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La morne vie d'un guide de croisière

Chapitre 8

Deanna la fin

Hétéro
Résumé ; Guide de croisière, je me remémore ma douzième croisière avec Deanna une jolie mature  très portée sur la chose…

Nous restons dans la baignoire jacuzzi à regarder l’océan au loin et à échanger quelques confidences sur nos envies. Même si nous  savons l’un et l’autre que cette histoire ne dépassera pas la durée de la croisière, ces petites discussions sont toujours un moment agréable. Je sais écouter et Deanna a besoin de parler, aussi on passe un vrai bon moment.
On sort finalement de l‘eau requinqués tous les deux et, à peine sommes nous secs, qu’elle m’entraîne vers le grand lit en mode tornade. On s’embrasse et on s’embrasse encore, nos mains parcourent tout le corps de l’autre avec une vraie frénésie, C’est chaud, excitant et on s’en donne à cœur joie. Très rapidement, nous sommes aussi prêts l’un que l’autre et cette fois plus question d’attendre. On s’est bien trop chauffés en discutant et en se caressant. Elle saisit ma queue avec ce regard appréciateur qui me fait me sentir  Superman et viens s’empaler sur moi qui suis resté couché sur le dos. Sa façon de faire la cowgirl m’excite sacrément. L’élastique qui maintenait ses longs cheveux noirs en queue de cheval s’est rompu et ses cheveux qui bougent dans tous les sens me font penser à une guerrière du plaisir. Ses seins lourds bougent en harmonie avec sa chevauchée et je viens les caresser et jouer avec ses tétons gonflés. Ma queue est enfoncée en elle et elle clame qu’elle n’a jamais été aussi remplie. C’est flatteur et chaque fois qu’elle se laisse tomber sur moi, je donne un grand coup de hanche pour aller à sa rencontre. Elle se penche un peu pour prendre appui sur moi et m’enjoint à y aller.— Bon sang, ta queue est bien meilleure que mes godes, tu me remplis mon salaud— Tu me coules dessus j’adore— Attends alors.Elle plonge deux doigts dans sa fente et viens me les tendre avec un air pervers, je les suce avec un plaisir non dissimulé et, encouragée, elle refait la manœuvre pour en profiter elle-même cette fois.C’est délicieux et à la troisième fois, on se roule une pelle sur ses doigts imbibés de sa liqueur intime. Cela nous excite tous les deux et on se lâche, elle donne des coups de fesses sur moi, clamant que c’est bon, que dans cette position elle est prise à fond, qu’elle adore ma queue et en retour je ne peux que gémir et lui dire que c’est bon, que j’adore sa mouille.
L’alarme de son téléphone retentit signe que nous entrons dans les horaires de repas mais la seule chose que cela génère c’est des :– Plus fort, plus fort, bourre-moi la chatte, allez !— Je vais t’en donner de la queue moi !Comme vous l’avez saisi, pas de poésie, pas de finasserie, on veut assouvir nos besoins.Elle me griffe un peu la poitrine, viens lécher et mordiller mes tétons  et je lui tire les pointes sans ménagement la faisant gémir — C’est boooon , encore, encoreJe me redresse, l’enserrant de mes jambes, elle est tout contre moi, on s’embrasse à grands coups de langue comme elle m’a dit aimer et en même temps je joue sans retenue avec ses seins. Elle n’est plus que gémissements et, au bord de l’orgasme et ayant bien retenu ses dires, je passe la tranche de ma main entre ses fesses, ce simple contact suffisant pour la faire jouir dans l’état où non sommes.Elle crie, gémit et la seule pensée consciente que j’aie c’est de pas encore jouir tant elle a été claire dans ses envies.Elle se soulève, se détache un peu de moi et s’assied à nouveau, la bouche ouverte dans un souffle et demande d’une voix rauque et chargée de désir :— Donne-moi tout, allez gicle ton foutreExcité par ce que nous venons de faire, la queue tendue et serrée dans sa  chaleur, je me mets devant elle pour rejouer son scénario de gonzo. Il me faut même pas un aller de ma main sur mon sexe tendu pour jouir dans un grand cri. Les deux-trois quatre traits de sperme viennent s’écraser sur son front, sa joue et sa bouche et à aucun moment elle n’a fermé les yeux, si désireuse de voir le spectacle de mon éjaculation. Presque sonné, je m’effondre sur mes genoux et la regarde, le sourire aux lèvres, déglutir avec joie la semence ayant atteint sa bouche ouverte puis me regarder et laisser couler sur son visage le reste de mon foutre. Les giclées blanches coulent de son front à ses joues, glissent le long de son cou et finissent par échouer sur ses seins. Je savoure ce spectacle, les étincelles dans ses yeux et, enfin, n’y tenant plus elle s’étale ma semence sur ses seins, massant les deux globes jumeaux comme si elle voulait y faire pénétrer mon essence avant de s’essuyer un peu le visage du bout de ses doigts puis de les lécher ensuite. Dans le même temps, j’ai glissé un index en elle et lui caresse le bouton, la faisant jouir une seconde fois alors qu’elle pensait ne pas y arriver.
Vivante image de la luxure, je ne résiste pas et elle non plus et on s’embrasse tous les deux, partageant les derniers résidus de mon plaisir.
Ensuite, je regagne vite ma cabine et une vingtaine de minutes plus tard, à nouveau présentables on se retrouve à la table d’un des nombreux restaurants du paquebot pour faire honneur à la cuisine asiatique. La conversation est détendue, elle se sent en confiance, ayant compris que je n’en ai pas après son argent, mais juste après son corps comme elle le dit en riant. Elle a de la conversation, après tout elle avait fait des études d’histoire amérindienne avant de tout lâcher sur « ordre » de son défunt époux. Je n’ai qu’une petite connaissance des peuples premiers et je dois avouer que l’entendre parler des Indiens des grandes plaines, de leurs coutumes est vraiment intéressant. Quand je la complimente, elle confesse que ma conférence l’était tout autant et que cela et son instinct l’ont convaincue de me choisir.
Après nos agapes on se fait un petit tour sur le pont supérieur et c’est le prétexte pour, serrés contre la rambarde s’octroyer quelques caresses discrètes ce qui me permet de voir qu’elle est démunie de toute culotte. Je l’en complimente et elle m’avoue qu’elle a envie d’être libre, de se faire plaisir tout simplement. J’en profite donc pour caresser son abricot qui s’humidifie rapidement et viens régulièrement faire partager mes doigts à lécher.
Et puis, tacitement on regagne sa cabine, ivres de désirs. Ce soir-là, je la prendrais encore en levrette, dans un petit trip soumission soft bien agréable et conduisant immanquablement à une dégustation pour elle. En effet, au moment de jouir, elle est à  genoux devant moi, les mains jointes pour recueillir le fruit de mon éjaculation et enfin, récolter mon sperme avec sa langue sur mon ordre complice.

Toutes les heures en dehors de mon service seront consacrées à vaguement dormir et satisfaire son envie de baise (je suis trivial, mais je ne peux dire autre chose). Quelques moments choisis restent dans ma tête.Son mouvement de jalousie quand le lendemain, une participante à la sortie me drague ouvertement et qu’elle me dira plus tard qu’il est hors de question qu’elle partage ma queue et mon foutre avec une autre. Elle est assez exclusive et traditionnelle sur ce plan-là même si le troisième soir, elle sort un gode pour se caresser lors d’un trip exhib devant moi et qu’à terme elle goûte à une double pénétration sans complice réel. J’ai finalement le droit de la prendre par-derrière et cette vraie découverte pour elle lui plaira tant qu’on la réitérera le lendemain, l’amenant à regretter que ce soit le dernier jour de notre voyage.

Je jouirais à chaque fois dans sa bouche, sur ses seins ou son visage tant elle adore cela. Elle me confiera finalement que cette.. mmm oui soyons clair, obsession lui vient d’une séance discrète au cinéma avec son premier amour quitté par suite d’un déménagement sur la côte Pacifique.
Mais l’image finale qui me restera de Deanna est celle ce notre dernière nuit au cours de laquelle elle m’avait littéralement asséché, allant même jusqu’à me faire une feuille de rose pour que je trouve encore de la ressource pour bander et jouir. Oh, voir cette si sexy mature, le visage en sueur, le corps parcouru de frémissements nerveux, du sperme séché sur la joue, le cou ou encore les seins, du foutre frais dans les cheveux, car elle n’avait pas hésité à me branler avec sa soyeuse chevelure, m’adresser un regard disant clairement que pour moi elle aurait été prête à déroger à sa règle de ne pas poursuivre son aventure c’était quelque chose qui m’avait rendu très difficile la décision de  poursuivre mes voyages.
Mais j’espérais que le cadeau que je lui avais fait en lui laissant les coordonnées de son premier amour resté célibataire et dégotées grâce à mon talent à fouiller les arcanes du net compenserait un peu la fin du voyage…
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