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La mue de la belle-mère

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
— Tu me surprends vraiment, en deux, jours une femme comme toi qui n’a jamais fait de folies sexuelles, se laisse toucher et embrasser par une autre femme, suce un serveur de restaurant et, bien que tu m’aies dit ce midi que tu ressembles à une pute, tu vas dans cette tenue, dans ta ville et dans un magasin où tu es connue.— Je me lâche, je vis, je jette mon passé aux orties, je découvre le plaisir du sexe, me faire désirer, m’offrir, enfin découvrir une vraie vie de femme comme celle que tu as offerte à Marie. Je ne comprends toujours pas pourquoi elle t’a quitté.— Tu lui demanderas ! Moi je n’ai jamais eu de réponses à mes questions. Tu vas prendre une douche, tu sens le foutre. La bouchère n’as pas été trop surprise par ta tenue ?— Non je veux rester la chatte pleine et tu m’en remettras tout à l’heure. J’adore rester comme cela, je me sens totalement salope.
La bouchère est restée la bouche ouverte quand elle m’a vue dans cette tenue. Elle m’a demandé :
— Madame Legrand que vous arrive-t-il ? Vous êtes habillée comment et vous sentez le sperme.
Je lui ai tout raconté depuis ton arrivée et elle m’a avoué qu’elle baisait régulièrement avec son gendre. Elle passera demain vers treize heures pour parler avec moi.
— Ta réputation va en prendre un coup dans ta petite ville.— C’est le dernier de mes soucis, d’ailleurs je peux aller au marché dans cette tenue vendredi.
Elle a voulu être prise par la chatte et le cul et a remis son short pour dormir. Le lendemain, à treize heures, la bouchère arrive. Pour la recevoir Sophie porte des bas, une guêpière, une micro jupe qui laisse voir le haut de ses bas et un chemisier en voile transparent. La bouchère est de la même taille, brune, cheveux courts, de petits talons, une robe assez courte et légère.
Devant un café, elle narre à la bouchère comment et pourquoi elle s’est métamorphosée. Elle se lève pour prendre sa main et la poser sur sa chatte pour lui faire voir qu’elle ne porte pas de culotte et qu’elle a rasé sa chatte.
Michelle « la bouchère » explique qu’elle baise avec son gendre, qu’elle a remarqué que son apprenti se branlait en les espionnant et qu’elle pensait s’offrir lui. Sophie passe sa main sous la robe de Michelle et lui retire sa culotte. Cette dernière se crispe ; les doigts qui lui fouillent la chatte ne la laissent pas indifférente. A son tour elle rend la politesse à Sophie. Les deux femelles se défient du regard et activent leurs doigts plus vite jusqu’à leurs jouissances communes.
— Ce serait bien que tu rases les poils de ta chatte, ton gendre et ton apprenti apprécieront.— Je vais le faire. Il parait que c’est mieux pour les hommes comme pour nous. Je te fais signe quand je serai libre, tu seras la première à goûter ma chatte rasée.
L’après-midi se passe avec les provocations et propositions salaces de Sophie, mais je refuse, lui disant qu’elle en aurait plus ce soir. La nuit tombée, on retourne dans la ville voisine. Suivant ma demande, Sophie est sur les sièges arrière, couverte d’un imperméable et ne porte que ses bas en dessous et son plug. Je rôde dans les petites rues, recherchant un homme seul. J’en trouve un qui paraît âgé de quarante ans environ. Je m’arrête à sa hauteur et lui demande de regarder à l’arrière de la voiture en allumant le plafonnier. Sophie ouvre son imper.
— Si elle vous plaît, montez avec elle et elle fera tout ce que vous demandez.— Combien cela va me coûter ?— C’est gratuit, profitez-en, elle accepte tout.
Je reprends ma maraude dans les rues. J’entends Sophie crier et jouir lorsque l’homme a fini. Je le dépose sur un trottoir.
— C’est un éjaculateur précoce, j’ai à peine eu le temps de jouir.— Tu veux un autre homme pour continuer de faire ta salope ?— Ce sera une nouvelle découverte pour moi, un deuxième homme à la suite du premier, ça m’excite encore plus.
Le deuxième est vite trouvé, cette fois Sophie doit être contente, il s’occupe d’elle pendant une heure et elle a plusieurs jouissances.
— Te voilà une salope prête à être baisée par plusieurs homme maintenant, rassure-toi, Marie l’a déjà fait plusieurs fois.— Plus rien ne m’étonne, elle a tout connu avec toi. Ce salaud a enlevé mon plug et m’a vraiment défoncé le cul. C’était trop bon, on continue ?— Tu en veux encore ? Tu vas devenir un vide-couilles.
Cette fois, je stoppe à côté de deux jeunes hommes dans les vingt-cinq ans environ ; ils n’en reviennent pas de cette belle occasion. Je conduis jusqu’au bout de la jetée entre deux bateaux posés sur le quai. Je me sers du rétroviseur pour regarder Sophie en action. Elle commence par les sucer l’un après l’autre puis elle en chevauche un et offre son cul au deuxième. Cette fois, elle crie très fort ! Ils changent de place et, à nouveau, sa jouissance est sans retenue. Je dépose les deux hommes en ville.
— Tu stoppes ou tu en veux encore ?— Encore une fois.— C’est ton maître qui va s’occuper de toi cette fois.
Je retourne entre les deux bateaux, je lui demande de descendre. Comme une morte de faim, elle saute sur ma ceinture pour l’ouvrir et descendre mon pantalon. Elle avale ma queue comme si elle est en manque. J’ai l’impression d’avoir une sangsue sur ma queue. Elle avale avec délectation mon sperme. Je l’allonge sur le capot et m’introduis dans son rectum. Cette chienne pousse son cul vers ma bite, je lui donne une claque sur les fesses. Comme elle ne se plaint pas, je continue, alternant coups de queue et fessée ; sa jouissance est certainement la plus forte qu’elle ait connue. Je jouis très fort, excité par sa conduite. Arrivé à cent mètres de son domicile, je stoppe, lui demande de retirer son imper et d’aller ouvrir son portail. Sans un mot, elle descend et parcourt les cent mètres sous la lumière blafarde des lampadaires. Je suis ébahi de son obéissance et son impudeur totale.
— Tu es heureux ? Ta belle-mère est devenue une salope totale depuis hier soir, tu vas lui faire découvrir quoi de plus ?— Tu apprends vite, mais il te reste du chemin pour tout connaître : déjà jouir avec une femme, draguer sur un trottoir ou dans un bar, être prise par deux hommes, participer à un gang-bang.
Nous sommes vendredi, jour de marché, Sophie a décidé d’y aller en tenue sexy en se moquant des commentaires des habitants de la petite ville, mais surtout faire voir qu’elle est une nouvelle femme faisant fi des avis des autres. Elle a mis ses hauts talons, une robe assez courte et découvrant une partie de sa poitrine soulevée par un soutien-gorge - une taille trop petite - qui comprime et remonte ses seins offerts comme dans une corbeille et une veste de cuir rouge. Discrètement, je la suis pour voir son attitude et sa conduite. Le vent coquin soulève sa robe découvrant le haut de ses bas et les attaches du porte-jarretelles. Une fois ou deux, j’ai pu apercevoir son string rouge. Lorsqu’un homme lui adresse la parole, je remarque qu’elle se cambre un peu pour mieux exposer sa poitrine. Elle fait trois fois le tour du marché avec l’envie de se faire voir et remarquer afin que les gens constatent sa mue en salope. Bien sûr, elle fait un arrêt à la boucherie avant de rentrer.
— J’ai envie de ta queue, je mouille comme une salope, les regards envieux des hommes et jaloux des autres femmes m’ont excitée. Au fait la bouchère vient nous tenir compagnie dimanche après-midi.— J’ai remarqué que tu t’es exposée au maximum aux regards pour faire deux fois le tour du marché. Mets-toi à genoux dans un fauteuil, je vais te calmer salope !
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