Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 7 J'aime
  • 0 Commentaire

Msuro et Mamadou

Chapitre 5

Erotique
La squaw blancheLe conseil de tribu se réunit pour le cas Mamadou. Plusieurs victimes des saillies sauvages de Mamadou voudraient le bannir. Msuro qui de son côté n’a pas la preuve que Mamadou lui place également des cornes sur sa coiffure de plumes est plus mesuré.
— Si on lui trouvait une épouse pour lui tout seul, je sais que pas mal de squaws ne seraient pas contentes de cet arrangement, mais laquelle ?
Plume blanche :
— Le plus simple est de lui demander.
On convoque Mamadou et on lui présente le problème. Tout d’abord, il présente ses excuses, mais affirme-t-il que quand une squaw vient les yeux en larmes, il ne peut se retenir de la consoler et quand leurs mains s’égarent sous son pagne, même si plus tard, on a appelé les esclaves noirs, bois d’ébène, lui il n’est pas de bois et il a beaucoup de peine à se retenir, surtout qu’il n’a pas de femme à lui. Si au moins la jeune fille blanche l’avait suivi, il n’y aurait pas de problème. Les trafiquants d’armes doivent passer la prochaine lune, en plus des discussions, il faudra les suivre pour essayer de retrouver Katty, discrètement et être suffisamment pour ne pas être en situation de faiblesse avec un but autre officiel. Il est exclu que Mamadou participe, parce que s’il est reconnu, il risque gros.
— Tu resteras ici et tu me remplaceras, au commandement, pas dans mon lit évidement ajoute Msuro sans se douter que c’était arrivé plus souvent qu’il n’aurait pu l’imaginer. Isa adore quand il lui ramone la boite à caca.
Les sentinelles ont averti qu’un chariot arrivait au campement et du coup Mamadou part à la chasse, mais seul. Il leur recommande encore d’être prudent et que l’homme blanc n’a pas beaucoup d’honneur et qu’il faut essayer leur marchandise avant de la payer et surtout refuser la vente ou même le don d’un liquide qui rend très heureux, mais aussi complètement idiot, L’eau de feu. C’est ainsi qu’a l’arrivée de 3 hommes et une femme, pour négocier leur vente, commencent par proposer la boisson d’un flacon de mauvais alcool. Msuro veut mesurer la véracité et désigne un de ses guerriers et lui ordonne de boire la bouteille. Devant le résultat visible de la déchéance de son valeureux guerrier, confirmant les avertissements de Mamadou, il précise :
— Jamais ceci ne pénétrera ici.
À ce moment-là, Lianshu s’exprima :
— Moi, j’en veux trois pour mon usage personnel.— Pourquoi tu les veux, Si j’interdis c’est à toute la tribu.
— Non, pas à moi, car j’en ai besoin pour nettoyer les plaies, pas pour boire, quoique parfois cela peut-être nécessaire.— Soit, à part les armes, joins 3 bouteilles, mais interdiction d’en donner une autre à qui que ce soit.
Une fois les échanges faits, les trafiquants repartent d’où ils sont venus, sans se douter qu’une dizaine d’indiens les pistent discrètement. Ils arrivent bientôt en vue de l’hacienda d’où est arrivée Mamadou, il leur avait expliqué en détail à quoi elle ressemblait. Trouvant un esclave un peu à l’écart, ils lui demandent ce qu’est devenue Mme Kitty.
— La pauvre, elle a été mariée de force à un planteur du ranch qui est sur la route vers le soleil couchant.— Merci et pas un mot de notre demande.— Oui, dis-moi comment va Mamadou ?— Tu le connais ?— Oui, c’est le fils de notre ancien roi.— Tu veux le rejoindre ?— Ce serait mon vœu le plus cher, mais avec ces fers que j’ai au pied, ce ne serait pas prudent.— Elax, donne-lui ton cheval et toi Plume blanche accompagne-le jusque chez nous, Elax, va à pied jusqu’au ranch et tâche de voir comment on peut enlever Kitty.
L’enlèvement de KittyTapis dans l’ombre d’un 6 comorts, la petite troupe d’indiens surveille sa maison isolée où se trouve Kitty, Voyant Élie, son époux partir en calèche, Elax se faufile dans la maison jusqu’à la chambre de Kitty, qu’il découvre encore reposant sur la couche nuptiale.
— Toi Kitty, pas peur, Mamadou m’envoie pour te conduire à lui, viens.— Bonjour, je m’habille tout de suite.
Elle est dans tous ses états, sentant que son rôle d’épouse prisonnière va enfin prendre fin. Rapidement elle prend une tenue d’amazone faite de cuir et un ensemble de nuit, trois manteaux bien chauds. Elle sort de la maison et va prendre son propre cheval et Elax saute en selle avec elle derrière. Ils s’éloignent au galop en direction du canyon menant au village.Les autres membres restent un peu en arrière pour effacer les traces de l’enlèvement. Kitty, placée à l’avant de la selle sent les rebords qui lui martyrisent le fondement. Au bout d’un moment de chevauchée, elle demande à pouvoir descendre pour se rafraîchir dans un ruisseau. Lentement elle commence à se déshabiller en demandant à Elax de surveiller les alentours, ce qui est mieux que de surveiller sa toilette.
Quel plaisir, après cette chevauchée de rafraîchir son minou tout martyrisé et surtout de diluer cette odeur de sa dernière nuit avec Élie. On aurait pu penser qu’il se doutait que c’était la dernière fois avant longtemps qu’il baisait sa femme. Mais il ne faut pas traîner trop longtemps et mettre de la distance avec la ville et elle. Rapidement elle se rhabille et saute en selle et Elax saute en croupe, se tenant à la cavalière, ses grandes mains enserrant la taille, Après avoir à nouveau chevauché une vingtaine de kilomètres, à nouveau, on fait un petit arrêt pour casser une petite graine et se désaltérer. La troupe des effaceurs de traces, ne les ont pas encore rejoints, mais cela ne devrait pas trop tarder. On se remet en selle et on repart au trop, jusqu’à ce que la lumière devienne insuffisante pour continuer et rapidement Elax repère une anfractuosité de rocher leur permettant de se réfugier pour la nuit, Laquelle est malgré tout assez fraîche et lentement, mais sûrement, les deux corps se rapprochent pour partager la chaleur commune. Il n’est pas question de faire du feu pour se réchauffer. Kitty se sent bien en sécurité dans ces bras forts, même si parfois les mains se promènent sur sa poitrine, cela la réchauffe bien, son minou commence à transpirer sérieusement, surtout qu’elle sent dans le bas de son dos une chose dure qui palpite et elle se doute bien que ce n’est pas le couteau de chasse ni le tomawak.Elax, les narines frémissantes, hume cette femme qu’il sent prête à s’unir avec lui, la sienne ayant succombé au charme de Mamadou, lui refuse sa couche. La Chamane lui a bien expliqué qu’il n’y avait pas de quoi à faire un fromage1. Il ressert son emprise sur elle, sa main se faufile entre les plis de son vêtement, mettant à nu une toison, dont il ne peut apprécier la couleur soleil. De nuit, le charme exotique est nul. Mais la douceur de la toison, qui se mouille de plus en plus, émettant de plus en plus d’odeurs qui durcissent sa bite et en plus Kitty, ouvre large les cuisses pour permettre cette caresse qu’elle apprécie.
De plus en plus excitée, elle sort la queue d’Elax, vibrante de vie et appelant à l’union des corps. Fermement, elle la dirige vers sa grotte sacrée pour qu’elle puisse calmer l’incendie qui ravage son corps. Elax, sentant la femelle prête à se donner, se sent comme un mustang dans le vent, il embroche cette magnifique femme et se met à la labourer de sa pioche tendue au maximum. Le coït est très violent et brutal, mais Kitty qui rêvait depuis longtemps d’une bite un peu sauvage est ravie de cette emprise. Elle décolle son cul pour se faire embrocher encore plus profondément, elle le serre dans ses bras comme s’il allait s’envoler et alors qu’un fleuve tumultueux lui arrose son matériel de camping, elle part d’un orgasme tout aussi violent et se tend comme un arc en vue du bison. Finalement, les deux amants totalement repus s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Elax bien content d’avoir pu rendre un peu un petit de la chèvre de Mamadou et Kitty satisfaite de son envie de connaître le sexe un peu sauvage. Il faut préciser que son petit mari, avec sa petite bedaine avait un peu de la peine à la faire rêver. Le lendemain, un peu fourbus, ils repartent, toujours deux sur le même cheval, quand, au détour du chemin, ils se trouvent en face d’un magnifique étalon, Kitty lui caressant le poitrail et Élax en lui parlant indien2, ils arrivent à l’amadouer et à lui passer une couverture dessus et les mors de réserve qu’ils avaient.Le retour à la tribuDans la soirée, ils arrivent enfin à la tribu et c’est les retrouvailles avec Mamadou. Le petit intermède avec Élax n’a pas obéré son souvenir de leur union.
Elle se jette dans des bras toute contente de le retrouver. Mamadou l’emmène dans son tipi.
— Comme je suis content que tu sois là, J’espère que tu as fait un bon voyage.— Oui, mais j’ai dû me réchauffer avec Elax, il m’a bien réchauffé.— Vous avez …— Oui, nous avons… C’était ça ou mourir de froid.— Je suis content pour lui, je lui devais bien ça, son fils est tout mon portrait.
À nouveau il l’embrasse profondément et de sentir ses grosses lèvres sur les siennes et sa langue râpeuse envahir sa bouche la fait complètement fondre en pensant à comme cela sera quand il sera sur son minou. Les habits giclent à droite et aussi à gauche, ils se retrouvent nus comme au premier jour, elle prend en main son bâton de dynamite qui grandit et qui grandit, mais surtout grossit, il se remplit bien de sang, avant du lui remplir son temple de luxure. Mariage oublié, Élie et son Dieu, renvoyés dans les limbes de l’oubli, là, c’est du concret, elle ne peut s’empêcher de saluer ce dieu Phallus de l’adorer, de le baiser, le lécher. Mamadou tout au plaisir de la retrouvaille, de voir cette nappe de cheveux blonds couvrir son bas-ventre ne peut se retenir et lui balance tout ce qui traînait dans l’armoire à pruneau.
— Glouf glouf fait-elle surprise avant d’avaler cette crème d’Ajun si abondante, mais Mamadou, c’est quoi ? Je m’attendais à mieux de ta part qu’un pétard mouillé, partir comme un débutant qui se lâcherait dans sa culotte, d’autant plus que je ne suis pas à jeun, j’ai bien mangé tout à l’heure.— T’en fais pas, à mon tour de te déguster, cela fait des jours que je rêve à ta jolie petite chatte blonde. Les Indiennes, c’est intéressant les premiers jours, mais petit-à-petit, c’est comme les négresses, lassant, alors que toi j’en serai jamais rassasié.
Diffuse en direct !
Regarder son live