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La mue de la belle-mère

Chapitre 12

Avec plusieurs femmes
Le dimanche a été très calme, j’ai dormi avec Virginie à la sous-préfecture, nous sommes restés nus et au lit toute la journée sauf une pause où je me suis rendu chez Sophie récupérer des affaires et préparer ma valise. J’ai également réservé un hôtel pour deux jours à proximité du quai D’ORSAY. Notre rendez-vous est à quatorze heures mais nous prenons le premier TGV pour faire un peu de shopping. C’est un TGV à étage et nous sommes seuls dans le compartiment haut et comme c’est un direct Paris sans arrêt nous sommes tranquilles. Virginie s’est de suite mise à son aise, elle a retiré ses talons, posé ses pieds sur le siège, les cuisses écartées me laissant admirer sa minette qui devient de plus en plus brillante et ouverte la veste de son tailleur m’exhibant ses seins.
— Tu deviens de plus en plus salope ma chérie et j’adore.— Alors tu ne vas pas te plaindre du spectacle que je t’offre, je suis sur que tu bandes.— Devine, par contre toi tu mouilles de plus en plus et tu laisses un souvenir au siège.— On va faire quoi de notre matinée.— Des magasins pour te faire plus belle et un restaurant avant notre rendez-vous.— C’est ton rendez-vous , pas le mien.— Peut -être un peu le tien aussi.— Pourquoi le mien, je ne vois vraiment pas.— Tu n’auras la réponse que ce soir ma chérie.— Bon tu te décides à me donner du plaisir j’ai envie de jouir, regarde je suis trempée.— J’attends un peu, que tu sois comme une bombe prête à exploser.— Salop, tant pis pour toi je vais me donner du plaisir toute seule.
Valérie depuis dix minutes passe un doigt sur son clito et l’enfonce dans sa minette et le temps passe et je remarque que ses ailes narinaires se pincent et annoncent une jouissance proche, sa cyprine coule et s’étale sur le siège elle a pris soin de relever sa jupe sur ses reins.
— Tu es magnifique ma chérie quand tu es prête à jouir, attends un peu je vais faire quelques photos et le contrôleur arrive un beau jeune homme, tu pourras jouir devant lui.
Pendant que je prends les photos, ce sont plusieurs doigts qui s’activent dans sa chatte, sa respiration s’accélère et son nez se pince de plus en plus et lorsque le contrôleur arrive à notre hauteur sa jouissance éclate puissante et sans retenue, sa cyprine gicle devant elle. J’ai l’impression que les yeux du contrôleur vont sortir de leurs orbites, il reste la bouche ouverte sans dire un mot, mais je remarque que sa braguette a pris du volume.
— Excusez-nous, j’espère que vous aimez le spectacle, si vous voulez contrôler nos billets et même plus repassez dans un petit quart d’heure.
Réalisant enfin, il semble comprendre mon invitation.
— Il ne me reste qu’un wagon à contrôler et je reviens vers vous si vous le voulez.— Bien sûr madame vous attend avec impatience.— Tu m’offre au premier venu sans me demander mon avis.— C’est bien la première fois que tu refuses une queue en plus il est beau gosse, tu veux la mienne comment.— La tienne tu peux la laisser où elle est, je vais attendre celle du contrôleur.— Comme tu veux et tu vas lui offrir quoi. — Toute ma bouche, ma chatte, mon cul et toi rien.— Je te fais le pari qu’il ne tient que deux fois alors choisi bien.
Effectivement le contrôleur a été rapide, pressé certainement par ce qui l’attend.
— Donne- moi ta queue à sucer.
Je remarque que sa queue à la sortie de son slip est gluante, soit elle a beaucoup couler ou il a déchargé dans son slip. Virginie l’avale comme une morte de faim et en trente secondes, c’est terminé il a joui, penaud il se rajuste et s’enfuit presque. Virginie est à genoux sur le siège et me regarde avec un air de chien battu.
— Viens.
Ma queue plonge dans son petit cul où je m’enfonce avec délice, j’ai l’impression que quand elle veut du sexe son cul mouille comme sa chatte et dès mon introduction elle commence à jouir, le contrôleur revient sur ses pas pour nous regarder. Comme moi Virginie a dû remarquer le renflement au niveau de sa braguette.
— Redonne-moi ta queue à sucer.
Ma petite salope est aux anges deux queues que pour elle, je remarque qu’elle le suce doucement pour faire durer le plaisir, moi je continue de lui défoncer le cul le plus fort possible. Je la vois qui retire la queue de sa bouche et lui annonce.
— Viens jouir dans ma chatte, mon mari m’a pris le cul.
On échange nos places et Virginie enfonce ma queue au plus profond de sa gorge. Je suppose que le pauvre contrôleur doit barboter dans le marécage qu’est la chatte de ma salope, effectivement il faut peu de temps avant qu’il pousse un couinement et se raidit pour éjaculer.
— Chéri, ma chatte, rempli ma chatte.
Je lui donne satisfaction assez rapidement et ma queue crache mon foutre.
— C’est bon mon chéri mais la prochaine fois que tu trouves un partenaire, trouve mieux.— Dès ce soir je te promets un bien meilleur.
Dans l’ascenseur de l’hôtel, le bagagiste a les yeux rivés sur les cuisses de Virginie et arrivés dans la chambre, je comprends mieux, des coulées de sperme et de mouille lui descendent jusqu’aux genoux.
— Regardes-toi dans une glace ma chérie.— Ha oui je fais vraiment salope comme cela, mais j’adore sentir ton sperme couler le long de mes cuisses.— Tu fais un petit nettoyage pour aller faire les magasins.— C’est mieux et je m’habille comment.— Tu es bien comme tu es, peut-être un petit string ou pas comme tu veux.
Je remarque dans une vitrine un ensemble en cuir rouge, chaussures, pantalon et veste, j’attire l’attention de Virginie.
— Superbe mais tu es fou tu as vu le prix c‘est horriblement cher.— Rien n’est trop beau ou trop cher pour la femme de ma vie et puis en quatre ans en DOM-TOM je n’ai rien dépensé.— Venez avec moi madame je vais prendre vos mesures exactes et allez chercher les modèles correspondants. Je me rapproche de la cabine pour voir Virginie.— J’ai un peu honte, je n’ai rien mis comme sous-vêtements.— Et alors la vendeuse à trouvé à redire.— Non elle m’a dit que je suis une belle femme et même caresser un peu les seins.— Vous allez voir votre femme va être magnifique dans cette tenue et même nue elle est splendide.— Elle vous plaît? — Beaucoup faudrait être difficile pour ne pas la désirer.— Laissez parler vos envies, elle ne sera pas contre.— Merci, mais vous?— Non plus, laissez le rideau ouvert pour mon plaisir.— Passer le pantalon puis les talons, vous êtes à croquer il vous moule bien ou vous voulez un plus serrez mais “ je n’entends pas le reste de la phrase”. Venez voir monsieur et donnez votre avis. Regardez, il lui va comme une seconde peau, il est vraiment fait pour elle.
Tout en me parlant, elle caresse les fesses de Virginie, passe sa main le long de ses cuisses et plusieurs fois sur son entrejambe.Les deux femmes sont très proches l’une de l’autre et ce qui doit arriver est arrivé, elles ont échangé d’abord un petit baiser, puis d’autres et maintenant leurs bouches sont soudées l’une à l’autre. Je m’approche et pose une main sur une fesse de Virginie, le cuir est comme une seconde peau souple et agréable à toucher. La vendeuse qui me surprend de plus en plus saisit ma main et la pose sur son bassin. Mes doigts se faufilent entre le tissu de sa robe et entrent au contact de sa chair au niveau de son mont de vénus et aucun obstacle ne m’empêche de toucher son minou tout lisse tout doux, elle écarte même les jambes pour faciliter le passage de mes doigts qui entre dans sa chatte. Sa bouche quitte celle de Virginie pour venir se poser sur la mienne, son baiser est doux, délicat et les deux femmes se caressent la poitrine l’une de l’autre.
Une voix soudain retentit.
— Vous êtes ou Madeleine?— Aux cabines d’essayage avec des clients.
Nous nous séparons rapidement, avec trois gros soupirs de déception.
— Du 36 ou 37 en chaussures pour madame.— Oui avec vos talons les plus hauts.
J’aperçois à peine la patronne qui s’est assise à une caisse, la vendeuse revient avec des chaussures et les fait essayer à Virginie.
— Vous mieux avec ceux-ci, votre pied est mieux tenu et sur ce modèle les talons sont plus fins et plus hauts. Quel genre de veste désire madame, plus décontractée ou près du corps c’est ce que je conseille à madame. Effectivement la veste serrée à la taille agit comme un corset et remonte la poitrine, la vendeuse glisse ses mains entre le cuir et les seins de Virginie pour les faire remonter mais surtout pour les caresser, cette dernière réagie vite et glisse sa main sous la robe de la vendeuse qui glousse délicatement. La voix de la patronne retentit.— Vous trouvez votre bonheur?— Oui parfaitement cet ensemble va à ravir à mon épouse.— Il ne me reste qu’à prendre la marque pour la longueur. L’ensemble sera disponible demain en fin d’après-midi” discrètement elle ajoute venez après dix-huit heures trente la patronne sera partie”
Elle se met sur le côté pour m’embrasser et me dire “ bonne journée à demain”.
— Permettez je vais vous aider à retirer le pantalon.
Je les abandonne pour payer nos achats à la patronne une fois qu’elle a demandé les références à Madeleine.
— Merci mon amour tu es fou, je crois que demain soir on va passer une superbe soirée.
On continue quelques achats surtout des dessous affriolants j’insiste pour guêpière et corset.
— Demain visite de sex-shops maintenant repas et un brin de toilette pour mon rendez-vous.— Bonjour Madame j’ai rendez-vous avec monsieur André Duchateau pour monsieur Pierre Latour.— Troisième étage porte 308, je vous fais accompagner?— Non je vous remercie je suis de la main je connais.
André m’attend à la sortie de l’ascenseur et une accolade nous réunis, il porte un regard interrogateur vers Valérie.
— André je te présente Valérie mon amie.— Je vous connais je n’oublie jamais un visage, votre nom va me revenir.— Vous avez été un de mes formateurs à l’ENA.— Sucette votre surnom, je ne me trompe pas? — Non c’est bien cela, vous avez bonne mémoire cela fait six ans.
Mon salop, tu as le chic toi, tu trouves salope sur salope. Sucette était le surnom de Virginie la dernière année de formation, toujours disponible pour sucer où se prendre une queue et je pense qu’elle n’a pas changé pour tenir compagnie à un gaillard comme toi.
— Virginie est belle, adorable, salope, très salope même et c’est pour cela que je l’aime. Depuis elle a fait des progrès elle aime prendre du plaisir avec une femme et adore la sodomie et elle commence l’exhibition.— Pourquoi tu trouves toujours des femmes comme cela et jamais moi.— Tu cherches mal, tu as Marie qui est disponible, tu la connais et c’est une super salope.— Tu devrais lui annoncer le nouveau plaisir qu’elle vient de découvrir.— Marie a une nouvelle addiction sexuelle comme Sophie d’ailleurs elle pratique la zoophilie.— J’ai eu Sophie au téléphone il y a une dizaine de jours, elle ne m’a parlé de rien, sauf qu’elle cherche un nouveau cuisinier car celui qui y est actuellement bois et cela nuit à son travail. Attends il faut que je téléphone pour le resto ce soir nous sommes trois au lieu de deux, tu verras cuisine superbe, il en a marre de Paris et je dois l’emmener le week-end prochain voir le prieuré.— Parlons travail, ton congé sans solde sera terminé dans deux mois et les postes sont rares j’en ai deux à te proposer.— Excuse moi Valérie, il y a une chose que je dois discuter avec André en tête à tête.
André a appelé sa secrétaire pour offrir un café à Valérie le temps de notre discussion.
— Voilà André, j’ai prévu de demander à Valérie de devenir ma femme ce soir, comme tu seras mon témoin. Donc il me faut un poste où on peut aller à deux.
Ha oui de toute j’ai deux postes à t’offrir, un prestigieux Moscou, très demandé et un autre plus exotique Dakar.
— Je te donne ma réponse ce soir, j’ai un petit service à te demander, plutôt à ton cuisinier de préparer un dessert ou je peux y mettre une bague.
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