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Muriel coquine

Chapitre 2

Lesbienne
Le temps passe lentement. Sophie ne cesse de me faire des clins d’œil. J’ai hâte de découvrir son corps, l’embrasser et aussi l’embraser bien sur…Il est 10 heures et je reprends contact avec Nathalie par mail :  -  Chérie, tu es prête ?  -  Oui maitresse  -  Installe toi confortablement, observe ton sexe, il va commencer à vibrer.  -  Oui maitresse, c’est très bon.  -  C’est l’échauffement. Ton orgasme va te traverser au niveau 3.Et c’est parti. Je vais le faire tourner dix minutes. Ce que ça donne est tellement violent que j’en suis anxieuse… Je l’arrête puis la rejoint en refermant son bureau. Je la découvre, les yeux révulsés et les cuisses largement écartées, d’où une fontaine jaillit, inondant sa serviette. Elle se calme, ouvre les yeux et me découvre :  -  Tu étais là, maitresse ? Me chuchote-t-elle.  -  Oui, je m’inquiétais pour toi chérie.  -  j’ai eu un orgasme énorme, limite un évanouissement.  -  Et une très jolie fontaine.  -  je crois qu’on va arrêter là pour aujourd’hui, je te le retire.Ma main se dirige vers sa vulve, elle tremble encore bien que l’œuf soit éteint…En sortant, Sophie m’interroge :  -  Il s’est passé quoi ?  -  Rien j’avais besoin d’une info précise.Je me dirige vers elle, l’embrasse et lui chuchote :   -  Aux archives, je te veux nue, totalement nue…  -  Tu ne peux pas me demander ça !   -  Bien sûr que si chérie… à moins que tu n’aies quelque chose à cacher ? Tu sais, ce matin, j’ai bien remarqué les brulures de cigarettes sur tes seins…  -  Tu les as remarquées ? Alors ok, je vais me mettre nue. Mais tu ne voudras peut-être plus de moi.  -  Ne dis pas de bêtises ! Tu n’as pas compris quand je te dis « chérie » ?  -  Si et ça me rend folle…  - alors fait-moi confiance !

Sur ce, arrive midi. Sophie part déjeuner en me donnant un gros baiser. Nathalie sort péniblement de son bureau, les yeux hagards. Je lui dis de faire une petite sieste pour aller mieux. Elle va se coucher sur le canapé et s’endort rapidement. Je déjeune puis commence à charger le chariot avec les dossiers à classer. Je vais voir Nathalie, je lui laisse une heure et demie… Mais après une heure, elle émerge. Ça va mieux. Je lui tends 3 barres énergétiques pour la remettre en forme.
A 14 heures, Sophie arrive avec un œil au beurre noir… S’est-elle battue dans la rue ? Je dois tirer ça au clair. En descendant au sous-sol, je la serre dans mes bras, elle tremble… On range vite fait les dossiers et vient le temps des explications :  -  Qu’est ce qui s’est passé ? Qui t’as fait ça ?  -  C’est mon porc ! Quand il m’a vue en jupe et bas, il m’a traité de pute et m’as cogné...  -  Ça arrive souvent ?  -  Très souvent !  -  NON, c’est trop souvent ! Maintenant déshabille toi entièrement.  -  Non, pas ça s’il te plait…  -  Tu m’avais promis ma chérie…Elle retire son chemisier en larmoyant, et tout le reste… ses seins portent bien des traces de nombreuses brulures de cigarettes. Je la fais pivoter et c’est une vision de cauchemar ! Elle a le dos lacéré par des coups de cravache, la chair est à vif. Ses fesses ont subi le même traitement, les cuisses aussi. Je la refais pivoter et remarque des cicatrices sur son abdomen.  -  Bon, ma chérie, je vais devoir prendre en photos tout ça et les faire parvenir à Alicia, elle est avocate dans les violences faites aux femmes. Tu ne rentres pas chez toi. On va déposer plainte chez les flics.  -  Mais je vais aller où ?  -  Ne t’inquiète pas, tu viens chez moi.  -  Je ne voudrais t’imposer ma présence.  -  Arrête ma chérie, quand tu verras ou je vis, tu ne voudras plus partir. Pour tes affaires, on ira faire les magasins ensemble. J’ai déjà pris un rendez-vous chez mon esthéticienne pour demain matin. On remonte et on va voir Nathalie pour qu’elle nous libère plus tôt. Il faudra peut-être que tu lui montre.On prend l’ascenseur et je vais voir Nathalie :  -   Nathalie, j’ai besoin d’une faveur, peux-tu nous libérer plus tôt ce soir ?  -  mais pourquoi ?  -  Sophie, tu peux venir s’il te plait ?  -  je n’ose pas…Je vais la chercher et la prends par la main.  -  Tu peux te déshabiller ? Elle s’exécute. Nathalie se décompose.  -  Mais qui a osé te faire ça ?  -  Mon « mari », ce porc ! Et je ne te l’ai pas dit Muriel mais il avait prévu de m’attacher, de me fouetter et faire venir ses copains pour… Je ne te fais pas un dessin…  -  Vous allez tout de suite chez les flics ! Pour les heures perdues, je m’en arrange… Tu sais où aller ce soir et ce week-end ?  -  Muriel m’invite chez elle…  -  Ok, on se tient au courant, je compte sur toi Muriel.  -  je t’appelle dès que j’ai du nouveau.On part au commissariat central pour le dépôt de plainte, qu’on nous refuse ! Je commence à bouillir !  -  Sophie, aurais-tu l’extrême obligeance de montrer ton dos, s’il te plait ?Sophie remonte son chemisier, se retourne… Le flic est horrifié et appel ceux qui sont de service. Une horde de flics déboule et nous entrainent dans leur bureau. Ce sont des femmes qui s’occupent de nous, hormis le jeune médecin qui emmène Sophie en salle d’examen. Je dis à Sophie que je vais l’attendre dans la voiture mais les flics ne sont pas de cet avis. Je subis un interrogatoire, le temps que Sophie revienne avec le dossier rempli par le médecin, contenant des photos et les constatations. Elle a les joues en feu et sens bon la crème cicatrisante. Elle répond à l’interrogatoire et balance tout ! Elle ne nous avait pas tout dit… Les flics sont consternés.  -  Vous ne devez surtout pas rentrer chez vous ! On va le cueillir au saut du lit, dimanche matin ! On peut vous payer l’hôtel…  -  Inutile, ma collègue m’a proposée de m’héberger le temps qu’il faudra.
À 18 heures, nous ressortons et je me dirige vers chez moi. Sophie pose sa main sur ma cuisse. Il faut que je te raconte l’examen :  -  il m’a demandé de me déshabiller totalement, il fut très surpris de mon absence de sous-vêtements. Il m’a inspecté du dos jusqu’aux cuisses, m’a fait retourner pour inspecter mes seins qui se sont dressé involontairement, puis mes anciennes cicatrices. Il a ensuite inspecté ma vulve qui commençait à s’humidifier. Il m’a étalé de la crème sur le dos puis l’a faite pénétrer en me massant. Quand ce fut au tour des fesses, il s’est promené dans mon sillon et a massé  mon œillet. Me sentant réceptive, il m’a pénétré de deux doigts puis les as fait tourner. Je n’en pouvais plus… Il a fini par les cuisses, en remontant bien haut, contre ma chatte trempée… il a ensuite massé mes seins turgescents et m’a demandé doucement d’écarter mon compas. Trois doigts m’ont envahi. J’ai commencé à gémir. Pour me faire taire, il a sorti son engin, d’une taille respectable, bien dur. Je me suis jeté dessus et commencer à le pomper. Il n’a pas mis longtemps à tout me décharger dans la bouche. J’ai avalé sa délicieuse potion… Il m’a aidé à descendre de la table. J’ai déroulé le préservatif  sur son braquemart, me suis mise en levrette, en écartant bien mes fesses. Il m’a prise me donnant un immense plaisir, puis il a pris ma vulve et a déchargé une deuxième fois. Là, j’ai joui aussi mais pas aussi violemment qu’avec toi. C’était la dernière fois avec un homme…  -  Tu as quand même pris du plaisir, il ne t’a pas forcé…  -  Non, j’avais surtout envie de toi. Ses mains douces m’ont allumée, comme toi. Et comme avec toi, je me suis offerte.  -  Tu sais qu’aucun homme ne vient chez moi ?  -  Oui, je sais, tu es purement lesbienne. Le peu que j’ai vu du plaisir féminin m’a conforté dans ma décision. Au fait, qu’as fait ta main sous la jupe de Nathalie, ce matin ?  -  Je vais te raconter quand on sera au lit, enlacée !  -  On arrive…Je la prends par la main, puis appelle l’ascenseur. Je tape un code sur le clavier tactile. A l’arrivée nous sortons dans un sas, je pose ma main sur un autre écran tactile, l’index, mon œil droit puis mon sein gauche. Le tout sous le regard éberlué de Sophie…  -  Bonsoir Muriel ! Je détecte une autre présence, tout va bien ?  -  Oui, c’est ma collègue Sophie.  - Bonsoir Sophie.  Le sas s’ouvre…  -  bienvenue chez moi chérie. Juste un petit détail, tu as un placard à ton nom pour poser tes affaires car ici, on vit nue.Ce faisant, je me déshabille et apparais dans mon plus simple appareil. Elle est subjuguée et veux me prendre dans ses bras.  -  Non ma chérie, ici, c’est peau contre peau… et je pense que tu vas apprécier la suite. Elle se met à nu et ne peux s’empêcher de téter mes framboises… je la prends par la taille puis ouvre la porte ! Les deux fauves nous attendaient, Titus toujours aussi exubérant, ne peut s’empêcher de passer sa langue sur le minou de Sophie puis le mien. Elle ne semble ni surprise, ni dégoutée… Spit, quant à lui attend sagement sa pitance. Je la guide dans la cuisine. Elle semble au paradis. Je sers Spit puis donne la gamelle de Titus à Sophie. Il en profite et elle se met à quatre pattes. Il lui saute sur le dos, cherche le graal et je vois sa main qui le guide. Il la pénètre violemment, la faisant crier ! Je regarde ça avec intérêt ! Ma petite Sophie est pleine de surprises ! Le nœud se gonfle, elle est prisonnière. J’en profite pour lui mettre ma vulve sur le visage, Elle me dévore et je lui jouis en pleine figure. Titus tire comme un forcené et la libère dans un plop écœurant… Elle s’écroule, ivre de plaisir. Il revient la lécher. Je l’emmène à la douche, la lave puis l’emmène dans mon lit.  -  tu peux m’expliquer ?  -  Je suis née dans une ferme, nous avions des chiens, dont un molosse. Un jour, j’ai découvert ma mère en train de se faire prendre par lui. Elle y prenait vraiment du plaisir… alors je lui en ai parlé, elle a rougi puis est devenu verte quand je lui ai dit que j’en voulais aussi. J’avais 19 ans et j’étais vierge. C’est lui qui m’a défloré. La complicité avec ma mère nous a fait pratiquer l’inceste et le lesbianisme ! Ce furent mes meilleures années ! Ensuite, ce fut l’enfer…  -  tu es pleine de surprises.  -  c’est toi qui as fait remonter tout ça à la surface, c’est pour ça que j’ai tenté le tout pour le tout.  -  Et ça a réussi !   -  Si tu me parlais de Nathalie ?  -  Je l’ai découverte en train de se masturber dans les toilettes en criant mon nom. J’ai attendu qu’elle sorte ! Nous avons discuté, j’ai commencé à la déshabiller, malaxer ces seins, tordre ses framboises. Je lui ai ordonnée de se mettre nue et je lui ai rentré la main dans la chatte ! Tout en pompant, je lui ai demandé si elle n’avait pas des tendances soumises… Elle a acquiescé. Depuis elle m’appelle maitresse et je la fais jouir. Elle adore ces jeux ! Aucune violence, que du plaisir…  -  Tu me prendrais comme soumise ?  -  Quoi ?  -  Oui, j’aime ça aussi et avec toi je peux avoir confiance.  -  Veux-tu devenir colocataire ? Il n’y a que les charges à payer puisque les 2 lofts m’appartiennent.   - 2 lofts ?   - Oui mais maintenant, il faut dormir. Demain, tu perds ta toison.Elle se love contre moi et s’endort rapidement… Comme elle a mis son dos contre moi, je lui attrape délicatement un sein, que je sens durcir…Après une nuit de récupération, je me réveille trempée. Une petite langue me lèche. Je bascule sur le dos, écarte largement mes cuisses, lui offrant ma chatte lisse. Elle en profite pour poser la sienne sur ma bouche. Je cherche dans sa forêt mon objectif, que je trouve en suivant son flux de cyprine. J’entame un délicieux soixante-neuf. Son miel coule dans ma bouche, je vais avoir du mal à m’en passer tellement c’est bon, je glisse mes mains sur ses flancs et attrape ses seins. Je les masse pour les faire durcir ! Elle halète et jouit en criant, écrasant son sexe sur mon visage, Elle me barbouille de sa mouille ! Sophie se relève et vient m’embrasser.  -  Merci mon amour…   -  Je n’ai rien fait, et c’est toi qui as commencé.  -  Tu n’as pas aimé ?  -  Tu plaisante ? J’ai adoré !  -  mais tu n’as pas joui !  -  J’étais à l’écoute de ton corps, de tes sensations, tes gémissements, tes petits cris, tes tremblements, afin de t’accompagner vers ton orgasme…  -  Merci mon Amour.  - Ce n’est pas le tout, on a une journée chargée, lève tes fesses, direction la douche…Elle trottine et agite ses petites fesses martyrisées, Elle me fait craquer, tellement nature, gourmande et insatiable. Sous la douche, elle m’a demandé si elle pouvait essayer le gode ventouse car elle aime être bien remplie aussi. Elle s’est empalée en poussant un gros soupir puis a commencé. Je suis restée en face d’elle et en me caressant, mes yeux dans ses yeux. Quand j’ai tiré sur ses tétons, ça a déclenché son orgasme. Ses cuisses étaient tremblantes, je l’ai rattrapée quand elle tombait, complètement absente, les yeux révulsés. Je l’ai déposé sur le canapé, séché délicatement et j’ai oint son dos de crème. Quand ce fut au tour de ses fesses, j’ai pris beaucoup de plaisir.  -  tu sais que tu me fais du bien ?  -  J’espère. Elles doivent être si jolies sans ces zébrures.   -  Je peux t’avouer quelque chose ?  -  Vas-y.  -  Tu es la meilleure chose que me soit arrivée depuis longtemps. Collègue, amie, amante, maitresse, une plastique de rêve, tu me fais fondre. Je crois que je suis amoureuse…
  - Puisqu’on en est aux confidences, je suis aussi amoureuse, de tes courbes harmonieuses, ta franchise, ton corps, ta force d’avoir supporté tout ça depuis si longtemps et puis tu es ma soumise soft. Je vais te transformer, tu vas devenir une femme fatale et sexy. Et ça commence aujourd’hui ! Retourne-toi que je masse tes seins.Je les découvre tendus à bloc. Après le massage, assorti de moult soupirs et gémissements, je la relève, lui prend la main.  -  Une autre clause : personne autre que toi et moi ne doit pénétrer ici. Paula ne plaisante pas. Elle est intraitable et incorruptible.  - Mais qui est Paula, je ne l’ai pas encore vue ?  -  Paula est une IA militaire. Je l’ai acheté sur le darknet, puis, je l’ai adaptée à mes besoins. Allez viens, tu dois choisir une chambre.  -  Je veux celle qui est la plus proche de toi.  -  Excellent choix car elle communique avec ma chambre par le dressing.  -  Cette chambre a un dressing ou tu pourras stocker tes nouvelles tenues, tes gants de boxe, bref, tout ce qui t’appartient et tu pourras la décorer selon tes souhaits.  -  Tu as bien dis boxe ?  -  Oui, je vais t’apprendre à te défendre.  -  Paula ? Peux-tu modifier le pass en intégrant Sophie, s’il te plait ?  -  Bien sur chérie. Voilà, c’est prêt !  -  pose ton index sur le capteur, attend… c’est bon !  -  Merci Paula, dit Sophie.  -  De rien chérie…  -  aller on entre. Sophie découvre son antre personnel. Elle peut remonter son lit sur le mur et ça dévoile une large table avec un écran intégré qu’elle peut redresser pour jouer ou travailler, une bibliothèque entoure le lit. J’ouvre la porte du dressing et sa mâchoire de décroche... A gauche, le dressing et à droite, une douche perso à l’italienne, un lavabo et un bidet pour une bonne toilette intime. J’ouvre la porte suivante, on se retrouve dans ma salle de bain et ensuite dans ma chambre avec mon lit King size.  -  Alors, ça te plait ?Elle m’embrasse tendrement.  -  Allez, on s’habille et culotte obligatoire ! Tiens prend ce string ! Il va t’aller à merveille !  -  Oui mais ça fait moche avec ma touffe.  - Ne t’inquiète pas, ce sera bientôt de l’histoire ancienne.
Nous voilà parties vers la première modification de la journée, mon esthéticienne.  -  Bonjour Julie !  -  Bonjour mesdames !  -  J’ai un rendez-vous pour un intégral pour Sophie, ici présente.  -  Nouvelle cliente ?  -  Oui !  - Marjorie, viens chercher Sophie ! Elle l’emmène vers le salon de beauté.  -  Viens me dit Julie en chuchotant… Alice, tu prends l’accueil ?  - Oui, je n’ai pas de clientes avant deux heures…Julie m’amène dans son bureau. Il y a un grand écran pour visualiser tous les salons de beauté. Elle cherche et trouve Sophie avec Marjorie. Ma chérie est nue et largement écartée, Marjorie étale la cire et dévoile le mont de venus et les lèvres de sa vulve qui semblent bien mouillée. Julie en profite et glisse deux doigts dans ma vulve…  -  Espèce de coquine ! Tout à coup, je remarque un visage familier qui se prépare à sortir du salon. C’est Nathalie.   - attend, je reviens !Je sors rapidement et attend ma soumise qui ne devrait pas tarder. Elle est très surprise.  -  tu viens entretenir ta toison, toi aussi ?  -  Non, je fais disparaitre celle de Sophie…  -  Viens voir !On retourne dans le bureau et on découvre Julie, un rabbit dans le sexe en train de vibrer. Toute à son plaisir, elle ne nous voit pas. Je montre l’écran à Nathalie… Elle serre les cuisses car on voit Sophie, les fesses en l’air, pénétrée par trois doigts de l’esthéticienne dans sa rosette. Elle l’aide à se retourner, remet les trois doigts puis lèche goulument sa vulve lisse. Sophie explose de plaisir. Marjorie continue pour prolonger son orgasme puis l’embrasse. Nathalie est brulante, un vrai volcan.  -  Tu n’es plus indisposée ?  -  Non maitresse !  -   Alors viens avec nous…  -  Je ne peux pas maitresse, je dois aller à la banque.  -  Et ce midi, on mange ensemble ? Ça fera plaisir à Sophie… et après on fait les magasins pour refaire sa garde-robe, ton aide serais appréciée…  -  Oui excellente idée.Julie émerge de son orgasme et me demande si c’est sa première fois. Je confirme. Elle me rétorque que c’est pour la maison. Je l’embrasse sous les yeux de Nathalie, qui sue à grosses gouttes.  -  Vite, elle se rhabille !On attend Sophie qui arrive avec les joues rouges, comme si elle avait couru un marathon.  -  ça s’est bien passé demande Julie ?  -  Oui, Marjorie a des doigts de fée !  -  C’est donc elle qui s’occupera de vous.  -  Avec plaisir répond Sophie en faisant un clin d’œil à Marjorie.Maintenant, direction la coiffeuse visagiste… Je laisse Sophie entre de bonnes mains et vais me balader et faire du repérage dans les magasins. Je reviens une heure après, elle est méconnaissable. Elle a fait le même carré que moi, ça lui va bien et ça la rend terriblement sexy !  -  Je te plais ?  -  Ça te va très bien !  -  Merci mon Amour…Ma culotte est à tordre… On se dirige vers le restaurant italien que j’avais repéré. Nathalie arrive et s’installe. Le repas se passe à merveille, avec beaucoup de rires. Au moment de partir, une envie pressante nous tiraille, Sophie et moi. On descend aux toilettes et Sophie me demande :   -  je peux venir avec toi ?  -  Pourquoi pas ?  -  Écarte bien tes jambes pour que je voie bien ton jet doré.Pendant ma miction, elle passe deux doigts dans le jet puis les portes à sa bouche :   -  Mmmmm, j’adore ! Aller, à mon tour, regarde mon minou tout lisse, passe tes doigts dans mon jet et goute-moi…Effectivement, c’est chaud et excellent.  -  Alors, tu as aimé ?Je ne réponds pas, retrousse ma robe, me pose sur ses cuisses et l’embrasse. Cette coquine en profite pour me pénétrer, tout en tapotant mon clitoris.  -  arrête, je vais jouir !  -  C’est justement le but.Et ça ne rate pas, ses stimulations ont eu raison de moi…  -  Tu es incorrigible, insatiable, limite nympho !  -  C’est exactement ça mais c’est surtout toi qui m’inspire car tu me libère… Bon, faut remonter sinon Nathalie va descendre nous chercher.  -  Vous en avez mis du temps ! Tu es bien rouge Muriel, toi aussi le marathon ?  -  On peut dire ça…
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