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Mylène, de femme modèle à salope assumée

Chapitre 4

Secret médical

Inceste
Dans un premier chapitre, j’ai décrit comment ma femme a retrouvé sa libido avec un médicament de sevrage tabagique ayant pour effet secondaire de lutter contre les bouffées de chaleur qu’elle a depuis quelques mois et surtout en libérant de la dopamine dans son cerveau au point de lui provoquer des rêves érotiques qu’elle a entrepris d’analyser avec un bouquin d’une sexothérapeute pour se rendre compte qu’elle a refoulé jusque-là son côté « soumise » qu’elle assume désormais.
Dans un deuxième chapitre, j’ai conté notre première rencontre avec un couple libertin et leurs amis. Dans le troisième chapitre, Mylène s’est adonnée avec ses nouvelles copines à différentes expériences sexuelles, inimaginables pour elle, il y a quelques semaines encore.
Cette fois, à la demande expresse de notre fille infirmière toujours à la maison pour la semaine et de plus en plus libérée sexuellement, Mylène fait le point sur sa sexualité débridée en se demandant si la prise inconsidérée de médicaments pour décupler sa libido n’a pas de conséquence sur sa santé avant, une fois rassurée, d’aller passer son entretien d’embauche dans l’équipe « médicale » du Docteur Folamour.
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Après cette soirée de déballage familial des aspirations sexuelles de chacun entre nous, ses parents, et notre fille aînée, Hélène, à la maison pour une semaine, nous nous retrouvons à la cuisine pour un petit-déjeuner en tête à tête avec Mylène, toujours à poil comme nous en avons désormais pris l’habitude. Notre fille apparaît alors très BCBG en tailleur élégant pour se rendre à son séminaire. En déjeunant, elle nous confie avoir mis longtemps à trouver le sommeil, tant de choses tournant dans sa tête, mais avec le bas-ventre toujours en état d’excitation au point qu’elle s’est mise à se masturber, chose qu’elle n’avait jamais osé faire jusqu’à la soirée d’hier devant nous. La sensation nouvelle ainsi ressentie et notre demande de circuler désormais à poil tous les trois à la maison l’ont convaincu de se lancer dans l’exhibition au point, pour la première fois, de ne mettre aucun sous-vêtement pour cette réunion publique.
Elle recule un peu sa chaise et se met à croiser et décroiser ses jambes en me demandant :
— Est-ce que tu vois ma culotte, papa ? — Sans me pencher lorsque ta jupe remonte en soulevant suffisamment haut ta jambe, je peux dire que tes grandes lèvres glabres sont bien gonflées et sans doute toujours humides !— Merci papa, c’est ce que je veux offrir comme spectacle, à l’occasion, à mes confrères et consœurs.— Si tu lâches le bouton du haut de ton chemisier et de ta veste, tes mini-tétons seront visibles lorsque tu te penches. Essaie pour voir, enchaîne sa mère.
Elle s’exécute et effectivement, ils sont déjà un peu tendus de s’offrir ainsi à notre vue. Avant de partir, elle nous embrasse une nouvelle fois chacun sur la bouche en renouvelant à sa mère son conseil de consulter un médecin pour surveiller sa prise de médicaments et soigner ses irritations vaginales et anales. Mylène contacte aussitôt sa tabacologue qui lui dit de passer entre deux clients en fin de matinée pour vérifier l’état de ses chairs meurtries et surtout voir s’il n’y a pas d’incompatibilité entre son sevrage tabagique et les aphrodisiaques qu’elle a pu prendre en excès, vu son état d’excitation permanent depuis quatre jours !
Nous décidons donc tous les deux de passer une semaine plus calme côté sexe en nous concentrant sur notre couple et notre fille Hélène uniquement.
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Nous remettons de l’ordre dans la maison et constatons effectivement en refaisant le lit de notre fille qu’elle a beaucoup mouillé cette nuit au point de devoir changer ses draps. Mylène me dit combien elle est heureuse de trouver Hélène plus libérée qu’elle ne l’imaginait et me demande de continuer de la chauffer en la baisant sous ses yeux le plus souvent possible, ce qui soulagera ses propres parties génitales comme le médecin va probablement le lui demander. Elle est sur le point d’aller prendre une douche quand la sonnette retentit. Mylène descend ouvrir la porte toujours à poil bien sûr et récupère un paquet sous les yeux ébahis du facteur. Elle me le tend et part se doucher et se pomponner rapidement pour son rendez-vous médical.
Une fois Mylène partie, vêtue de son seul imper et ses talons, j’ouvre le paquet pour découvrir une cassette de Jean-Jacques avec un petit mot : « Derniers exploits de notre salope !». Il s’agit de sa soirée chez lui d’abord, où je la vois aller sonner chez le petit vieux de l’étage en dessous de chez eux. C’est son chien qui l’accueille en lui reniflant le cul. La caméra pénètre dans l’appartement pour tomber sur le pépé, la bite déjà à l’air, s’étonnant que ce ne soit pas Marie qui vienne le soulager comme d’habitude. La voix off de Jean-Jacques lui dit qu’il ne sera pas déçu par cette nouvelle chienne en chaleur de Mylène qui se met aussitôt à quatre pattes. Le chien tourne un moment venant laper ses fesses et son con humide avant de tenter de la prendre. C’est le vieux qui l’aide. Un gros plan montre alors cette tige rose sortie de son fourreau qui se glisse en les lèvres intimes de ma femme.
Sa bite s’agite si rapidement en gonflant que j’entends distinctement l’orgasme monter chez Mylène. Il se retire bientôt, laissant un flot gluant s’écouler le long de ses cuisses. Le petit vieux trempe alors son « biscuit » dans le vagin de ma femme pour se lubrifier avant de l’enculer aussitôt bien à fond. Il ne tarde pas lui non plus à se répandre dans son cul. Jean-Jacques emprunte alors un collier et une laisse au petit vieux pour le passer autour du cou de Mylène et la fait remonter à quatre pattes les escaliers jusque chez lui. Ils croisent alors le jeunot qui l’a baisé en double dans l’ascenseur la veille. Jean-Jacques l’accoste et lui dit de profiter de cette chienne en chaleur. Il ne se fait pas prier et sort sa bite pour se faire sucer. Une fois en complète érection, il la sodomise à nouveau sur le palier sous les yeux d’un couple offusqué, mais qui s’arrête un long moment pour se délecter du spectacle tout en traitant de tous les noms ma salope de femme !

Puis tout comme Marie chez moi, Mylène se fait prendre dans chacune des pièces de leur maison et même sur le balcon face aux voisins qui l’applaudissent. Elle doit elle aussi essayer toutes les parures sexy de Marie en offrant à chaque fois sa bouche, son vagin ou son cul à baiser. Une longue séquence commence alors dans le cercle libertin. Je la vois se déplacer sans gêne aucune, complètement à poil, au milieu des clients et surtout sans mouvement de recul à chaque palpation de son corps, y compris les doigts dans son vagin ou son cul. Elle entre ensuite dans une pièce faiblement éclairée par l’image d’une télé où un porno tourne en boucle. Elle s’y assoit, puis prend connaissance de son environnement, deux trous se font face sur les parois de chaque côté d’elle.
Ils sont bientôt « habités » par deux bites en érection, l’une noire et très volumineuse attire plus particulièrement son attention pour commencer de la lécher pendant qu’elle branle l’autre, longue est fine avec de grosses couilles complètement rasées. Elle se penche pour d’abord présenter son cul contre le trou de la bite blanche qu’elle guide dans sa chatte, avant de commencer la fellation de la noire. Après avoir goûté à l’énorme bite de cheval dans l’après-midi, je ne suis pas étonné de voir ma femme inverser bientôt sa position pour s’enfiler le mandrin noir dans le vagin et sucer à fond la fine queue blanche. Plusieurs bites sont ensuite pompées alternativement d’un côté et de l’autre de la pièce avec Mylène qui tourne à chaque fois la tête vers la caméra pour tirer la langue couverte de foutre avant de l’avaler, avec la voix off de Jean-Jacques d’encouragement qui compte le nombre d’ingestions déjà réalisées.
Elle se retrouve ensuite au bar pour se rincer la bouche avec quelques coupes de champagne offertes par le patron des lieux présenté en off par Jean-Jacques comme le Docteur Folamour. La caméra est trop loin pour percevoir leur conversation, mais Mylène semble très intéressée avant, semble-t-il, de remercier son interlocuteur en le laissant l’embrasser à pleine bouche tout en lui pinçant les tétons pour l’attirer à lui.
La suite de la vidéo la montre attachée sur la table d’accouchement du club libertin. Je fais défiler la cassette sachant déjà ce qu’elle a subi et la retrouve cette fois à l’extérieur circulant à poil dans un parc du centre-ville. Elle est bientôt suivie par de jeunes voyeurs-branleurs de retour de boîte, telle une chatte en chaleur avec les matous du quartier à ses trousses. On la découvre ensuite assise sur un banc les jambes écartées avec les pieds posés sur l’assise du banc pour les exciter un maximum. Ils se rapprochent et éjaculent sur elle. Elle est rapidement couverte de foutre de la chatte aux cheveux. C’est dans cet état qu’elle poursuit son tour de ville à pied croisant quelques couples rentrant chez eux ou des groupes de jeunes qui l’insultent à son passage. Elle marche ainsi un bon quart d’heure avant de remonter en voiture.
De retour chez Marie et Jean-Jacques, elle rejoint leur lit conjugal sans passer par la case salle de bains pour s’y faire attacher les quatre membres aux pieds du lit avec les yeux bandés et la bouche obstruée par une boule. Elle reçoit alors une série de coups de fouet sur la poitrine, le ventre, les cuisses et la chatte qui rougissent bientôt. Elle tente de se débattre, mais les coups redoublent. La séance se finit par l’intromission d’un vibro en mode accéléré qui la fait se contorsionner un long moment avant le retour de Jean-Jacques fraîchement douché qui vient la délivrer pour l’amener à la salle de bains prendre un bain réparateur qu’il lui a fait couler !
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Je finis de mettre la table quand Mylène fait son retour à poil, son imper sur le bras. Elle semble rassurée par sa consultation chez la tabacologue. Elle s’assoit face à moi et commence de me raconter sa sortie chez la doctoresse tout en mangeant.
Tu sais, j’étais très gênée de me balader en imper alors qu’il faisait grand soleil. Toutes les têtes se retournaient vers moi, l’air étonné. Dans la salle d’attente, il n’y avait plus qu’un petit vieux devant moi, aussi j’ai pu ouvrir mon imper sans crainte, sûre que j’allais l’émoustiller. En effet, il a cessé de lire son magazine en me détaillant des pieds à la tête. Son manège m’a excité à mon tour, au point que j’ai décidé de jouer avec lui en croisant et décroisant mes jambes tout en continuant de lire en ignorant sa présence. Il a mis un moment à réagir à l’appel de son nom par la doctoresse qui m’a souri en me découvrant nue sous mon imper. Quand ce fut mon tour, j’avais déjà ôté mon imper dans la salle d’attente pour entrer nue dans son cabinet lui faisant dire :
— J’ai un peu de temps pour vous recevoir, vous savez. Ce n’était pas la peine de devancer votre déshabillage. Tant que j’y suis, je vais commencer par vous ausculter. Allongez-vous sur cette table d’accouchement pour que je puisse voir l’état de vos chairs que vous trouvez meurtries, m’avez-vous dit ?— Oui docteur en effet. Je tiens d’abord à vous dire que ma libido s’est débloquée, apparemment après quelques jours de prise de votre médicament de sevrage tabagique.— Vous voulez me laisser entendre que vos rapports sexuels ont repris à un rythme soutenu ?— Oui, mais pas seulement avec mon mari. Nous avons en effet fait la connaissance samedi dernier d’un couple libertin, puis de leurs amis au point que je n’ai cessé de copuler plusieurs fois par jour depuis lors.— Cela m’étonne que ce soit mon médicament qui puisse être responsable à lui seul d’un tel regain d’envie sexuelle.— Oui j’avoue que nos nouveaux amis m’ont fait prendre à plusieurs reprises des aphrodisiaques en pilule ou incorporés dans la nourriture, mais je ne saurais pas vous les nommer.
Elle a commencé par m’introduire un spéculum vaginal pour me dire qu’effectivement sa paroi avait subi de nombreux frottements et qu’irrité comme il est, il me fallait faire abstinence de ce côté-là au moins le reste de la semaine. En introduisant ensuite un spéculum rectal, elle a eu le même diagnostic en me demandant combien de fois j’avais été prise par là ! Je n’ai pas pu lui dire avec précision tant j’avais été si souvent sodomisée depuis mon dépucelage de ce côté-là par mon mari, seulement samedi matin dernier. En pressant mon clito pour le faire sortir de son capuchon, elle m’a aussi dit qu’il était irrité et devait être mis au repos lui aussi.
Elle m’a renouvelé l’ordonnance pour le médicament vu son efficacité côté tabac, puisque j’ai complètement arrêté de fumer sans doute en partie depuis que mon esprit se concentre plus sur mon cul que sur le manque de cigarettes, a-t-elle ajouté en plaisantant. Pour ma libido justement, elle m’a demandé d’éviter tout aphrodisiaque pour l’instant et voir si mon envie de sexe continue d’être aussi forte. Enfin les marques encore rouges sur mes seins, mon ventre, mes cuisses et ma vulve l’ont interpellé. Elle m’a aussi dit de stopper toute activité SM, le temps que mes chairs retrouvent leur aspect habituel. Elle m’a dit de continuer de passer de la crème apaisante sur mes meurtrissures et de la recontacter avant de me tourner à nouveau vers des aphrodisiaques. Elle a insisté pour que j’essaie de faire sans, tout en conservant un bon niveau de libido. Je lui ai répondu que de m’exhiber depuis peu m’excitait beaucoup.
Elle m’a dit que c’était en effet un bon substitut à ces produits dopants. J’ai donc quitté son cabinet sans remettre mon imper et circulé en ville complètement à poil jusqu’à ma voiture. J’ai mouillé comme jamais, même lorsque des remarques désobligeantes m’étaient adressées !
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A son retour en début de soirée, Hélène notre fille est particulièrement détendue. Au point qu’elle ne prend pas le temps de monter dans sa chambre pour se changer et se déshabille directement sous nos yeux en me faisant un strip de professionnelle pour me faire bander, dit-elle en ajoutant :
— Je suis si excitée par ma journée d’exhib qu’il me faut satisfaire au plus vite mes envies. Je peux compter sur toi papa ?— Maman devant faire abstinence pour raison médicale, je suis toute à toi ma fille !
Une fois nue, elle vient s’agenouiller devant moi pour emboucher ma bite. Sa mère ne veut pas être en reste pour aider sa fille à jouir et vient lui lécher carrément l’abricot gorgé de jus et téter son clito. Une fois ma bite en érection, Hélène vient me chevaucher de dos en s’enfilant elle-même ma queue face à sa mère qui toujours à genoux continue de lui téter le clito ! Notre fille ne peut s’empêcher de commenter la jouissance qui monte en elle :
— Oh oui... C’est bon... Continuez... Plus fort... Plus fort... Je vous aime papa, maman !
Je saisis les petits nénés de ma fille et les triture en tentant de faire rouler ses tout petits tétons entre mes doigts. Elle crie sa jouissance et inonde bientôt le visage de sa mère d’un jet puissant. Je ne tarde pas à mon tour de me vider une nouvelle fois en elle. Elle se lève alors, les jambes toujours écartées et laisse s’écouler mon foutre et sa cyprine dans la bouche grande ouverte de sa mère qui avale ce mélange familial au fur et mesure. Hélène s’assoit ensuite sur mes genoux pour se lover contre moi et m’embrasser en enroulant sa langue autour de la mienne, les yeux dans les yeux.
Un long moment après pour bien la laisser profiter de ce moment de bonheur, sa mère vient la sortir de sa torpeur pour aller prendre une douche ensemble. Nous passons une très agréable soirée tous les trois pendant laquelle Hélène nous avoue qu’elle n’a jamais trompé son mari jusque-là, mais qu’elle est heureuse que ce soit avec moi qu’elle ait franchi le pas ne doutant pas désormais, vu le pied que prend sa mère, qu’elle va continuer comme elle d’agrandir son domaine sexuel :
— J’espère que d’ici la fin de la semaine, vous m’initierez et que j’aurai l’occasion de t’offrir mon dépucelage anal, papa !— Sois sans crainte ma fille, nous te préparerons pour que cela se passe dans les meilleures conditions, lui répond sa mère.— J’ai confiance en vous et je vous remercie pour le bien-être que vous avez fait naître en moi et dans mon bas-ventre en particulier depuis mon arrivée.— Je vais aller te chercher mon plug pour que tu ressentes un bien-être anal également en marchant lors de notre promenade digestive.— Tu veux que l’on ressorte à poil toutes les deux, c’est ça ?— Oui. C’est bien toi qui nous as dit en rentrant que tu avais passé une journée super excitée à t’exhiber, non ?— Oui, mais j’étais habillée et la vue de mon intimité n’était que furtive !— Hier soir, tu as bien aimé, non ?— Oui c’est vrai. — Alors je vais chercher le plug et on y va !
Les voilà parties. Je préviens de nouveau le voisin. Cette fois, je l’aperçois qui sort à poil à leur rencontre. Elles discutent un moment avec lui avant de le suivre dans sa maison. Je les vois bientôt tous les trois derrière sa baie vitrée. Je pars chercher mes jumelles pour voir la suite des évènements. Elles sont assises côte à côte sur le canapé face à la fenêtre, une coupe de champagne à la main et lui sans doute dans le fauteuil opposé. Hélène a les jambes croisées tout comme ses bras sur sa poitrine pour la cacher, alors que sa mère écarte complètement les cuisses en se caressant pour exciter Monsieur Marcel. La tête de notre fille se décompose à la vue sans doute du branle de leur hôte. Mylène se tourne vers sa fille pour lui dégager un bras et prendre sa main pour la poser sur sa chatte. Hélène ne réagit pas, les yeux toujours rivés sur la bite en branle face à elle. Elle finit par décroiser ses jambes et offrir enfin la vue de son minou à son interlocuteur.
Sa mère reprend la main de sa fille pour la glisser entre ses jambes entrouvertes. Elle ne bouge toujours pas, fascinée par le branle en cours. Mylène prend finalement la tête de sa fille entre ses mains et l’embrasse à pleine bouche. Elle s’enlace alors poitrine contre poitrine, leurs mains partant à la découverte du corps de l’autre. Mylène écarte alors franchement les cuisses de sa fille pour la masturber face au voyeur-branleur. La main d’Hélène s’insinue alors timidement dans l’entrejambe de sa mère. Leur branle s’accentue tout comme la pénétration de leurs doigts dans le vagin de l’autre. Mylène fait maintenant basculer sa fille sur le canapé pour l’enjamber et commencer un 69 très doux d’abord avant de joindre les doigts à leur bouche pour investir totalement le sexe de l’autre. La silhouette du voisin qui vient de se lever m’apparaît alors. Il se dirige vers la bête à deux dos qui s’active.
Je vois à présent sa bite qu’il astique de plus en plus fort avant de se déverser sur le corps des deux femelles en rut.Elles se redressent alors. Hélène les cheveux défaits est toute rouge de honte ou d’excitation. Le voisin n’a pas bougé et sa bite pendante et pégueuse se retrouve à quelques centimètres seulement de son visage. Il s’avance jusqu’à venir buter contre ses lèvres. Elle ferme aussitôt les yeux. Il pousse encore jusqu’à ce que ses lèvres s’entrouvrent. Elle hésite un moment avec cette queue molle coincée à l’entrée de sa bouche qu’elle finit par ouvrir en sortant sa langue pour nettoyer l’engin. Elle l’embouche bientôt totalement sous les encouragements apparents de sa mère. Elle s’y prend tant et si bien qu’il rebande bientôt. Elle aspire à présent son gland décalotté tout en branlant la hampe à deux mains. Sa mère lui caresse alors de nouveau la chatte et l’aide à poser ses deux pieds sur le canapé pour ouvrir complètement ses cuisses. Lorsqu’il se retire de sa bouche, elle se laisse aller et se couche sur le dos pour s’offrir à lui.
Il la pénètre aussitôt jusqu’à la garde et vient cogner ses grosses couilles contre elle à chaque va-et-vient. Mylène lui prend la tête pour l’embrasser à nouveau. Elle semble jouir très fort. La copulation dure un bon moment dans cette position avant qu’il ne la prenne en levrette en jouant cette fois en plus avec son plug qu’il fait entrer et sortir à son rythme de pénétration dans le vagin. Il se retire enfin en lui arrosant le dos cette fois. Elle reste prostrée à genoux quelques instants savourant sa jouissance ou plutôt ruminant sa honte. Enfin, elles se rassoient toutes les deux, côte à côte pour boire leur verre rempli à nouveau. La discussion semble repartir un moment pendant lequel Hélène s’éclipse pour aller se rafraichir sans doute. Elles quittent enfin la maison du voisin et rentrent. Je range mes jumelles et les attends. A leur retour, je les interroge :
— Et bien vous avez fait un sacré tour, vous avez dû rencontrer quelques promeneurs comme vous.— Non du tout, répond sèchement Hélène qui part directement se coucher.
Mylène me résume leur virée chez le voisin et me dit qu’elle y est allée peut-être un peu fort en forçant notre fille à sucer, puis baiser avec le voisin. Je lui demande si elle a quand même pris son pied. Avec moi oui c’est sûr puisqu’elle m’a de nouveau arrosé copieusement le visage de mouille. Avec lui, je l’ai senti tendue, mais quand il l’a prise en levrette en jouant avec son plug, elle s’est mise à glousser avant de réclamer qu’il la démonte comme une chienne qu’elle est devenue. Je rassure ma femme en lui disant :
— En fait, elle a surtout honte d’elle d’avoir joui comme ça avec un inconnu sous tes yeux. — Oui tu as raison. La nuit porte conseil. Demain elle ira mieux.
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Ce matin-là, Hélène s’est levée avant nous et est déjà partie quand nous descendons à la cuisine. C’est ma dernière journée de repos. Mylène, elle, a rendez-vous en fin de matinée à la clinique du Docteur Folamour pour un entretien. Elle ne sait pas comment s’habiller pour concilier les exigences de Jean-Jacques et de bien présenter pour être recrutée. Elle opte finalement pour un pull léger échancré sous lequel ses seins évoluent librement avec ses tétons qui pointent. Un tailleur à jupe courte au-dessus du genou complète le tableau avec ses bas et son porte-jarretelles et enfin avec ses pieds juchés sur des talons pas trop hauts, elle fait très classe. Je me retrouve seul jusqu’à midi et revisionne la séquence de la dernière cassette de Mylène au club libertin où elle est attachée sur la table d’accouchement. Je reconnais quelques-unes des femmes présentes, Martine et Jacquie, mais surtout me semble-t-il sa tabacologue que je n’ai rencontrée qu’une fois.
Elle a dû avoir des flashs de cette soirée lorsqu’elle a examiné Mylène sur le même type de table, mais savait donc exactement pourquoi ses chairs étaient si meurtries. A ma grande surprise, elle fait partie de celles qui sont venues la soulager en tétant son clito, mais en a profité aussi pour se faire rendre la pareille lorsque l’écarteur a été ôté de la bouche de ma femme. Il faudra que je le dise à Mylène pour qu’elle profite de la situation lors de son prochain rendez-vous en caressant à l’occasion sa tabacologue qui ne porte probablement rien sous sa blouse.
J’en suis là de mes réflexions quand le téléphone sonne. C’est ma femme qui me dit qu’elle va faire ses premiers pas dans l’établissement dès le repas de midi qu’elle doit servir nue sous sa blouse et sans doute assister dans l’après-midi les aides-soignantes à faire la toilette intime des patients qui ne peuvent pas bouger et donc qu’elle ne sera pas là avant la fin d’après-midi. Je me prépare donc un repas rapide avant d’aller faire une petite sieste, étant seul à la maison.
Je suis réveillé en milieu d’après-midi par la sonnette. Je vais ouvrir et là quelle surprise de découvrir Marie à poil comme moi. Elle me dit qu’elle est passée pour voir si tout allait bien pour Mylène après ses quatre jours débridés. Je lui dis que son médecin lui conseille de mettre la pédale douce côté sexe pendant la semaine. Elle me dit que je dois donc avoir des envies et qu’elle est là pour les satisfaire. Nous baisons donc un moment pour me vider les couilles tout en discutant. Elle m’en dit plus cette fois sur la fameuse clinique où elle a travaillé quelque temps au début de sa soumission. Elle commence par me dire que Mylène devrait être facilement embauchée à l’essai dans un premier temps pour un emploi officiel.
Son travail va surtout consister à s’exhiber pour redonner le moral aux patients et à les soulager lors de toilettes intimes comme lors de massage qu’elle fera totalement à poil pour se laisser peloter pendant qu’elle détend les muscles des patients, voire les branle à fond ou les suce à leur demande. Si elle s’acquitte sans problème de toutes ses tâches officielles à la satisfaction des clients, elle devrait être cooptée pour suivre le stage de formation aux services extra, type hôtesse que le Docteur loue en douce et pour lequel elle devra souvent s’offrir totalement au client. Vu ce qu’elle a été capable de faire ces derniers jours, elle devrait sans problème faire partie du pool d’hôtesses qui s’entraînent dans une salle annexe avec le personnel de l’établissement qui joue alors le rôle des clients souvent très exigeants allant parfois jusqu’aux pratiques SM plus ou moins intenses.
Avec la formation continue de son mari, elle va rapidement devenir la cheffe de file de l’équipe, elle pense.Une fois m’être vidé en elle en imaginant déjà ma femme à l’œuvre en essor girl, Marie me demande si elle peut utiliser la salle de bains. Je lui réponds qu’elle est un peu chez elle depuis qu’elle a joué mon épouse l’espace d’un soir. Elle est toujours sous la douche quand Hélène rentre plus tôt que prévu, étant partie de bonne heure, dû à un déplacement dans un hôpital de la région pour assister à un nouveau type d’opération. Elle ne m’en dit pas plus et va se changer, car elle est vannée, me dit-elle, et aspire à se mettre à l’aise et à se reposer un peu en bavardant avec nous. Elle redescend, à poil comme convenu avec sa mère, et vient me faire la bise tout en me caressant la bite. Elle s’étonne de la trouver poisseuse et me demande si nous avons rebaisé avec maman qu’elle a entendue s’affairer dans la salle de bains.
Je n’ai pas le temps de répondre que j’entends Marie m’interroger à son tour depuis l’escalier sur la présence féminine d’une tierce personne à l’odeur du nouveau parfum qui l’a mise dans un état second, en pensant à la fille de rêve qui pouvait bien le porter. C’est Hélène qui lui répond directement en s’avançant vers elle :
— C’est de moi que vous parlez en termes aussi élogieux ?— Oui. Vous permettez que je vous fasse la bise pour sentir l’origine de ce parfum ?— Oui bien sûr. Je suis Hélène, la fille aînée de la maison.— Et moi Marie la femme, par intérim, de votre père depuis notre rencontre avec vos parents dans un bar samedi dernier.— Ah oui, ils m’ont parlé de vous qui avec votre mari les ont fait sortir de leur train-train quotidien depuis, au point qu’ils vivent nus désormais ici et m’ont convaincu d’en faire autant.— Cette tenue de peau vous va à ravir, ma chère Hélène.— La vôtre également qui continue de mettre en valeur tous vos charmes.— Merci pour ces compliments qui me vont droit au cœur. — J’en étais à interroger mon père sur la raison de sa verge poisseuse, lorsque vous avez interrompu notre conversation. Je suppose que ma mère étant absente, vous venez jouer les intérimaires comme vous dites.— Exactement. Votre mère est tenue à l’abstinence pour le reste de la semaine par son médecin, j’ai cru bon de venir soulager votre père en attendant que votre mère puisse à nouveau le faire.— Pour votre information, nous vivons désormais en totale liberté côté sexe dans cette maison depuis mon arrivée et c’est moi qui me suis jusqu’ici chargée de cette tâche !
Voyant la tournure que prend cet échange sur mon dos, je finis par intervenir en leur demandant de venir me sucer toutes les deux ! Elles se regardent droit dans les yeux et s’enlacent en se marrant poitrine contre poitrine avant de se rouler une pelle et s’agenouiller pour venir me redonner vigueur. Leurs langues se mêlent en s’occupant de titiller mon méat. Puis Hélène s’attaque à mes boules pendant que Marie embouche mon gland. Elles s’y prennent si bien à deux qu’elles jugent suffisante mon érection pour que je vienne prendre ma fille allongée sur Marie poitrine contre poitrine.
Pour ne faire aucune jalouse, je les prends alternativement, chacune ressentant ainsi mes coups de boutoir, même lorsque je suis dans le vagin de l’autre !
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C’est dans cette position que Mylène nous retrouve de retour de la clinique. Elle est déjà totalement nue depuis la clinique où elle n’a pas jugé utile de se rhabiller après ses premiers essais, nous avouera-t-elle plus tard en relatant son entretien d’embauche avec le Dr Folamour. Pour l’heure, elle se contente de s’asseoir à nos côtés en buvant un cocktail au gingembre dont la recette vient de lui être donnée par son futur patron. Marie lui fait alors signe de récupérer sa caméra dans son sac pour saisir ce moment inoubliable pour sa fille. Je vois alors Mylène tourner autour de nous, notre fille sur Marie ne s’en aperçoit pas pendant un long moment. Mais lorsque j’éjacule en tentant de répartir mon jus entre les deux vagins, elle rouvre les yeux et découvre sa mère assise devant elle caméra à l’œil en train de faire un gros plan sur son visage marquant encore la jouissance avant de se transformer en colère sourde, puis violente :
— Ça ne va pas maman. Je ne suis pas une actrice porno ! Qu’est-ce que tu me fais là !— Ne t’inquiète pas ma fille. C’est pour nous uniquement. Tu en auras une copie pour te remémorer les bons moments passés ici cette semaine.— J’espère. Mais tu m’as déjà filmée avant ?— Non, je t’assure. C’est la caméra de Marie. Nous n’en avons pas !— Vous en faites quoi Marie de tous ces films ?— Eh bien on se les passe entre amis libertins pour exacerber notre libido et surtout bénéficier de l’expérience des autres. Vous voulez visionner votre mère dans ses exploits récents ?— Je crains d’être surprise au-delà de mon entendement !— Mais, cela va peut-être te donner des idées, je crois bon d’ajouter.— Je crois avoir déjà fait le plein depuis mon arrivée.— Tu n’as pas aimé ? Avoue-le ?— Je ne serais pas là à poil, allongée sur une inconnue en train de me faire baiser par mon père, si je ne ressentais pas une excitation si inattendue et profonde, comme je ne l’ai jamais vécu !— Tu as toujours apprécié à ce point tes nouvelles expériences avec nous ?— Non, hier soir par exemple de voir le voisin adipeux se branler en nous matant avec maman m’a plutôt dégoûté. Et quand il m’a collé sa bite molle pégueuse contre les lèvres, j’ai bien failli vomir.— Mais tu ne l’as pas fait ? lui répond sa mère.— C’est parce que tu as insisté pour que j’ouvre ma bouche en me disant que je ne le regretterai pas d’avoir fini par le faire, mais en fermant les yeux pour me concentrer sur mes sensations en occultant la vue de son pubis hirsute et ses couilles molles.— Tu as réussi à le refaire bander pourtant !— Oui et c’est ça paradoxalement qui m’a excitée à nouveau après tes douces caresses maman, de sentir cette hampe durcir dans ma bouche par mes seules succions et le frottement de son gland sur l’intérieur de mes joues, gonflées pour l’occasion !— Cela te fait mouiller à nouveau, rien que de te le remémorer, non ?— Oui j’avoue que comme hier soir, cela m’a tant excitée qu’il me fallait sentir rapidement quelque chose venir me ramoner. C’est pour cela que je me suis laissée faire quand tu m’as fait écarter les cuisses, maman et placer mes pieds sur le canapé avant de m’allonger pour m’offrir à ce vieux pervers. — Tu as aimé être prise ainsi sans plus de préalable ?— Je me suis tout à coup senti très pute à me donner ainsi au premier venu !— Mais tu as joui quand même ?— Oui et même très fort avec un orgasme violent à la clé qui m’a fait d’autant plus honte ensuite que je n’osais plus ouvrir les yeux et me relever de peur de retrouver mon baiseur d’un soir face à moi encore tout heureux de son exploit !— Tu as fini pourtant par boire un dernier verre de l’amitié avec lui ?— Oui, mais je suis allée vite me réfugier dans sa salle de bains pour pleurer en me regardant la mine défaite, le corps encore couvert de son foutre. Je me suis haïe de me voir tomber aussi bas en si peu de temps. Que de tabous renversés sans grande opposition finalement, à croire que j’avais toutes ces envies refoulées en moi depuis longtemps !— Bienvenue au club, lui répond Marie tout sourire en lui roulant une pelle et en frottant ses gros seins sur sa poitrine menue.— Merci à tous de m’avoir débloquée ainsi. J’avoue que je n’avais jamais autant joui en permanence au point de mouiller tout le temps.— Cela t’a fait du bien de vider ton sac et de te sentir plus libre que jamais, non ? lui répond sa mère.— Oui et je veux bien maintenant visionner tes exploits, maman !
Marie nous laisse alors en famille pour rejoindre son homme en nous souhaitant une bonne semaine.
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Si vous êtes toujours friands des exploits de Mylène, de notre fille et de nos amis libertins, n’hésitez pas à m’encourager à poursuivre cette série.
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