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Mylène, de femme modèle à salope assumée

Chapitre 1

Désir inavoué

Voyeur / Exhibition
Toujours mariés, Mylène et moi, nous vivons cependant désormais séparés de corps, elle vit en ville dans notre appartement pendant que moi, je reste dans notre maison de campagne. Nous nous retrouvons régulièrement pour voyager ensemble et surtout aller voir nos trois enfants et quatre petits-enfants.
Concernant le sexe, j’en suis réduit depuis un moment déjà aux plaisirs solitaires et même si nous faisons encore lit commun lors de nos voyages, nous ne nous touchons plus sous la couette. Mylène me reproche toujours, bientôt vingt ans après, d’avoir voulu la faire participer à une rencontre dans un bar avec un couple trouvé sur le Net pour voir s’il pouvait y avoir quelques affinités entre nous.
J’ai souvent repensé dans mes rêves érotiques à ce qui aurait pu se passer si elle avait accepté de m’accompagner ce jour-là !
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Pour cause de reconversion dans mon travail, nous habitions à cette époque-là loin de la famille y compris de nos enfants et surtout de nos amis de longue date. Mylène ne travaillant pas avait du mal de s’adapter à cette nouvelle situation. Elle s’était pourtant tournée une fois encore vers une association caritative locale pour s’occuper et surtout se faire de nouveaux amis. Pris dans mon nouveau travail, je n’ai pas perçu le degré de mal-être dans lequel elle se trouvait, ni surtout remarqué son refuge vers l’alcool de plus en plus prononcé pour tenter d’y faire face. Me rendant responsable de sa nouvelle condition, elle s’est éloignée petit à petit de moi au point de ne plus vouloir faire l’amour et même que je la touche surtout depuis le décès récent de sa mère.
Pourtant Mylène continue de dormir nue à mes côtés comme aux premiers jours de notre mariage, même si elle s’endort de plus en plus souvent très rapidement à demi ivre sans que je m’en rende vraiment compte, mettant cela sur la fatigue due à son nouveau travail bénévole. Aussi j’ai de plus en plus de mal à accepter son comportement qui frustre mes appétits sexuels du retour d’âge sans prendre conscience de ma responsabilité dans sa dépression naissante. C’est ainsi que lors d’une de ces nuits où elle dort profondément pendant que je m’excite une fois de plus à ses côtés à l’imaginer baiser avec un autre, je décide carrément d’abuser d’elle pendant son sommeil.
Je me tourne alors la bite en érection pour la frotter contre son cul nu. Je suis si excité que je ne crains même plus de la réveiller. Je frotte mon gland entre ses fesses sur sa raie culière un long moment en une lente masturbation. Je tends alors une main vers son entrejambe et glisse un doigt dans son antre qui se mouille lentement à ma grande stupéfaction. Je continue mon intromission avec un deuxième doigt. Elle s’humidifie de plus en plus au point que je m’attaque bientôt à son clito.
Elle ne bouge toujours pas et ronfle même un peu. Je décide de la pénétrer alors jusqu’à la garde. Toujours pas de réaction. J’entreprends une série de lents va-et-vient. C’est quand je sens qu’elle recule son bassin pour que je la prenne à fond que j’accélère mes mouvements et la saisis par les hanches. Toujours endormie apparemment, elle se met à ahaner de plaisir.
Je remonte alors mes mains pour empoigner ses nichons et pincer ses tétons. Elle ne manifeste toujours aucun mouvement d’énervement et semble même jouir en gémissant et proférant des mots hachés entrecoupés de soupirs que je ne lui ai pas entendus prononcer depuis si longtemps :
— Oh oui ... C’est bon... Continue... Ohhh... vas-y... plus fort...
Toujours dans la même position, elle encaisse mes coups de boutoir de plus en plus appuyés sans broncher plus que ces quelques mots d’encouragement. Ne pouvant bientôt plus me retenir, je décide d’éjaculer en elle au risque de le regretter le lendemain à son réveil.
Au matin de ce dimanche-là, je décide de me lever le premier, la voyant toujours endormie dans la même position. En sortant du lit, je soulève discrètement le drap pour évaluer les dégâts de mes frasques de la nuit. Son vagin est encore tout pégueux de mon foutre qui a également taché un peu les draps sous elle.
C’est une bonne heure plus tard qu’elle me rejoint dans la cuisine où je lui ai préparé son petit-déjeuner. A mon grand étonnement, elle a juste enfilé son peignoir sans prendre cette fois la peine de l’attacher. Elle est toute souriante contrairement à son habitude où elle me fait souvent la gueule après avoir cuvé pendant la nuit. Elle me remercie pour mon attention en me précisant qu’elle a très bien dormi pour une fois en ayant eu l’impression de vivre un rêve éveillé au point d’avoir tant joui qu’elle en a mouillé le drap.
Je lui demande alors si elle se souvient de son rêve qui lui a tant fait de bien. Une fois assise en face de moi, les pans de sa robe de chambre ouverts laissant pointer ses seins, sa tasse de thé en main, elle me regarde pour dire :

— C’est plus une sensation qui me revient en mémoire.— Mais encore ?— Je ne sais pas comment te décrire ça.— Vas-y dis-moi. Je te sens si bien, depuis si longtemps que cela ne t’est plus arrivé.— C’est vrai. Je sens encore mon cerveau embrumé, mais mon corps comme épanoui.— Tu as ressenti quoi cette nuit ?— Et bien j’ai eu l’impression d’être nue au milieu d’un groupe d’hommes qui me regardaient en s’excitant.— Tu veux dire que tu les voyais dans ton rêve en train de se masturber en te matant sans que cela te gêne ?— Oui. J’adorais même les exciter en prenant des poses érotiques.— Tu leur as fait découvrir ton minou en écartant bien tes jambes ?— Oui j’ai honte, chéri, et je m’en excuse !— Non au contraire. Je suis fier de toi que ton esprit ait pu ainsi se libérer. Tu n’en es pas restée là dans ton rêve, je suppose ?— Non, car bien sûr ils se sont approchés. Bizarrement, je n’ai aucun souvenir de leur tête. Seules leurs queues bandées de différentes formes ont retenu mon attention.— Elles sont restées à distance ?— Je pense que non. Je me vois en effet offerte, les yeux toujours fermés dans l’attente de sentir des mains me caresser le sexe. Je sens alors une bite se frotter entre mes fesses et mes seins se faire triturer.— Cela a duré longtemps ?— Je ne sais pas, mais je jouissais de m’offrir ainsi à ces inconnus !— Oh ! Je t’aime chérie. Embrasse-moi.
Contre toute attente, elle me sourit et se lève pour venir poser ses lèvres sur les miennes, les seins et sa chatte poilue à l’air comme au bon vieux temps où elle aimait m’aguicher en se baladant nue sous mes yeux. Manifestement de me raconter tout ça, l’a excitée de nouveau au point de sortir ma bite et se mettre à la masturber en me regardant avec ses yeux embués de bonheur comme je ne lui ai pas connu depuis tant de mois.
Je profite alors de son empressement à me faire bander pour voir jusqu’où elle est capable d’aller. Je pose mes mains sur ses épaules que je dénude pour faire tomber sa robe de chambre à ses pieds. Elle m’embrasse toujours en enroulant sa langue autour de la mienne les yeux dans les yeux. J’appuie alors lentement, mais fermement sur ses épaules. Elle ne se dérobe pas et descend doucement sa tête en me fixant toujours du regard tout en me bisoutant le torse, puis le ventre avant de frotter sa joue contre mon sexe hyper-tendu.
C’est la deuxième fois de notre vie de couple qu’elle s’apprête à gober ma queue. Elle pose d’abord sa langue sur mon méat pour y capter la première goutte de lubrification qui fait son apparition. Ses lèvres viennent ensuite envelopper mon gland pour le téter. S’en suit alors une fellation que je ne l’imaginais pas capable de faire. Lorsqu’elle juge mon membre suffisamment dur à son goût, elle se relève pour pousser le petit-déjeuner et s’asseoir sur la table en y posant un pied pour bien ouvrir son entrejambe. Ses petites lèvres épaisses sont décollées par son excitation, ses grandes lèvres gonflées couvertes de poils forment un écrin noir à son vagin carminé suintant de mouille odorante.
A mon tour, je m’accroupis pour goûter pour la première fois à sa cyprine, ayant toujours refusé jusque-là l’accès de ma langue à son intimité. Elle reprend alors le récit de son rêve érotique en commentant mon léchage de sa vulve et la succion de son clito :
— Oh oui ... C’est bon... Continue... Ohhh... vas-y... plus fort... Enfonce ta langue en moi ...
Je poursuis mon investigation jusqu’à sa rondelle pour y glisser comme demandé ma langue, puis un doigt humidifié de salive avant de reprendre ma tétée de son clito. Je détends doucement son anus qu’elle ne m’a jamais jusque-là offert. Je réussis bientôt à y introduire deux doigts que je tourne et enfonce de plus en profondément. Je crache sur mes doigts et son cul pour les lubrifier. Elle ne se dérobe pas et continue même de me supplier de la faire jouir comme ça.
Je me relève alors en lui massant toujours la rondelle tout en l’allongeant sur la table. Je lui prends une main pour la poser sur sa chatte en appuyant sur ses doigts contre son clito avant de présenter mon gland contre sa rondelle. Je crains le pire sachant qu’elle s’est toujours refusée à se masturber devant moi et surtout à accepter la sodomie !
Contre toute attente, ses doigts se mettent à tourner avec frénésie sur sa vulve pendant qu’elle s’étire les tétons de l’autre main. J’en profite pour pousser ma queue contre son anus qui s’entrouvre. Je la laisse s’habituer un peu avant de la pénétrer plus avant pendant qu’elle se mord les lèvres en se frottant le clito. Mon gland finit par être entièrement absorbé accompagné d’un petit cri. Je ne bouge plus. C’est elle qui vient alors au-devant de ma bite en se l’enfonçant plus profondément avant de la ressortir un peu et recommencer jusqu’à ce que je sois entièrement en elle. Elle se relève alors en me prenant la tête pour m’embrasser.
Je me retourne et m’allonge à mon tour sur la table en la gardant enlacée à moi, ma bite toujours au fond de son cul. Elle prend alors appui sur les deux bancs situés de part et d’autre de la petite table de cuisine et entreprend de s’enculer à son rythme en me regardant le visage épanoui de bonheur. Ses seins lourds et encore fermes s’agitent en cadence avec ses tétons tendus comme jamais. Je lui demande alors si elle revit cette fois encore son rêve de la nuit passée.
— Oui. Tu sais je me suis fait prendre par tous les trous, comme tu dis, d’affilée et même à la fois par toutes ces bites qui hantaient mon esprit embrumé.— Tu as dû jouir plusieurs fois alors ?— Oui beaucoup comme maintenant !— Mais là, il n’y a qu’une queue pour assouvir ton fantasme ?— C’est vrai. Je m’en contenterais. Je n’en reviens pas que ce soit si agréable de jouir par le cul, ni si bon de sucer une verge !— Il n’est jamais trop tard pour expérimenter de nouvelles choses, non ?— Je suis si excitée ce matin que je ne veux pas que tu éjacules ailleurs que dans ma bouche. Je veux sentir ton sperme sur ma langue, mon chéri. Préviens-moi quand tu sentiras que tu viens. Promets-le-moi ?— OK. Si je comprends bien, tu as avalé le foutre de tes baiseurs cette nuit ?— Oui j’avoue que j’y ai pris plaisir en rêve et qu’il me tarde maintenant d’y goûter en vrai !— Tu veux me laisser entendre que tu n’es plus opposée à sentir une autre queue en toi ?— Déjà prendre ton éjac en bouche est un grand pas pour moi, tu sais !— Mais tu ne rejettes donc plus l’idée d’une autre queue ?— On verra plus tard si je me retrouve une autre fois dans un tel état d’excitation.— Je sens que ça monte chérie !— Attends ! Retiens-toi ! Laisse-moi le temps de te prendre en bouche !— Mummm ! Ta bouche est chaude. Frotte bien mon gland contre l’intérieur de ta joue et aspire bien. Cela ne va plus tarder. Que tu es bonne, que tu pompes bien, tu es devenue une sacrée suceuse !
Je me laisse alors complètement aller et je sens qu’elle me pompe toujours avalant mon foutre au fur et à mesure de mes éjacs qui semblent ne plus s’arrêter tant je suis excité. Elle va jusqu’à remettre en bouche ce qui coule sur ses lèvres et son menton avant de se relever et venir m’embrasser. Sa bouche a le goût de mon foutre. Je suis aux anges !
Pendant qu’elle s’éclipse vers la salle de bains, je reste un moment hébété, encore complètement stupéfait par son changement d’attitude si soudain. Je retourne dans notre chambre pour m’habiller et refaire le lit. En rangeant ses affaires dans sa table de nuit, j’y découvre une boîte de pilules pour lutter contre le tabagisme. Je savais qu’elle souhaitait depuis longtemps arrêter de fumer, mais sans succès jusque-là, notamment avec l’acupuncture. Cela me réjouit. En lisant les bienfaits et contre-indications de ce médicament, je découvre qu’il a aussi une action contre les bouffées de chaleur qu’elle a depuis quelques mois, mais surtout qu’il permet de réveiller la libido féminine en augmentant la libération de la dopamine dans le cerveau. Je constate qu’elle a vraisemblablement démarré cette cure depuis moins d’une semaine, mais que les premiers effets sur son cerveau se sont manifestés pour la première fois cette nuit et ce matin.
Nous avons rebaisé une nouvelle fois ce jour-là et Mylène, toujours dans son délire de ses rêves érotiques, a fini par accepter de choisir avec moi un couple sur le Net pour une première rencontre dans un bar. Intéressée par la présentation virtuelle de ce couple dans notre tranche d’âge de cinquantenaire, elle est partante pour faire leur réelle connaissance et voir si elle se sent capable d’aller plus loin avec eux.
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La semaine qui a suivi, elle a ressassé son comportement, ne se reconnaissant plus au point de m’en vouloir de l’avoir poussée à lui faire faire tout ça sous l’emprise de l’alcool. J’ai dû lui faire convenir qu’au petit matin, elle était à jeun et que c’est elle qui m’a chauffé en me racontant son rêve en détail avant de venir me sucer sans que je le lui demande.
Le vendredi, elle n’en démord toujours pas et ne peut admettre qu’elle ait pu faire tout cela sans contrainte et sans l’esprit embrumé par l’alcool. Je perçois alors comme une demande déguisée de lui prouver qu’elle a raison. Je la regarde droit dans les yeux et lui ordonne de s’agenouiller pour me sucer. Elle manque de s’étouffer :
— Non mais, ça ne va pas, la tête. Pour qui me prends-tu ?— Et bien pour ma petite femme qui va se faire un petit plaisir en pompant à fond son mari !— Tu rêves là !— Non c’est toi qui en rêves au contraire et n’oses te l’avouer !— Je n’aurais jamais dû te raconter ce qui a traversé mon esprit cette nuit-là !— Si bien au contraire. Cela t’a libérée non, avoue-le !— Tu me mets le trouble en tête.— Avoue que tu as aimé cette sensation de t’offrir à ces inconnus dans ton rêve ?— Je ne sais plus où j’en suis !— Alors, commence par te déshabiller là maintenant et caresse-toi devant moi !
Contre toute attente, elle ne me répond pas et déboutonne son chemisier en baissant la tête. Je lui demande alors de la relever et de me regarder droit dans les yeux en continuant son effeuillage. Elle me fixe en ôtant son chemisier, puis défait son pantalon. Une fois en sous-vêtement, je lui demande de continuer avant d’aller s’asseoir sur le fauteuil face à moi, jambes largement écartées posées sur les accoudoirs.Elle s’exécute en soutenant toujours mon regard. Elle commence alors de se caresser la chatte d’une main et les seins de l’autre. Je me mets à poil à mon tour et viens présenter ma bite en début d’érection devant ses yeux. Sans un mot, en se caressant toujours, elle ouvre la bouche pour que je m’y glisse. Elle me pompe tant et si bien que je finis par éjaculer. Elle lève alors la tête en sortant sa langue couverte de mon foutre avant de tout avaler. Je lui dis alors :
— C’est bien, tu es une bonne petite. Tu vas rester à poil et aller étendre le linge dehors comme ça !
Sans rien dire, elle se lève et va à la buanderie récupérer le linge dans la machine. Elle sort dans le jardin et étend le linge sous les fenêtres du voisin. L’une d’elles s’allume soudain quand elle finit d’étendre les draps derrière lesquels elle se trouve alors cachée. Je la vois lever la tête en direction de la fenêtre qui s’ouvre avec le voisin qui lui fait signe bonjour. Elle lui répond d’un geste de la main et se tourne vers moi pour chercher mon regard derrière la porte-fenêtre. Je lui fais signe de revenir.Elle hésite un moment vu que le voisin semble vouloir discuter avec elle. Elle lui répond apparemment. Je ne sais pas ce qu’elle a pu lui dire, mais il referme la fenêtre. Elle se retourne et revient vers la maison. Je vois alors la silhouette du voisin dans l’encadrement de sa fenêtre qui ne perd rien du spectacle offert.A son retour, elle finit par parler :
— Chéri. Tu sais que je n’ai jamais autant mouillé malgré moi de sentir que le voisin pouvait se rincer l’œil.— C’est ce qu’il a fait, tu sais. Tu viens de revivre en réel les sensations de ta nuit lubrique de l’autre jour.— J’avoue que je prends plaisir à faire tout ce que tu me demandes.— Tu es prête donc à continuer de le faire, quel que soit mon ordre ?— Oui chéri. C’est ça qui me manquait en fait, je crois, de me sentir dominée, soumise à toi.— Bien. Alors tu vas allumer la lumière dehors et attendre que le voisin réapparaisse à sa fenêtre. Tu sortiras une nouvelle fois en le regardant pour aller chercher des branches de thym et du romarin. S’il ouvre sa fenêtre pour discuter avec toi, tu lui répondras et tu lui diras pourquoi tu es à poil dehors s’il te le demande.
Elle ne me répond même pas et va allumer l’éclairage extérieur. J’aperçois de nouveau le voisin qui ouvre sa fenêtre. Mylène ne se démonte pas et sort à poil en le regardant. Elle s’arrange ensuite pour lui tourner le dos avant de se baisser pour cueillir les herbes de Provence offrant ainsi au voisin un angle de vue magnifique sur sa vulve poilue et ses fesses rebondies. Elle se relève et lui fait un petit signe pour répondre à son applaudissement avant de rentrer. Elle me regarde et passe ses doigts dans sa chatte avant de les sortir complètement mouillés pour me les offrir à sucer en disant :
— Tu vois comment cela me fait jouir de m’exhiber !— Je t’aime chérie. Viens m’embrasser.— Je suis toute à toi chéri. — Alors, viens devant la fenêtre et tourne le fauteuil vers le voisin pour te caresser en le regardant.
Elle s’exécute aussitôt. Quelques minutes plus tard, le téléphone sonne. Je décroche et salue le voisin qui me félicite d’avoir une femme aussi charmante et docile, car il suppose que c’est à ma demande qu’elle fait tout cela, elle si pudique jusque-là ! Je lui confirme et lui dis que je suis heureux que ma femme puisse l’exciter ainsi. Il m’avoue qu’il se branle tout en la matant avec ses jumelles :
— Quel spectacle ! Votre femme semble très excitée, si j’en juge par sa chatte et son œillet bien ouverts, si vous me permettez cette description. Vous ne devez pas vous ennuyer avec une telle femelle en rut à la maison. Je n’imaginais pas sa poitrine aussi bien conservée et ferme malgré son volume. Que dire de ses larges aréoles brunes et ses longs tétons, c’est ce qui m’excite le plus chez elle quand elle se caresse.
Il me remercie une nouvelle fois avant de raccrocher en me disant qu’il ne verra plus ma femme sous le même jour lorsqu’il la rencontrera. Je lui réponds qu’elle non plus ne sera plus la même lorsque cela se produira. Je résume notre conversation téléphonique à Mylène en lui disant de continuer le temps que le voisin puisse se finir en la matant. Elle me répond entre deux soupirs de plaisir :
— Heureuse de pouvoir exciter un autre que toi pour la première fois.— Tu aurais aimé le voir se branler pendant que tu te masturbes ?— C’est ce qui m’a probablement fait jouir durant mon rêve, alors pourquoi pas oui !— Tu aimes t’exhiber devant lui ? Avoue que cela t’a toujours un peu excitée, non ?— Je ne m’étais jusque-là pas vraiment posé la question. Je crois à y réfléchir que j’ai toujours aimé braver un peu l’interdit en te permettant de me prendre n’importe où, au risque d’être surprise par des voyeurs. Or ce soir, c’est consciemment que je me suis exposée. Mais, si tu ne m’y avais pas forcée, je ne l’aurais probablement jamais fait moi-même.— Tu dois maintenant t’y habituer. Demain matin, tu iras récupérer le linge dehors toujours à poil et tu vaqueras à tes occupations ensuite sans te rhabiller quoiqu’il arrive. Si l’on sonne à la porte, tu iras ouvrir en tenue d’Eve.— En somme, tu me veux nue à la maison en permanence ?— Oui, c’est ça.
Nous passons la soirée à discuter de notre nouvelle relation. Elle finit par m’avouer qu’elle prend des médicaments pour arrêter de fumer et soigner son état dépressif et qu’elle sait qu’ils ont aussi chez beaucoup de femmes une influence sur leur libido. Elle se sent beaucoup mieux depuis qu’elle les prend et se rend compte qu’elle prend plaisir à m’obéir.
Durant cette nouvelle nuit de baise, comme nous n’en avions pas eu depuis longtemps, je l’ai obligée à formaliser dans le détail tous ses fantasmes pendant que je la limais. J’ai ainsi appris que ce n’était pas la première fois qu’elle faisait ce genre de rêve et qu’elle convenait que cela matérialisait bien son envie profonde refoulée jusque-là.
Au matin, c’est elle cette fois qui a préparé le petit-déjeuner. Pendant que je buvais mon café, je l’ai vue sortir avec son panier pour récupérer le linge. J’ai aussitôt prévenu le voisin qu’il pouvait mater Mylène en se branlant sans que cela la gêne au contraire et surtout pour lui dire qu’il pourrait passer d’ici une demi-heure au prétexte de venir emprunter notre tondeuse par exemple.
Sa fenêtre s’est ouverte dès que ma femme a commencé de plier les draps. Il lui a fait un signe pour attirer son attention. Il était à poil lui aussi, la queue en érection et se branlait ostensiblement. Mylène n’a pas cessé de le regarder tout en se massant elle aussi les seins ou la chatte entre deux pliages de linge. Une fois terminée, elle lui a envoyé un baiser de la main et m’a rejoint.
— Alors heureuse d’exciter le voisin ?— Oui j’avoue que j’y ai pris un certain plaisir. Cela m’a rappelé les fois où tu m’as baisée dehors ou dans la voiture avec ce pincement d’imaginer que des voyeurs pouvaient nous mater.— Mais là tu as pu constater son excitation à te découvrir dans toute ta nudité.— Oui j’ai bien vu qu’il se branlait avec entrain.— Mais tu étais peut-être un peu loin pour vraiment apprécier son excitation et surtout la taille de ses attributs, non ?— Oui, c’est sûr, mais je ne vais pas quand même l’inviter à venir se branler près de moi !— Non, tu n’es pas encore salope, à ce point.
Sans relever ma dernière remarque, elle finit de ranger la cuisine et entreprend de repasser le linge. Elle met un moment à réagir au coup de sonnette qui retentit. Elle me regarde avec étonnement. Je lui fais signe d’aller ouvrir. Elle va se placer devant la glace de l’entrée comme à l’accoutumée pour remettre de l’ordre dans ses vêtements et ses cheveux et constate qu’elle est toujours à poil pour me dire :
— Non je ne peux pas faire ça. Surtout si c’est quelqu’un qui nous connaît ?— Ouvre. C’est un ordre !
Elle entrouvre alors lentement la porte en restant cachée derrière, puis l’ouvre entièrement pour faire entrer le voisin en me criant :
— Chéri. C’est pour toi. Le voisin demande si nous pouvons le dépanner avec notre tondeuse. Tu t’en occupes ?— Fais-le entrer et sers-lui un café. Je vais la chercher.
A mon retour, ils sont tous les deux assis face à face dans les fauteuils du salon. Elle ne fait rien pour cacher ses seins ou son entrejambe même si elle a croisé les jambes machinalement comme à son habitude. Ses poils remontent suffisamment pour que le voisin constate qu’elle ne les entretient pas régulièrement. Elle discute décontractée, semble-t-il, tout en buvant son café en l’interrogeant sur la panne de sa tondeuse. Il la remercie tout d’abord pour sa silhouette si bien conservée à son âge. Je ne peux m’empêcher d’intervenir dans leur discussion pour dire à ma femme :
— Maintenant que tu as chauffé Monsieur Marcel en ramassant le linge, tu pourrais continuer d’exciter notre ami en te caressant. Il adore te regarder en se masturbant, n’est-ce pas ?— Oui. Je regrette seulement que vous ne vous soyez pas exposée ainsi plus tôt.
Elle se met à rougir en posant une main sur sa chatte et l’autre sur un sein, mais finit par lui sourire en se faisant du bien. Il me regarde, éberlué. Je lui fais signe de se branler. Il hésite un peu avant de sortir sa grosse queue épaisse déjà raide et commence son branle en ne quittant pas des yeux les mains de Mylène. Lorsque je le sens prêt à éjaculer, je lui fais signe de s’approcher de ma femme.
Elle a les yeux rivés sur sa bite épaisse quand celle-ci expulse une première salve qui vient se mêler à ses poils pubiens, la suivante plus copieuse atteint un sein. Il s’approche encore pour finir par lui couvrir le visage. Elle agite alors ses doigts de plus en plus convulsivement avant de crier sa jouissance à son tour.
Il range sa bite et nous remercie de le dépanner ainsi. C’est Mylène toujours couverte de son foutre qui lui répond que tout le plaisir a été pour elle ! Une fois le voisin reparti avec notre tondeuse, je félicite ma femme pour s’être ainsi totalement libérée devant lui et lui rappelle notre rendez-vous :
— Tu te souviens que c’est ce soir que nous allons prendre l’apéro avec nos futurs amis du Net ?— Oui j’appréhendais un peu à cette idée. Mais maintenant que je me sens capable de faire tout ce que tu me demandes, je me sens plus à l’aise et prête à tout.— Alors tu iras sans sous-vêtements et tu t’arrangeras pour qu’ils le remarquent.— D’accord, chéri. J’en suis excitée d’avance !
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Il me tarde de voir sa réaction aux propositions que ne manquera pas de faire ce couple probablement libertin. Toujours étonné par la transformation si rapide de ma femme, je fouille à nouveau à l’occasion sa table de nuit pour découvrir qu’elle a probablement doublé la dose de médicaments, mais surtout qu’elle lit le dico des rêves érotiques écrit par une sexothérapeute avec un marque-page au chapitre « soumission » où elle a surligné le passage où il est clairement mentionné que ces rêves sont l’émanation d’un désir profond enfoui et donc inavoué !...
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Si vous avez aimé ce nouvel épisode de notre vie conjugale, n’hésitez pas à le commenter et à m’encourager à poursuivre cette série.
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