grosse veine bleue venir grossir encore ce membre fièrement tendu. Lui ne me quittait pas des yeux, des yeux qui allaient de mes seins à mon pubis. Je fus parcouru d’un frisson de plaisir à l’idée qu’il pourrait, si l’envie le prenait, me faire bénéficier de son gland. Mes seins se tendirent encore plus eux aussi et cela ne manqua pas d’être remarqué par mon père. Il banda de plus bel et, sans crier gare alors que je terminais le rasage de ses bourses, je pris son jet dans la figure, un jet long, très long... tellement long que je fus émerveillé par sa puissance tandis que son sperme coulait sur mon front, mes joues et atteignait mes lèvres. Je ne pus m’empêcher d’y goûter et le goût me fut très plaisant.
— Caressez moi encore ma fille, j’ai encore à donner !
Je ne parvenais pas à y croire. Après tout ce qu’il venait d’éjaculer comment pouvait-il être encore aussi dur et prêt à une seconde secousse.
— Père... ce ne serait pas bien !— Faites ma fille faites ou je vous la mets dans le cul.— Oh père... vous ne feriez pas cela !— Détrompez-vous, votre cul tout comme votre chatte m’attirent et je vois bien que ma bite ne vous laisse pas indifférente ! Tournez-vous maintenant et taisez-vous.
J’en avais très envie, aussi, sans aucune réticence, sans aucune retenue je présentai mon postérieur à mon père et contre toute attente, alors que je pensais sentir son sexe me pénétrer, c’est sa langue qui joua avec mon petit trou, longtemps, très longtemps, me procurant une délicieuse jouissance et me faisant gémir de plaisir.D’une main, il jouait aussi avec mon clitoris et la sensation était extrême. Personne n’avait encore touché ce petit bouton, sauf moi, devant mon miroir. Je sentis mon plaisir s’écouler entre mes cuisses et je pris soin d’écarter encore plus les jambes, lorsque mon père arrêta soudain de me lécher l’œillet.
— Dites moi, seriez-vous encore vierge ?— Bien sûr père quelle idée ! Je ne suis pas une fille perverse.— Vous m’en direz tant ! Pourtant vous avez aimé ce que je viens de vous faire endurer !— Oui père ! Je pensais sentir en moi votre membre raide et dur mais votre langue a eu le même effet.— Comment ? Tu voulais que je t’enfonce ma bite dans ce si petit trou tout neuf ?
Il en avait oublié pour le coup, le vouvoiement traditionnel de la famille, ce que notre situation permettait.
— Oui père, je préfère de toutes les façons préserver ma virginité... un jour je l’offrirai à mon mari.— Ah... Et bien... je vais te fourrer ma fille, mais que cela reste à jamais entre nous !
Et là, sans même m’avertir, il plaça sa queue dans ma petite étoile dorée et commença à me pénétrer. Je sentais son membre viril chercher l’entrée de ma grotte. N’y parvenant pas, il prit le blaireau avec lequel il avait étalé sa mousse à raser, et en mis sur mon anus. Doucement à petits coups de queue il parvint à forcer le passage. La douleur fut égale au plaisir que cela me procura. Il me caressait toujours le clitoris et très vite, j’atteins une nouvelle fois les sommets de la plénitude sexuelle. Mes cris n’étaient pas des cris de douleurs, mais bien ceux du plaisir et il le comprit vite, me défonçant de plus en plus à grands coups de boutoirs mon petit orifice.C’est ainsi que mon père me prit la première fois, ce fut également mon premier véritable orgasme, un de ces orgasmes qu’on ne peut ni ne veut oublier. Je ne savais pas à cette époque que j’allais connaître bien d’autres aventures familiales, pas plus tard que le soir suivant.
—**A suivre***
Diffuse en direct !
Regarder son live