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Mouillette, la soumise

Chapitre 7

Les punitions

SM / Fétichisme
Quelques jours se passèrent, les règles partirent et je pus donc être disponible pour mon cher Maître. Avant mes règles j’avais fauté plusieurs fois… D’abord, j’avais cassé mon amant de verre qui s’occupait de mon trou du cul… Ensuite, je n’avais pas averti mon maître que je partais acheter un remplaçant. Puis j’avais arrêté la punition avant la fin… Et enfin je lui avais mal parlé… Vous pouvez relire mes paroles dans le chapitre 6 bien sûr… Tout cela faisait que du coup, après mes règles, il était venu le temps des punitions…
Il m’avait donné le choix entre une grosse punition ou trois petites… je préférais les trois petites punitions…
Il m’écrivit ma première punition… je devais me masturber toutes les heures (pendant les heures de travail) sans jouir et je devais être assise toute la journée sur la bouteille que j’avais achetée le jour de ma grosse bêtise. Il voulait que je me baise le cul comme je baisais déjà mon vagin avec mon amant de verre (la grande bouteille). La bouteille remplaçante était plus longue et plus large que celle que j’avais cassée…
Le premier jour de punition, je fus très occupée au travail, je ne pus clairement pas faire cette punition. Et j’eus tellement peu de temps pour moi que je ne pus même pas parler avec mon cher Maître qui le prit comme une punition également. Bien sûr, ce n’était pas volontaire de ma part !
Le soir même, je m’occupai de me masturber au lieu de faire mon sport quotidien, puis, je pris le temps de mettre la bouteille en moi. Je ressentis un certain plaisir à la faire glisser entre mes fesses. Je ne pus malgré tout pas le faire très longtemps pour ne pas éveiller de soupçons de mon mari...
Le jour suivant, je pus enfin accomplir une vraie journée de punition. Je passais quasiment ma journée sur la bouteille. Cela me faisait un peu mal quand je la mettais mais dans l’ensemble je gérais assez bien l’inconfort. Le soir même, je jouai en ligne avec des amis assise sur la bouteille. Là encore, c’était inconfortable mais ça allait.
Le jour suivant, dès que je commençai à glisser la bouteille en moi, je compris que la douleur serait ma récompense de la journée… À chaque fois que le goulot passait dans mon anus, je grimaçais… mais le pire c’était le passage du sphincter. Ce fut une journée particulièrement éprouvante… Déjà, au travail, je n’arrêtais pas, un appel par ci, un appel par là… Mon Maître aussi était très occupé donc je n’avais pas autant de réconfort qu’habituellement, même si je savais très bien qu’il faisait son maximum. Si je n’avais pas su qu’il était aussi très occupé, j’aurais même pu prendre cela comme une revanche du premier jour de la sanction.
Le pire fut dans l’après-midi… je dis bien pire car la douleur que je ressentais alors était prenante, elle me bouleversait dans ma chair. J’avais réussi à avoir un peu de plaisir en faisant des aller-retours de la bouteille en moi, mais, lorsque la partie la plus large de la bouteille écartait encore plus le sphincter, je hoquetais de douleur. Je respirais difficilement.
J’étais prise profondément, le sphincter était écarté à quasiment 5 cm de diamètre… j’avais l’anus en feu également. Je tins bon pendant trente longues minutes, je passais par toutes les sensations… excitation, joie, douleur, peine, abandon, douleur, agacement… et encore douleur et tristesse. J’avais de l’appréhension quand mon Maître verrait la vidéo que je lui avais faite où j’enlevais la bouteille. J’étais chamboulée par les sensations extrêmes. J’avais les larmes aux yeux. La douleur avait été intense et mon Maître n’était pas là à côté de moi pour me rassurer, m’encourager et me féliciter (normal, il habite très loin de chez moi, je vous rappelle !!). En écrivant cela, les larmes me montent aux yeux.
Cette journée fut éprouvante autant dans mon corps que dans ma tête. J’avais tiré dans mes réserves de courage, de ténacité, j’avais hésité plusieurs fois à stopper la punition, mes pensées vagabondaient même sur pourquoi je me faisais endurer cette douleur. Bien sûr, je le faisais parce que j’obéissais à mon Maître, parce que j’avais eu des propos et des comportements inadaptés, mais à cette instant, mon corps criait, mon corps me suppliait d’arrêter la douleur, et à vouloir trop bien faire je ne m’étais pas arrêtée, la douleur était devenue souffrance.
Je suis sûre qu’en lisant mes lignes, mon Maître sera étonné de ce que j’ai ressenti, comment je me sentais alors. Les audios que je lui envoyai ce soir-là pouvaient peut-être lui faire entendre mes ressentis, mais c’est autre chose de les écrire noir sur blanc à vous qui me lisez.
Le soir, il m’envoyait plusieurs audios. Sa voix apaisante, douce, me fit du bien, mais, je dois bien avouer, qu’à cet instant j’aurais préféré l’avoir à côté de moi, sentir sa compassion en direct. Ce soir-là, en clair, j’avais besoin de sentir quelqu’un proche de moi qui me donnerait de la tendresse, de l’affection et même de l’amour. J’en avais besoin.
Malheureusement ce soir-là je n’eus guère de réconfort. Mon mari n’en avait pas envie, mon cher Maître était avec sa famille… J’allai alors faire du vélo d’appartement, j’écrivis le présent chapitre de cette histoire puis fis un peu de rangement telle qu’une maman sait faire.

Mon Maître revint malgré tout aux nouvelles, pour savoir comment allait ma petite rondelle toute irritée et me donnait même des conseils pour la soigner. Cette attention me fit du bien au cœur. Il me faisait endurer des punitions compliquées pour moi mais en même temps, il prenait aussi soin de moi. Ça me faisait un bien fou. Je finis la soirée avec la consigne de mettre l’œuf dans mon vagin pour dormir… ça me convenait parfaitement, à moi et à mon petit trou !
Le lendemain, après une très bonne nuit, je pus commencer à me masturber devant mon ordinateur. Je coulais comme jamais, j’avais envie de jouir. Après m’être bien caressée, je pris la petite bouteille que j’humidifiai du lubrifiant que j’avais acheté à cet effet. Je mettais tout doucement la bouteille dans ma petite rondelle. L’anus s’écartait doucement avec très peu de douleur. Ensuite, c’était le sphincter qui devait s’écarter. Il le fit avec une légère douleur. Puis je m’assis à nouveau sur ma chaise avec la bouteille dans le cul. Je m’asseyais plutôt sur l’avant de la chaise car je n’avais pas encore la bouteille complètement en moi. Pendant mon travail, de temps en temps je m’avançais ou me reculais sur la chaise afin de déplacer la bouteille tantôt plus en moi, tantôt moins en moi. Cela m’excitait encore plus.
Les quelques heures qui suivirent furent aussi banales que peuvent l’être des heures où l’on accomplit une punition et où on travaille. Dans l’après-midi, je remettais la bouteille dans mes fesses. Je fus particulièrement étonnée lorsque je l’insérai car l’anus était bien fermé et je le sentis s’ouvrir d’un coup, comme s’il savait qu’il fallait qu’il s’ouvre… La partie la plus large avait encore de la peine à passer, pour autant, cela faisait moins mal. Je priais pour retrouver une autre bouteille ressemblant à la petite bouteille que j’avais cassée… Sa remplaçante avait quand même un diamètre de presque cinq centimètres alors que la précédente n’en faisait que quatre et demi! J’avais hâte que le weekend arrive pour m’en occuper.
Je parlais dans l’après-midi avec mon Maître car on arrivait aux fêtes de Noël et surtout aux vacances où je serais certainement moins disponible. Nous étions tous les deux sur la même longueur d’onde.
Je fais un petit aparté, vous savez, moi, j’ai toujours cru qu’un Maître se devait d’être cruel, vindicatif… Bah, mon Maître n’est pas de cela. J’aime beaucoup sa manière de prendre les choses avec douceur, j’aime sa manière de parler qui est parfois avec le souffle court quand il est excité et d’autres fois avec une voix si douce qu’on sent que c’est un homme bon ! Et bien sûr, j’aime aussi quand il a sa voix de Maître autoritaire qui n’a qu’une envie, que je me la mette profonde et que mon côté pervers ressorte en puissance mille ! Il mérite d’être connu et reconnu !
Le soir, le Maître me dit de laisser mon anus au repos, ce que je fis car après toute une semaine de travail il était particulièrement sensible.
Le lendemain, nous étions donc le vendredi, je fus particulièrement prise le matin où je ne pus absolument rien faire pour mon Maître… Ce n’est que vers midi que je pus un peu jouer avec la bouteille et surtout l’après-midi. J’expérimentai encore plus cette bouteille dans les fesses même si je gardais le secret espoir de retrouver une petite bouteille comme celle que j’avais cassée !
Dans l’après-midi, je pus discuter avec mon Maître et lui expliquer combien c’était compliqué pour moi et aussi lui expliquer la douleur que j’avais ressenti. Cette douleur, j’en reparle encore, celle où le sphincter est pénétré de la partie la plus large, avait été tellement intense que les émotions étaient montées partout dans mon corps, ma tête. Ce n’était pas “avoir mal”, c’était “souffrir”. Et comme mon Maître me le rappela, c’était moi qui m’étais infligé cela, car il m’avait toujours dit que c’était moi qui pouvait arrêter si j’avais trop mal, lui étant loin géographiquement de moi. Lorsque j’eus cette conversation, les larmes affluaient encore… En effet, pourquoi ne m’étais-je pas arrêtée ? Parce que je voulais faire trop bien, par fidélité. Je voulais tellement qu’il soit fier de moi, que j’avais poussé le bouchon trop loin… Et qu’en faisant cela, mon corps maintenant bloquait le passage !
Mon cher Maître me donna une dernière consigne pour cette fin de journée… Il me demanda de m’enfoncer la bouteille dans l’autre sens et de forcer au niveau du sphincter pour voir si celui-ci pouvait laisser passer le culot de la bouteille. J’attendis de pouvoir le faire et avant de remonter après ma journée de travail, je m’exécutai…
Je pus constater alors que le goulot en premier passait de mieux en mieux mais que le sphincter était vraiment très dur et refusait de se détendre. J’étais déçue mais aussi contente d’avoir essayé.
Mon Maître m’avait donné cette première punition afin que je sache me baiser le cul comme la chatte. De mon point de vue, je n’y arrivais pas aussi bien mais je n’y étais pas loin. Mais malgré cela, le soir venu, mon Maître me libéra de cette punition tout en me félicitant de tous mes efforts, j’en étais encore une fois émue. Oui, je suis souvent émue !Il m’ordonna alors de me masturber jusqu’à la jouissance avant de dormir ! Vous imaginez bien qu’avec une semaine entière sans jouir… les draps s’en souvinrent…
Mon Maître m’avertit le lendemain que j’allais avoir mes deux autres punitions le lundi et mardi. J’étais déjà un peu inquiète et excitée en même temps. Je passais le week-end à lui faire des vidéos qu’il m’avait demandé de faire… Passer par la case épilation du maillot intégral chez l’esthéticienne… puis au retour je faisais un détour pour acheter une petite bouteille de bière qui me semblait de taille respectable… Après comparaison, elle était quasiment identique à celle que j’avais fait tombée !! Pour ceux qui seraient curieux, il s’agit d’une bouteille Heineken de contenance de 25cl… Je vous laisse imaginer la joie que j’ai ressenti quand j’ai comparé et que j’ai bien vu qu’elle était de la bonne taille ! Je pus l’essayer le soir même et son insertion était nettement plus agréable qu’avec la bouteille de substitution !!
Le lundi qui suivit ce week-end fut le moment où mon Maître partit en vacances dans sa famille. Je savais donc pertinemment qu’il n’allait pas être aussi présent qu’habituellement et j’avoue que j’angoissai un petit peu car je m’étais habituée à l’avoir constamment au bout de ma main dans le téléphone. Il ne fut donc que peu présent mais il prit le temps de me détailler ma punition de ce lundi. Cela consistait à faire une photo de mes fesses… avec mon large et long amant culot en premier dans ma chatte, ma nouvelle petite bouteille dans mon anus le plus loin possible avec une pince au clitoris et un panneau où il fallait écrire "Chienne punie".
Pour commencer cette punition, je dûs attendre la fin d’après midi pour être tranquille, que personne ne me dérange…
Je préparais une feuille avec l’inscription demandée ainsi qu’un morceau de scotch pour pouvoir le coller temporairement sur l’arrière de ma cuisse. Ensuite, je commençai d’abord par me faire un lavement avec au total 5 seringues de 100 ml pleine d’eau dans mon anus… Cela me fit le plus grand bien.
Ensuite je pris mon amant de verre et commençai à me masturber avec… d’abord avec le goulot… en effectuant des allers et retours dans ma chatte… Parfois je le faisais aller frotter mon clitoris. Puis d’une main pendant que je me masturbais avec mon amant, je caressais mon clitoris de l’autre main, de mes doigts je touchai ce bouton d’amour, puis je touchai les grandes lèvres attenantes, bouts de chair d’amour et de sensation… L’excitation montait de plus en plus, je finis même par jouir bruyamment. Je tournais la bouteille alors, culot en premier dans ma chatte… Je pris la nouvelle bouteille et commençai, assise à me frotter dessus… mais le fait de tenir mon amant m’empêchait de pleinement profiter de l’instant et de l’insérer dans mon anus.
Rapidement je compris qu’il fallait vraiment que j’apporte beaucoup d’attention à mon cher ami l’anus… J’enlevai donc mon amant de verre et commença à m’asseoir lentement sur la bouteille, j’effectuais de doux mouvements dessus… La chair commençait aussi à vibrer, le plaisir montait en moi.
Lorsque je sentis que j’étais suffisamment excitée, continuant à me ramoner l’anus, je mis mon téléphone en place sur un carton à hauteur du lit de la pièce où j’avais décidé de prendre la photo… Je collai la feuille sur l’arrière de ma cuisse, je mis la pince douloureuse sur mon clitoris. Enfin, je me mis en position à 4 pattes en mettant un timer sur le téléphone. Quelques secondes passèrent et la photo fut prise…
Je souris à pleine dent en voyant le résultat et l’envoyant à mon Maître. J’enlevai les différents accessoires de ma punition avec hâte. Vous trouverez l’image qui illustre cette punition dans le lien de ma bio, sur ma page sur le célèbre site de vidéo porno avec un hamster...
À l’heure d’aujourd’hui, mon Maître ne m’a pas encore donné la 3ème punition… Mais je ne doute pas qu’il ne l’oubliera pas !Mais de mon côté, je me dépasserais toujours tout en respectant les limites extrêmes de la souffrance !
xXx - xXx - xXx

Quelques jours plus tard…Dommage, mon Maître n’a pas oublié ma 3ème punition ! J’aurais préféré !Qui dit retour à la maison après les fêtes de fin d’année, dit reprise de l’activité… Et du coup troisième punition à effectuer !
Pendant les vacances, des pinces à torchon (vous savez les pinces crocodiles avec des dents métalliques) que j’avais commandées étaient arrivées et mon Maître me donna comme tâche du lundi et du mardi d’en mettre une sur une de mes petites lèvres à chaque fois que je partais à l’extérieur de chez moi. J’allai donc au boucher, à l’épicerie et à la boulangerie avec la pince crocodile.
À chaque fois que je sortais de la voiture, j’installai une pince crocodile le plus doucement possible sur une des petites lèvres. Une forte douleur comparable à celle d’une pince à linge sur le clitoris se faisait ressentir. Puis au bout de quelques secondes, la douleur commençait à s’apaiser. Alors je pouvais vaquer à mes occupations le temps nécessaire. Ces pinces me procuraient de la douleur certes, mais quand je les enlevais, la douleur partait presque immédiatement et laissait place au soulagement. Le mardi, j’avais de la visite à la maison, notre femme de ménage… Je l’accueillai et à un moment j’allais étendre le linge et j’installai à nouveau la pince diabolique de mon cher Maître. J’allai également un moment à mon bureau… J’enlevai la pince et pris mon amant de verre. Il m’avait tellement manqué, que je me baisai royalement avec lui. Je jouis bruyamment.
Le lendemain, Mercredi, il était venu le temps de commencer réellement à travailler. Mon Maître m’avait demandé d’acheter une bouteille de bière conique (comme la 1664 par exemple)… J’en avais trouvé une lors de mes courses du lundi… Mon Maître m’ordonna de passer la journée entière de travail avec la bouteille dans mes fesses… oui oui, toute la journée !
Je commençai tout d’abord par administrer un bon lavement à mon trou du cul… Je mis quasiment cinq seringues de 100ml dans mes fesses ! Après avoir évacué l’eau souillée… je pris ma petite bouteille dont je savais qu’elle entrait très bien dans mes fesses… Et je commençai à assouplir mon anus avec… Lorsque cette petite bouteille put entrer quasiment en entier en moi, je pris alors le nouveau jouet que le Maître m’avait fait acheté, l’humidifiai avec du lubrifiant et commençai à m’asseoir dessus… Cette bouteille glissait très bien en moi, et petit à petit, elle s’enfonçait de plus en plus en moi.
Mon sphincter acceptait la présence de cette bouteille petit à petit et mon anus s’écartait également doucement… Ce n’était pas trop douloureux et j’arrivais à accepter la douleur de l’écartement de mon petit trou….
Je continuai en plus de cela à effectuer également mes masturbations obligatoires accompagnées des jouissances associées. Normalement, le lendemain, les festivités auraient dû continuer… Mais mon corps en avait décidé autrement, dans la nuit, les règles faisaient leur retour en fanfare, mettant en pause ces punitions perverses...
Je passai du coup le reste de la semaine en fille “sage”, laissant mon corps évacuer ses larmes de sang, me laissant en jachère… Je ne devais du coup plus me masturber… Mais le vendredi, malgré la sensibilité de mes seins… j’effectuai une séance de pinces à linge sur mes tétines alors que je jouais avec des amis en conférence audio.
Je fus particulièrement fière lorsque le Maître me félicita d’avoir effectué la tâche qu’il m’avait donné malgré le peu d’envie de sexe que j’avais alors.
La suite des punitions reprit dès que les saignements furent finis… Dès le lundi… mais je pense que mon Maître en avait un peu marre de me punir cette fois-ci car il ne me fit utiliser la pince crocodile que durant trois jours. À la fin des trois jours, il me libéra de cette punition douloureuse. J’étais heureuse que ces punitions soient finies, je voulais passer à autre chose !
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