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La Muse

Chapitre 26

SM / Fétichisme
Caro : mon jouet, mon esclave.
Au petit matin, après une belle nuit réparatrice remplie de rêves torrides, les premiers rayons du soleil s’infiltraient par les persiennes et venaient caresser mon derrière. Au toucher, il était à peine douloureux et me semblait même s’être raffermi, sans doute à cause des coups de paddle.
À mes côtés, mon nounours de Georges semblait dormir. Pour ne pas le réveiller, je restai un moment sur le dos, les yeux dans le vague. Je me remémorais cette soirée : je revoyais tous ces moments passés et j’essayais de comprendre mon attitude. Persuadée que ce qu’il s’était passé le soir avait quelque chose de surnaturel, je décidai de renouveler l’expérience ailleurs et avec quelqu’un d’autre pour savoir si j’aimais réellement le SM.
Pour vérifier si mon nounours dormait encore, je pris en main son membre, qui sous l’effet du léger coulissement et de petites chatouilles sur le gland découvert se mit à grandir et atteindre une belle taille. Toujours aussi féline, je me mis à ronronner. Je lui léchai les tétons qui durcirent un peu, puis beaucoup plus sous la morsure de mes dents. J’embouchai le membre raidi et lui fis une belle fellation. Une main passa sur mes fesses et les caressa.
— Déjà réveillée ? me dit-il.
Comme réponse, un sourire et un baiser, puis je sautai dans un short, enfilai un tee-shirt et fonçai à la boulangerie chercher croissants et chocolatines. À mon retour « Monsieur » s’était rendormi ; cette situation intolérable méritait une punition. Le temps de mettre le café à passer et de me remettre nue sous une nuisette transparente, j’embouchai le membre rendormi et mou pour le réveiller ; il se mit à grandir à nouveau et à reprendre une taille à la hauteur des évènements.
— Jennifer, tu veux m’épuiser dès le matin ? Et encore pardon pour...— Chuuttt !... Georges, ce n’était pas avec moi que tu as joué hier : c’était Julie qui était entrée en moi, j’en suis certaine ; tu comprends cela ? Ce n’était pas moi... cela ne pouvait pas être moi...
Une légère émotion se lisait sur son visage, les yeux dans le vague ; il resta sans réponse. Le sifflement de la cafetière me fit sauter à terre, et en un éclair nos petits déjeuners furent disposés sur des plateaux et servis au lit. Georges bien calé sur ses oreillers et moi en face, assise dans ma position préférée, en tailleur.
— Pourtant, Jennifer, tu m’as bien appelé « mon chéri » hier soir ?— Oui, je te l’ai dit, mais encore une fois ce n’était pas moi qui ai dit cela ; je ne peux pas te l’avoir dit : je ne t’aime pas, Georges. Écoute-moi, je suis certaine qu’hier nous n’étions pas seuls ; je sentais comme une présence. Quand tu m’as libérée, j’ai regardé le visage de Julie sur le tableau : elle me souriait, et son regard pétillait. Je suis certaine qu’elle était avec nous, et c’est pour cela que tu m’as appelée « ma chérie ».— Je ne sais pas... Et moi qui t’ai fait tout ça...— Pour le tout ça, ne soit pas inquiet car je t’avais provoqué et j’ai juste pris un énorme pied, je t’assure.
La journée fut calme. Georges commença par aller voir le tableau de sa femme puis s’installa à son ordinateur et écrivit ; quant à moi, je m’exerçai au piano, en nuisette. Loin d’être une virtuose, il trouvait que je me débrouillais très bien. Sous ses encouragements, je persévérai et osai même chanter une chanson de Mylène Farmer que je connaissais par cœur : « Désenchantée ». Ma voix cristalline me le permettait. Par moments, je me voyais déjà en haut de l’affiche. Georges me disait que je devrais m’inscrire à des cours car j’avais tout ce qu’il fallait pour faire une carrière. Pour moi, il entrevoyait une belle et grande carrière ; mais le monde du show-biz me faisait peur et je ne voulais pas y mettre les pieds. Pour le moment, ma carrière se limitait à chanter dans le bistrot de Francis ; je me faisais plaisir, et cela me suffisait.
Dans la journée – vers midi je crois – Gilles m’appela et m’informa que lui et Aurore avaient besoin de moi pour le festival du body painting aux USA. Nous partirions plusieurs mois ; j’annonçai la nouvelle à Georges qui fut ravi.

Les heures passaient ; je ne donnai aucune nouvelle à Caro. Elle m’envoya plusieurs textos auxquels je ne répondis pas, histoire de la faire mijoter ; elle était visiblement impatiente. Vers dix-neuf heures, je lui en envoyai un :
« J’espère que tu es prête : ce soir, tu vas souffrir ! »
Sa réponse me parvint immédiatement :
« Oui, je suis prête ; tu peux venir plus tôt si tu veux... Bisous, Maîtresse ! »
Sa réponse me fit sourire. À l’heure dite, je franchissais le pas de la porte de l’appartement et découvris une Caroline nue et frétillante d’impatience. Comme prévu, elle avait mis des colliers pour chat aux poignets et aux chevilles ainsi qu’un collier de chien et sa laisse qui pendait entre ses seins. Sans lui dire un mot ni l’embrasser, j’attrapai la laisse et la tirai comme une chienne en la forçant à avancer sur le sol.
— Fais la belle ! Allez, viens chercher un sussucre... Suce-moi !
Elle se redressa en jappant, à genoux, les papattes en hauteur ; je lui attrapai les tétons. Elle poussa des cris.
— Aaaah... ! — Tu aime ça ? Salope !— Oui, Maîtresse.— Allez, suce-moi la chatte !
Elle se mit à laper ma minette ; j’écartai les jambes et elle enfouit sa bouche entre mes cuisses. Sa langue toute douce caressait avec délicatesse mon clito et ma vulve.
— Oh, oui... soupirai-je.
Je vibrais déjà, mon plaisir montait petit à petit. Elle suçait, aspirait mon jus qui commençait à couler de mon vagin ; plus elle aspirait et plus je mouillais. Puis je l’abandonnai un instant. Je passai dans la salle d’eau pour enfiler la tenue que je portais la veille. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle me vit réapparaître dans ma tenue de dominatrice avec les cuissardes, le string et le soutien-gorge en lanières de cuir ! Sur la table, elle avait disposé quelques objets ; je choisis la corde, qui passée à ses poignets puis autour de la poutre décorative suffirait à l’immobiliser. Je lui attrapai les seins pour la relever puis je lui attachai les bras en l’air et les pieds aux meubles ; elle ne pouvait plus bouger.
Je pris alors un malin plaisir à lui poser des pinces à linge. En premier, j’en posai une par téton ; à chaque pince elle poussait un soupir et grimaçait. Ses petites lèvres et ses grandes lèvres en réclamaient elles aussi, et aussi son clito inondé de sa mouille. Elle se tordait, miaulait, serrait les poings et les dents ; parfois elle râlait. Vicieuse, je jouai avec les pinces en les faisant bouger une à une, les faisant pivoter en appuyant pour lui faire mal ; j’en jouissais d’avance. J’alternais claques bien appliquées sur chacune de ses fesses et pincemente ; elle se convulsait.
— Aïe, aïeeeee... ! Jen, tu me fais maaal... !— J’espère que tu souffres et que tu aimes ça, esclave !— Ouiiii... Maîtresse, encore... s’il vous plaît.
La voir ainsi souffrir, soumise à ma volonté, m’excitait de plus en plus. Je passai derrière elle et, après lui avoir bandé les yeux, je lui administrai une magistrale paire de claques sur les fesses ; elle gémit immédiatement. Puis d’autres encore avant de passer à la raquette de ping-pong prise parmi les objets préparés. Je lui administrai un violent coup qui atterrit sur ses fesses ; sous le choc, elles s’aplatirent puis rougirent de plus en plus à chaque coup.
Elle se tordait encore et encore. Je lui touchai l’entrejambe : elle mouillait de plus en plus. Tout comme Georges me l’avait fait, je l’engodai, pas avec une carotte et une courgette comme elle avait prévu, mais avec deux godes vibrants que j’avais empruntés chez Georges, le plus gros et le plus long dans sa chatte, l’autre dans son cul ; elle se mit à rugir quand les deux intrus se mirent à vibrer en elle. Son souffle court, son regard presque sauvage et ses gémissements étaient la preuve qu’elle prenait du plaisir.
Emportée par ce jeu sadique, je pris le martinet et je frappai l’extrémité des pinces avec les lanières de cuir, mais sans toucher sa peau. À chaque fois qu’une pince sautait, un petit cri s’échappait de sa bouche. Quand il n’y eut plus de pinces, ce sont ses fesses qui connurent la morsure des lanières ; la vue des traînées violacées m’excita encore plus. Tout à coup, elle cria ; je stoppai net.
— Aaaah... ! Oui... ! Jen, encore... Aaah... Je jouiiiis... !
Son orgasme était puissant ; je frappai encore, fort. Quand je suis passée devant elle, elle pleurait.
« Merde ! Je lui ai fais trop mal... Quelle conne ! » Je m’injuriais intérieurement. Je lui pris les joues, et tout en léchant ses larmes j’implorai son pardon :
— Oh, pardon... Pardon, Caro.
Je la détachai pour l’allonger sur le lit et la câliner. Je la léchai partout : ses tétons endoloris, ses petites et grandes lèvres, et sa vulve encore garnie du gode. C’était un délice de lécher cette chatte vibrante et humide. Elle allongée, je m’assis sur son ventre, lui tenant les poignets ; je lui suçai les tétons puis le reste de larmes pour enfin arriver à sa bouche et lui rouler la plus belle des pelles ; elle se remit à gémir et à onduler. Nos tétons jouaient ensemble, ma chatte coulait. C’est à ce moment-là que je décidai de lui annoncer la nouvelle : mon départ. Drôle d’idée, me direz-vous, mais le but était de la mettre en colère et qu’elle se venge et me fasse mal elle aussi.
— Caro, j’ai un truc à te dire ; on fait une pause ?
Elle me regarda, interrogative.
— Qu’y a-t-il ?— Je vais partir quelques mois aux États-Unis avec aurore et Gilles pour...— Tu es folle ! Et moi, tu y as pensé ? Que vais-je devenir sans toi ? Tu mériterais que je te foute une raclée !— Je te comprends, mais c’est la vie ; alors, si cela peut te consoler, vas-y. Tiens, si tu arrives à m’immobiliser et à me mettre trois doigts dans la chatte, tu pourras tout me faire. Et n’aie pas peur de mettre le paquet car je suis plus forte que toi.— Ne t’inquiète pas pour moi ; tu as dit « tout » ? — Oui, tout. Mais de toute façon, tu as perdu d’avance.— Et tous les coups sont permis ? Alors fais gaffe à toi : tu vas dérouiller !— Pas de problème ; de toute façon, tu ne fais pas le poids.
Si vous n’avez jamais assisté à un combat de femmes, celui-ci vous aurait plu. Imaginez deux nanas à poil, totalement déchaînées en train de se tirer les cheveux, de se retourner comme des crêpes et de se mordre les tétons. À plusieurs reprises, nous nous sommes mis les doigts dans la chatte et même dans le cul. Nous mouillions ; j’étais terriblement excitée. Elle résistait, la bougresse ! À un moment je m’étais assise sur son visage, pensant que ce stratagème me permettrait de l’immobiliser. Elle se mit à me sucer la chatte : putain, que c’était bon ! Puis elle me mordit brutalement le clito.
Je me dégageai d’un bond et nous nous sommes retrouvées en position de 69 ; ma tête atterrit entre ses cuisses qu’elle serra. J’avais la bouche dans sa chatte baveuse et mon nez au niveau de son trou du cul ; il était hors de question de rester dans cette mauvaise posture. À mon tour, je lui mordis la chatte, mais cette fois je n’avais pas fait dans le détail et tout y passa : ses petites et grandes lèvres, son clito, et je serrai ; elle lâcha, ouvrit les jambes et me poussa.
Pour moi, cette manœuvre fut catastrophique car ce fut moi qui en fis les frais : je me suis retrouvée au sol, coincée entre le mur et le lit. Caro m’avait plaqué une main sur la bouche et le nez, m’empêchant ainsi de respirer correctement, tandis que son autre main me triturait l’entrée du vagin. Cette main s’enfonçait dans ma chatte. Devenue incapable de faire un seul mouvement, j’avais perdu ; je n’avais plus qu’à subir. Sa main s’enfonçait dans ma chatte inondée de mouille gluante ; un, deux, puis trois et quatre doigts entrèrent les uns après les autres sans difficulté.
— Tu as perdu, Jen ! À toi de souffrir. Allonge-toi sur le dos, là sur le lit ; et vite !
Qu’allait-elle me faire ?

À suivre.
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