Vingt heures on arrive au restaurant où nous attend André. Valérie est magnifique avec des hauts talons mauves assortis à la couleur de son bustier et se sa jupe longue mais fabriquée avec dix bandes de tissu, à chacun de ses mouvements des bandes s’écartent et laisse voir ses bas noirs attachés à sa guêpière qui laisse la moitié de ses seins apparents tout en les soulevant les rendant encore plus volumineux. — Tu es magnifique Valérie, la chrysalide que j’ai connue à l’école est devenue un magnifique papillon et je pense que tu as trouvé l’homme qui te correspond pour ton épanouissement dans la vie et sexuellement aussi.— Merci André, pour tes compliments et je pense aussi avoir trouvé l’homme qui m’aide à progresser dans la vie et m’épanouir comme petite salope “ c’est un de ses mots d’amour préférés et à moi aussi”. André nous présente le chef de cuisine à qui je remets discrètement l’écrin avec la bague et nous offre le champagne qui sera suivi de deux autres pendant le repas, chaque fois que le serveur vient à notre table ou la table voisine Valérie bouge ses jambes de manière à lui offrir une vue différente de ses bas. — C’est vraiment devenu une allumeuse cette petite salope, le serveur va finir par avoir mal aux yeux me glisse à l’oreille André.— Elle éteint aussi bien les incendies qu’elle les allume, tu vas voir. Je me penche vers Valérie et lui chuchote quelques mots. Le repas se termine et la salle se vide un peu, alors lorsque le serveur revient à la table voisine. Elle lui fait un clin d’œil et un discret geste de la tête et se lève de table. Un petit quart d’heure plus tard, Valérie revient avec un grand sourire aux lèvres et reprend sa place à table. Elle ouvre sa bouche pour me faire voir et à André aussi le sperme qu’elle a dans sa bouche qu’elle avale en passant sa langue sur ses lèvres. — Alors là j’ai l’impression de rêver, tu lui demandes de sucer le serveur et cette petite salope le fait avec beaucoup de plaisir. Tu veux un peu de champagne Valérie ou tu gardes le goût du sperme en bouche.— J’adore les deux je vais reprendre du champagne pour commencer, je sais que le sperme suivra plus tard. Il ne reste que nous trois à table et c’est le chef qui nous apporte de magnifique Saint Honoré. Je lui présente succinctement le prieuré en lui précisant mes attentes en cuisine qui dispose de deux salles distinctes, une pour des repas haut de gamme et une autre plus classique, je lui parle aussi du club, il semble très intéressé et je lui propose une visite guidée par une soubrette le samedi soir. Valérie pousse un énorme cri de surprise en découvrant la bague au milieu de son gâteau. Me voici donc à genoux devant elle. — Ma chérie, ma petite salope, veux-tu m’épouser?— Avec un immense plaisir mon amour. Le tout se termine par un interminable baiser entre nous. André se lève pour nous féliciter, me serre la main et Valérie l’embrasse sur la bouche et fait de même avec le chef qui la félicite. Direction l’hôtel où Valérie invite André à se joindre à nous avec mon accord. — Chéri je suis un peu partie avec le champagne et tu sais que cela me rend très gourmande.— C’est bien alors commence donc par regarder dans le pantalon d’André.
Celui-ci assis dans un fauteuil se laisse faire et sa queue est avalée par Valérie, je viens derrière elle il me suffit d’écarter deux pans de sa robe pour voir sa chatte que j’investis d’un puissant coup de rein. Je suis très surpris de découvrir que du sperme s’y trouve déjà ce qui me donne envie de la posséder plus fort. André joui dans sa bouche et moi dans sa chatte. Au cours de la nuit, nous le possédons ensemble ou chacun son tour. Lorsque j’ouvre les yeux il est déjà dix heures et ma petite salope repue par sa nuit de sexe joue à la belle au bois dormant. Il me suffit de lécher un peu ses tétons pour la réveiller. — Bonjour mon amour, merci pour ce réveil très agréable et cette nuit de folie, je suis pleine de sperme partout.— Bonjour ma salope que j’aime, j’ai une petite question hier au soir lorsque j’ai introduit ma queue dans ta chatte il y avait déjà du sperme, explique-moi. C’est tout simple mon chéri lorsque je suis descendue aux toilettes avec le serveur pour le sucer, un cuisinier nous a suivis et à profiter de ma chatte. — Tu deviens vraiment une chienne en chaleur.— Tu me trouves trop salope maintenant, tu ne veux plus m’épouser?— Continue de faire ta salope mon amour je t’aime comme cela, tu sais qu’on à rendez-vous a quatorze heures avec André pour le choix de mon affectation, tu as une idée toi, ma chérie.— Oui bien sûr mais le choix te revient.— On en reparle après la douche et le petit déjeuner, tu as une idée pour ta tenue de cet après-midi.— Je pense à la jupe de cuir noir avec talons et bas et veste de cuir aussi portée sur la peau. Une balade en ville, un restaurant et à quatorze heures on se présente au bureau d’André, j’ai demandé à Valérie de fermer un bouton supplémentaire de sa veste pour arriver au Quai D’Orsay et elle pourra l’ouvrir en arrivant au bureau. André a les traits tirés. il me serre vigoureusement la main et embrasse Valérie sur la bouche. — Ce n’est plus de mon âge des soirées comme hier, trop de champagne et Valérie m’a complètement essoré les couilles et vous deux vous resplendissez de bonheur. Valérie est vraiment une allumeuse, elle a décalé sa chaise un peu sur le côté et croise haut les jambes offrant une vue imprenable de sa minette à André et elle n’a pas défait un bouton mais deux, sa veste est ouverte jusqu’à son nombril. — Ma chère Valérie tu m’offres un spectacle que j’apprécie beaucoup mais aujourd’hui agit peu sur ma libido, alors vous avez choisis votre destination, j’ai une petite idée.— Lance toi chérie, annonce notre choix à André.— DAKAR.— Je l’aurai parié et je ne suis pas surpris, je crois connaître les raisons de votre choix.— On attend ton argument, je te dirai le nôtre après.— Pour apaiser la gourmandise de Valérie, les queues Sénégalaises sont parfaites à mon avis.— Tu as vu juste André c’est mon idée et Valérie m’a confirmé le même choix.— Je vous souhaite un bon séjour et beaucoup de bonheurs.— De toute façon on se voit à la fin de la semaine et puis au mariage si tu acceptes d’être mon témoin. L’après-midi passe très vite dans les magasins de fringues et nous arrivons à notre rendez-vous avec la vendeuse, cette dernière est occupée avec une cliente et semble seule. — Bonsoir Monsieur, Dame vous pouvez aller aux cabines je vous apporte votre commande. Lorsqu’elle revient je remarque qu’elle a troqué ses chaussures plates pour des talons, qu’elle a ouvert un bouton supplémentaire sur sa robe en haut et en bas. Elle embrasse Valérie sur la bouche et fait de même avec moi. — J’ai attendu ce moment toute la journée, c’est de la folie, je peux vous présenter une jupe rouge qui va aussi avec la veste j’ai oublié hier trop troublée. Valérie se déshabille et la vendeuse a les yeux rivés sur sa poitrine, elle hésite un peu et pose une main sur un sein pour le caresser et sa bouche sur l’autre pour le téter, je me colle contre elle et elle doit sentir mon érection sur ses fesses car elle ondule légèrement du bassin. D’une main je lui palpe un sein et l’autre trouve sa chatte déjà bien humide et passe mes doigts sur ses lèvres intimes. — Stop arrêté, je ferme le magasin car dans cinq minutes je ne réponds plus de rien. Madeleine se penche en avant pour goûter la chatte de Valérie qui écarte ses jambes, je retire sa robe et lui palpe les fesses et trouve son abricot juteux à souhait que je fouille avec mes doigts, les deux femmes gémissent, je me déshabille à mon tour et frotte ma queue sur sa minette. — Je peux Madeleine. Elle ne répond pas mais saisis ma queue d’une main en laissant échapper un ho et la guide entre ses lèvres, sa main glisse vers mes couilles et pousse mon vit au plus profond d’elle, je m’enfonce et me retire en douceur de cet antre gluant et chaud, elle a une main enfouie dans la chatte de Valérie tout en lui léchant le clito qu’elle lâche un court instant pour me dire. — Plus vite, plus fort. J’obéis à sa demande ce qui augmente ses gémissements qui se transforment en jouissance qu’elle étouffe la bouche posée sur le mont de vénus de Valérie qui a son tour nous offre une belle jouissance. Moi je me retire et reste la queue raide. — Tu peux jouir en moi, j’aime sentir ma chatte pleine de jus. Valérie se met à genoux et me prends dans sa bouche, elle regarde Madeleine qui se joint à elle pour me sucer, quel bonheur d’avoir le sexe pris entre deux bouches et les langues qui dansent dessus ou une bouche qui m’avale et l’autre qui joue avec mes couilles. Lorsqu’elles sentent que ma queue tressaille, je me retrouve avec deux bouches ouvertes devant mon vit comme deux petits oiseaux au nid qui attendent la becquée des parents. leurs mains s’activent pour m’amener à la jouissance et elle récupère mon foutre comme deux mortes de faim, elles se le partagent bouche contre bouche et langue mêlée et nettoient toutes les traces de mon plaisir. Je m’assois sur une chaise et regarde le superbe spectacle offert par les deux femmes qui s’embrassent à perdre haleine tout en se doigtant les chattes et tout ce termine par deux jouissances partagées. — C’est la première fois que j’ose faire cela au magasin mais je recommencerai.— Tu viens avec nous au restaurant et finir la nuit à notre hôtel? — J’aime bien mais quoi raconter à mon ami.— Téléphone lui et passe-le-moi.— Allo, bonsoir monsieur, je suis madame Duchateau du Quai D’Orsay et nous avons débauché votre amie et une partie de son magasin pour présenter la mode Française à des hôtes étrangers, elle dormira sur place et sera reconduite demain matin, je vous donne mon numéro personnel si vous voulez me joindre par nécessité votre amie sera certainement occupée aux présentations, merci et bonne nuit à vous. Madeleine regarde Valérie avec des yeux ronds estomaquée par son audace. — Jamais je n’ose faire une chose pareille, tu l’as déjà fait à ton mari?— Non je lui téléphone simplement pour lui dire que je baise avec un ou deux hommes et lui peux faire la même chose.— Votre vie est un rêve, vous êtes beaux, de bons amants. Ma vie est triste à côté de la vôtre.— Ce soir et cette nuit tu as tout pour prendre autant de plaisirs que tu veux. Je téléphone au restaurant d’hier pour réserver. Valérie essaie le pantalon qui la moule parfaitement ainsi qu’une jupe de cuir rouge. — Ma robe fait triste à côté de ton ensemble de cuir.— Je garde mon ensemble noir et toi tu mets le rouge, on fait sensiblement la même taille, il te manque juste des bas.— Le magasin en vend je vais en prendre une paire de Dim-up comme toi. J’arrive au restaurant accompagnée de deux splendides créatures: une brune et une blonde vêtues de cuir, le chef vient nous accueillir chaleureusement. — Notre ami André n’est pas de sortie ce soir? — Non la nuit a été trop fatigante pour lui.
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !
