Après ces deux premiers jours de débauche pourrais-je dire... Hé bien, pour être tout à fait honnête avec vous, je me disais que c’était déjà un très bon début. J’avais eu pléthore d’orgasmes, mon corps appréciait grandement ! J’ignorais tout de la suite des aventures mais je ne pouvais qu’être intriguée par mon Maître qui me proposait des défis aussi incongrus qu’excitants ! J’avais hâte de voir la suite mais j’étais aussi un peu inquiète. En effet, dans nos conversations il m’avait parlé de sodomie et le peu de pratique que j’en avais ne m’avait pas laissé un très bon souvenir... Donc j’angoissais un petit peu à ce sujet. Le matin du troisième jour, il me demanda si j’avais trouvé une bouteille de bière...En toute honnêteté, lorsqu’il me le demanda, je regardais derrière moi dans la pièce qui me servait de bureau et trouvais assez facilement une bouteille de bière... Je me doutais un peu de son futur usage... et j’avais aussi l’appréhension que cela me fasse mal... Je vidai donc la bouteille de bière (je déteste boire de la bière), puis pris soin d’enlever les autocollants... Mon cher Maître m’ordonna de mettre la bouteille dans mon vagin...En lisant son ordre, j’étais pleine de doutes sur mes capacités et sur le plaisir que je pourrais recevoir d’une simple bouteille de bière... Assise sur ma chaise à mon bureau, j’enlevai ma culotte et doucement je commençai à introduire le goulot de la bouteille en moi... D’abord je le fis tout doucement. Lentement les lèvres s’écartaient pour faire plus de place. Puis j’accélérai le mouvement, de plus en plus vite, de plus en plus fort... Les sensations montaient en moi, je me sentais remplie, je voulais jouir... Et je jouis bruyamment ! Une explosion d’hormones de plaisir me fit un frisson le long de la colonne... Cette bouteille pouvait donc me donner autant de plaisir qu’un homme ! J’étais très étonnée ! Je partageai la joie de ma jouissance à mon cher Maître qui m’ordonna de me pénétrer avec la partie culot de la bouteille... Je pris ce défi pour une folie, je me disais que c’était impossible. Mais malgré cela, j’essayai par curiosité et par goût du défi.
Rapidement, je me rendis compte que le fond de la bouteille était un petit peu trop grand et gros pour moi et que cela allait être douloureux. J’essayai encore une fois et ne pus que constater que cette bouteille était trop large. Mon Maître me dit alors qu’il faudrait que je trouve dans un supermarché une autre bouteille de la taille qui me conviendrait. Il me dit également de reprendre mes masturbations toutes les deux heures. Deux heures plus tard, je repris les caresses et la masturbation à la bouteille... la sensation d’être pleine était un délice. Quelques heures plus tard, mon Maître me demanda de trouver des pinces à linge...Je me demandai quelle était l’utilité de pinces à linge même si au fond j’avais bien une petite idée... Mais j’espérais que je me trompais... Je partis donc chercher des pinces... et en trouvai deux qui semblaient ne pas pincer trop fort.De retour à mon bureau avec mes trésors, je fis une photo que j’envoyai immédiatement à mon Maître. Il m’envoya alors une réponse qui me laissa bouche bée ! Mes doutes se révélaient être justes... il voulait que je me pince les tétons avec ça !! J’attendis quelques instants pour oser le faire. Puis je le fis tout doucement. En effet, ça pinçait mais c’était supportable ! Je lui fis des photos et il me dit combien il était content de voir mes tétons ainsi. Je gardai les pinces autant que je le pouvais. Ce qui était étonnant pour moi c’était surtout de sentir, en plus d’une petite douleur, de l’excitation monter en moi. J’avais envie qu’on me touche, qu’on me caresse... qu’on me baise !! Je finis ma journée de travail "normalement" en me caressant plusieurs fois, en me faisant jouir plusieurs fois aussi ! Alors que j’allais arrêter de travailler et rejoindre ma famille, mon Maître m’ordonna de me faire jouir encore une fois. Je m’allongeai sur le canapé de mon "bureau", la bouteille à côté de moi et doucement je commençai à caresser mes lèvres, mon clitoris... Lentement j’insérai mes doigts en moi, pris de la mouille et hydratai mon clitoris... Tout en faisant des va-et-vient... Je pris ma bouteille côté goulot et l’insérai doucement en moi. J’avais pris mon téléphone et fis des audios à mon cher Maître pour qu’il entende combien j’étais excitée. Et là, il m’offrit la plus belle des récompenses, il m’envoya des audios en temps réel de sa voix de Maître pervers... Il me disait de bien enfoncer la bouteille en moi, que c’était mon amant de verre... Que c’était son membre par procuration...Et ça me faisait beaucoup d’effet ! J’imaginais que c’était son membre en moi. Alors les effets étaient décuplés, j’accélérai les mouvements de la bouteille, le plaisir montait de plus en plus...J’avais envie de jouir, j’accélérai encore la vitesse du pilonnage !Puis, enfin, vint la délivrance ! Enfin, je jouissais !! Je ne sais pas combien de fois j’avais joui ce jour-là, mais c’était beaucoup ! Après avoir repris mon souffle, il fallut que je retourne à ma vie normale... Et en cet instant, je n’en avais pas du tout envie. J’avais envie de jouir encore et encore !J’aurais pu passer ma journée et ma nuit à jouir ! Le lendemain, j’allai au travail à nouveau. Comme les jours précédents, je me fis belle.Ma vision de mon corps commençait à se modifier. Cela me plaisait de me faire belle pour quelqu’un qui remarquait mes efforts. J’avais perdu l’habitude de prendre soin de mon corps, cela faisait un siècle que je ne m’étais pas rasé le pubis, des années que je n’avais pas remis mes robes sexy. Je ne les mettais qu’occasionnellement pour un mariage ou une grande fête. Toutes ces modifications que j’opérais pour lui avaient un impact dans ma vie réelle.Adieu vieilles culottes de grand-mère, adieu vieux soutifs sans âge, adieu pantalons...Bonjour sous-vêtements sexy, strings, robes, jupes, décolletés, chemisiers ! Toutes ces choses, je les faisais pour lui, mon Maître, par respect pour lui car, moi, Mouillette, je devenais sa soumise à lui.Je le faisais pour lui, mais aussi pour moi. Pour le plaisir de lui plaire, pour qu’il soit fier de moi, pour mon propre plaisir également.Car tous ces changements, au fond de moi, j’en avais envie mais je n’avais jamais été poussée dans mes retranchements, on ne m’avait jamais encouragée de la sorte, on ne m’avait jamais accordé ni autant de confiance ni autant de respect. Les jours avançaient et je savais déjà que je voulais être sa soumise et que je voulais sincèrement qu’il soit mon Maître à moi.Attention, ce n’était pas une question d’amour ! C’était simplement mon âme qui souhaitait que je continue car je voyais que grâce à lui j’allais vers qui je voulais vraiment être. Être moi telle que je l’ai toujours été. Une fille sage, qui se comporte bien... Mais qui, derrière tout ça, a envie de vice, a envie de sexe... A envie de toutes ces choses inavouées. Vous allez certainement me demander, pourquoi je n’ai jamais été tentée avant ? Tout simplement car je n’en ai jamais eu l’occasion dans mon train-train quotidien.Et je pense que j’ai voulu être sa soumise parce que c’était Lui. Je ne sais pas le dire autrement... Il a ce quelque chose qui m’a plu... l’expérience ? La sagesse ? La tolérance ? L’accueil ? Je ne saurais le dire... Mais sous son visage de Maître, je sais qu’il y a cette pépite que j’adore. Et de me soumettre à lui ne fait que renforcer cette sensation de bien-être. Hormis les habitudes qu’il m’avait inculquées durant cette première semaine de test, il me fallait prendre une décision... Mais au vu de ce que je vous ai raconté, vous savez déjà la réponse que je lui ai donnée Avant même la fin de la semaine, il savait déjà que je voulais continuer à être sa soumise.Il me fit une liste de courses d’objets divers et variés destinés à mon plaisir...Il me donna aussi des tâches à faire avant le week-end : la rédaction de mon engagement de soumise et une liste de règles que je devrai respecter... Bien sûr, nous en avons parlé ensemble et je vous parlerai dans le prochain chapitre des règles et de mon engagement pour lui... La suite au prochain chapitre
