MurielCela fait cinq mois que je loge chez mon frère cadet Yvan, il avait passé deux ans à l’étranger puis à son retour, il a acheté un trois pièces vraiment charmant, tranquille et immense puis lorsque je me séparais de mon ex-fiancé, à ma surprise il me proposait de me loger le temps qu’il faudra. Il est célibataire et en profite car en cinq mois, une dizaine de belles jeunes femmes ont franchi sa porte et que j’entendais couiner ou pour certaines crier hystériquement durant tout le reste de la nuit puis quelques matins avant de bosser, je le croisais complètement épuisé avec des cernes mémorables. Je ne devrais pas me demander ce que cachaient les sourires radieux que ses petites amies faisaient car même une déprimée alcoolisée de leur soirée ressortait de sa piaule heureuse et tellement gaie qu’elle cherchait à lui préparer son déjeuner. Notre relation frère/sœur est devenue différente du moins il l’a rendue, je le trouve très prévenant, toujours prêt à me faire passer avant ses petites amies pour me sortir au cinéma ou autre part. Je me souviens de la première fois où il m’a enveloppé le coude avec le sien et que nous avions marché jusqu’au ciné puis dans les lieux commerciaux, de plusieurs prises de mains inopinées que j’acceptais à chaque fois avec ou sans sourire et que je lâchais pour toucher les articles avant de la reprendre à mon tour avec ou sans ses sourires. Puis ses cadeaux me faisaient très plaisir et lors d’une splendide paire de boucles d’oreilles offerte à mes vingt cinq ans, j’avais curieusement mélangé sentiments familiaux et sentiments sexuels car sa bise si près de mon coin de lèvre faisait détremper mon string en soie brésilien blanc que j’avais sous mon jean’s serré bleu ciel. Mais la fois où il parlait dans le téléphone avec un ami du boulot et qu’il me regardait en disant « Désolé mon gars, je vais au ciné avec une amie...une chouette amie !! » et bien je ne faisais aucune remarque car il aurait pu dire qu’il était avec moi, sa sœur tout simplement. Croisés nus, certes cela est fort possible puisque nous vivons ensemble mais nous sommes bien éduqués et pudiques de nature sauf qu’au deuxième jour de logement, et par manque d’habitude de vivre avec quelqu’un qui n’est pas mon fiancé, dans la douche j’avais oublié ma culotte de rechange et j’étais sortie en courant dans ma chambre toute nue au même moment qu’il revenait de son boulot. Rien n’avait été dit mais je sais qu’il a dû apercevoir mon fessier. Ces derniers jours, il m’a offert beaucoup de fleurs, ma chambre et notre salon sont embellis de plusieurs sortes de fleurs puis une fois sur deux, dans le bouquet il y avait un bijoux, un collier, un bracelet ou une chaînette en argent ou or que j’acceptais avec joie mais quelque peu gênée car toutes ces attentions m’ont fait penser qu’il cherchait quelque chose mais quoi et il fallait que je le sache du fait que cela me tourmente chaque nuit. « Merci Yvan !! Cette chaîne est très belle mais tu cherches quoi ? » Je demande lorsque je soulève mon tee-shirt pour fermer cette chaîne en or qui entoure ma fine taille. « Oh je cherche à te faire plaisir Muriel !! » Me répond il d’un ton tellement calme que je me sens stupide de ma question mais comme ses regards sont insistants sur le bas de mon corps. « Ah bon, j’ai cru que tu cherchais à avoir avec moi une relation plus poussée !! » Et là je le surprends de ma franchise, il décale ses yeux et se sent plus que mal à l’aise. «Tu sais bien que l’on est frère et sœur et que…. » Me sens-je soudain aussi gênée que lui d’entamer cette discussion puis nous restons silencieux sans oser nous regarder et je perçois un bombement dans son pantalon qui s’amplifie à chaque seconde, l’émotion est très forte. « ….cela est malsain et…. interdit entre nous ! » J’arrive à terminer ma phrase et il voit mon regard sur son érection.
« Mais l’interdit n’est-il pas le meilleur ? » Me répond il naturel en haussant ses épaules, me laissant un temps figée, sans voix par une confiance qu’il regagne à chaque seconde car tout le monde sait que les interdits provoquent chez des individus une adrénaline particulière et je la sens tellement parcourir tout mon corps que je m’assois abasourdie. «…et depuis quand me désires-tu….sexuellement ? » Je questionne alors que je devrai mettre fin à cette discussion et lui faire, en tant que plus âgée, une moralité mais il bande tellement que son pantalon gonfle par son gland qui pourrait en sortir de la poche si elle serait trouée. « Depuis des années Muriel !!! Depuis que ma libido à pris naissance, depuis que tes seins nus à la plage m’ont fait de l’effet et pour être franc, depuis mes premières branlettes !!» Me laisse-t-il scotchée de sa franchise qui fait palpiter son bombement que je regarde d’yeux furtifs.« …et depuis que tu vis chez moi, chaque filles que j’ai menée ici, c’est toi que j’imaginais ! » « Wow !!! » J’arrive tout juste à formuler mettant mes coudes sur mes genoux et mains sur ma figure aussi rouge qu’une tomate « Wow !! » Je répète sans ne plus oser le regarder avec mon esprit totalement confus de curieux sentiments car il vient de tout poser à plat. « …et oui je voudrais avec ton accord une relation plus poussée avec toi, sinon je continuerai à te faire des cadeaux et te séduirai à chaque occasion… » M’avoue-t-il encore de sincérité. «Donc si j’accepte, je n’aurai plus de cadeaux !!! » Je lance sans comprendre réellement pourquoi je dis cela mais cela est dit, cela ne lui formule pas un catégorique « non » et il tombe ses genoux face à moi, fixant mes yeux avec une grande tendresse qui timidement me fait sourire puis le contact de ses mains sur les miennes me fait frémir et il me les serre. « Je t’aime trop pour cela Muriel…et les cadeaux seront encore plus beaux !!! » Me dit il droit dans les yeux tandis que je nous revois ensemble ou je l’emmenais à l’école. Les sentiments sont bizarres, il me sourit gentiment comme je le fais moi-même auparavant pour qu’il prenne confiance envers la gente féminine et désormais je le vois comme un homme sûr de lui, beau, musclé avec un pénis qui m’a impressionné par le bombement de son pantalon. « Yvan…arrête ! » Je chuchote fixant ses yeux et serrant à mon tour ses mains qui deviennent d’une moiteur équivalente à mon entrecuisse que je sens ne plus pouvoir maîtriser. « Laisses moi au moins de lécher la chatte… » Me fait-il sortir un doux gémissement car j’ai toujours adoré le cunnilingus mais personne n’avait jamais osé me le demander puis sans trouver la moindre force de le stopper, il me donne plusieurs baisers sur les doigts, les mains et je gémis puis il déroule sa langue entre mes doigts comme pour m’en montrer la taille et je lâche un doux râle car je sais de rumeur que cela indique un grand et gros pénis juteux car il salive abondamment. « …Yvaaaaaannn…nnoonn…nnnous nne pouvons paaaass ..huuumm » J’essaye de m’interposer mais il vient à sucer mes doigts fixant toujours mes yeux devenus clos et soudain près de moi sur le chevet, le téléphone retenti, ma mémoire revient car une amie doit m’appeler.« Oui Françoise…heu je suis désolée pour ce soir mais j’ai un imprévu…ok bye !! » J’ai dit dans le combiné pendant que mon propre frère me laissait parler avec un sourire complice. «Alors prépare toi Muriel nous sortons !!! » Se lève-t-il et je pense voyant dans mes yeux une déception qu’il n’ose aller plus loin car j’étais séduite, chauffée et prête pour la casserole mais son idée de sortir est tout aussi parfaite car je n’avais jamais laissé quelqu’un coucher avec moi aussi vite et pourtant lorsqu’au pied de ma chambre, je me retourne sur lui et perçois son regard furtif sur mes fesses. Je ne me suis jamais sentie aussi dévergondée et coquine. Dans ma chambre, je choisis une de mes meilleures tenues et parfois la réalité regagne mes sens mais la curiosité de franchir l’interdit incestueux me motive d’une grande force. Habillée et tournoyant devant mon miroir, j’espère qu’il va aimer puis je me coiffe, me maquille et monte sur mes plus hauts talons que rarement je porte car il m’incurve le bas-ventre, me cambre fort les reins et bombe mon fessier d’une manière extravagante mais cette partie de mon corps est camouflée par mon ample robe mi-longue à fleurs noires et rouges maintenue par des fines brettelles avec le semblant d’être ceinturée car je ne veux paraître trop sexy puis par le frisquet du soir et de couleur chair, il pensera que j’ai mis un collant alors qu’en réalité, j’ai mis une paire de bas maintenue par une ceinture aux jarretières en dentelle noire. Pour lui et comme rarement je le suis, je me sens très belle et secrètement vachement sexy. « Quelle classe ! Wow ! » Me fait il timidement rougir lorsque je sors de ma chambre alors qu’il m’attend dans un chic costard sans cravate puis quand il me tend sa main que je prends aussitôt avec délicatesse, la réalité des évènements me fait haleter alors qu’il y avait encore une heure et demi, j’étais simplement sa sœur aînée et que dorénavant je suis…et je secoue ma tète pour le suivre hors de l’appartement car trop de réflexion peut tout nuire. « Profitons du moment présent ! » Me dis-je tout bas et me rendant compte qu’il a entendu car il se retourne et me sourit hochant son menton puis je lui souris aussi et nous partons.
