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Muriel et Viviane à la plage

Chapitre 1

Erotique
Collègues de travail, Viviane et Muriel ont décidé d’un premier week-end de beau temps pour se rendre à la plage, distante de 150 kilomètres de leur lieu de domicile. C’est une plage girondine, vaste avec de grosses vagues et beaucoup de bon sable, idéale pour le bronzage. Toutes deux ne sont plus des jeunes filles : Viviane a 50 ans, Muriel 52 ans. Toutes deux sont divorcées et n’ont pas pour l’heure de liaison durable. Toutes deux ont encore un corps agréable, avec des seins lourds et bien accrochés (en forme de courge pour Muriel, de pastèque pour Viviane) qu’elles aiment mettre en valeur par des décolletés généreux, quelques bourrelets dus à l’âge, quelques rides, mais restent séduisantes aux yeux des hommes. Muriel est grande et élancée avec des cheveux blonds mi longs portés au carré. Viviane est plus petite, ses cheveux sont frisés. L’une pratique la gymnastique, l’autre le footing.
Elles ne se laissent pas aller et croient encore rencontrer l’homme qui leur permettra d’accompagner le reste de leur vie. Mais il s’agit le plus souvent d’amants de passage qui profitent de leur corps accueillant et d’un tempérament porté sur le sexe. Car, oui, le sexe, elles aiment ça. Tellement que certains hommes, qui leur plaisent pourtant, n’osent s’avancer trop loin avec elles, de peur de ne pouvoir toujours les satisfaire et donc de se retrouver cocus...
Aussi n’arrêtent-elles pas de se confier leurs déceptions, ce qui les a rapprochées en dehors de leur travail. Elles en parlent aujourd’hui encore en voiture, sur le chemin de la plage.
— David est encore venu hier soir, raconte Muriel. Je lui avais pourtant interdit de remettre les pieds chez moi. Marre de cette relation qui ne mène à rien. J’ai voulu lui faire entendre raison, on s’est engueulés, mais il m’a coincée contre le mur, m’a embrassée et là, j’ai encore craqué.— Quoi ? Vous avez baisé ?— Ben oui. Je n’ai pas pu résister et je m’en veux.— Tu as joui au moins ?— Oh oui et c’est ça le pire ! Ce corps jeune m’excite terriblement, mais c’est une relation sans avenir, car il ne quittera jamais sa femme.— Au moins, tu as pris ton pied. Moi, en ce moment, je n’ai personne et franchement, ça me manque. Ton David, s’il venait chez moi, je ne lui fermerais pas la porte au nez.— Tu veux me le piquer ?— Mais non, je rigole... Décidément, ma pauvre Muriel, tu es pleine de contradictions.
Voilà le genre de dialogue qu’ont les deux femmes pendant leurs rencontres et tout porte à croire qu’elles vont continuer à en parler une fois qu’elles auront posé leur serviette sur la plage.Avant d’escalader la dune, un court débat s’engage. Viviane veut s’écarter, faire quelques centaines de mètres sur la gauche pour trouver un coin tranquille afin de bronzer nue. Muriel n’est pas contre, mais prévient :
— Moi, je garde le bas. Seins nus, d’accord, mais pas plus.— OK, comme tu voudras. Moi, j’aime bien sentir le vent dans ma foufoune, rigole Viviane.
Vingt minutes plus tard, elles sont en place, face à la mer. Muriel a enduit le dos et les fesses de Viviane d’une crème protectrice et son amie a fait de même... sauf les fesses. Elles ont entamé un recto verso au soleil qui sera leur principale activité de la journée. Il y a encore peu de monde autour d’elles. A proximité, deux couples : un d’une quarantaine d’années, un autre plus jeune, qui les regardent du coin de l’œil avant de s’en désintéresser. Muriel et Viviane poursuivent leur conversation :
— Tu es vraiment ridicule de ne pas enlever ton slip, dit Viviane à Muriel, il ne cache presque rien. On voit même le haut de la raie des fesses.— Peut-être, mais il cache l’essentiel. C’est mon côté pudique. Et puis, le blanc, ça fait ressortir le bronzage ailleurs.
— Moi, j’aime faire corps avec la nature. J’ai l’impression de me purifier en étant nue. Et se baigner à poil, quel plaisir ! dit Viviane qui illustre son propos en écartant les jambes afin de sentir "le vent dans sa foufoune".
*******A ce moment de la discussion apparaît un homme jeune, brun, nu et déjà bronzé, au ventre plat, qui déambule sur le sable mouillé d’un air nonchalant. Il regarde au passage les couples, s’attarde sur les deux femmes derrière ses lunettes noires et esquisse un sourire. Muriel et Viviane (qui a prestement refermé ses jambes) font mine de n’avoir rien vu et considèrent le mouvement des vagues. Une fois qu’il est passé, elles commentent :
— Pas mal ce mec, dit Muriel. Il me rappelle un peu David.— Il doit t’exciter alors.— Faut voir, il est passé un peu vite. Mais tu as vu sa queue ? Longue, un peu recourbée, comme je les aime, et elle avait l’air ferme.— Arrête, tu te fais du mal et à moi aussi.— Et son petit cul ? On en mangerait.— Arrête je te dis ! Tu oublies que ça fait plus d’un mois que je n’ai pas baisé, contrairement à toi.
Les deux femmes évoquent alors leur conception masculine au physique et au moral. Un sujet inépuisable.
— Tiens, le voilà qui revient. On va regarder de plus près.
L’homme s’avance, toujours nonchalant, au ras des vagues. Mais soudain, arrivé à hauteur des deux femmes, il bifurque et vient droit vers elles. Légère panique dans le duo. Viviane se demande si elle doit cacher sa foufoune ou pas. Elle décide de se mettre sur le ventre. L’homme s’assoit à leurs côtés, sans complexe, et engage la conversation :
— Alors les filles, on bronze ?— Ben oui, et alors ? On est venue pour ça, non ?— Oui, j’imagine. Vous n’allez pas vous baigner ?— Si, tout à l’heure.— Quand je serais parti ?— C’est ça.— Dites que je vous gêne.— On ne vous a pas invité.— Bon, ça va, j’ai compris. A plus tard peut-être.— C’est ça, à plus tard.
Et l’homme s’en va après un "ciao" de circonstance. Viviane regarde le "petit cul" s’éloigner. Elle murmure à Muriel :
— On a été un peu vaches, non ?— J’aime pas les dragueurs de plage.— Bon, moi non plus, mais on aurait peut-être pu discuter.— C’est ça, pour mater sa queue. J’ai bien vu que tu la regardais.— Ne me dis pas que tu ne l’as pas regardée non plus. On ne voyait que ça !— C’était une belle queue, il faut le dire. Et un joli cul aussi. Mais bon, il est parti, n’en parlons plus.
*****Les deux femmes décident d’aller se baigner. Muriel a finalement décidé d’enlever son slip pour profiter de la volupté de l’eau fraiche sur son corps. Quand elles retournent auprès de leur serviette, l’homme est là, juste à côté. Muriel et Viviane se sentent terriblement nues face à lui.
— Je vous ai gardé vos affaires pendant que vous vous baigniez. Elle est bonne, hein ?
La glace est rompue. Une conversation s’engage. Le garçon, âgé de 30 ans, est venu pour le week-end parfaire son bronzage dont il est fan et a loué un appartement à proximité.
— Homo ? demande Muriel avec aplomb.— Non, hétéro, répond le garçon du tac au tac qui dit s’appeler Raphaël, mais demande à se faire appeler Ralph. Il prétend travailler dans la publicité et le mannequinat.— Voyeur alors ?— Pas davantage, enfin pas plus que les autres hommes ici qui regardent les jolies femmes comme vous.— Pourquoi n’êtes vous pas accompagné ? demande Viviane. Un beau garçon comme vous, c’est étonnant.— J’aime ma liberté, cela me permet des rencontres intéressantes comme les vôtres.— Merci. Doit-on comprendre que vous aimez les femmes mûres ? interroge Muriel.— Exactement. Les femmes de mon âge m’ennuient, elles ne pensent que mariage.— Et qui vous dit qu’on n’y pense pas ou plus ?— Mon petit doigt.
Le trio en est là à ce badinage quand Viviane interrompt la conversation.
— Oh, regardez, dit-elle à voix basse en montrant le couple de quadras voisin de quelques mètres.
Vêtue d’une casquette qui dissimule en partie son visage tout en dégageant sa queue-de-cheval, la femme administre une fellation à son compagnon lequel, les mains croisées sous la nuque, semble dans la béatitude la plus complète.
— Eh bien, ils ne se gênent pas ces deux-là, grince Muriel.— C’est courant ici, vous ne le saviez pas ? réplique Ralph.— Euh non, d’habitude on va plutôt de l’autre côté.— Il y a quelques libertins ici. Tenez, regardez de l’autre côté, ça bouge aussi.
Les deux femmes se retournent et constatent que le jeune couple est également passé à l’action. L’homme s’est "pudiquement" couvert de sa serviette et besogne sa compagne tranquillement, indifférent au monde extérieur.
— Ah ben ça alors ! lâche Viviane. Ils sont vraiment gonflés.
Ralph ne commente pas. Il observe le couple et les deux femmes ne peuvent que constater l’évidence : son sexe grossit à vue d’œil. Il s’en empare et se caresse sans complexe. Muriel et Viviane se demandent quelle contenance prendre, d’autant que la quadra chevauche maintenant son partenaire avec ardeur et sa queue-de-cheval virevolte sous la casquette. Un silence attentif règne dans le trio. Muriel est sur le point de se caresser elle aussi et décide brutalement :
— Bon, je vais me baigner.— Moi aussi, dit Viviane.
Ralph ne bouge pas et continue de se masturber. Les deux femmes se dépêchent de plonger dans les vagues, en évitant de regarder la plage. Lorsqu’elles reviennent quelques minutes plus tard, les deux couples prennent le soleil comme si de rien n’était et Ralph a débandé.
— Alors, ça va, vous êtes calmées, lance-t-il.— Euh, oui, on avait besoin de se rafraichir un peu.— Bon, je vais vous laisser. Cela vous dirait de prendre un verre avant de repartir ?
Les deux femmes se concertent du regard. Pourquoi pas ? Elles n’ont rien à faire de précis en rentrant. Rendez-vous est pris une heure plus tard au bar de la plage. Une fois Ralph parti, Viviane murmure :
— Je ne sais pas si on a bien fait de répondre à ce rendez-vous. Et si on se tirait après la plage ?— Non, ce ne serait pas correct. Il est gentil, ce mec. Et puis, quoi, qu’est-ce qu’on risque ? Boire un pot n’engage à rien.
Et les voilà reparties à évoquer quelques expériences heureuses ou malheureuses tout en se pommadant. Leur peau rougit à vue d’œil, y compris les fesses de Muriel qui, en définitive, n’a pas remis son slip. Le soleil a nettement décliné, mais c’est le meilleur moment de l’après-midi. Il y a beau temps que les deux couples voisins sont repartis. Viviane commente :
— Tu as vu les deux jeunes à côté ? Quand la serviette a glissé, la fille s’est pris les deux pieds dans les mains pour s’ouvrir un max. Moi, je suis bien incapable de faire ça.— Moi non plus malgré la gym. A entendre ses cris, elle devait se régaler.— Tu parles. J’ai rarement vu un type remuer son cul aussi vite. Une vraie mitraillette.— On n’a plus l’habitude. Nos amants ne sont plus assez jeunes et nous non plus...— Et tu as vu la queue de Ralph ? Un sacré manche de pioche.— Oui, j’ai failli l’emboucher et c’est pour ça que je me suis jetée à l’eau...
Tout en papotant, les deux femmes se sont rhabillées et ont rejoint leur voiture. Direction le bourg.
*******Au bar de la plage, Ralph est déjà en place et leur fait un grand signe. Il les regarde s’avancer avec attention. Muriel est vêtue d’un pantacourt et d’un "top" qui dévoile son profond sillon mammaire. Viviane porte une robe à fines bretelles qui lui arrive à mi-cuisses.
— Alors les filles, vous avez bien cuit ?— Oui, pas mal, je crois que ça va un peu piquer pendant quelque temps, mais ce n’est pas grave.— J’ai une excellente crème hydratante qui me permet de bronzer plus vite, informe Ralph.
La conversation est lancée. Divers sujets sont abordés et la soirée est déjà bien avancée quand le trio décide de manger un morceau avant de se séparer. Quand la nuit est tombée, Ralph propose aux deux femmes une petite virée en boîte. Muriel et Viviane, qui ont pas mal picolé, ne se voient pas repartir en voiture pour 150 kilomètres. Banco pour la boîte, de toute façon le lendemain est un dimanche et il sera toujours temps de rentrer pour dormir dans la journée.
En boîte, les deux femmes se déchaînent. Elles sont en feu depuis l’après-midi, et pas seulement sur leur peau. Elles ont besoin de se défouler. Muriel se fait même draguer par une espèce de play-boy bijouté qui l’agace et elle danse ostensiblement avec Ralph. Viviane est entreprise par un couple d’âge mûr qui, la voyant seule, lui propose de terminer la soirée dans son chalet voisin. L’homme plutôt ventripotent ne l’inspire guère, au contraire de quelques jeunes mecs vigoureux qu’elle observe avec envie, mais qui ne la voient guère. Il est près de deux heures du matin quand Ralph propose aux deux femmes de venir se reposer chez lui :
— J’ai un grand appartement qui appartient à mes parents, il a deux chambres et vue sur la mer.
La proposition est tentante. Les deux femmes ont envie d’une bonne douche, car leur peau est irritée par le sel et la sueur. Elles suivent Ralph sans renâcler.Effectivement, l’appartement est agréable. Il y a une salle de bains. Ralph invite les deux amis à occuper l’une des deux pièces et leur tend deux peignoirs, ceux de ses parents.
— J’y vais, je ne peux plus tenir, dit Muriel, qui se précipite sous la douche.
En attendant, Viviane s’inspecte dans la glace en tenue d’Eve. Malgré la crème solaire, le soleil ne l’a pas épargnée. Elle est rougie de partout. Elle soupèse ses seins, les trouve attrayants et surtout sensibles, très sensibles... Muriel est enfin sortie de la douche, les cheveux mouillés, qu’elle entoure d’une serviette éponge. La voie est libre et Viviane se coule à son tour avec volupté sous l’eau chaude. Sa main s’attarde sur la raie de ses fesses et sur sa fente intime. Que tout ça soit bien propre ! Dommage que je n’aie pas apporté d’eau de toilette, se dit-elle.
Elle revêt à son tour le peignoir et gagne la chambre pour retrouver Muriel. Celle-ci n’est pas seule. Ralph est là aussi, en peignoir, mais ouvert totalement. Celui de Muriel, allongée à ses côtés, toujours avec la serviette sur sa tête, est également ouvert. Ils s’embrassent en se titillant la langue. La main de Muriel est posée sur le membre viril de Ralph et l’astique consciencieusement tandis que celui-ci a glissé un doigt dans la fente de Muriel et semble chercher son bouton.
Viviane ne dit rien. Elle savait depuis le début que l’affaire allait tourner ainsi et son amie aussi. Elles étaient trop excitées par la queue de Ralph, trop excitées par les deux scènes de sexe sur la plage, trop excitées par l’alcool, la danse et l’imminence d’un acte sexuel que, sans se le dire ouvertement, elles espéraient. Viviane et Muriel n’ont jamais fait l’amour en même temps sur le même lit avec un homme ou deux, mais elles ne sont pas pour autant des oies blanches. Durant leur vie, elles ont fait parfois l’expérience de l’échangisme ou du mélangisme dans une boîte spécialisée. De simples expériences sans tomber dans l’habitude, mais cela suffit à dédramatiser une situation comme celle qu’elles s’apprêtent à vivre ensemble, une grande première.
Viviane a laissé tomber son peignoir et s’est avancée sur le lit, à genoux, les seins pendants. Son visage avance vers l’entrejambe de Ralph et sa langue vient taquiner les bourses bien pleines du jeune homme. Muriel a ôté sa main de la hampe et jeté la serviette autour de son crâne.
— Suce-le, ordonne-t-elle à son amie.
Viviane ne se le fait pas dire deux fois. La fellation a toujours eu sa prédilection dans l’acte sexuel et ses amants s’en rendaient vite compte. Sa langue est diaboliquement efficace, ce qui lui vaut parfois quelques éjaculations prématurées. Dès qu’elle entre en action, Ralph ronronne de plaisir. Muriel lui donne ses seins à sucer. Ses mamelons sont hyper-sensibles et elle a plusieurs fois cédé à des hommes qui avaient eu l’idée de s’occuper de ses obus en priorité, et ce dès la puberté. Ainsi mises en condition, les deux femmes ressentent très vite le besoin d’être pénétrées. Mais qui va se faire prendre la première ? Tel est l’éternel dilemme des trios, avec le risque d’une éjaculation précoce annulant la prolongation des ébats.
Sans en référer à Muriel, Viviane se dépêche de s’empaler sur le dard tendu de Ralph, après que celui-ci s’est levé pour aller se chercher une capote. Viviane l’a déposée avec ses mains et sa bouche et soupirait d’aise en sentant le pénis s’enfoncer en elle :
— Hou, ça fait du bien, y avait longtemps ! lâche-t-elle. Elle considère que Muriel, dont le dernier rapport date de la veille, peut attendre un peu. Bien calée sur ses genoux, les mains en appui sur le torse de son amant, elle fait aller et venir d’avant en arrière et de gauche à droite son large bassin. Muriel l’observe, intéressée par le comportement de sa collègue dans l’acte sexuel. Mais ne voulant pas rester passive, elle se juche au-dessus du visage de Ralph, le dos face à Viviane et laisse sa vulve rencontrer la bouche de l’homme. Viviane lui tient maintenant les épaules et se laisse aller à lui caresser les seins. Muriel gémit. La situation devient d’un érotisme puissant. Viviane ne contrôle plus le mouvement de ses hanches, prises d’un emballement, crispant ses mains sur les épaules de Muriel qui crie :— Oh, attention, mes coups de soleil !
Elle se détache à regret de la bouche de Ralph pour laisser Viviane connaître son premier orgasme, espérant in petto qu’elle ne ferait pas jouir son partenaire. Mais celui-ci, malgré son jeune âge, avait de l’expérience et sort de ce premier coït la queue toujours fièrement dressée et prête au réemploi. Viviane, pantelante, récupère sur le flanc. Muriel en profite pour prendre Ralph par la queue et l’attirer entre ses cuisses ouvertes :
— Baise-moi maintenant, ne me ménage pas.
Juché sur ses avant-bras, l’homme la laissa le guider vers son antre qu’il avait bien lubrifié de sa langue. Contrairement à son exigence, il commence à le besogner lentement. Il a son plan. Il veut que ce soit elle qui le réclame, l’exige. De fait, la grande blonde commence à le fustiger :
— Allez, allez, vas-y, plus vite, plus viiiite, s’il te plaît, j’ai enviiiie !
Mais non, il continue à fouiller tranquillement, limant les parois vaginales sans hausser le rythme. Si bien que prise d’une espèce de révolte, Muriel tente d’attraper ses pieds comme elle l’avait vu faire par la fille sur la plage, pour s’ouvrir au maximum, mais ne pouvant que saisir ses mollets, enroule de ses longues jambes les reins de son amant, comme en appui, et se met à ruer à sa rencontre en bramant. C’est le signal qu’il attendait. Tel un moteur changeant de vitesse, il se met à imprimer un staccato frénétique qui fait bouillir le bas-ventre de Muriel. Perdant complètement les pédales, elle lâche dans le feu de sa jouissance :
— Oui David, oui, ouiiiii, maintenant !
Ralph ne se formalisa pas, mais cette erreur eut le mérite de conserver son sperme dans son réservoir. Il la percuta encore pour qu’elle achève de prendre son pied et se retira, toujours gaillard.Viviane avait assistée médusée à la scène, assise sur le lit, la main sur sa vulve :
— Eh ben Mumu, on peut dire que tu l’aimes, ton David !
Sur ce, elle s’empresse de s’emparer de la queue de Ralph devenue disponible afin de ne pas la laisser se ramollir. Sa bouche annexe le gland qu’elle suce avec dévotion. Muriel, qui a repris ses esprits, intervient :
— Allez Viv, on partage.
Et les deux amies unissent leur langue sur l’organe gonflé de sang, contrôlant du regard son propriétaire pour mesurer son état d’excitation, car elles n’en ont pas encore fini avec lui. On aurait dit deux adolescentes en train de se partager une glace...
— Je prends les couilles, prévient Viviane, qui adore palper et lécher les bourses, surtout lorsqu’elles sont bien pleines et bien gonflées comme celles-ci. Parfois, elle descend un peu plus bas pour aller à la rencontre du scrotum et de l’anus. Ralph commence à devenir nerveux alors qu’il entend encore honorer ces deux chaudes femelles, si bien disposées à son égard. Il se retire de l’emprise buccale des deux amies :— Les filles, on va aller dans la chambre d’à côté, vous allez comprendre pourquoi.
Le trio improbable composé de deux femmes entièrement nues et d’un homme non moins nu et en érection gagne la chambre contiguë. Elle est meublée d’une grande penderie équipée de deux glaces, près du flanc du lit. Viviane et Muriel, se voyant ainsi exposées dans le plus simple appareil avec un homme qu’elles ne connaissaient que de quelques heures, marquent un temps de surprise. Mais l’envie de copuler est trop forte pour reculer.
— Vous allez vous mettre toutes les deux à quatre pattes face à la glace, côte à côte, et je vais vous prendre à tour de rôle, annonça Ralph.
Se voyant dans cette position, leurs seins lourds balançant entre leurs bras, Viviane et Muriel rient.
— Cela ferait une jolie photo, plaisante la grande blonde. Elle ne peut s’empêcher de penser, sur le moment, à la tête que feraient ses deux filles si elles la voyaient ainsi, offerte à un inconnu en compagnie d’une autre femme. Deux filles si sages, si bonnes épouses, si bonnes mères... Quelle grand-mère perverse elle est !
Mais son rire se transforme en rictus quand elle sent la pine de Ralph s’enfoncer en elle. Elle a toujours eu un faible pour la levrette et se découvrir ainsi possédée par ce beau mec, debout derrière elle, les mains crispées sur ses hanches, lui procure un plaisir rare et en tout cas inédit. Ses seins battent la cadence au rythme des coups de boutoir de son amant. Viviane, dans la même position, observe la scène et attend son tour, de plus en plus fébrile avec une furieuse envie de se caresser. Elle choisit d’aller taquiner les couilles de Ralph, d’abord avec ses mains puis avec sa langue. L’homme s’immobilise pour profiter de cette heureuse conjoncture et se détache de Muriel au moment où celle-ci commence à rouler des hanches pour s’enfoncer en lui plus franchement. Ce retrait la fait protester :
— Quoi, déjà ?— Eh, oh, c’est mon tour Mumu ! grogne Viviane.
Celle-ci est tellement excitée qu’elle lui impose son rythme en venant à la rencontre de la bite, si bien que Ralph n’a même pas besoin de la percuter. Les fesses de la femme ronde viennent claquer sur le bassin de l’homme avec un bruit sec, de plus en plus rapproché. Viviane rythme ses mouvements de bassin d’un "hou hou !" témoignant de l’imminence de son orgasme. Muriel voit dans la glace le regard un peu vitreux de son amie qui cherche visiblement à faire éjaculer son partenaire. Elle ne l’entend pas ainsi et joue sa carte :
— Encule-moi, lança-t-elle à Ralph en lui mettant carrément son cul rougi par le soleil sous le nez.
Celui-ci n’en demande pas tant, mais s’empresse de répondre à la demande, au grand regret de Viviane, laissée au bord de l’orgasme. Ralph est étonné de voir avec quelle facilité il s’est enfoncé dans le rectum de la grande blonde, visiblement adepte de la pratique. Muriel prend alors une autre initiative : elle se déplace de manière à pouvoir se mettre de profil par rapport à la glace et ainsi observer le travail de la bite dans son cul. Le visage tourné vers le miroir, elle se régale du spectacle que lui offre son amant d’un soir, conjugué avec ses propres sensations, et balance son arrière-train de manière à forcer la sortie de ce sperme si bien contenu. Cette fois, Ralph ne résiste pas. Mais ne voulant point léser Viviane, il se retire juste à temps pour arroser celle-ci, laquelle se sent honorée par tant de jus déversé sur son visage, ses seins et ses épaules. Comme un hommage particulier. Muriel aspire les dernières gouttes avec sa bouche, comme si elle avait aussi voulu sa part...
Il est quatre heures du matin quand ces ébats cessent. Viviane est la première à courir vers la douche, bientôt suivie de Muriel et Ralph. Quand Muriel revient vers la chambre, son amie s’est effondrée à plat ventre sur le lit, cuisses ouvertes sur une vulve encore béante. Epuisée, elle dort déjà. Muriel se débarrasse de son peignoir et la rejoint sur le lit, elle aussi bien entamée et proche de l’endormissement. Elles se réveillent le lendemain vers midi. Il pleut. Ralph leur a laissé un mot pour leur dire de remettre la clé au voisin, avec un petit "merci" en prime.
Dans la voiture, sur le chemin du retour, les deux amies évoquent la chaude journée et la non moins chaude nuit de la veille :
— Il aurait pu au moins nous faire la bise, grogna Viviane.— Il l’a peut-être faite, va savoir, mais vu notre état, on ne risquait pas de s’en apercevoir. Je suis encore toute molle. Ce n’est plus de notre âge, ces fredaines.— Pas d’accord avec toi. Tant qu’on peut avoir une vie sexuelle, il ne faut pas se priver, on sera vieilles bien assez tôt.— Tu as raison. Je vais t’avouer un truc : en baisant, j’ai pensé à mes filles qui sont devenues de bonnes petites bourgeoises. Quand même, on est des grand-mères un peu cochonnes, non ?— Un peu ? Beaucoup oui ! Notre génération est plus libérée que les suivantes, c’est ma conviction. Moi, je n’ai aucun tabou. D’ailleurs tu l’as vu toi-même.— Oui, c’était assez surprenant, je ne te voyais pas comme ça. Remarque, tu peux en dire autant de moi...— Qu’est-ce que tu es bruyante quand tu baises !— Et toi donc !
Et la conversation se déroule ainsi pendant une bonne partie du voyage de retour. Le jour suivant, Muriel et Viviane se retrouvent à leur bureau, comme si rien ne s’était passé.
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