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Mouillette, la soumise

Chapitre 8

L'évolution

SM / Fétichisme
NDRL : Ce chapitre est un peu particulier... En ce sens que je l’ai écrit au fur et à mesure et donc je parle souvent en "aujourd’hui", "au bout de quelque temps"... Il a été écrit en gros depuis janvier 2021 jusqu’en mai/juin 2021... Comme toujours, c’est bien une histoire vraie !
***
Bonjour à vous mes lecteurs assidus...Je suppose que les derniers chapitres vous ont particulièrement captivés tant par leur intensité que par les sentiments que j’ai pu vous partager.
Il s’est passé un certain temps entre le moment où j’ai vécu ces moments, le moment où je vous ai rédigé le récit et maintenant... Depuis ces événements, j’ai été “sage”, les mois ont avancé à leur rythme, petit à petit, rythmés par les défis que mon Maître me donnait et mes cycles menstruels...
Petit à petit, je me suis habituée à la petite bouteille Heineken... et maintenant que c’est effectif, je peux vous le dire... j’ai joui du cul ! Oui oui, vous avez bien lu, j’ai enfin joui avec mon cul !!! C’est très étonnant pour moi de l’écrire... je vais vous raconter la première fois que j’ai joui du cul, car ça vaut son pesant d’or... j’étais en train de mettre la petite bouteille en moi, et je me suis dit que je pourrais m’asseoir sur le canapé à côté de mon bureau. Doucement en faisant des aller-retour en basculant mon bassin, j’ai senti la bouteille venir de plus en plus profondément en moi...
Je caressai mon clitoris, les grandes lèvres, les petites lèvres... et je me masturbais ainsi tout en bougeant mon bassin. Soudain, je sentis une excitation animale en moi, comme du tréfonds de mon corps. J’accélérai les caresses... et là je me sentis comme propulsée au-dessus des nuages dans la stratosphère. Je n’avais jamais senti une jouissance aussi intense ! Que ce soit en duo ou en solo !
Et franchement, je ne remercierai jamais assez mon cher Maître de m’avoir encouragée à continuer et à m’entraîner. Jamais je n’aurais pensé prendre un tel pied avec le cul !
***Quelque temps plus tard...
Aujourd’hui, je voulais vous parler de ce que je ressens ici et maintenant... Comme je l’ai noté dans plusieurs chapitres, je vous ai bien dit que je n’étais pas amoureuse de mon cher Maître et cela est tout à fait vrai. Mais même si je ne suis pas amoureuse, je ne peux, par la force des choses, que me projeter dans un futur improbable. Entre moi et mes relations inexistantes avec mon mari, et mon Maître qui a, on va dire, des relations conflictuelles avec sa dulcinée, vous comprendrez facilement que je m’imagine qu’un jour, je pourrais rencontrer mon Maître et avoir des relations réelles, physiques, avec lui. On pourrait appeler cela un fantasme... Ou de l’auto-flagellation mentale...
Mais il y a de cela quelques jours, c’était la Saint-Valentin, et mon cher Maître a décidé de recoller les morceaux avec sa femme. Je comprends à 200% cette idée et je suis même d’avis que c’était nécessaire pour eux...
Ce que je ne pouvais pas imaginer, c’est à quel point cela me bouleverserait de le savoir heureux. Un sentiment partagé entre la joie qu’il puisse être heureux et le désespoir que, moi, je sois tellement seule, tellement laissée pour compte de mon côté... Pas à cause de lui, mais de mon mari...Ce week-end-là fut particulièrement long, triste. Oh, bien sûr, j’ai fait les routines quotidiennes demandées par mon Maître... Mais il me manquait ce lien avec lui, la complicité.
À son retour, la question me brûlait les lèvres, l’avaient-ils fait ? Et bien sûr, la réponse était évidemment positive... Alors, est-ce que je devrais avoir honte d’être heureuse, mais aussi jalouse ? Est-ce que pour autant cela voudrait dire que je suis amoureuse ?
Je ne pense pas, mais cela reflète tellement la tristesse du quotidien. Le fait que finalement, à part mes enfants et mes animaux, je ne reçois pas de marques d’attention ou de tendresse. Et ça, c’est dur de le dire, de l’exprimer.
À part mes mains et mon amant de verre (et mon Maître qui sait aussi faire preuve de prévenance), personne ne prend soin de moi, et ça, ça fait mal de l’avouer et d’en prendre conscience. J’ai mal à mon cœur d’être mise à part, d’être ignorée. Et ce soir, au moment où j’écris ces lignes, les larmes coulent toutes seules... Peut-être est-ce également les hormones, les règles devraient bientôt arriver... Et c’est dans ces moments-là que je me dis : pourquoi je supporte encore ce manque d’amour ? Pourquoi j’accepte d’être la femme invisible qu’on ignore ?
Là encore, je ne parle pas de mon Maître, mais je me rends compte qu’à part pour mes enfants, je ne compte pas...
Ce soir, je vais être à nouveau punie, car j’ai oublié d’envoyer des photos à mon Maître... Je vais le faire même si je suis tellement triste ce soir, je vais le faire même si je sais que ça va être dur, parce que je le respecte et que c’est normal de faire ces punitions même si je me sens si mal intérieurement.
...
Quelques heures plus tard, ça y est, j’ai effectué ma punition... j’ai pincé mes deux tétons avec une pince à linge, puis j’ai pincé mes deux petites lèvres avec deux poids avec des pinces crocodile à torchon... Mais le Maître ne voulait pas que je n’ai que cela, il voulut aussi que je fasse des crunch, ainsi affublée... j’ai serré les dents malgré la douleur intense des pinces crocodiles, j’ai sauté de toutes mes forces. Une pince en est même tombée... plusieurs fois... Je l’ai ramassée plusieurs fois alors que la caméra était braquée sur moi. Et j’ai sauté ainsi 11 ou 12 fois, ayant perdu le compte des sauts, courageusement et malgré la douleur.
Vous ne pouvez pas imaginer le soulagement que j’ai eu quand j’ai libéré mes petites lèvres qui étaient si douloureuses... après cet interlude, j’ai fini mon sport : le vélo, la musculation...
J’étais curieuse d’avoir sa réaction. Quand je me vis en vidéo, mes formes me semblaient comme une injure... C’est dur de se voir entièrement nue quand on n’aime pas son corps (plus qu’avant, mais pas mes rondeurs) !
Mais, quand mon Maître me dit qu’il était fier de moi, cela suffit pour panser mes blessures... Et les larmes coulèrent encore... Pas de doute, les règles allaient arriver bientôt !
Ce soir-là, je finis par me donner du plaisir, puis j’enfouis mon visage dans la fourrure de mon gros matou de chat qui vient souvent se coucher contre ma tête... Et les larmes coulèrent à nouveau comme de petites rivières...
***
Quelques jours plus tard...Les règles parties, mon Maître me donna une nouvelle tâche étonnante pour moi...
Il me demanda de trouver trois vidéos où je jouirais sur le thème du sexe. Le premier jour, les trois vidéos furent relativement vite trouvées... Le jour suivant, je devais trouver trois vidéos sur le thème de la douleur... Alors, là, pour être honnête, ce fut plus compliqué... Bien sûr, je trouvais toutes sortes de vidéos de douleur... mais cela ne m’excitait pas du tout... Au contraire, j’avais mal pour les personnes... Du coup, je trouvais des vidéos avec des douleurs modérées et consenties.
Le troisième jour... il me demanda de trouver des vidéos zoophiles... Alors, là, c’était encore pire. Car toutes les vidéos réelles que je trouvais me dégoûtaient au plus haut point...Après avoir beaucoup cherché, je trouvais une vidéo type hentai avec un cheval... C’était assez extrême, mais suffisamment loufoque pour que cela puisse être imaginé. Je trouvais ensuite deux autres vidéos dont une réelle, mais qui était un peu plus soft que les autres.
Le quatrième jour, il me demanda de trouver trois vidéos de scatophile ou urophile... Dans cette recherche, je tombais sur beaucoup de vidéos trop extrêmes... Le scatophile me dégoûtait tellement que j’avais envie de vomir. Je posais cette limite impossible pour moi de la franchir... Puis je regardais des vidéos urophiles... la plupart me dégoûtaient aussi... Mais, j’en trouvais qui étaient différentes... Des personnes qui jouaient et qui n’avalaient pas forcément. D’autres qui juste se pissaient dessus. Une qui me plaisait en particulier fut une où la fille était attachée et l’homme la traitait un peu comme un trou...
Enfin le cinquième jour de la semaine, il me demanda de trouver trois vidéos de sexe extrême... J’avoue que sur ce coup, je trouvais juste des vidéos de soumission et de baise. Je manquais clairement d’imagination... Et mes vacances commençaient à midi ! Donc autant dire que j’avais juste qu’une envie... Farniente !
***
Petit à petit, en moi-même, je me sentais décalée par rapport à ce que mon Maître me demandait de faire... J’avais l’impression d’être un robot, je me faisais jouir, mais cela ne me faisait pas plus plaisir que cela, c’était uniquement mon corps qui aimait cela.
Intérieurement, dans mon esprit, je n’arrivais pas à me décider... Est-ce que la situation me plaisait ? Est-ce que je faisais cela par "sacrifice" ? ou est-ce que je le faisais, car réellement j’en avais envie ?
Je demandai alors à mon Maître de faire une pause dans la soumission. Je lui demandai de profiter de mes règles pour que je puisse me recentrer.Il accepta...
La suite au prochain chapitre (le dernier !!)
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