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Mylène, de femme modèle à salope assumée

Chapitre 2

Première rencontre avec un couple libertin et leurs amis

Avec plusieurs hommes
Dans un premier chapitre, j’ai décrit comment ma femme a retrouvé sa libido avec un médicament de sevrage tabagique ayant pour effet secondaire de lutter contre les bouffées de chaleur qu’elle a depuis quelques mois et surtout en libérant de la dopamine dans son cerveau au point de lui provoquer des rêves érotiques qu’elle a entrepris d’analyser avec un bouquin d’une sexothérapeute pour se rendre compte qu’elle a refoulé jusque-là son côté « soumise » qu’elle assume désormais.
Dans ce nouveau chapitre, nous allons rencontrer un couple libertin qu’elle a fini par accepter de choisir avec moi sur le Net pour une première rencontre dans un bar !
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Lorsque nous entrons dans le bar ce samedi soir là, notre couple du Net est déjà là dans un angle reculé du bar. Mylène ne laisse pas indifférents les clients en traversant la salle. En effet, ses seins ballottent à chaque pas et sa jupe courte en fait saliver plus d’un qui se demande ce qu’elle porte ou pas dessous. Nous nous saluons en nous serrant la main les deux mecs pendant que nos femmes se font la bise. Ce couple libertin, habitué, semble-t-il, à ce genre de rencontre initiale a prévu le coup en nous obligeant à nous asseoir de part et d’autre de la table. Je me retrouve ainsi à côté de Marie et face à Mylène aux côtés de Jean-Jacques.
Une fois les présentations faites sur nos situations familiales respectives, nos occupations et centres d’intérêt, la discussion s’oriente petit à petit vers l’objet de notre rencontre. Nous avons la confirmation qu’ils forment un couple libertin depuis quelques années déjà. Mylène leur avoue que c’est la première fois qu’elle accepte à ma demande expresse de rencontrer un couple d’inconnus. Jean-Jacques la félicite pour sa tenue qui met tous ses charmes en valeur. Elle rougit alors. Tout en continuant de discuter de bagnole avec Jean-Jacques, je passe alors une jambe entre celles de ma femme pour l’obliger à les écarter et faire ainsi remonter sa courte jupe. Ce mouvement ne passe pas inaperçu et le regard de Jean-Jacques se pose alors sur les cuisses dénudées de ma femme. Consciente de son exhibition forcée, elle ne se démonte pas et sourit en répondant à Marie sur son expérience hors du couple :
— Comme je te l’ai dit, c’est la première fois que je me retrouve dans cette situation.— Et tu te sens comment ?— J’avoue ressentir une certaine excitation. — Tu as déjà fréquenté des plages naturistes ?— Non jamais.— Mais tu as déjà ressenti le bien-être de t’exhiber à voir ta tenue de ce soir ?— Oui c’est vrai, même si c’est à la demande de mon mari que j’ai mis cet ensemble.— Il te va à ravir. Moi aussi j’aime bien ne rien avoir en dessous.— Qui te dit que je n’ai rien sous ma jupe !— Mon mari, si tu te sens capable de soulever ta jupe pour le laisser juge !
Nous arrêtons alors notre conversation avec Jean-Jacques qui plonge aussitôt son regard entre les jambes de Mylène avant de dire à sa femme :
— Contrairement à toi, elle a une magnifique toison brune taillée avec soin.
Je réalise alors que Mylène avait anticipé cette situation en nettoyant sa broussaille pubienne pour la première fois. Je vois alors la main de son voisin quitter le dessus de la table pour commencer une exploration plus intime de son entrejambe. J’en fais de même avec la cuisse de Marie en lui susurrant à l’oreille de reprendre la conversation avec Mylène :
— Bravo Mylène. Je te félicite d’avoir osé exposer en public ton intimité à un inconnu, il y a une heure encore. Qu’est-ce que tu ressens maintenant ?— Un doux plaisir naissant. Ton homme a vraiment les mains douces.— Ecarte bien tes cuisses pour qu’il puisse explorer ta vulve et ton vagin en profondeur. Il est très doué, tu vas mouiller comme jamais.— Je n’en reviens toujours pas de m’offrir ainsi aussi facilement. Merci à vous pour cette nouvelle expérience.— Tu peux lui rendre la pareille, chérie, tu sais !— Vas-y Mylène, n’aie pas peur. Occupe-toi de mon homme. Tu n’as peut-être jamais touché une autre queue que celle de ton mari ?— Oui c’est vrai. J’en ai un peu honte, je me sens tout à coup très salope. Tout va très vite dans ma tête, ce troisième verre d’apéro me désinhibe totalement.
Sur ces derniers mots, elle tourne son visage vers Jean-Jacques pour chercher son approbation avant de dézipper son jeans et sortir sa bite pour la branler doucement en jetant un regard furtif vers la salle pour voir si quelqu’un nous regarde. Nous sommes vraiment à l’écart tant et si bien qu’au bout d’un moment, je demande à Mylène :
— Si elle te plaît cette queue, passe sous la table pour la regarder de près avant de la sucer !
Au grand étonnement de nos nouveaux amis, ma femme se glisse aussitôt sous la table. Jean-Jacques me remercie pour cette fellation inattendue ne s’attendant vraiment pas à cette tournure si rapide de la situation. De mon côté, je constate que Marie est tout aussi excitée tant sa mouille est abondante et inonde sa chaise. Je demande alors à Mylène de se retourner pour s’occuper d’éponger avec sa langue le trop-plein qui s’écoule du vagin de sa nouvelle copine.J’aperçois alors la tête de ma femme entre les jambes de Marie, ses yeux se tournent vers moi comme pour me défier du regard avant de commencer son premier cunni. Je la vois s’agiter également sans doute pour rechercher le contact de la bite de Jean-Jacques contre ses fesses nues.Nos amis reprennent la discussion en me félicitant pour mon dressage. Jean-Jacques ne peut s’empêcher de me dire :
— J’ai du mal à croire que c’est la première fois que ta femme s’éclate en dehors de votre couple !— Je t’assure. J’en suis moi-même étonnée.— Tu sais. Elle est en train de frotter son cul contre ma bite. Tu penses qu’elle acceptera que je la pénètre là maintenant ?— Oui, vas-y. Tu sais, c’est mon fantasme absolu qu’elle jouisse avec une autre queue.
Je le vois passer ses mains sous la table pour enfiler une capote sur sa bite avant de la guider dans le vagin de Mylène. Je la regarde toujours affairée à lécher la vulve de Marie. Elle tourne soudain la tête vers moi avec stupéfaction avant de se laisser aller :
— Oh oui ... C’est bon... Continue... Plus fort... Plus fort.
Elle vient alors buter son visage en rythme avec sa copulation sur la chatte détrempée de sa copine qui s’est penchée entre temps pour venir me sucer. Nous nous regardons tous les deux avec Jean-Jacques, un peu hébétés avant de commenter la situation :
— Elles sont vraiment chaudes !— Oh oui ! Je ne les imaginais vraiment pas capables de faire ça en public, surtout Mylène, si pudique encore, il y a quelques jours !— Vous avez rencontré beaucoup d’autres couples libertins avant nous ?— Oui en club. Mais là dans un bar normal comme aujourd’hui, jamais !— Putain, ta femme est vraiment douée. Je vais jouir !— Tu peux te lâcher. Elle avale sans problème. La tienne est trop bonne. C’est elle qui me masturbe avec son vagin. Je ne vais pas tarder non plus.— Si tu veux qu’elle te nettoie après avoir retiré ta capote, je peux lui ordonner !— Ohh ça y est, je jouis !— Mylène, cesse de lécher Marie et occupe-toi de son mari en le nettoyant comme il faut.
Elle tourne alors son visage détrempé vers moi. Son rimmel dégouline, son rouge à lèvres s’est étalé, ses cheveux sont défaits, mais ses yeux brillent de bonheur. Elle fait demi-tour pour venir coller ses fesses sur le sexe de Marie et s’occuper de son mari avec sa bouche. Il lui faut quelques minutes seulement avant de réapparaître la capote pleine à la main tout sourire avant de se rassoir. Marie lui passe un mouchoir avec un peu de démaquillant pour qu’elle se refasse une beauté. Son mari nous invite alors à poursuivre la soirée chez eux...
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C’est finalement en couple inversé que nous reprenons chacun notre voiture, Jean-Jacques et moi, lui avec ma femme et moi avec la sienne au cas où l’on se perdrait de vue. Marie me félicite pour la docilité de ma femme. Je lui avoue que c’est très récent et que j’attends d’elle et son mari qu’ils lui fassent découvrir le plus de situations nouvelles côté sexe, en un mot, qu’elle peut être leur jouet sexuel d’un soir. Elle me remercie pour ma confiance en eux et promet que je ne serais pas déçu.
Arrivés chez eux, je suis étonné de voir ma femme entièrement nue sur le parking précéder Jean-Jacques qui la guide de la voix. Ils croisent ainsi plusieurs passants qui rentrent chez eux avant de prendre l’ascenseur en compagnie d’un jeune homme tout émoustillé de se retrouver avec eux. Marie me dit qu’il vaut mieux prendre l’escalier, car connaissant son mari, il va sans doute bloquer l’ascenseur pour offrir Mylène à celui qui les accompagne. Je lui réponds alors :
— J’ai hâte de savoir comment elle va réagir, sachant que ce soir, la queue de ton mari est la seconde de la journée hors de notre couple qu’elle voit de près !— Elle ne va pas simplement regarder cette troisième bite, mais bien la sucer et probablement la prendre en elle pendant que mon mari l’enculera !— Tout va vraiment trop vite pour elle. Je ne voudrais pas qu’elle se détourne à nouveau du sexe après ce déferlement en si peu de temps !— Ne t’inquiète pas, mon mari saura s’y prendre pour qu’elle se sente bien et ne la forcera en aucune manière.
Nous dépassons bientôt effectivement l’ascenseur vitré à l’arrêt entre deux étages nous permettant de voir Mylène suçant le jeune, pendant que Jean-Jacques la baise. Marie me propose alors une pause coquine afin de continuer de les mater et sort ma queue pour la sucer. C’est alors qu’un vieux sort de chez lui à l’étage du dessus avec son chien en laisse en maugréant que l’ascenseur est encore en panne. Marie tout en continuant de me branler, lui dit :
— Bonsoir Monsieur Robert, vous n’avez qu’à prendre l’escalier comme nous. Cela vous fera du bien de marcher un peu.— Ah c’est vous, Madame Marie. Je ne vous avais pas reconnue, ni votre mari d’ailleurs.
Arrivé à notre hauteur, son chien tire sur sa laisse pour venir rapidement sentir le cul de Madame Marie qui relève sa jupe pour lui faciliter la tâche. Elle s’arrange alors pour barrer l’escalier, forçant Monsieur Robert à poser ses mains sur ses fesses nues pour la déplacer. En tournant la tête, il constate alors la raison du blocage de l’ascenseur en s’offusquant :
— Ce n’est pas dieu possible, ils ne peuvent pas attendre d’être chez eux pour copuler. Même une chienne en chaleur ne se laisse pas prendre n’importe où.— Vous croyez ça. Regardez votre chien. Si ça continue, il va me prendre là dans l’escalier.— C’est vrai que vous l’excitez beaucoup, il y a longtemps qu’il n’a pas grimpé une chienne comme vous, ni son maître d’ailleurs.
Elle se retourne alors en se penchant pour m’offrir sa chatte à baiser pendant qu’elle entreprend de sortir la petite bite du vieux avant de la sucer.
— Oh Madame Marie. Cela fait si longtemps que vous n’avez pas fait prendre l’air à mon oiseau.— Alors la panne d’ascenseur n’est pas si terrible que ça, non ?— Oui, en plus le spectacle à l’intérieur y est très excitant. Je n’avais encore jamais vu une femme se faire prendre en double.— Vous voulez en faire autant avec moi ?— Si vous y tenez, ce sera avec plaisir. Mon chien pourra aussi en profiter ?— Oui bien sûr.
Nous remontons jusqu’au palier pour que le vieux puisse s’allonger et Marie l’enfourcher avant de m’offrir son cul pour ma première double également. Le chien se contentant pour l’instant de laper la cyprine de Madame durant le coït de son Maître. Le petit vieux devait être en manque, car il ne tarde pas à éjaculer en elle. Son chien vient alors lécher le foutre qui s’écoule déjà avant de sortir son vit rouge de son fourreau et venir pénétrer Marie avec l’aide de son Maître pour trouver le cloaque de sa femelle d’un soir. Je ressens ses coups répétés au travers de la fine paroi qui nous sépare. Lui aussi ne tarde pas à se répandre en elle abondamment.
C’est le redémarrage de l’ascenseur qui nous fait prendre conscience que nous barrons l’accès à l’escalier et marque la fin de notre partie fine sans que j’aie moi aussi le temps de la remplir ! Monsieur Robert remercie simplement Marie en prenant cette fois l’ascenseur en lui disant que sa porte reste ouverte pour qu’elle vienne les soulager, lui et son chien, quand bon lui semble. Elle me confirme en effet qu’elle s’occupe de temps en temps de Monsieur Robert surtout pour avoir accès à son chien qui la fait vraiment jouir parfois.
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Nous finissons de gravir la dernière volée d’escaliers jusqu’à leur appartement où son mari et ma femme nous attendent après avoir débloqué l’ascenseur et surtout leur jeune voisin de palier. En passant devant, celui-ci salue Marie comme en prière, les mains jointes sur la ceinture de son pantalon pour le maintenir, n’ayant pas pris le temps de le reboutonner. Mylène est bien sûr toujours à poil sans gêne aucune, ses vêtements sont en effet restés dans la voiture de Jean-Jacques. Marie lui propose de partager la salle de bains avec elle pour se remettre toutes les deux en forme avant de poursuivre la soirée. Jean-Jacques de son côté me sert un nouvel apéro et poursuit notre conversation pour faire plus ample connaissance. Il est très surpris d’apprendre que Mylène, si pudique il y a une semaine encore, ne baisait plus depuis des mois. Je lui parle du médicament qu’elle prend, mais surtout de mes craintes que tout cela s’arrête aussi vite que sa transformation soudaine est apparue.
Je le remercie pour sa bienveillance envers ma femme en lui demandant toutefois de ne pas trop précipiter les choses, même si elle semble accepter de plus en plus son côté « soumise ». Il me raconte alors comment sa femme tout aussi pudique et coincée que Mylène a fini par prendre plaisir à s’envoyer en l’air avec des inconnus et même avec leurs femmes. Il compte d’ailleurs sur elle pour convaincre Mylène des bienfaits de l’amour multiple sous toutes les formes qu’il peut prendre avec ou sans accessoires.
Nous en sommes là dans nos échanges lorsque nos femmes ressortent toutes les deux avec un maquillage très prononcé, mais surtout en guêpière, bas, porte-jarretelles et talons hauts. Mylène est en noir, soulignant sa chatte brune et mettant en valeur ses fesses rebondies tout en rehaussant ses seins pigeonnant, tandis que Marie est en rouge, le pubis glabre et sa poitrine généreuse avec de longs tétons bien mis en valeur. Elle continue chacune de s’occuper du mari de l’autre en venant s’asseoir à leurs côtés. Je constate alors la présence d’un bijou entre les fesses de ma femme et ne peux m’empêcher d’interroger ma voisine à l’oreille qui me confirme qu’elle a offert un de ses plugs à Mylène.
Nous continuons de discuter un moment jusqu’à la surprise d’un coup de sonnette. Marie propose alors à Mylène de l’accompagner pour aller accueillir les invités. Elle se lève alors en me souriant, consciente de l’effet qu’elle va leur faire. Jean-Jacques me prévient alors seulement qu’ils avaient prévu une soirée entre amis et que vu les affinités révélées entre nos deux couples au bar, ils ont pensé que nous pourrions rejoindre leur cercle d’amis dès ce soir. Deux couples toujours dans nos âges font alors leur apparition. Une fois leurs manteaux enlevés, les deux femmes apparaissent elles aussi en guêpière, l’une rousse naturelle jusqu’à sa toison fournie, Jacquie, toute de blanc vêtue avec une petite poitrine d’ado et l’autre Martine en violet avec sa chatte imberbe et une belle paire de loches à larges aréoles roses !
Les quatre « guapas » se retrouvent rapidement en cuisine pour nous concocter un dîner pendant que nous parlons bagnoles et sport entre hommes en sirotant notre apéro, avant bien sûr d’orienter la discussion vers les histoires de cul des uns et des autres. J’apprends ainsi qu’ils fréquentent tous très régulièrement un club libertin où ils retrouvent un docteur pervers propriétaire d’une clinique spéciale où leurs femmes ont approfondi leur éducation sexuelle pour leur plus grand bonheur. Je n’ose pour l’instant demander plus de détails sur la spécialité de ce docteur, sachant que les femmes se chargeront d’en informer Mylène à un moment ou un autre.
Nous n’avons pas trop à attendre pour que Marie nous invite à rejoindre la salle à manger et nous place de façon à faire plus ample connaissance. Mylène se retrouve ainsi entre Michel, le mari de Jacquie et Lucien, celui de Martine d’un côté de la table et moi de l’autre côté entre leurs femmes pendant que Jean-Jacques préside en bout de table. Marie occupe l’autre bout, côté cuisine pour faire le service. Je ne sais pas ce que les voisins de Mylène peuvent bien lui dire, mais elle ne cesse pas durant tout le repas de rire à gorge déployée comme je ne l’ai encore jamais vue faire, surtout avec ses seins bientôt totalement sortis de leur soutien sans qu’elle juge nécessaire de les y remettre. Arrivée au dessert, Marie se lève pour annoncer que les femmes peuvent s’abreuver directement à la source à leur guise avant de plonger la première sous la table pour se placer entre les jambes de Lucien à ses côtés.
Jacquie, ma voisine rouquine, la suit de près pour s’attaquer à ma braguette et rapidement emboucher ma bite. Mon autre voisine Martine s’occupe alors de Jean-Jacques. Mylène encore surprise par la rapidité de ses consœurs me regarde l’air étonné avant de passer à son tour sous la table pour faire une gâterie à Michel.
Nous continuons de discuter de choses et d’autres, l’air de rien entre mecs. C’est Michel, le premier qui dit que Mylène a gagné le concours avant de se tourner vers moi pour me dire qu’il est heureux d’avoir pu bénéficier de tout le savoir-faire de ma femme. Je ne tarde pas à lui retourner le compliment tant la sienne sait également y faire. Lucien et Jean-Jacques me suivent de près. Les quatre femmes font bientôt leur réapparition, toutes heureuses de cette mise en bouche avant d’aller chercher le reste des desserts et le champagne en cuisine. Michel et Lucien me félicitent pour l’intégration rapide de ma femme à leur cérémonial et me souhaitent donc la bienvenue à leur club. Une fois les assiettes de dessert placées devant chacun et les coupes remplies, nos femmes rejoignent leur place. Jean-Jacques propose le premier toast pour les remercier en entonnant : « A nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent. Par Saint Georges, Vive la cavalerie ! ».
Je découvre alors qu’en dehors du libertinage, ils ont aussi en commun l’équitation qu’ils pratiquent de temps en temps en week-end lors de balades en forêt.Pour le café et le digestif, nous nous retrouvons de nouveau au salon, Mylène au milieu du canapé toujours entre Lucien et Michel qui se sont dévêtus entre temps tout comme Jean-Jacques et moi d’ailleurs. C’est Martine avec sa poitrine menue qui vient cette fois s’asseoir sur mes genoux après m’être affalé dans un fauteuil, l’autre étant occupé par Jean-Jacques avec Jacquie sur ses genoux, pendant que Marie s’occupe de servir chacun. Mylène se remet à rire aux blagues de ses cavaliers. Elle a toujours les seins à l’air et le minou apparent tout comme le plug qui lui maintient la rondelle bien souple. C’est Lucien, le premier qui prend sa main pour la poser sur son énorme gourdin. Michel ne tarde pas à lui prendre l’autre pour qu’elle s’occupe de sa longue et fine queue. Martine ne s’embarrasse pas de préliminaires pour venir me chevaucher en me faisant face et me rouler une pelle.
Je l’accompagne dans son trot en agrippant ses petites fesses plates et constate qu’elle aussi est adepte du plug. Jean-Jacques lui prend en levrette Jacquie à genoux sur le fauteuil, les bras en appui sur le dossier. Enfin, Marie n’est pas en reste et vient les rejoindre pour que Jacquie s’occupe d’elle.
Mylène se retrouve bientôt à genoux sur le canapé, en train de sucer la grosse bite à Lulu, laissant le champ libre à Michel pour la pénétrer, en y prenant, semble-t-il plaisir, à voir ses yeux embués de bonheur lorsqu’elle croise mon regard. C’est bientôt un concert de soupirs et gémissements ponctuant la jouissance montante des huit convives de la soirée. Je ne quitte pas Mylène des yeux qui prend de plus en plus son pied avec des :
— Oh oui ... C’est trop bon... Continuez... Ohhh... allez-y... plus fort... Enfoncez bien vos bites en moi !
Michel ne se fait pas prier et retire bientôt son plug pour le remplacer par sa queue fine. Mylène jouit de plus en plus. Il la bloque alors pour la maintenir assise sur sa queue lorsqu’il s’allonge sur le canapé tout en lui écartant les jambes en attrapant ses cuisses au niveau des genoux, offrant ainsi sa chatte à son copain Lucien pour qu’il la remplisse avec son gourdin. Elle ne tarde pas à manifester son plaisir accru en leur demandant de la pilonner. La vue de sa tête en arrière appuyée sur le dossier criant sa jouissance donne alors l’idée à Jean-Jacques de venir lui investir la bouche. La voilà pour la première fois de sa vie remplie comme dans ses rêves par ses trois orifices et qui plus est sans le concours de son mari ! Je suis aux anges une fois de plus à quelques jours d’intervalle. Jusqu’où acceptera-t-elle d’aller désormais ?
Je suis si bien que je me mets à téter les petits seins de ma partenaire qui s’agite toujours sur ma queue jusqu’à obtenir mon éjac bien au fond d’elle. Martine et Marie se précipitent alors pour venir s’abreuver à son vagin suintant lorsqu’elle se retire avant de me nettoyer et me pomper les dernières gouttes de sperme. Quelle séance d’intronisation à leur groupe ! Je sens que si Mylène continue de prendre ses médicaments, elle maintiendra suffisamment sa libido pour continuer de « fumer » non plus des cigarettes, mais plutôt de « tailler » des pipes. C’est bientôt au tour de ma femme d’être nettoyée par les langues de ses nouvelles copines, une fois que ses deux partenaires se sont soulagés en elle.
Elles se retrouvent ainsi rapidement toutes les quatre sur le tapis à se faire du bien mutuellement après avoir retiré leur guêpière pour mieux sentir leur corps s’épanouir sous les caresses. Jean-Jacques va alors chercher sa caméra et me demande s’il peut filmer Mylène avec ses copines durant leurs ébats lesbiens. Elle s’en aperçoit au bout d’un moment lors d’un gros plan qu’il fait à quelques centimètres de sa chatte. Elle se tourne alors vers moi comme affolée. Je la rassure en lui faisant signe que tout est OK. Elle se détend et reprend son « mioumioutage » de la vulve de Jacquie, le nez au milieu de sa toison rousse. Marie s’éclipse pour aller chercher dans sa chambre ses jouets et revient avec un vibro qu’elle enfile directement dans le vagin de Mylène en donnant la télécommande à Martine qui se fait toujours téter le clito par Jacquie.
Pendant ce temps, nous nous retrouvons entre mecs autour de la table du salon pour apprécier le spectacle offert, mes nouveaux copains me félicitent une fois de plus pour les prouesses de Mylène. Ils me confient qu’elle est quasiment prête pour les joindre lors d’une prochaine soirée organisée dans leur cercle libertin et faire ainsi la connaissance du bon Docteur « Folamour » comme il l’appelle, tant il affole toutes les femmes qui passent entre ses mains. Je n’ose toujours pas les interroger sur ses spécialités. Ils me disent simplement qu’elles finissent toutes par lui obéir corps et âme et offrir leur corps à tous ses caprices pour jouir comme des damnées du sexe.
C’est Marie qui fait se relever les filles, entièrement nues, vêtues de leurs seuls bas et porte-jarretelles, toujours perchées sur leurs talons hauts pour les inviter à défiler devant nous et s’offrir totalement une dernière fois à l’homme de leur choix. Elle s’arrange pour que Mylène ferme la marche et se retrouve face à la grosse bite de Lulu que les autres lui ont laissé exprès. Elle est si à l’aise à présent qu’elle se dandine en jouant la danseuse de cabaret autour de lui, passant ses seins sous son nez et roulant son popotin contre son pieu durci. Il l’attrape alors par les hanches et la couche sur lui avant de lui mettre une bonne claque sur les fesses. Elle crie aussitôt, mais ne se débat pas, attendant la frappe suivante. Elle a bientôt le cul tout rouge. Il attrape alors un gros gode sur la table et l’enduit de lubrifiant avant de lui forcer la rondelle.
Elle crie de nouveau, mais accepte cette intromission forcée qui se transforme bientôt en doux va-et-vient, la faisant rapidement jouir tant elle est surexcitée depuis notre rencontre au bar avec Jean-Jacques et Marie. Il la redresse et l’oblige elle-même à s’asseoir sur son gourdin en remplacement du gode dans son cul. Elle réussit à l’introduire entièrement en elle au prix de multiples contorsions et grimaces de douleurs. Mais me regarde, fière de sa prestation. Il la fait s’allonger sur lui pour pouvoir la peloter avec vigueur, pinçant ses tétons et malaxant ses globes laiteux. Elle tient elle-même ses jambes écartées et invite tous les mecs à venir se vider une dernière fois comme elle en a tant rêvé dans ses nuits les plus lubriques. Je décide de passer le premier, n’étant pas sûr de pouvoir la pénétrer dans le jus des autres. Les autres femmes se mettent à genoux au pied de leur homme pour maintenir leur érection en les suçant.
C’est ainsi que Mylène réalise son rêve inavoué le plus fou sous mes yeux. Une fois les invités partis, la félicitant une dernière fois pour sa participation active, elle va prendre sa douche une nouvelle fois avec Marie. Elle en ressort toujours à poil avec uniquement sa nouvelle guêpière, ses bas, son porte-jarretelles et ses talons. Elle vient me faire un bisou avant de s’accrocher à mon bras pour dire au revoir à nos amis en les embrassant tous les deux sur la bouche et surtout les remercier pour cette nouvelle expérience qui lui a procuré de multiples orgasmes comme elle n’en avait jamais ressenti d’aussi forts. Nous prenons l’ascenseur avant de rejoindre notre voiture sans rencontrer âmes qui vive vu l’heure avancée de la nuit.
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Si vous aimez toujours découvrir comment Mylène s’est petit à petit muée en salope assumée, n’hésitez pas à m’encourager à poursuivre cette série.
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