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Morgane, jeune fille ouverte

Chapitre 3

Morgane et sa soeur (2)

Inceste
Morgane, jeune fille ouverte.

3) Morgane et sa sœur (2)
Hortense et moi en étions à notre petit jeu de "déshabillage" ou, plus poétiquement, "d’effeuillage". Nous avions l’esprit tout à notre affaire et par conséquent, surtout qu’il s’était fait discret, nous n’avions pas remarqué que notre frère Antoine, l’œil rivé à la serrure, regardait avec étonnement et une grande excitation au niveau de son membre viril, ce qui se déroulait à cet instant même sous ses yeux. Nous ne l’avions appris que bien plus tard à l’occasion d’une petite séance à trois.
Pour en revenir à Hortense, elle était toujours cuisses ouvertes sur son lit, se caressant la vulve et mouillant énormément le drap au fur et à mesure que mes vêtements tombaient sur le sol. Moi même j’avais la cyprine qui ruisselait et je prenais deux fois du plaisir... La première fois en regardant ma chère Hortense se masturber et jouir juste en me voyant, la seconde en me caressant moi-même de temps à autre alors que je portais encore le haut.
-Tu veux voir quoi en premier ? Ma toison ou mes seins ?-Ton cul Morgane, je veux voir ton cul !-Et bien non ! Lui tu le verras en dernier pour la peine !-Tu es une vraie aguicheuse, tu me fais mouiller tellement que je vais devoir changer les draps avant de me coucher ...-Tu n’es pas encore coucher, je vais te faire une surprise et probablement découvrir quelque chose.Ce faisant, j’avais retiré du tiroir de la table de nuit, une grosse bougie au bout bien arrondi ressemblant étrangement à un joli pénis. Hortense m’avait regardé faire, arrêtant même pour un instant de se masturber.
-Et tu comptes faire quoi avec ta chandelle... Tu vas la tenir ? (rires)-Non pas seulement, tu verras le moment venu... Je vais te montrer mes seins pour commencer ! Mais sois honnête et sérieuse, dis moi vraiment comment tu les trouves... Moi je les trouve un peu trop petits.
Joignant le geste à la parole j’avais démasqué ma poitrine à la vue d’Hortense. J’épiais son regard pour y trouver une réponse et j’avais vu que ses yeux s’agrandissaient.-Tu ne les trouves pas beaux ? Je t’ai dit ils sont petits ...Je n’avais pas eu le temps de terminer ma phrase, Hortense avait poussé un "houa" d’une voix forte au risque de se faire entendre de toute la maison, un de ces cris qu’on ne peut définir comme... étonnement ou extase.
-Morgane... ta poitrine est magnifique. Ils sont tout mignons tes seins, et tes tétons roses sont à croquer, tu me donnes des envies folles de les sucer. Tu crois que je pourrais ?-Pas si vite, petite impatiente... Et si je peux sucer les tiens alors oui, tu pourras y goûter pour mon plus grand plaisir, personne ne m’a encore sucer le bout de mes tétons et ils n’attendent que ça,, le reste aussi d’ailleurs.
-Je ne sais pas comment est le reste encore, mais si il est à l’avenant de tes petits seins, je crois bien que j’y mettrai un grand plaisir à te lécher la fente.-Toi aussi tu es une sacrée garce Hortense... Je ne pensais pas que les filles t’attiraient et encore moi ta propre sœur.
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Comme je l’ai déjà dit, Antoine était derrière la porte. Bien des mois plus tard il nous avait raconté à quel point il s’était masturbé et avait pris son pied en nous épiant... mais c’est une longue histoire. Je vous la conterai dans un prochain épisode, je pense qu’elle vaut le détour et qu’elle vous plaira, en attendant, revenons à nos moutons.
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Bref, plus nous échangions et plus je mouillais au point que j’avais commencé à me trémousser sérieusement.-Tu es gênée Morgane ?-Non pourquoi ?-Tu n’arrêtes pas de te dandiner !-Rien à voir, j’ai juste des ondes de plaisir qui me parcourent le bas ventre... tu veux voir l’effet que ça me fait ?Je n’avais pas attendu sa réponse... J’en avais moi-même eu assez d’attendre de me dévoiler complètement. Si mes petits seins étaient au goût d’Hortense, j’étais à présent persuadée qu’elle serait encore plus sous le charme de ma petite toison blonde qui, du fait d’une pilosité très rare, ne cachait rien de mon intimité.
-Tiens, regarde la bien et dis moi aussi ce que tu penses de ça !D’un geste brusque j’avais laissé choir l’ensemble des vêtements qui finissaient de me couvrir le corps et, devant Hortense ébahie, je lui avait montré sans aucune réticence ni gêne la blondeur de mon pubis.
Cette fois elle n’avait rien dit, ni un mot ni un cri... rien qu’un regard qui en disait bien plus long que tous les discours.-Alors ?Malgré ma question, aucune réponse n’était encore venue... décidée à la faire parler et à retrouver sa voix, j’avais légèrement écarté les jambes, mouillé mon majeur que j’avais fait danser dans ma toison, jouant jusqu’à la naissance de mes grandes lèvres déjà bien ouvertes.
-Alors ? Cela ne te fait rien ?-Si... Justement... arrête, et viens près de moi que je vois ce trésor de plus près... que je puisse l’ouvrir et découvrir les secrets qu’il renferme.Elle avait complètement cessé sa masturbation. Elle m’avait tendu les bras et je m’étais approchée. Relevée et presque assise, elle m’avait attrapé les fesses pour m’attirer encore plus proche d’elle. Elle ne quittait plus mon pubis des yeux.
-C’est magnifique ma chérie... je peux ?Elle avait déjà approché ses lèvres de mon intimité et je n’avais eu aucunement l’envie de la repousser bien au contraire, je n’avais qu’une envie, qu’elle me croque, me mange, me dévore jusqu’à hurler de plaisir.
-Oui tu peux... je t’en supplie même... caresse moi, suce moi, fais moi jouir et après je te montrerai mon cul et tu me montreras le tien. Alors Hortense m’avait englouti toute ma vulve. J’avais senti sa langue jouer avec les grandes lèvres, puis, s’insinuer entre les petites pour téter mon petit bourgeon tendu. La sensation était proche de l’extase et je jouissais pleinement. Enfin, sans que je le lui demande, elle avait commencé à m’enfoncer le majeur dans le vagin, par de petits va-et-vient elle m’avait fait encore plus mouiller et j’avais dû me mettre la main dans la bouche pour ne pas hurler sous ma jouissance. Une onde électrique me traversa le bas ventre lorsqu’elle avait pris à pleines dents mon clitoris et j’en étais restée pâmée tenant à peine sur mes jambes. D’une main elle avait continué à me caresser allant jusqu’au sillon de mon anus, de l’autre, elle me malaxait les seins avec une expérience certaine.
-Qu’ils sont petits tes tétons, mais qu’ils sont adorables, baisse toi que je les suce.J’avais obéi et au passage j’avais eu le temps de remarquer combien les siens étaient tendus à l’extrême, combien son poil, bien que plus sombre que le mien, étaient luisant de cyprine. Elle mouillait encore elle aussi et j’avais à mon tour l’envie de la lécher, de lui rendre ses caresses avant d’aller plus loin, avec la bougie posée sur le lit.
Tout en me suçant les tétons l’un après l’autre, je l’avais entendue pousser de petits gloussements et cela m’avait fait encore plus d’effet.-Attends, je vais m’allonger à tes côtés, nous serons mieux tu ne crois pas ?-Oui, tu as raison, nous n’avons pas fini toutes les deux... je veux aussi tes caresses, je veux sentir ta bouche sur mes seins et mon ventre... tes doigts en moi, profondément, très profondément...
-Oh... ne t’inquiète pas, tu vas vite sentir autre chose et tu vas aimer, mais ce sera dans ton petit trou.-Comment ? -Laisse moi faire le moment venu... continuons déjà à nous faire plaisir.Nous nous étions enfin tues. Tête bêche, nous faisions l’amour, introduisant tantôt un doigt, tantôt la langue dans nos intimités respectives, salivant plus que de raison, jouant avec nos poils qui crissaient sous nos tendres caresses. Ce moment, comme la sodomie de mon père, allait être l’un de ceux qui me marquerait à vie tant il était puissant.
Comme je voulais enfin la prendre par derrière, j’avais commencé à lui caresser son petit œillet rose et plissé. Elle ne s’y était pas opposée, bien au contraire, chaque fois que j’avais passé mon doigt sur son petit trou, elle avait poussé des petits cris de plaisir jusqu’au moment où, poussant le vice un peu plus loin, je lui avais fait pénétrer mon index assez profondément...
-Qu’est-ce que tu fais ?-Je te prépare pour la suite !-Comment ça ?-Et bien oui... je fais le passage, tu vas voir.Je m’étais écartée d’elle, j’avais saisi la bougie. Elle s’était relevée, assise elle m’avait regardée.-Tu comptes faire quoi avec ça ?-Ce qu’on m’a fait découvrir ce matin !-C’est qui "on" ? Tu n’es pas sortie sauf pour la messe et j’étais avec toi... nous n’avons reçu personne... tu rêves ma belle, tu dois faire de songes érotiques, je peux le comprendre vu comme tu es belle et comme tu mériterais que l’on s’occupe de toi.
-Détrompe toi... on s’est bien occupé de moi ce matin !-Arrête... tu divagues là !-Je ne peux pas t’en dire plus, mais je peux te montrer ce qu’il m’a fait et j’avoue que je n’avais jamais joui comme cela en me caressant toute seule.-Tu arrêtes s’il te plaît ! Ce n’est pas drôle à la fin.-D’accord... alors je te montre.J’avais cette fois la bougie à pleine main.-Regarde, je vais la lécher comme si je suçais une verge. Tu l’as déjà fait toi ?-Mais tu n’y es plus du tout Morgane... c’est quoi ce fantasme, c’est quoi cette idée ?-Tu ne m’as pas répondu... tu as déjà fait une fellation ?-Bien sûr petite idiote... Je ne t’ai pas attendue.-Alors imagine que cette bougie est un joli pénis, qu’il appartient à un beau garçon... Maintenant mets toi à quatre pattes et surtout, mais vraiment surtout, laisse toi faire, imagine le gars derrière toi qui te caresse et ne bouge plus.
Hortense, obéissante, s’était mise en position. Pour la faire rêver, pour la faire entrer dans le monde imaginaire que je venais de lui proposer, j’avais repris mes caresses, parcourant son dos de mes mains, jouant en passant sous son ventre avec son clito et remontant jusqu’à son petit cul qu’elle avait fort joli et... je l’avoue... qui me faisait forte impression et fort envie. Je lui aurais bien enfoncé la bougie d’un coup, mais j’avais voulu moi aussi y prendre du plaisir. J’avais aussi joué avec sa tignasse blonde qui sentait super bon. J’avais pris tout mon temps et elle mouillait de plus en plus. Le moment venu, j’avais enfoncé le majeur dans son petit trou, allant le plus profondément possible.
-Ha... mais arrête !-Non Hortense, chut, laisse toi faire je te promets que tu vas aimer.Sur la bougie, j’avais longuement laissé couler ma salive, elle était luisante comme une vraie petite queue dressée...-Tu es prête ?-Oui, je crois avoir compris depuis un moment ce que tu comptes faire avec ta bougie, et ... ça me tente bien d’essayer même si je ne comprends toujours pas qui a pu te faire ça ce matin... aïe...
Je lui avais passé le bout de la bougie à l’entrée de son anus, appuyant un peu plus fort que de raison pour la faire taire.-Tais toi... respire, je te promets de faire doucement maintenant.Petit à petit, j’avais enfoncé la bougie, de mon autre main je lui avais caressé sa chatte et son bourgeon hyper bandé. Très vite, j’avais compris qu’elle aimait cela... Elle avait écarté d’elle même encore plus ses fesses.
-Tu aimes ?-Oh... oui... c’est bon, baise moi encore comme ça !-Ce n’est pas moi, imagine le type, beau, avec une belle verge entrain de te labourer... !-Oh oui... encore. Enfile la moi profond... n’aies pas peur... c’est trop bon.Et tandis que je poursuivais mes va-et-vient avec la bougie, l’envie de me mettre un doigt dans l’anus avait été plus forte. Je jouissais moi aussi en même temps qu’Hortense, et toutes les deux nous avions connu l’orgasme en même temps.
Nous avions passé la nuit dans le même lit, le sien étant trop mouillé pour nous accueillir, et, plusieurs fois dans l’obscurité totale, nous nous étions encore caressées comme deux gourmandes de sexe.
Au petit matin Hortense m’avait fait promettre de lui présenter celui qui m’avait sodomisée... j’avais accepté en lui répondant qu’elle le saurait un jour, si lui même me donnait son accord.
... A suivre.
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