Cette histoire est basée sur des faits réels et relate mon évolution sexuelle récente.Je suis Muriel 45 ans mariée depuis 14 ans, grande rousse aux yeux marron de 1m74, je suis assez mince pour 64 kilos mais avec des formes très féminines : on me dit toujours que j’ai un beau cul ! Ma poitrine est ferme et je porte bien mon 95 B. Je suis de base assez timide et j’ai eu une éducation stricte qui a fait de moi un enfant sage. J’ai eu peu de partenaires (quatre au plus) avant de rencontrer mon mari Alex. Notre couple est très fusionnel. Lui aussi n’a pas eu beaucoup de partenaires et d’expériences et nous avons tout expérimenté ensemble. Ces derniers temps, on a eu l’idée d’aller dans un sex-shop pour le fantasme. On a acheté des tenues sexy, un sex-toy et des DVD X. Le soir, de temps en temps, on se visionne un film pour se chauffer et on continue au lit ! Bref une vie de couple sans accrocs et heureuse. L’arrivée au milieu de la quarantaine est un cap pour moi et je me suis alors posé beaucoup de questions : Est-ce que j’ai assez profité de la vie ? Qu’est-ce que je veux encore découvrir ? Est-ce que je séduis encore ? Ces questions me tracassent de plus en plus et je suis alors saisie de l’envie de profiter une dernière fois de la vie avant que le temps inexorable ne me plonge dans la vieillesse qui m’effraye. Bien sûr je peux partir vers une aventure extraconjugale mais l’idée de tromper mon mari est impossible à envisager pour moi. Pour concilier les deux, une idée fait finalement son chemin au fil des jours de cet été 2013 : pourquoi pas tenter le libertinage ? Ça donne l’occasion de tester sa séduction, de découvrir de nouveaux partenaires tout en restant dans le cocon sécurisé du couple aimé. Un soir je lui en ai parlé : — Chéri, est que tu ne voudrais pas tenter des trucs ? — Quoi donc ? — De pimenter un peu notre vie sexuelle quoi. — Bien sûr, répondit-il une lueur dans les yeux « que veux-tu faire ? »— Je voudrais qu’on essaye le libertinage, est-ce que tu es partant ?— Ha oui quand même ! Oui, je suis partant, ça m’attirait aussi mais je n’osais te proposer, je pensais que tu refuserais. — Avant oui mais maintenant je suis prête à sauter le pas. Etant finalement sur la même longueur d’onde, on commence à se renseigner ensemble sur internet : les sites de rencontre, les clubs, les us et coutumes du libertinage... On s’inscrit rapidement sur un site libertin. On fait alors quelques photos coquines sur notre lit avec de la lingerie et des sex-toys. J’ose des poses que je n’aurais jamais tentées avant, cherchant à être la plus désirable possible, le tout dans un état d’excitation indicible. Après avoir posté notre annonce, on est déjà tout émoustillés par ce qu’on faisait : Excités à la moindre réponse et au moindre like sur nos photos. Après beaucoup d’échanges en ligne on fait même un peu d’exhib en cam avec des partenaires virtuels, c’était très chaud ! Mais il est apparu que si on voulait sauter le pas du réel il fallait aller en club. On a choisi ensemble un club à côté de chez nous et on planifie notre sortie : Le club ouvre à 23h, on part de chez nous discrètement à 23h30 une fois les enfants couchés. On a l’impression de redevenir ados et de faire le mur pour la soirée !
Ce soir, je mets une tenue sexy que j’ai commandée sur internet : une petite jupe noire plissée imitation cuir, un haut moulant noir décolleté en V, des bas autofixants noirs à résilles et des chaussures à talons. Un string noir et un soutien-gorge demi-bonnet en dentelle noire comme sous-vêtements, un vernis à ongles et un rouge à lèvres rouge pétant complètent ma panoplie de nouvelle libertine selon mon goût : sexy sans être vulgaire. Rien que de me préparer ainsi à sortir je suis excitée comme une puce, je sentais que mon sexe était déjà tout humide. J’enfile une veste longue par-dessus tout ça et on s’engouffre dans la voiture direction le club en priant pour ne pas subir un contrôle de police dans cette tenue ! Pleins d’appréhension dans la voiture, nous convenons d’observer d’abord, de voir les gens faire et de voir si ça nous plaît avant de tenter quoi que ce soit. Arrivés au club, nous entrons et déposons nos vestes au vestiaire. Une femme très sexy à la réception nous demande si on est déjà venus et nous propose de nous faire la visite. On passe de pièces en pièces, pour l’instant vides, les clients étant autour du bar : vestiaire, piste de danse, salle de douche, pièce avec un lit rond au milieu, chambres ouvertes ou fermées avec ou sans trous dans les murs dans une relative obscurité baignée de la seule lumière de quelques spots colorés. Les images me viennent de tout ce qu’on peut faire dans ces lieux et mon imagination peuple les pièces vides de couples faisant lascivement l’amour et de gangbangs impudiques La clientèle est de tout âge avec une majorité de quarantenaires chez les couples et quelques jeunes hommes seuls. J’ai chaud et je suis partagée entre l’excitation et l’envie de m’enfuir en courant. L’expression « les regards qui déshabillent » s’appliquent parfaitement à la situation : j’ai l’impression d’être scrutée des pieds à la tête par ces messieurs et aussi ces dames. « Regardez-moi ! Je suis le plus beau du quartier » chantait Carla Bruni, c’est exactement ça et ça m’excite davantage. La soirée s’avance, on profite du bar et on va danser sur la piste au son de la disco des années 90 (thème de la soirée). On n’ose pas aborder les clients inconnus, se contentant d’observer : Des habitués discutent entre eux, échangent quelques caresses et quelques baisers, quelques caresses s’échangent aussi sur la piste de danse avec des frôlements. A 1h30 du matin, nous décidons de faire un tour dans les coins câlins du club pour voir ce qui s’y passe. On déambule dans des couloirs encombrés d’autres gens. Ma main sert celle d’Alex fermement. On entend des gémissements qui proviennent de chambres fermées, on voit trois hommes agglutinés contre un mur, le sexe dans un trou et de l’autre côté on aperçoit un pied chaussé de talons d’une femme à genoux devant les membres de cette rangée d’hommes laissant l’imagination spéculer sur ce qu’elle leur fait... Dans la grande salle, deux couples sont sur le lit rond à se mélanger tout en étant observés par plusieurs hommes qui se masturbent. Je sens une bouffée de chaleur au comble de l’excitation. Alex me plaque contre un mur, m’embrasse et me caresse. Soudain je sens une autre main sur moi !Je ne sursaute pas, je continue à caresser Alex et à l’embrasser comme si je n’avais pas remarqué. La main caresse d’abord pudiquement mes hanches et mes fesses et passe sur mes cuisses et remonte sous ma jupe. Je murmure à Alex — Y a un type qui me caresse.— Je lui dit d’arrêter ? Me demande-t-il.
Je jette un coup d’œil sur le côté. Je vois un jeune homme de taille moyenne, une petite barbe de trois jours, châtain. — Non ça va, lui répondis-je.
La main passe sur mon string caressant le mince tissu humide qui protège mon intimité restante. Je me retrouve en sandwich entre mon mari et cet homme comme je l’ai rêvé dans mes fantasmes les plus fous. Un flot d’hormones m’empêche d’avoir la moindre idée claire en ce pareil moment.Après quelques minutes de caresses, d’autres hommes s’approchent intéressés. Le jeune homme nous murmure — On peut aller dans une chambre fermée ? — On te suit, lui répondit-on.
A sa suite, donnant la main à mon homme on cherche une chambre disponible suivit par une file indienne de mecs voulant profiter de l’aubaine.L’homme connaît les lieux, il nous trouve une pièce qu’on ferme avec un verrou. Il se met devant moi pour me caresser et m’embrasser. Je suis grisée de ce contact avec un nouveau partenaire. Mon mari, derrière moi, me caresse les seins et les fesses, sa présence m’encourage et me rassure.Il sort sa queue de son pantalon, Alex fait de même et comprenant, je m’agenouille entre eux deux.Je prends la queue de l’homme dans ma main pour le branler un peu, il est rapidement raide et je la guide vers ma bouche. — Hummm oui suce-moi, murmure-t-il.
Je vais et je viens devant lui, engloutissant sa queue dans ma bouche humide. Je vois que mon mari n’en perd pas une miette, il est sur le cul de me voir sucer ainsi un étranger.Je le retire de ma bouche pour le sucer à son tour. Il bande bien dur tellement il est excité, ça me conforte aussi qu’il aime ce qu’on fait.L’homme finit de se déshabiller et me soulève pour que je m’allonge sur le matelas. Je me retrouve sur le dos les cuisses écartées, la tête vers le bord du matelas pour continuer à sucer Alex. L’homme plonge sa tête entre mes cuisses et me lèche la chatte complètement humide. Il prend un préservatif dans le petit panier et l’enfile sur sa queue qu’il pousse contre ma vulve. Je prends mon mari par le bras et je le regarde faire. D’un coup il rentre. — Hooooooooo, je gémis.
Il commence à me ramoner de plus en plus vite. Je sens bien qu’il est super excité. Ses mouvements sont de plus en plus saccadés, il jouit rapidement en donnant de grands coups de reins en moi. Il se retire, enlève son préservatif et reprends ses affaires, un salut de la tête et il quitte la pièce. — On ne sait même pas comment il s’appelle, dis-je à mon mari, un peu interloquée par la situation. Je me rends compte également que je viens de me faire pénétrer par un parfait inconnu !
Profitant de la sortie de notre partenaire, un autre homme, jeune, très mince, blond à la peau très blanche est rentré. Avec la queue déjà raide en main il s’approche de moi...Je fais un signe à Alex que ça va car le précédant a joui très vite et je suis encore très excitée !Il lui laisse la place et je penche ma tête pour le sucer. Alex se place entre mes cuisses et me pénètre à son tour. Il me caresse les seins et est plus sensuel que le précédent. Je déguste encore une fois une nouvelle queue pour ce soir. Alex se retire laissant la place au nouvel arrivant. Celui-ci enfile un préservatif sur sa queue bien raide. Il prend mes cuisses et me tire au bord du lit et, après avoir coulissé sa queue deux-trois fois sur ma fente humide, il me pénètre d’un coup de reins. Alex est revenu à mes côtés. Le jeune homme prend plus son temps, ses mouvements sont amples et il me pénètre en profondeur. Je gémis de plaisir avec la bite de mon mari dans la bouche. Tournant la tête j’aperçois sortant du mur à travers les trous trois bites qui attendant qu’on s’occupe d’elles. J’imagine les propriétaires excités qui nous observent par les trous et ça m’excite encore plus. Mais elles attendront car je suis assez occupée et la jouissance commence à monter en moi. Je crie de plus en plus fort, je m’agrippe à Alex et je branle bien fort sa queue. Le jeune homme blond commence à avoir des spasmes plus irréguliers et gémis à son tour, ses mouvements plus rapides amplifient mon plaisir. Il éjacule en moi dans son préservatif et s’effondre sur moi en léchant mes seins. Reprenant mes esprits, je guide la queue de mon mari vers ma bouche où il explose à son tour. De retour à la maison, nous ne cessons de parler dans la voiture, nous exprimons notre enthousiasme, nous échangeons nos impressions. Nous sommes conquis par l’expérience. Au retour dans la chambre conjugale, impossible de dormir, nous ne résistons pas à l’excitation maintenue à un si haut niveau et nous prolongeons cette nuit d’amour entre nous deux encore et encore. En une soirée nous sommes rentrés avec succès dans le monde du libertinage.
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