Depuis notre découverte des clubs libertins, nous y sommes souvent retournés toujours avec le même plaisir, profitant d’hommes seuls pour des trios ou de couples pour échange de partenaires. On a essayé d’autres clubs et ce vendredi soir, nous allons vers un petit club un peu perdu dans la campagne. Après que le GPS nous ait plantés en nous faisant passer par un chemin agricole, on arrive enfin à ce fameux club. Déjà, il n’y a pas beaucoup de voitures devant, mais bon, on est tôt, il est seulement 23h. On entre à la réception et je profite du vestiaire pour me changer. J’ai acheté de nombreuses tenues et là, j’ai mis un bustier noir damassé qui ne recouvre que la moitié de mes seins et des bas noirs fixés par des jarretelles au bustier. Un tour de cou noir en dentelle et des mitaines de dentelle noire complètent ma tenue avec mes escarpins à talons. Un simple string préserve mon intimité. Le club est assez sympa avec un bar lounge équipé de nombreux fauteuils en cercle autour d’une piste de danse avec une barre de pôle dance. Sur le côté partent les couloirs vers les coins câlins. L’impression qu’on a eue avant d’entrer se confirme. Il y a peu de clients. Pour l’instant, il n’y a qu’un homme au bar qui sirote une bière. On s’installe sur un canapé et on danse un peu et on passe le temps en buvant un verre. 1h après, seuls 4 clients sont arrivés ... tous les hommes. Je suis la seule femme du club ! Vous pouvez imaginer les regards insistants qui se posent sur moi dès que je me lève pour aller au bar ou aux toilettes. Il ne faut pas croire, mais les mecs dans les clubs libertins sont respectueux et de plus, étant la seule femme de surcroit accompagnée, ils savent qu’il ne faut pas être trop insistants. Du coup, à par quelques sourires et des regards appuyés, on a peu de sollicitations. — heure après, toujours que ces 5 clients masculins au club. C’est toujours décevant ces soirées qui manquent d’ambiance et qui plus est quand on attend ce moment toute la semaine en étant excitée par l’idée de faire une sortie, de revêtir des tenues sexy, de rencontrer de nouveaux partenaires et de prendre du plaisir. D’habitude, j’aime prendre un partenaire pour lequel je flashe, j’ai besoin de feeling pour prendre du plaisir, mais là, les mecs sont ... moyens. Pas de beau jeune mec musclé avec une gueule de BG. Je ne suis pas spécialement attirée par l’un d’entre eux. Alex me glisse dans l’oreille « si tu veux, on rentre » — Ha non, lui répondis-je « je me faisais une joie de cette soirée ! j’étais toute excitée !»— Oui je comprends ta déception, mais aucun homme ne te plaît.— Hé bien, si aucun homme ne me plaît individuellement, je les prends tous ! — Tu es folle ! tu veux prendre les 5 ? — Tu ne m’en crois pas capable ? répondis-je en défi « tu vas voir ! » Je lui tends la main pour l’entraîner avec moi dans le couloir de coins câlins. Comme je le prévoyais, immédiatement ce fut la file indienne derrière nous ! Une file d’opportunistes venant mater où, comme le disait le grand penseur Jean-Claude Dusse «pour voir si sur un malentendu il y aurait moyen de conclure». On s’allonge tous les deux sur le matelas de la grande salle éclairée par des spots rouges. J’embrasse Alex et on se caresse en s’enlaçant. Sans les voir, on imagine les regards envieux qui nous scrutent dans la pénombre. Cette exhibition qui excite les mâles m’excite énormément et je sens ma vulve tout humide. Je redresse ma tête et je les vois en rang, certain avec la bite sortie en train de se masturber. Je fais signe à deux d’entre eux de nous rejoindre. Je dois répéter mon appel tellement ils sont incrédules. Ils s’approchent. Je sens leurs mains parcourir mon corps, d’abord timidement puis de manière plus assurée, ils s’aventurent sur mes seins, mes fesses, ma chatte ... Alex leur laisse le champ libre et quand l’un d’eux glisse deux doigts dans ma chatte, l’autre me lèche les seins. Les autres s’enhardissent et je sens des mains me caresser les pieds et remonter le long de mes jambes. Un des clients approche sa queue sortie de mon visage. Je la saisis et je le guide vers ma bouche. Bientôt, tous les mecs ont la queue sortie et se succèdent dans la bouche. Un homme de la quarantaine ne tient pas très longtemps et m’éjacule dans la bouche par surprise. Je le soupçonne même de s’être retenu au max jouir au moment où il était dans ma bouche ! Pas très galant, mais bon j’assume. Un des compères se met à genoux entre les jambes et enfile un préservatif. Il jette un regard vers Alex et vers moi pour recueillir notre approbation. D’un coup de tête affirmatif, on lui donne le signal. Il frotte sa queue emballée de latex sur ma vulve humide et la pousse à l’entrée de mon vagin. — hummmmmmmm ouiiiii ! dis-je en gémissant. Il empoigne mes cuisses relevées et commence ses amples mouvements en moi. Mon corps est couvert de mains qui me caressent les seins, le ventre, le clitoris, de bites qui se pressent vers ma bouche ou se frottent contre mes seins ou se font branler quand j’ai une main de libre. Moi qui aime d’habitude contrôler les choses, je me sens grisée et dépassée par les événements. Mon corps est offert à ces mâles, il ne m’appartient plus : ils l’utilisent pour assouvir leurs fantasmes les plus pervers sur moi. Tous les hommes, sauf ce dernier, se succèdent plusieurs fois dans mon vagin, alternant les pénétrations lentes et sensuelles et les coups de reins plus virils. Pour cette soirée, je ne veux pas me faire enculer, voulant privilégier mon plaisir vaginal. Certains tentent leur chance en approchant un doigt de mon anus, mais je les repousse sans ambiguïté. Ils sont trop nombreux et je ne veux pas finir en boitant ! Allongée sur le dos, cette nuée de mâles excités s’affaire autour de moi ! Ca fait venir en moi l’image de la reine des abeilles courtisée par des bourdons et faisant le plein de semence pour sa vie de pondeuse. L’effet pour moi est une pénétration non-stop très longue, les hommes se succédant en moi, je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle. Mon clito et mon vagin sont gonflés de plaisir. Je ressens des spasmes de jouissance en permanence. Si la plupart éjaculent dans leur préservatif en lançant un dernier coup de reins saccadé en moi, 3 autres, dont mon mari, jouissent sur mes seins ou mon ventre. Au bout d’un temps qui m’a paru infini, les corps se relâchent, harassés par la jouissance mutuelle. Certes, je n’avais pas de concurrence pendant cette soirée, mais l’enthousiasme de mes partenaires m’a transportée dans un état de désir et de plaisir que je n’avais jamais atteint. Je me rends compte que j’aime être désirée, possédée, livrée à ces hommes qui assouvissent leurs envies avec moi. C’est très troublant, je ne me qualifierais pas de soumise au sens strict, mais je comprends maintenant le plaisir qu’il y a à l’être. Je me redresse, souillée de sperme, pour aller à la douche. Je remercie mes partenaires du plaisir qu’ils m’ont donné. Quand je sors de la douche, le club est à nouveau désert, il n’y a plus que nous deux. Après un dernier verre au bar, on reprend le chemin de la maison pour que je retrouve dimanche ma vie simple et heureuse de mère au foyer sans laisser apparaître que je suis une dévergondée tous les samedis soirs.
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