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La mue de la belle-mère

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
— Retire ton string et mets-toi à genoux sur le fauteuil, les cuisses bien écartées !
Sophie obéit rapidement sans poser de questions, je relève sa robe sur son dos. Elle pousse un rugissement lorsque les lanières du martinet cinglent ses fesses deux fois tout en tournant la tête pour me fixer du regard.
— Baisse les yeux devant ton maître, je vais calmer tes ardeurs de chienne en chaleur !
Sophie tourne la tête vers le fauteuil, je continue les coups de martinet sur ses fesses qui rougissent. L’intonation de ses cris change, je crois que la douleur se mue en un plaisir qui débute. Je passe le manche du martinet entre les lèvres de sa chatte qui en ressort couvert de cyprine et je le plante dans son cul, l’enfonçant de vingt bons centimètres. Sophie l’accueille avec un ho oui.
— Tu vas rester dans cette position le temps que je prenne mon déjeuner, tu as interdiction de relever la tête et de me regarder.
Sadique, je fais durer le repas durant lequel je me lève deux fois pour lui asséner plus fort deux coups de martinet lorsqu’elle a relevé la tête pour me regarder. Je retire le manche de son fondement pour le replonger une dizaine de fois, bien sûr, Sophie jouit dès la troisième introduction. Je cesse les aller-retour du martinet pour plonger ma queue douloureuse à force d’être raide dans son vagin rempli de mouille. Cette salope mouille depuis le début de son tour de marché. Je la besogne puissamment, ses cris de plaisir redoublent jusqu’à mon éjaculation. Je lui présente ma queue à sucer tout en continuant les va-et-vient du martinet dans son cul. Elle jouit et me suce en même temps.
— Merci mon chéri, tu me fais jouir de plus en plus à chaque fois, j’aurai dû écouter Marie et m’offrir à toi plus rapidement.
Suivant mes conseils, Sophie porte une robe simple courte sans aucun dessous et juste des talons, elle tourne en rond et s’impatiente du retard de la bouchère. Pendant ce temps, je prépare de petits toasts. Michelle arrive enfin vêtue elle aussi d’une robe simple et des talons assez vertigineux. Les deux femmes échangent un long baiser puis Michelle vient m’embrasser à mon tour, sa langue agile se faufile entre mes lèvres. Tout en l’embrassant, je passe une main dans son dos, au toucher, je remarque l’absence de sous vêtements.
Michelle nous raconte qu’hier samedi, son gendre et sa fille partent pour un repas et qu’elle a demandé à son apprenti de rester pour lui donner un coup de main pour la fermeture.
— Je me suis conduite comme une chienne en chaleur, pour ranger le magasin. J’ai retiré ma blouse et mes sous-vêtements, ouvert ma robe jusqu’à mon entrejambe et pris des positions pour exhiber ma chatte au commis. J’ai vite remarqué la bosse qui déformait son pantalon, le travail fini, j’ai posé ma main sur son entrejambe et j’ai été surprise par son volume, alors sans hésitation, j’ai baissé son pantalon pour sortir sa queue et je l’ai sucée comme un sucre d’orge. — J’ai failli m’étouffer par la dose de sperme que sa queue a craché. Je me suis relevée et j’ai retiré ma robe, j’ai posé les mains sur le comptoir et tendu ma croupe vers lui. Il a investi ma chatte et littéralement défoncé, beaucoup plus gros que mon gendre. J’ai crié comme une truie qu’on égorge. Il m’a prise debout contre le mur puis agenouillée sur le sol. La dernière fois, il a sorti sa queue de ma chatte pour m’arroser le ventre, les seins. J’en avais même sur le visage et les cheveux. Je me suis rendu compte qu’il m’avait baisée pendant plus de trois heures.
Pendant le récit de Michelle, Sophie lui a ouvert sa robe pour lui téter les seins et lui doigter la chatte, son histoire terminée, Michelle a vite retiré la robe de Sophie pour lui rendre la pareille.
— Je vous laisse faire connaissance les filles, je reviens m’occuper de vous plus tard. Je vous ai préparé des jouets sur le lit.
Je n’ai pas eu de réponses, trop occupée à se caresser. Je reviens une bonne demi-heure plus tard, Michelle est au-dessus de Sophie, elles fouillent la chatte de l’autre avec les godes que j’ai posés sur le lit. Je remarque que Michelle agite le rosebud dans le cul de Sophie et qu’elle en porte un aussi. Je me déshabille et commence à lécher l’entrejambe de Michelle, puis je retire le gode de sa chatte pour y introduire ma queue.
— C’est mieux une bonne queue qu’un gode, c’est chaud et vivant.
Déjà bien excitée par le gode, Michelle commence à jouir rapidement et accueille mon sperme avec plaisir, elle s’allonge sur le dos, cuisses ouvertes. Sophie comprend l’invitation et se met à quatre pattes en me jetant un regard de salope, j’ai l’impression que ses yeux baignent dans le sperme. Elle commence à récupérer mon foutre dans la chatte de Michelle avec sa langue pour l’avaler. Elle pousse un oui de plaisir lorsque ma queue remplit sa chatte gluante de mouille, Sophie jouit rapidement, je quitte sa chatte pour lui prendre le cul, elle pousse un cri et se relève sur ses bras pour mieux s’offrir à ma queue et crie plus fort.
— C’est trop bon d’avoir la chatte et le cul occupés en même temps.— Ne lui vide pas trop les couilles, je veux sa queue dans mon cul.
Je reste un certain temps dans le cul de Sophie qui n’arrête pas de crier et de lâcher de la mouille. Lorsque je me retire, les deux femmes échangent leurs positions et ma queue investit le cul de Michelle qui commence à jouir dès mon introduction. Au travers la fine paroi qui sépare sa chatte de son conduit anal, je sens le gode activé par Sophie et je me retiens le plus possible pour ne pas jouir. Je me retire et reste à genoux entre les deux femmes qui comme des mortes de faim se jettent sur ma queue qui éjacule, je ne sais pas dans quelle bouche je jouis, mais elles se partagent mon sperme.
— Je suis désolée, mais le travail m’appelle et je suis en retard, de plus je sens le sperme et la chienne en chaleur. Je vais faire comme Sophie maintenant assumer mes envies et tant pis aux personnes qui n’apprécient pas, il n’y a rien de meilleur que le sexe dans la vie.
Pendant cinq jours, le soleil disparaît, laissant place à de gros orages. Sophie passe son temps entièrement nue, quémandant du sexe plusieurs fois par jour, heureusement en fouillant l‘armoire de notre ancienne chambre, je trouve un carton contenant d’anciens jouets de Marie et j’en fais profiter Sophie. Je commence par lui poser des pinces sur les tétons et lui remplis la chatte et le cul de gode, elle se plaint qu’ils ne tiennent pas en place tout seuls.Je trouve un rouleau de scotch et lui entoure les cuisses et le bassin pour les maintenir en place.
Le lendemain, je vais acheter des piles pour les godes et toutes les heures je les mets en marche quinze minutes. Au bout de trois jours, elle me supplie de cesser. Heureusement le beau temps est revenu.
— Fais-toi belle, on va en balade toute la journée.— Je m’habille comment ?— Une tenue qui montre ta personnalité.— En salope sans sous-vêtements ?— Tu es longue à comprendre, tu vas être exhibée et baisée par des inconnus.— Enfin de la queue fraîche, j’en ai marre de jouir avec du silicone.
Sophie revient prête pour le départ, ses talons, une mini-robe ouverte jusqu’à son entrejambe et déboutonnée pour faire voir ses seins.
— Je mouille déjà, dépose-moi chez Michèle.
J’attends une bonne demi-heure avant de la voir revenir avec un grand sourire et les joues un peu rouges.
— Désolée mon chéri, Michelle m’a raconté comment elle a décidé son gendre de la partager avec le commis et plus elle baise plus elle en veut. Tu n’as pas remarqué, elle a même fermé le magasin pour me lécher et doigter la chatte. J’aimerais qu’elle vienne avec son commis la prochaine fois, tu veux bien ?— Salope tu veux te faire défoncer par sa grosse queue ?— Bien sûr et la tienne en même temps, me faire remplir des deux côtés en même temps.— Ouvre complètement ta robe pour les routiers et les autres voitures, fais voir que tu es une salope.— J’ai du succès avec les routiers, ils klaxonnent quand tu les doubles, va moins vite qu’ils puissent mieux me voir.— Tu mérites que je m’arrête sur le prochain parking pour t’offrir en pâture aux routiers.— Tu veux m’offrir aux routiers ?— Oui comme cela tu vas avoir de la queue fraîche pour te faire baiser salope.
Comme aucune voiture ne nous suit, je reste un bon moment à la hauteur d’un camion. Sophie pose ses pieds sur le tableau de bord et se doigte la chatte. Obligé de doubler le camion, je reste devant lui jusqu’à un parking où pour l’instant il y a cinq camions.
— Descends et suis-moi salope.
Sophie m’accompagne jusqu’au niveau de la cabine du camion qui nous a suivis, elle a gardé sa robe ouverte offrant le spectacle de sa nudité.
— Cette salope a le feu au cul, invite-la dans ta cabine et baise-la. Demande aussi à d’autres chauffeurs de te rejoindre.
Le chauffeur ouvre sa portière et prend Sophie par le poignet pour la hisser dans la cabine. Je pose ma main au niveau de ses fesses pour l’aider son bas-ventre et ses cuisses sont inondés de mouille.
Je reste deux heures à attendre le retour de Sophie qui a changé de camion plusieurs fois. Quel beau spectacle elle offre, nue sa robe à la main, elle est maculée de sperme de la tête aux pieds. Elle en a dans les cheveux, sur le visage et sur les seins, enfin partout. Lorsqu’elle ouvre la bouche pour me parler, celle-ci est pleine de foutre, cinq minutes plus tard, elle dort. Arrivé en ville, je me gare devant la boucherie, une mare de sperme recouvre le siège que ses deux orifices ont évacué. Par chance pas de clients.
— Bonjour Michelle, viens jusqu’à la voiture voir ta copine.— Je n’ai jamais vu autant de foutre de ma vie, combien de mecs l’ont baisée ?— Plus d’une dizaine, elle s’en souviendra, je pense. Elle nous racontera lorsque tu viens avec ton commis.
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