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Msuro et Mamadou

Chapitre 3

Erotique
Évidement cela a commencé à poser des problèmes, même si les Amérindiens sont connus pour leur sens de l’hospitalité, d’accueillir des coucous dans son nid ne se passe pas facilement, seul Msuro est épargné par le phénomène, Lianshu n’y est pas étrangère, elle a obligé Isa de n’offrir que ses fesses aux visites d’autres que Msuro. Du reste la shamane commença à imposer cette coutume aux autres femmes copulant hors ménage, en constatant l’arrivée multiple de petits bâtards avec un air de famille à Mamadou. Elle paya souvent de sa personne pour calmer les plus excités par cette situation, leur apprenant les minimums pour faire plaisir aux femmes. Souvent après la rudesse du coït amérindien, il lui fallait plusieurs nuits avec Mamadou pour lui donner envie de poursuivre sa mission de souder la tribu.
— Plume blanche, pourquoi tu te plains, tu es un peu rachitique et te voilà avec un beau bébé sain qui sera aussi fort que Mamadou, je suis sûr. Tu en as de la chance, moi, par exemple, je n’ai pas de fils qui viendront me soutenir dans mes vieux jours.— Msuro s’occupera toujours de toi, ainsi que sa femme, ne te fais pas de soucis.— Justement, avec sa charge de chef, il en a du travail pour calmer toutes vos disputes inutiles. Tu dois être fier d’avoir un magnifique bébé que tu n’aurais pas été capable de faire sans l’aide de Mamadou. Dis-moi Plume Blanche, que préfères-tu ton mustang ou ta squaw ? — Évidement mon Mustang, lui il peut me porter. — Voilà le problème, ta femme doit passer en premier, essaye d’engendrer un fils avec ta monture ? Demande à ton Mustang de te faire à manger, de s’occuper de ton intérieur. Je ne dis pas que le mustang est inutile, mais il reste moins important.— Tu as probablement raison, mais quand je donne un ordre à mon mustang, il obéit. Ce qui n’est pas forcément le cas de ma femme et personne à part moi ne le monte.— Cela me donne une autre idée, imagine que tu tombes de ton mustang et que tu te blesses et que tu sois incapable de remonter dessus, ton cheval revient au campement et Mamadou par exemple monte dessus pour aller te secourir plus vite, serais-tu fâché ?
... Même si tu préfères ton cheval à ta squaw ?Le calvaire de KattyUne fois Mamadou en fuite, Katty ouvrit la porte de sa chambre avant qu’elle fut brisée sous les coups de hache. Une paire d’hommes complètement déments pénétrèrent dans sa chambre, les yeux fous :
— Il est où celui qui te faisait bramer comme une folle ?— Tout d’abord, de quel droit pénétrez-vous dans ma chambre ?— On a tous entendu comment tu forniquais1 à ton esclave noir, ce qui est interdit pour une blanche, demain, tu seras reconduite à ton père sous escorte.
Le lendemain, une calèche et 10 hommes en armes sont prêts pour le voyage vers la plantation centrale de son père. Le voyage se fit sans problème et l’explication avec le père fut assez dure. Finalement, le père décida de la marier tout de suite avec un nouvel arrivant, bon chrétien, très fervent, fidèle participant aux cultes. Le MariageTrois jours après son arrivée, le mariage est organisé et toute la plantation est invitée à la fête. Il faut dire que la dot est confortable pour faire avaler le poisson à Élie son futur mari. Il fallait bien cela pour passer après un nègre2.
Jusqu’à la cérémonie, le père tint Kitty cloîtrée et entra à l’église en la tenant fermement au bras. Lors de la question traditionnelle,
— Katty Longrain, acceptez-vous de prendre comme époux Élie Karfourstrasel.
Devant son mutisme, son père la pinça fortement dans le dos, provoquant un grognement plus ou moins distinct.
— Vous avez entendu, elle a dit oui.
La cérémonie s’est continuée sans autre forme de procès, l’époux toutes fois n’ayant pas réussi à embrasser la mariée. À la sortie, il fit remarquer à son beau-père.
— La pouliche me semble un peu rebelle, il faudra bien que je la dresse un peu, vu que la femme doit être soumise à son époux.— Faites mon brave, je pense bien que vous saurez la mettre au pas.
Le soir, dans l’unique lit, Katty, revêtue de sa nouvelle tenue de nuit, ressemblant à celle d’ouvriers en une pièce. Juste avec un petit passage pour permettre aux deux sexes de se trouver. Son mari, dans l’idée de lui montrer qui est l’homme veut tout de suite la prendre à sec. Elle se laisse tripoter et reste sans réaction, si bien que Élie à l’impression de faire l’amour avec un cadavre. Finalement après avoir vidé ses burettes, il se tourne de son côté et s’endort. Le lendemain, devant le lit vide, anxieux, il recherche sa femme et la trouve en train de préparer le petit déjeuner. Vraiment, il a l’air beaucoup moins à l’aise, il s’excuse de son comportement.Froidement, elle lui réplique qu’elle sait qu’il est son époux, mais il n’aura jamais son cœur de cette façon, mais s’il veut avoir un cadavre dans son lit, cela ne regarde que lui et que si la femme doit être soumise à l’homme, l’homme doit la respecter et elle ne pense pas que sa façon de faire est en accord avec les écritures.
— Mais enfin, je t’ai prise, car tu étais déshonorée, tu avais couché avec un esclave.— Je ne me sens pas déshonorée, car il m’a respectée et a été beaucoup plus aimant que toi. Si j’avais commis l’adultère, je comprendrais ta remarque, mais nous n’étions pas passés par ce simulacre de mariage. Trouve-moi dans tes foutues écritures où il est interdit de connaître un homme de couleur ? Je crois que tu connais bien le livre sacré, mais d’ici que tu trouves, je vais être tranquille. Il me semble que même Salomon n’a pas reculé devant les charmes de la reine de Sabbat et à savoir il n’en fut pas déshonoré.— Je pense que tu as raison et je te demande pardon, je vais rendre ta dote à ton père et demander le divorce.— Non, tu commences à me plaire en devenant moins sectaire. Peut-être pourrons-nous être un couple ordinaire.— Alors on fait la paix.— Soit.
C’est ainsi que ce couple qui était relativement mal parti commença à avoir une vie commune assez agréable et après le premier mois, quand Élie constata qu’elle n’était pas enceinte, excluant le noir, il changea du tout au tout et compris qu’il avait une femme de tête. Même si Katy regrettait par moment Mamadou qui était vraiment très tendre et surtout très puissant, elle s’accommodait gentiment au train-train de son mari, une fois par semaine après le sermon, sans trop de fioritures. Petit à petit, Élie se prend à choyer sa femme, il est plus attentif à ses besoins. Il a de lui-même aboli la chemise de nuit pour intégriste, il apprécie de pouvoir jouer avec son corps, même il lui arrive de poser des baisers à des endroits pas spécialement prévus à cet effet par les écritures.Elle de son côté, ayant perdu une bonne partie de ses illusions l’encourage fort dans cette direction. Parfois, elle va même jusqu’à caresser son membre, mais elle n’ose le lécher et même si son hygiène est convenable, cela ne se fait pas dans le cercle de la paroisse sous peine que son mari la prenne pour une prostituée, ce que son éducation repousse avec horreur. Élie, par contre, est de plus en plus attiré par les odeurs de plaisir qui émane du sexe de sa femme et souvent la tête sur son ventre, il se met à rêver de poser sa langue sur sa fleur pour s’en imprégner le palais. Discrètement, il caresse l’objet de sa convoitise en laissant traîner son doigt pour qu’il s’imprègne du parfum et de façon très dissimulée déguste ces saveurs troublantes. Le jeu n’échappe pas à Katty et elle apprécie que son mari l’apprécie autrement que comme une vache à faire vêler.
De manière coquine elle lui demande :
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu me renifles ?
Rouge comme une tomate mûre, il bégaye que ce n’est pas ça et qu’il a cru déceler une odeur suspecte.
— C’est pour cela que tu suces le doigt que tu as mis dans mon sexe ?— Heu, hum, en fait j’aime ton odeur quand on va se connaître.— Je me demande ce que dirait le prédicateur, si je lui confessais que je rêve que tu mettes ta langue dans mon affaire pour que je sois bien prête de te recevoir et qu’on partage le plaisir ?— Malheureuse, ne va pas lui confesser cela, ce sont des affaires entre nous. Ceci dit, me permets-tu de t’embrasser la bouche d’en bas.— Rien ne me ferait plus plaisir, mais j’aimerai aussi goûter le tien d’en bas.
Élie qui maudissait en publique les filles dites de mauvaise vie et en cachette rêvait de bénéficier de leur savoir, trouva qu’il n’avait plus besoin de jeter l’anathème, il avait à la maison tout ce qu’il faut pour assouvir sa curiosité. Sans autre, il se mit entre les jambes de Katty, la bouche à hauteur de son sexe (à Katty évidement pas du sien propre) et il tira la langue pour déguster cette moule qui se promenait en plein Far West.Très rapidement Katty sentit les premières secousses d’un orgasme qui s’annonçait dans le ciel bleu du lit. L’orage était à la porte. Haletante, elle lui dit :
— N’oublie pas de donner le pourboire au portier.— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?— Le petit bouton qui se trouve au-dessus de ma grotte d’amour, il aime particulièrement les bisous.— Ah ! Bon, comment le sais-tu ?— Souvent c’est moi qui vais lui dire bonjour et je sais que c’est très bon.
Continuant son éducation comme on pourrait dire, Élie d’une langue curieuse taquine le bourgeon de cette fleur, il découvre qu’elle doit avoir une origine un peu carnivore, Il suppose que bientôt, elle va lui avaler son sexe pour son plus grand bonheur.C’est très surprenant, plus il essaye d’essuyer le mouillon qui sort du sexe, plus il y en a qui vient, la tâche est ardue. La squaw blancheLe conseil de tribu se réunit pour le cas Mamadou. Plusieurs victimes des saillies sauvages de Mamadou voudraient le bannir. Msuro qui de son côté n’a pas la preuve que Mamadou lui place également des cornes sur sa coiffure de plumes est plus mesuré.
— Si on lui trouvait une épouse pour lui tout seul, je sais que pas mal de squaws ne seraient pas contentes de cet arrangement, mais laquelle ?
Plume blanche :
— Le plus simple est de lui demander.
On convoque Mamadou et on lui présente le problème. Tout d’abord, il présente ses excuses, mais affirme-t-il que quand une squaw vient les yeux en larmes, il ne peut se retenir de la consoler et quand leurs mains s’égarent sous son pagne, même si plus tard, on a appelé les esclaves noirs, bois d’ébène, lui il n’est pas de bois et il a beaucoup de peine à se retenir, surtout qu’il n’a pas de femme à lui. Si au moins la jeune fille blanche l’avait suivi, il n’y aurait pas de problème. Les trafiquants d’armes doivent passer la prochaine lune, en plus des discussions, il faudra les suivre pour essayer de retrouver Katty, discrètement et être suffisamment pour ne pas être en situation de faiblesse avec un but autre officiel. Il est exclu que Mamadou participe, parce que s’il est reconnu, il risque gros.
— Tu resteras ici et tu me remplaceras, au commandement, pas dans mon lit évidement ajoute Msuro sans se douter que c’était arrivé plus souvent qu’il n’aurait pu l’imaginer. Isa adore quand il lui ramone la boite à caca.
Les sentinelles ont averti qu’un chariot arrivait au campement et du coup Mamadou part à la chasse, mais seul. Il leur recommande encore d’être prudent et que l’homme blanc n’a pas beaucoup d’honneur et qu’il faut essayer leur marchandise avant de la payer et surtout refuser la vente ou même le don d’un liquide qui rend très heureux, mais aussi complètement idiot, L’eau de feu. C’est ainsi qu’a l’arrivée de trois hommes et une femme, pour négocier leur vente, commencent par proposer la boisson d’un flacon de mauvais alcool. Msuro veut mesurer la véracité et désigne un de ses guerriers et lui ordonne de boire la bouteille. Devant le résultat visible de la déchéance de son valeureux guerrier, confirmant les avertissements de Mamadou, il précise :
— Jamais ceci ne pénétrera ici.
À ce moment-là, Lianshu s’exprima :
— Moi, j’en veux trois pour mon usage personnel.— Pourquoi tu les veux ? Si j’interdis c’est à toute la tribu.— Non, pas à moi, car j’en ai besoin pour nettoyer les plaies, pas pour boire, quoique parfois cela peut-être nécessaire.— Soit, à part les armes, joins trois bouteilles, mais interdiction d’en donner une autre à qui que ce soit.
Une fois les échanges faits, les trafiquants repartent d’où ils sont venus, sans se douter qu’une dizaine d’Indiens les pistent discrètement. Ils arrivent bientôt en vue de l’hacienda d’où est arrivée Mamadou, il leur avait expliqué en détail à quoi elle ressemblait. Trouvant un esclave un peu à l’écart, ils lui demandent ce qu’est devenue Mme Kitty.
— La pauvre, elle a été mariée de force à un planteur du ranch qui est sur la route vers le soleil couchant.— Merci et pas un mot de notre demande.— Oui, dis-moi comment va Mamadou ?— Tu le connais ?— Oui, c’est le fils de notre ancien roi.— Tu veux le rejoindre ?— Ce serait mon vœu le plus cher, mais avec ces fers que j’ai au pied, ce ne serait pas prudent.— Elax, donne-lui ton cheval et toi Plume blanche accompagne-le jusque chez nous, Elax, va à pied jusqu’au ranch et tâche de voir comment on peut enlever Kitty.
L’enlèvement de KittyTapis dans l’ombre d’un six comorts, la petite troupe d’Indiens surveille sa maison isolée où se trouve Kitty. Voyant Élie, son époux partir en calèche, Elax se faufile dans la maison jusqu’à la chambre de Kitty, qu’il découvre encore reposant sur la couche nuptiale.
— Toi Kitty, pas peur, Mamadou m’envoie pour te conduire à lui, viens.— Bonjour, je m’habille tout de suite.
Elle est dans tous ses états, sentant que son rôle d’épouse prisonnière va enfin prendre fin. Rapidement elle prend une tenue d’amazone faite de cuir et un ensemble de nuit, trois manteaux bien chauds. Elle sort de la maison et va prendre son propre cheval et Elax saute en selle avec elle derrière. Ils s’éloignent au galop en direction du canyon menant au village.Les autres membres restent un peu en arrière pour effacer les traces de l’enlèvement. Kitty, placée à l’avant de la selle sent les rebords qui lui martyrisent le fondement. Au bout d’un moment de chevauchée, elle demande à pouvoir descendre pour se rafraîchir dans un ruisseau. Lentement elle commence à se déshabiller en demandant à Elax de surveiller les alentours, ce qui est mieux que de surveiller sa toilette.
Quel plaisir, après cette chevauchée de rafraîchir son minou tout martyrisé et surtout de diluer cette odeur de sa dernière nuit avec Élie. On aurait pu penser qu’il se doutait que c’était la dernière fois avant longtemps qu’il baisait sa femme. Mais il ne faut pas traîner trop longtemps et mettre de la distance avec la ville et elle. Rapidement elle se rhabille et saute en selle et Elax saute en croupe, se tenant à la cavalière, ses grandes mains enserrant la taille. Après avoir à nouveau chevauché une vingtaine de kilomètres, à nouveau, on fait un petit arrêt pour casser une petite graine et se désaltérer. La troupe des effaceurs de traces, ne les ont pas encore rejoints, mais cela ne devrait pas trop tarder. On se remet en selle et on repart au trop, jusqu’à ce que la lumière devienne insuffisante pour continuer et rapidement Elax repère une anfractuosité de rocher leur permettant de se réfugier pour la nuit. Laquelle est malgré tout assez fraîche et lentement, mais sûrement, les deux corps se rapprochent pour partager la chaleur commune. Il n’est pas question de faire du feu pour se réchauffer. Kitty se sent bien en sécurité dans ces bras forts, même si parfois les mains se promènent sur sa poitrine, cela la réchauffe bien, son minou commence à transpirer sérieusement, surtout qu’elle sent dans le bas de son dos une chose dure qui palpite et elle se doute bien que ce n’est pas le couteau de chasse ni le tomawak.Elax, les narines frémissantes hume cette femme qu’il sent prête à s’unir avec lui, la sienne ayant succombé au charme de Mamadou, lui refuse sa couche. La Chamane lui a bien expliqué qu’il n’y avait pas de quoi à faire un fromage3. Il resserre son emprise sur elle, sa main se faufile entre les plis de son vêtement, mettant à nu une toison, dont il ne peut apprécier la couleur soleil. De nuit, le charme exotique est nul. Mais la douceur de la toison, qui se mouille de plus en plus, émettant de plus en plus d’odeurs qui durcissent sa bite et en plus Kitty, ouvre large les cuisses pour permettre cette caresse qu’elle apprécie.
De plus en plus excitée, elle sort la queue d’Elax, vibrante de vie et appelant à l’union des corps. Fermement, elle la dirige vers sa grotte sacrée pour qu’elle puisse calmer l’incendie qui ravage son corps. Elax, sentant la femelle prête à se donner, se sent comme un mustang dans le vent, il embroche cette magnifique femme et se met à la labourer de sa pioche tendue au maximum. Le coït est très violent et brutal, mais Kitty qui rêvait depuis longtemps d’une bite un peu sauvage est ravie de cette emprise. Elle décolle son cul pour se faire embrocher encore plus profondément, elle le serre dans ses bras comme s’il allait s’envoler et alors qu’un fleuve tumultueux lui arrose son matériel de camping, elle part d’un orgasme tout aussi violent et se tend comme un arc en vue du bison. Finalement, les deux amants totalement repus s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Elax bien content d’avoir pu rendre un peu un petit de la chèvre de Mamadou et Kitty satisfaite de son envie de connaître le sexe un peu sauvage. Il faut préciser que son petit mari, avec sa petite bedaine avait un peu de la peine à la faire rêver. Le lendemain, un peu fourbus, ils repartent, toujours deux sur le même cheval, quand au détour du chemin, ils se trouvent en face d’un magnifique étalon, Kitty lui caressant le poitrail et Élax en lui parlant indien4, ils arrivent à l’amadouer et à lui passer une couverture dessus et les mors de réserve qu’ils avaient.

Le retour à la tribu
Dans la soirée, ils arrivent enfin à la tribu et c’est les retrouvailles avec Mamadou. Le petit intermède avec Élax n’a pas obéré son souvenir de leur union. Elle se jette dans des bras toute contente de le retrouver. ...Conflits avec l’armée....... Chapitre à venir
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