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Mylène, de femme modèle à salope assumée

Chapitre 3

Sexualité débridée

Zoophilie
Dans un premier chapitre, j’ai décrit comment ma femme a retrouvé sa libido avec un médicament de sevrage tabagique ayant pour effet secondaire de lutter contre les bouffées de chaleur qu’elle a depuis quelques mois et surtout en libérant de la dopamine dans son cerveau au point de lui provoquer des rêves érotiques qu’elle a entrepris d’analyser avec un bouquin d’une sexothérapeute pour se rendre compte qu’elle a refoulé jusque-là son côté « soumise » qu’elle assume désormais.
Dans un deuxième chapitre, j’ai conté notre première rencontre avec un couple libertin et leurs amis. Dans ce nouveau chapitre, Mylène va s’adonner avec ses nouvelles copines à différentes expériences sexuelles, inimaginables pour elle, il y a quelques semaines encore.
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Après cette soirée de découverte du libertinage, nous avons récupéré un long moment au point d’émerger vers midi seulement ce dimanche matin. A mon réveil, je constate que Mylène est déjà debout. Mais depuis peu sans doute à entendre l’eau de la douche s’écouler. J’en profite pour aller préparer un petit brunch pour nous remettre d’aplomb, la soirée passée ayant sûrement creusé l’estomac de ma femme, même si elle a avalé finalement une bonne quantité de foutre étranger pour la première fois de sa vie. Je décide de rester à poil pour la journée, assuré que Mylène en fera autant. Mais quelle n’est pas ma surprise de la voir entrer dans la cuisine entièrement habillée et prête à sortir !
Elle me remercie pour mon attention, mais ajoute aussitôt :
— Excuse-moi chéri, j’aurai dû te prévenir en rentrant cette nuit, mais Marie nous a invitées, toutes les quatre, pour un brunch entre filles. Ne m’attends pas avant le milieu de l’après-midi au moins.— J’en déduis que tu as beaucoup apprécié ta soirée d’initiation d’hier et ne regrette donc pas du tout ce que tu as été amenée à faire ?— Non du tout, tant j’ai joui comme jamais, même si ce matin, j’ai un peu mal au cul et n’ai donc pas remis le plug que Marie m’a offert.— Tu n’as donc pas dû attendre cette fois de plonger dans des rêves érotiques pour te retrouver humide au matin ?— Non c’est sûr. Je dois même t’avouer que pour la première fois, je pense, mes petites lèvres ne se sont jamais vraiment refermées depuis notre entrée au bar hier soir où je mouillais de m’exhiber en public.— Tu aimes te sentir dans cet état de jouissance quasi permanent ?— Oui. Pour tout te dire, je me suis même masturbée sous la douche ce matin pour la première fois de ma vie et j’ai même utilisé le vibro de Marie pendant que je me maquillais !— Tu me sembles en effet déjà bien émoustillée avant d’aller rejoindre tes nouvelles copines.— En effet, d’autant que le « dress code » est comme tu vois minimaliste sans sous-vêtement avec veste, chemisier transparent et micro-jupe jusqu’à la lisière du porte-jarretelles et des bas et enfin chaussures à talons. — Oui, je vois que tu ne vas pas laisser les mecs que tu vas croiser indifférents. Bon appétit donc. A tout à l’heure.— Tu ne seras pas le seul, c’est sûr, à bander en me matant. A+
Je suis là à cogiter sur ma journée à venir depuis une demi-heure après le départ de Mylène quand le téléphone sonne. C’est Jean-Jacques qui me propose de déjeuner avec lui. Je lui dis que j’ai préparé un brunch pour deux et que je serai heureux de pouvoir le partager avec lui, maintenant que ma femme est partie rejoindre la sienne. Il me remercie ,n’ayant pas encore réservé de resto et qu’il sera là d’une minute à l’autre. Il me demande notre adresse et si nous avons un magnétoscope, car il compte apporter une série de cassettes montrant l’évolution de sa femme vers une libération totale de tous ses tabous.
Nous grignotons tout en regardant Marie évoluer à l’écran. Sur la première vidéo, je la découvre quelques années plus tôt très pudique et timide sur une plage dont on distingue au loin quelques pratiquants naturistes. Elle est en maillot deux pièces, mais très enveloppant, ne mettant pas du tout en valeur sa silhouette. Elle finit quand même par dégrafer son soutif pour se faire bronzer le dos, allongée sur le ventre sur sa serviette et consent un peu plus tard à aller se baigner torse nu. Elle hésite beaucoup une fois dans l’eau à se rapprocher du coin naturiste comme l’invite son mari en voix off. Elle y parvient finalement. Mais là, surprise, à sa sortie de l’eau, elle a enlevé sa culotte qu’elle brandit face caméra à son mari comme un trophée qu’elle aurait gagné. Son poilu châtain en gros plan est vraiment très fourni et couvre son pubis au-delà du raisonnable. Elle a bien fait de totalement s’épiler depuis !
Sur la vidéo suivante, elle est toujours à la plage, mais allongée nue sur une serviette au milieu d’une clairière entourée de genêts. Des couples se trouvent à proximité et baisent allègrement sous ses yeux. Son pubis est taillé de près cette fois et elle se caresse sans gêne, les cuisses largement ouvertes face à des voyeurs qui se branlent en la matant. Sur celle d’après, elle déambule à poil dans, semble-t-il, un club libertin. Elle est très à l’aise même quand des mains viennent à sa rencontre pour lui palper les fesses ou les seins. Elle se retrouve ensuite attachée assise sur une sorte de hamac les quatre membres écartelés entourés d’une dizaine de jeunes mecs qui se branlent. Elle est bientôt pelotée sous toutes les coutures, des doigts investissent tous ses orifices, écartent largement sa bouche, sa chatte et même son cul.
Puis c’est le gang-bang avec des bites qui la pénètrent sans interruption avant la décharge générale sur tout son corps avec insistance sur sa bouche maintenue ouverte par un écarteur.Il place ensuite la cassette qu’il a filmée la veille où je découvre Mylène au milieu de ses copines, très à l’aise, en train de sodomiser sa femme avec un gode ceinture pendant qu’elle se fait caresser par Martine et Jacquie. On la voit ensuite en 69, le nez dans les poils roux de Jacquie avant de relever la tête en se pourléchant les babines avec la mouille recueillie comme une chienne en chaleur. Il me donne cette cassette en me confiant qu’il a eu recours à une vidéo de ce type pour forcer Marie à poursuivre son éducation de soumise sous peine de la diffuser à ses amis et à la famille ! Aujourd’hui, elle n’a plus aucun tabou, ayant sucé des chevaux, s’étant fait prendre en levrette par des chiens en public, voire jouer à l’escort-girl avec des clients pour faire aboutir des contrats pour les grosses boîtes de la région, etc. Il me demande alors tout de go, si c’est comme cela que je vois ma femme dans quelque temps. Je lui réponds :
— Oui dans l’absolu, mais je souhaite surtout qu’elle se sente mieux et ne replonge plus dans la déprime dont elle vient de sortir, il y a quelques jours à peine.— En tout cas pour l’instant, elle a l’air de bien s’éclater à baiser sans retenue.— Oui d’autant qu’elle a frisé la frigidité après de longs mois d’abstinence.— Si elle revient cet après-midi toujours avec le même en train à s’envoyer en l’air, ce sera partie gagnée, je crois !— Qu’est-ce que tu essaies de me dire par là ?— Je ne peux pas vendre la mèche, Marie me l’a interdit. Tu le sauras de toute façon assez tôt. Mais ne crains rien pour Mylène, Marie ne l’entraînera jamais au-delà de ses limites, ni contre sa volonté.
Nous sommes toujours là à discuter de nos femmes quand elles rentrent ensemble, Marie s’étant doutée que son mari avait dû me rejoindre. Mais la surprise est surtout de les voir complètement à poil vêtues de leurs seules chaussures. Contre toute attente, Mylène, toujours émoustillée par sa sortie entre filles, ne me regarde même pas, en allant directement s’asseoir à côté de Jean-Jacques avant de lui rouler une pelle. Avant que j’émette la moindre réaction, Marie vient se blottir contre moi en regardant Mylène afin de pouvoir annoncer en cœur qu’elles ont décidé d’échanger leurs maris pour la nuit ! Marie pose à son tour ses lèvres sur les miennes pour chercher ma langue avant de me susurrer à l’oreille que je ne vais pas le regretter, ni ma femme d’ailleurs qui est entre de bonnes mains pour parfaire son éducation.
Sans demander son reste, Jean-Jacques se lève aussitôt en tirant Mylène par la main pour la faire passer devant lui avant de poser l’autre main sous ses fesses pour la faire accélérer. Sans broncher, elle se retrouve rapidement dehors, toujours à poil sans prendre même le temps de récupérer quelques affaires ni me faire un signe quelconque. Marie me rassure une nouvelle fois en me disant qu’elle n’aura pas besoin de se rhabiller, ni donc de se changer puisqu’elle va se donner corps et âme à son nouveau petit mari d’un soir. Elle vient de nouveau se lover contre moi en sortant ma bite pour la branler en les regardant rejoindre la voiture garée sous les fenêtres du voisin.
Je me sens tout à coup comme désemparé, comme si la situation m’échappait, me demandant si je n’ai pas trop précipité les choses en poussant ma femme dans les bras d’un inconnu, il y a deux jours encore. Marie toujours à poil me sort de ma torpeur en me suçant carrément sur le pas de la porte au moment où la voiture de Jean-Jacques passe devant nous, sans que je puisse distinguer la tête de ma femme qui doit probablement être en train de pratiquer la même chose que Marie à son mari ! Nous rentrons finalement dans la maison pour baiser dans toutes les pièces et toutes les positions, afin me dit Marie de prendre pleinement possession des lieux. Elle tient même à la fin à mettre les sous-vêtements de Mylène pour que je la baise sur notre lit conjugal et prendre ainsi totalement sa place ce soir-là.
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Après une petite sieste crapuleuse dans « notre » chambre, nous rejoignons toujours nus le salon pour visionner une nouvelle cassette qu’elle vient d’apporter. Je découvre alors les quatre filles totalement à poil dans un centre hippique. Le maître des lieux les félicite pour leur tenue et les conduit directement à l’écurie pour choisir leur monture. Et là quatre « pur-sang » les attendent entourés chacun de deux lads à poil eux aussi, la bite bien raide comme celles des chevaux qu’ils sont en train de brosser. C’est une envolée de moineaux des trois autres filles. Mylène, un peu surprise par le tableau offert, se retrouve rapidement seule avec le maître des lieux qui l’accompagne alors vers le dernier cheval disponible. Déstabilisée par la situation, ne sachant que faire, elle décide de s’agenouiller pour sucer le premier lad qui lui frotte le dos comme une jument pendant que son collègue la prend en levrette.
Elle se retrouve alors sous le cheval avec son sexe démesuré à quelques centimètres. Il a les pattes nouées deux à deux devant et derrière pour éviter qu’il ne rue. C’est le lad qu’elle suce qui prend alors le mandrin du pur-sang pour le présenter à lécher par ma femme. Elle se met à le branler à deux mains tout en tentant de le faire entrer en bouche. On voit cette tige s’allonger comme un bâton télescopique laissant apparaître une longue partie rosée sous le gland noir et fripé qu’elle parvient finalement à faire entrer dans sa bouche en étirant complètement ses lèvres. Elle est accroupie dans la séquence suivante offrant sa chatte à la palpation de l’un des lads qui tente bientôt de la fister. La caméra saisit alors en gros plan les quatre doigts qui s’agitent au centre de sa vulve poilue avant de voir le pouce s’insérer entre eux pour le passage complet de la main jusqu’au poignet.
De retour sur son visage, on le découvre déformé par la douleur du fist et la taille du gland chevalin qu’elle pompe toujours. Elle lâche ensuite la bite du cheval pour venir placer sa chatte à proximité de celle-ci, aidée par le lad qui a sa main toujours profondément en elle. Les deux lads saisissent alors la bite du cheval à quatre mains pour l’insérer dans le vagin distendu de Mylène en position de levrette les deux jambes tendues en V. Elle prend elle-même ensuite à deux mains ce sexe énorme pour rythmer sa copulation parvenant à introduire toute la partie rose en elle ! De retour sur son visage, la caméra capte sa jouissance proche de l’orgasme. Ce sont les lads qui lui font signe de reprendre sa fellation, l’éjaculation ne devant plus tarder. Elle entre de nouveau entièrement le gland en bouche et accélère son branle jusqu’à ce qu’un flot puissant envahisse sa bouche et s’écoule jusqu’à couvrir sa poitrine !
Encore abasourdie par ce qu’elle vient de faire, elle tombe à genoux avant de sentir le maître des lieux venir la sodomiser après avoir lubrifié sa rondelle avec le jus du cheval s’écoulant encore de ses nichons pendants ! Elle se met à pousser un cri vite étouffé par la bite de l’un des lads. Ils lui baisent ainsi la bouche et le cul un long moment avant que le maître des lieux ne s’allonge dans la paille sa queue toujours dans son fondement et qu’il lui écarte les cuisses avec ses mains pour que son vagin soit pénétré cette fois par la bite de son fisteur ! Les dernières images montrent la queue blonde du cheval qui vient balayer ses cheveux bruns défaits et son visage déformé par la jouissance qui monte en elle.
Je suis complètement abasourdi par ce que je viens de voir. Marie le sent bien et me suce aussitôt pour me changer les idées. Je ne peux m’empêcher de l’interroger sur la suite des évènements. Elle se redresse pour me rouler une pelle et me rassurer en me disant qu’ayant eu des enfants, ma femme a gardé un vagin très souple et surtout qu’elle leur a avoué lors du déjeuner sur l’herbe qui a suivi qu’elle n’avait jamais eu un orgasme aussi puissant.
Après le repas, elles ont fait une balade en forêt à cru sur le cheval. Marie me confiant alors combien il est agréable de sentir sa peau nue en contact avec celle du cheval et de pouvoir ainsi anticiper ses mouvements en sentant les muscles de son dos se tendre devant un obstacle par exemple. Après s’être amusée à aller jusqu’au galop, elles sont tombées par hasard sur un groupe de naturistes en « randonnue » qui les ont salués au passage avant de les retrouver plus tard près d’une fontaine abreuvoir lorsqu’elles ont fait une pause pour faire boire leur monture. Ils ont été surpris de les découvrir en train de se caresser mutuellement. Mais nullement gênés, ils se sont assis en rond autour d’elles pour admirer leur savoir-faire, certains hommes se masturbant alors ostensiblement tandis que d’autres femmes les ont rejointes.
C’est Mylène la première qui a invité la dizaine de gars à nous rejoindre. Prenant cela plus pour une invitation personnelle, ils se sont tous occupés d’elle d’abord en la pelotant de toutes parts jusqu’à ce qu’un premier la pénètre pendant que d’autres tentaient de se faire sucer tous en même temps. Ils ont pu la limer ainsi les uns après les autres avant que l’un ne tente de la prendre en levrette en la sodomisant. Ils se sont alors succédé dans son cul jusqu’à ce que le dernier la coince dans cette position et la bascule sur lui pour maintenir tenir ses jambes écartées et offrir sa chatte à prendre en double. Ils y sont de nouveau tous passés jusqu’à ce que le plus pervers décide de la doucher de leur sperme ! Elle est restée un long moment allongée, couverte de foutre, les yeux mi-clos. Je me suis approchée d’elle pour savoir si tout allait bien. Elle m’a juste dit :
— Je ne suis qu’une vulgaire salope refoulée jusqu’ici. J’ai honte de moi. Ne dis surtout pas à mon mari tout ce que j’ai été capable de faire aujourd’hui. — C’est normal que tu réagisses ainsi, nous sommes toutes passées par là et comme tu as pu le constater, nos maris sont toujours restés près de nous.— Mais là ce soir, je ne sais pas comment je vais réagir quand il va m’interroger sur ma journée. J’ai trop peur de le décevoir.— Si tu veux, nous pouvons échanger nos maris et c’est moi qui lui parlerais.— Tu es vraiment super Marie. Je te remercie. Cela me soulage la conscience.— Mais tu ne sais pas à qui tu vas confier ton corps de jeune mariée d’un soir ?— Une nouvelle nuit de noce en quelque sorte. Cela ne me déplait pas au contraire. Je suis sûre que j’ai encore beaucoup à apprendre côté sexe et ton homme me semble être un bon maître en la matière.— C’est bien le mot qui le caractérise tant je suis soumise à lui. Si tu me remplaces cette nuit, c’est à cette condition d’être entièrement soumise à lui ce soir, sinon il n’acceptera jamais que j’aie pu prendre une telle initiative.— C’est d’accord. Vous m’avez déjà tant fait sauter de tabous en deux jours que je m’offre entièrement à lui. Tu pourras lui dire pour obtenir son accord.
Nous nous sommes un peu rafraichies à la fontaine avant d’enfourcher nos montures pour rejoindre l’écurie. J’ai prévenu Jean-Jacques dès notre retour en voiture qui m’a ordonné alors de rester nues toutes les deux pour rentrer et que Mylène ne prenne aucun effet pour passer la nuit avec lui.
Rassuré par l’attitude de Mylène qui assume totalement désormais son côté salope et se sent capable de se soumettre à un Maître inconnu, je passe l’une des soirées les plus agréables de ma vie aux côtés de ma nouvelle épouse d’un soir, découvrant à mon tour de multiples façons de satisfaire une femme surtout lorsque le voisin croit bon de venir rapporter ma tondeuse pensant se rincer l’œil une nouvelle fois en matant Mylène. Il reste quand même un bon moment avec nous, le temps d’expérimenter avec Marie la double pénétration vaginale, buccale et anale jusqu’à ce que ses couilles soient complètement vidées !
La nuit fut courte côté sommeil, mais intense côté baise tant Marie était insatiable ce soir-là. Elle m’avoue au petit-déjeuner qu’elles avaient toutes les quatre pris des aphrodisiaques avant de rejoindre le centre hippique.
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Lorsque Jean-Jacques sonne en milieu de matinée pour venir récupérer sa femme, je suis étonné que la mienne ne soit pas avec lui, l’interrogeant aussitôt pour savoir s’il ne lui est rien arrivé. Il me rassure en disant qu’il vient de l’envoyer à poil chez le voisin pour se faire sauter une dernière fois avant de rejoindre le foyer conjugal. Il me félicite une nouvelle fois pour la docilité de Mylène et me dit qu’elle est désormais prête à tout sans aucun tabou d’aucune sorte. Ils me saluent et me disent qu’ils nous inviteront désormais à toutes leurs soirées libertines pour parfaire notre éducation en ce domaine. Marie repart à poil comme elle est venue sans gêne aucune. J’ai juste le temps de ranger un peu la maison et de refaire le lit avant le retour de Mylène les yeux défaits, mais la mine épanouie malgré le foutre qui dégouline encore de sa bouche :
— Bonjour chéri. J’espère que tu as passé une nuit aussi débridée et jouissive que la mienne. Je suis complètement vannée. Je vais me coucher. Je te raconterais tout à mon réveil.
Ayant pris ma journée, je finis de ranger et nettoyer complètement la maison avant de me repasser en boucle les deux cassettes de dépravation de Mylène laissées par Jean-Jacques et Marie. C’est sur l’image de la bite du cheval qui se répand dans la bouche de Mylène qu’elle refait surface pour venir se lover contre moi, toujours à poil. Se découvrant plus salope que jamais en gros plan, elle me demande aussitôt si je l’aime toujours autant. Je lui ai répondu plus que jamais. Elle m’embrasse longuement pour sceller notre nouvelle union de couple totalement libéré. Puis elle commence de raconter sa nuit avec Jean-Jacques en disant en préambule qu’à sa demande, elle doit désormais être toujours nue tant à la maison qu’à l’extérieur.
Que ce soit en présence d’amis ou de la famille à la maison ou pour recevoir le facteur ou tout autre artisan et à l’extérieur pour se déplacer en voiture ou dans la rue autour de la maison, seuls un imper léger en été ou un manteau en hiver sont tolérés pour éviter l’attentat à la pudeur dans les magasins ou les transports en commun. Pour son travail à l’association, elle a une dérogation pour s’habiller comme elle veut, à condition que ses seins et sa chatte soient visibles à un moment ou un autre quand elle se penche ou s’assoit en écartant bien les jambes comme une salope qu’elle est désormais. Je lui réponds :
— De toute façon, s’il ne l’avait pas fait, je te l’aurais demandé. Je suppose que c’est lui qui te dit qui tu dois baiser désormais en plus de ceux que je t’ordonne de faire jouir ?— Oui comme le voisin ce matin qui ne s’est pas fait prier et m’a dit combien il a aimé prendre Marie en double avec toi !— Tu as baisé beaucoup d’autres mecs cette nuit ?— Je ne sais pas combien puisqu’il m’a amené dans leur cercle libertin où j’ai fait la connaissance du Docteur Folamour, comme il me l’a présenté.— Il est spécialisé en quoi au juste ce docteur ?— Je ne sais pas exactement, mais il dirige une clinique spécialisée dans la convalescence post-opératoire où je pourrais travailler après un petit stage de formation, m’a-t-il dit.— Ce serait super. Cela t’occuperait en plus de l’association.— Oui d’autant qu’il y a déjà de nombreuses femmes pas farouches comme moi qui y travaillent, a-t-il ajouté.— Vous n’avez pas fait que discuter, je suppose, dans ce club ?— Non bien sûr. Comme j’y suis entrée à poil, plusieurs mains m’ont pelotée tout au long de la visite des lieux.— Il y avait du monde ?— Une dizaine de filles et une bonne trentaine de gars à vue d’œil.— Tu n’as pas compté le nombre de pénétrations que tu as subies, je suppose ?— Non, car ils m’ont tous prise plus d’une fois, je pense. Avec les yeux bandés, je n’ai pu me fier qu’aux sensations ressenties.— En deux jours, tu auras connu plus de bites que dans tous tes rêves réunis, si je comprends bien ?— C’est sûr que j’y ai même beaucoup pensé, les yeux dans le noir, comme si j’étais de nouveau en plein rêve, mais cette fois avec des orgasmes multiples qui s’empilaient.— Tu étais allongée sur un matelas dans une pièce ?— Non, ils m’ont attachée sur une table d’accouchement spéciale où mon bassin a été relevé pour donner accès tant à ma chatte qu’à mon cul, quant à ma tête, elle pendait dans le vide avec un écarteur dans la bouche pour faciliter son accès. Enfin, mes bras étaient écartelés avec mes poignets fixés pour permettre aux bites de venir se faire masturber. Une fois installée, ils m’ont couvert les yeux d’un bandeau et j’ai servi de vide-couilles pendant plus d’une heure, je pense. De temps à autre, j’ai senti une langue féminine venir s’occuper de mon clito.— Je comprends ton épuisement ce matin. Mais comment as-tu réussi à garder une libido suffisante pour continuer de jouir malgré les assauts continuels ?— Les filles m’ont gavé d’aphrodisiaque l’après-midi et Jean-Jacques m’a concocté un petit encas le soir ayant le même effet sur moi à savoir, l’envie permanente de bites en moi !— Tu te sens comment maintenant ?— Un peu plus reposée, mais avec les chairs intimes passablement irritées. Jean-Jacques m’a déjà passé une crème apaisante à notre retour de boîte. Il m’en a laissé un tube. Tu veux bien m’en remettre encore ?
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Me voilà en train de soulager Mylène allongée sur le canapé, jambes largement écartées lorsque notre fille aînée fait irruption dans la pièce. Nous avions complètement oublié sa venue pour une semaine à l’occasion d’un séminaire médical dans notre ville. Heureusement qu’elle n’est pas accompagnée de son mari et ses deux fils ! Une fois la surprise passée, étant infirmière, elle me prend le tube des mains pour finir de soigner sa mère en l’interrogeant sur la cause d’une telle irritation de sa vulve, mais surtout de son anus et de ses tétons :
— Ne me dis pas que c’est papa qui t’a mise dans cet état, car j’ai l’impression que c’est plutôt l’auberge du cul tourné entre vous depuis un moment, non ?— Tu ne me croiras pas, mais depuis que je prends un médicament de sevrage tabagique, ma libido s’est réveillée peu à peu.— Mais il faut plusieurs pénétrations brutales pour arriver à ce degré de meurtrissure des chairs !— D’accord, mais tu ne le diras pas au reste de la famille, nous avons goûté au libertinage ce week-end avec un couple rencontré sur le Net.— Alors là, vous m’en bouchez un coin. Toi si pudique maman, je n’imaginais jamais te voir un jour allongée à poil les jambes écartées face à moi !— Et bien tu vas devoir t’y habituer puisque j’ai décidé de vivre à poil à la maison.— Pas de problème pour moi et si toi aussi papa tu veux continuer de circuler à poil, je n’y vois pas d’inconvénients non plus, habituée que je suis à voir des verges toute la journée, mais ne comptez pas sur moi pour vous accompagner !— Nous ne te le demandons pas non plus.
La soirée se poursuit dans le calme du cocon familial retrouvé à ceci près que nous restons à poil tous les deux. Mylène ne cherchant même plus à se tenir chastement, elle se fait très souvent rabrouer par sa fille pour serrer un peu plus les jambes. Elle lui répond que cela l’irrite moins, si ses lèvres restent décollées aussi qu’elle ne s’offusque pas si elle se caresse pour les maintenir ouvertes en écartant largement les jambes tout en se massant les tétons pour là aussi les calmer même s’ils sont tendus pour l’occasion. Je suppose bien sûr qu’elle éprouve un certain plaisir à s’exhiber ainsi aussi ouvertement devant sa fille. Cette dernière continue cependant de discuter de chose et d’autres, mais avec les yeux rivés sur la masturbation de sa mère. Cela commence même à la troubler quand sa mère se met à agiter les doigts dans son vagin en commençant de soupirer.
L’atmosphère devient soudain électrique et je me mets à bander sans retenue sous les yeux de ma fille qui a le rouge aux joues à présent lorsqu’elle fixe ma queue en complète érection. Elle se met inconsciemment à écarter petit à petit les jambes à son tour, nous découvrant de plus en plus la dentelle de sa petite culotte noire lorsqu’elle se tasse au fond du fauteuil en relevant ses genoux. Toujours subjuguée par les mouvements de plus en plus saccadés de sa mère et ses gloussements de jouissance, sa main remonte machinalement le long de ses cuisses, me donnant le signal pour me branler ouvertement.
La conversation s’arrête d’un coup pour laisser place à un concert de souffles rauques et petits cris divers. N’y tenant plus, notre fille nous oublie complètement et relève carrément sa jupe avant de retirer sa culotte pour avoir un meilleur accès à sa vulve rasée, nous offrant une vue superbe sur son pubis noir taillé en ticket de métro. Elle ferme alors les yeux et déboutonne son corsage pour extraire de son soutif noir coordonné un sein pour le malaxer de son autre main en pinçant son petit téton qui se met néanmoins à gonfler légèrement. Je redécouvre notre fille dans sa nudité enfantine lorsque je la changeais, tant ses seins et surtout son abricot n’ont pas changé avec l’absence quasi totale de tétons et de petites lèvres. Cela ne l’empêche pas de continuer de se caresser en décalant une main à présent pour venir frotter en cercle son clito avant de glisser plusieurs doigts en elle et les sucer ensuite.
Complètement envouté par le spectacle offert par les femmes de la maison, je ne sais pas ce qui me prend, mais je me lève et lorsque ma fille suce une nouvelle fois ses doigts, je les remplace aussitôt par mon gland.
Assuré de prendre une baffe ou au moins une salve de reproches, je suis surpris au contraire de voir une langue sortir pour me lécher le méat suintant. J’avance un peu pour voir ma queue entrer petit à petit jusqu’à la garde dans sa bouche. Après quelques va-et-vient de branle et de succion, elle me saisit la bite pour me forcer à bouger et venir la pénétrer. Mylène n’en croit pas ses yeux et se masturbe de plus belle. Les yeux toujours fermés, ma fille fait entrer elle-même la bite de son géniteur en elle. Je la laisse s’habituer à ma présence avant de commencer à la limer. Elle défait complètement son corsage et soulève son soutif pour pouvoir mieux caresser ses petits seins fermes en me disant :
— Oh oui ... C’est bon... Continue... Plus fort... Plus fort.
Au bout d’un long moment de gloussements de plus en plus sonores, elle me susurre juste qu’elle prend la pilule afin de me laisser aller complètement en elle. Les yeux toujours fermés après avoir joui, elle ne s’offusque pas ensuite de sentir la langue de sa mère venir la nettoyer ! Remise de ses émotions un long moment après, les seins et la chatte toujours à l’air, elle nous regarde l’air hagard en s’excusant :
— Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne suis pas celle que vous croyez !— Mais tu es bien la fille de ta mère. Moi aussi la semaine dernière encore, je ne m’imaginais pas aussi salope que je le suis aujourd’hui. Assume ce côté obscur qui vient de faire surface. Tu n’as pas joui intensément ?— Si je l’avoue.— Alors, dénude-toi totalement, tu vas sentir comme c’est bon de s’exhiber et de se caresser en public !— Au point où j’en suis, tu as raison, je vais me mettre au diapason.
Et là, elle se lève pour faire glisser sa jupe et finir d’ôter son corsage et son soutif et faire quelques pas en tournant autour de nous. Sa poitrine menue et son ventre sont toujours bien fermes malgré ses deux grossesses.
— Tu sens comme on est bien à poil ?— Oui vous avez raison. Aussi depuis que mon mari me le demande, je vais lui faire la surprise à mon retour pour dire que je suis prête à le suivre dans son club naturiste.— En attendant, viens avec moi, on va faire le tour du quartier, tu vas voir comme c’est bon de sentir le vent caresser tes tétons et tes poils.— Ohh la la ! Tout va trop vite pour moi maman !— Allez viens. Fais-moi confiance.
Elle lui prend la main et l’entraîne dans la rue. Les voilà partis, j’en profite pour prévenir le voisin dont je vois une lumière encore allumée de se poster côté rue, il y a une surprise pour lui.A leur retour un quart d’heure après, notre fille avoue qu’elle a flippé quand la lumière du voisin l’a fait apparaître à sa fenêtre en train de se branler en les matant, mais que cela l’a beaucoup excitée ensuite. Réalisant l’heure avancée de la nuit, nous nous sommes quittés pour rejoindre nos chambres en nous faisant la bise, mais cette fois sur la bouche, y compris entre la mère et sa fille, plus complices que jamais. Mylène lui dit alors en guise de bonne nuit qu’elle se caresse en pensant à nous et que dès demain matin, ce sera tenu de peau pour tous à la maison.
Une fois dans notre lit, je ne peux m’empêcher d’interroger ma femme sur le comportement inattendu de notre fille. Elle m’avoue alors qu’elle a ramené quelques portions de l’encas aphrodisiaque de Jean-Jacques pour voir l’effet qu’il aurait sur notre fille !
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Si vous êtes toujours friands des exploits de Mylène et de notre fille à présent, n’hésitez pas à m’encourager à poursuivre cette série.
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