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La Muse

Chapitre 10

Erotique
Chapitre 10 : Soirée cul

Bruno avait choisi un peignoir court en satin, dont l’encolure entrouverte laissait entrevoir des pectoraux joliment dessinés. Il nous attendait tranquillement devant la télé et un match de basket ; il se leva, éteignit le téléviseur et mit de la musique. Cécile rangea les bouteilles au frigo et Bruno m’accompagna dans la chambre où il avait déposé mes affaires en me disant que je pouvais me changer ou rester comme j’étais. Il précisa que le lit était fait et que je pourrai y dormir, mais que ce n’était pas une obligation, puis il me fit découvrir leur chambre.
Elle était magnifiquement décorée ; j’aurais mis ma main au feu que Cécile n’était pas étrangère à cette réalisation : cette pièce lui ressemblait. Sur la tête de lit, des bougies posées sur des coupelles attendaient d’être allumées ; des fleurs embaumaient la pièce. Sur le lit, un couvre-lit en soie ou satin rouge m’attirait. La lumière tamisée donnait une sensation de calme et d’envie de relaxation.
Dans le salon, sur la table basse, trois flûtes étaient remplies d’un liquide transparent et pétillant ; de la buée se formait sur l’extérieur du verre. De chaque côté de la table, un canapé du genre clic-clac nous attendait. Cécile avait remis son paréo ; à contre-jour, je ne pouvais manquer de voir que dessous elle était entièrement nue. Elle m’invita à m’installer et s’assit à côté de moi ; Bruno était seul en face de nous.
Je pouvais admirer ce joli garçon. Son peignoir entrouvert laissait deviner un torse musclé et recouvert d’un léger duvet blond ; son caleçon masquait l’objet qui m’intéressait le plus, mais ce serait pour plus tard. Son regard fouillait sous ma jupe. « Et si je l’excitais un peu ? » me dis-je. Je me calai au fond du canapé et ouvris un peu les jambes. Il était ferré, hypnotisé par le blanc de mon string (il était impossible qu’il ne le voie pas) ; son sexe semblait prendre du volume. Sentant que le moment approchait, je voulus demander comment cela allait se dérouler quand Cécile, qui avait certainement repéré notre manège, prit la parole :
— Chéri, il faut qu’on lui explique un peu ; c’est sa première fois. — Bien sûr. Allez, on trinque ?
Il était temps de changer d’activité si je ne voulais pas me retrouver à l’envers. Nous avons trinqué et bu une gorgée de ce breuvage que je reconnus comme étant du champagne, mais trop frais pour être le mien.
— Je t’explique, me dit Cécile. Vois-tu, les règles sont simples : chacun fait ce qu’il veut, à qui il veut. Si par exemple… Chéri, tu ne veux pas aller préparer des petits toasts, s’il te plaît ?— OK. Madame veut rester seule ? Tu me préviens quand vous aurez terminé.
Il se leva, partit dans la cuisine et ferma la porte. Cécile m’expliqua les règles. C’était très simple, chacun fait ce qu’il veut, et peut refuser s’il n’a pas envie de faire quelque chose. En gros cela se résumait à ces maîtres mots : bonne humeur, respect et complicité. Puis elle m’expliqua que le fantasme de Bruno était de regarder deux filles faire l’amour, puis le faire avec elles. Elle termina par :
— Si tu es d’accord, ce soir, on lui fout le feu et après on le met KO.— Je marche. Pour moi, pas de limites.— Parfait, tu es géniale, tu vas te régaler. Je mène la danse ?— D’accord.

Je venais de donner mon accord ; plus question de reculer.Sur ces mots, elle prit ma tête entre ses mains, me regarda droit dans les yeux et appela :
— Bruno, tu viens ?
Elle prit ma bouche et m’entraîna dans un baiser profond, chargé de gourmandise. Mon premier baiser avec une fille… Nos langues tournèrent dans sa bouche, puis dans la mienne.
Je vis la porte de la cuisine s’ouvrir, et Bruno apparut. Sans un bruit, il posa le plateau sur la table et se glissa sur le canapé. Cé me lança un clin d’œil complice et continua son baiser. Petit à petit, sa main droite descendit le long de mon épaule ; elle s’arrêta sur mon sein, le prit en main et le massa. Alors que j’étais toujours prisonnière de sa bouche, elle fit sauter un à un les boutons de mon chemisier. Arrivés au dernier, ses doigts glissèrent sur ma cuisse dont ma jupe ultra-courte ne cachait plus rien. J’ai attrapé le lien de son paréo que j’ai tiré : au premier mouvement, il finirait au sol.
Elle était en train d’explorer le tissu de mon string minimaliste lorsqu’elle me souffla :
— Tu mouilles ? Alors tu aimes ça ? C’est trop cool…
Devant l’évidence, je n’avais pas besoin de me justifier ; effectivement, j’aimais ça. Je ne pensais qu’à ce baiser, à cet effeuillage forcé. Bruno, que je ne voyais pas, devait bander comme damné. Cécile lui avait donné la consigne : il n’avait pas le droit de prendre d’initiatives ; ce soir-là, il serait notre jouet.
C’est alors qu’elle me chuchota qu’il était temps de s’occuper de lui avant qu’il n’explose. Nous nous sommes levées. Le paréo tomba ; je fis glisser ma jupe et j’enlevai mon chemisier.
Pour la première fois, je voyais Cécile entièrement nue. Elle était plus petite que moi ; nous devions avoir une bonne dizaine de centimètres de différence. Par contre, elle avait une chute de reins creusée à souhait. J’étais contente, car côté poitrine je la battais haut la main ; enfin, presque : je dois porter une taille de soutif au-dessus d’elle.
Cécile m’allégea de mon soutif. Emportée par le jeu, je pris une initiative : à califourchon sur Bruno, je lui plaquai mon string sur la bouche. Il m’attrapa les seins et les massa avec la vigueur de son âge. Deux autres mains attrapèrent la ceinture de mon string qui glissa le long de mes cuisses, puis des doigts vinrent visiter mon antre ; et là, les choses s’accélérèrent. Cécile me dit à l’oreille :
— Si tu as envie, vas-y, prends-le.
Pas la peine de me le répéter deux fois ! Vu le temps que je n’avais pas fait l’amour, j’avais une terrible envie. D’un geste rapide, j’arrachai la ceinture du string et je m’enfonçai doucement sur la verge de Bruno dont l’extase était aussi perceptible que la mienne. Il commença à vouloir bouger, mais je lui bloquai les épaules. Deux paires de mains s’occupaient de moi : une me titillait les tétons devenus extrêmement gonflés et durs, l’autre se promenait entre mes seins, mon ventre, mes cuisses et mes fesses. Deux doigts vinrent rejoindre la hampe sur laquelle je coulissais.
Tout à coup, je sentis cette vague de bonheur annonciatrice de la tempête qui allait m’envahir. Je tentai de retenir ce flot, mais la tempête fut plus forte et m’envahit ; cet orgasme était terriblement bon ! J’étais secouée dans tous les sens, je respirais fort, je transpirais, et je lâchai un « Ouiiii… ! » de bonheur. Après quelques instants de pause durant lesquels nous avons échangé du bout de la langue un baiser à trois, je m’effaçai et, une coupe de champagne dans une main et un gâteau dans l’autre, je m’apprêtai à suivre leurs ébats.
Le champagne était bon, la soirée excellente ; je ne regrettais pas d’être venue. Pendant que je récupérais sur le canapé, je pus admirer mes hôtes s’adonner à leur plaisir. Je trouvai cette situation surprenante au début, mais regarder deux êtres faire l’amour devant moi était terriblement excitant. Comme pour les encourager, je me mis dans une posture totalement impudique : vautrée dans le canapé, pieds posés sur la table basse et jambes largement ouvertes, je me caressais et me masturbais. Bruno n’en perdait pas une miette. Je passai ma langue sur ma bouche avec gourmandise ; Cécile se retourna et me sourit.
Je l’ai vue s’enfoncer sur le mandrin de Bruno, qui n’avait rien à envier à celui de Rémi : il était de belle taille. Elle se pistonnait avec une énergie incroyable, cette nana : c’était une véritable boule d’énergie. Je l’entendis gémir, puis couiner « Oh oui… oh ouiii… ! » jusqu’à ce que le « oui » s’éternise. Elle était secouée comme une poupée. Bruno avait lui aussi eu son orgasme, mais sans un mot. C’est bien aussi, sans un mot.
Cécile, essoufflée, se cala à côté de Bruno. Je ne pouvais pas laisser cela ainsi, d’autant que la jolie queue de Bruno était en train de ramollir. C’est avec un déhanchement provocateur que je les rejoignis. En priorité, le membre : ne pas le lâcher tant qu’il n’aurait pas repris vigueur. Une belle fellation était devenue urgente ! Je m’emparai de l’objet et l’embouchai sans penser au goût qu’il aurait, le sperme ; il avait ce goût infâme, âpre. Gluant en bouche.
« Ma petite fille, si tu veux t’éclater avec les mecs, il va falloir que tu en bouffes, du sperme ! N’oublie jamais que les mecs adorent ça : éjaculer dans la bouche des filles ! » Et cette conscience qui n’en finissait pas de me donner des conseils… Elle avait raison. Résolument déterminée à m’impliquer dans cette soirée, je fis tomber cette barrière : je léchai et suçai avec gourmandise le membre gluant.
— Tu as vu, mon chéri, comme elle aime ça ?— Oh oui ! Et elle suce admirablement bien.
En entendant ces mots, une vague d’inquiétude m’envahit : et s’il me préférait à elle ? Un coup d’œil vers Cécile, un sourire, une claque sur le cul, et :
— Vas-y, suce-le, il adore !
La fellation que je lui administrais était d’une telle violence que je sentis son membre devenir dur comme un roc. Cécile, debout sur le canapé, se faisait lécher la chatte. Rapidement, le roc se mit à m’envoyer au fond de la gorge une puissante giclée de ce truc infâme à vomir ; je pris sur moi pour avaler au fur et à mesure que le jus sortait.
Je m’enfuis dans la salle de bain pour cracher tout ceci, mais j’avais bel et bien tout avalé. Je me rinçai la bouche et rejoignis mes hôtes.
— Ça va mieux ?— Oui, mais c’est dégueu !— Jen, tu peux être fière de toi ; tu fais cela admirablement bien ! Et si on faisait une pause ?

[À suivre]
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