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Mylène, de femme modèle à salope assumée

Chapitre 5

Totalement soumises

Avec plusieurs hommes
Dans un premier chapitre, j’ai décrit comment ma femme a retrouvé sa libido avec un médicament de sevrage tabagique ayant pour effet secondaire de lutter contre les bouffées de chaleur qu’elle a depuis quelques mois et surtout en libérant de la dopamine dans son cerveau au point de lui provoquer des rêves érotiques qu’elle a entrepris d’analyser avec un bouquin d’une sexothérapeute pour se rendre compte qu’elle a refoulé jusque-là son côté « soumise » qu’elle assume désormais.
Dans un deuxième chapitre, j’ai conté notre première rencontre avec un couple libertin et leurs amis. Dans le troisième chapitre, Mylène s’est adonnée avec ses nouvelles copines à différentes expériences sexuelles, inimaginables pour elle, il y a quelques semaines encore. Dans le chapitre suivant, à la demande expresse de notre fille infirmière toujours à la maison pour la semaine et de plus en plus libérée sexuellement, Mylène fait le point sur sa sexualité débridée en se demandant si la prise inconsidérée de médicaments pour décupler sa libido n’a pas de conséquence sur sa santé avant une fois rassurée d’aller passer son entretien d’embauche dans l’équipe « médicale » du Docteur Folamour.
Dans ce nouveau chapitre, Mylène se déchaîne en se soumettant totalement à ses différents nouveaux maîtres, le Docteur Folamour dans son nouveau boulot, Jean-Jacques qui continue son éducation sans tabou et enfin moi à la maison où notre fille imite de plus en plus sa mère avec de moins en moins de retenue.
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Une fois notre amie Marie repartie entièrement à poil, sur ordre de son mari Jean-Jacques pour le rejoindre, au grand étonnement d’Hélène notre fille aînée encore à la maison pour quelques jours, nous décidons de prendre l’apéro en famille. Mylène nous propose de goûter au cocktail du Dr Folamour son nouveau patron.
Je passe ensuite les deux cassettes de sa mère à Hélène où elle la découvre à l’écurie, puis dans un cercle libertin. Nous sommes tous les trois à poil, côte à côte sur le canapé avec ma fille et ma femme de part et d’autre qui se caressent chacune pendant que je me branle en une masturbation collective familiale revivant avec une certaine excitation les exploits débridés de Mylène. Hélène est stupéfaite et n’en croit pas ses yeux quand sa mère se fait jouir en se branlant avec la bite démesurée d’un cheval dans son vagin et surtout lorsqu’elle pousse un cri quand elle dégorge l’animal dans sa bouche avec les yeux exorbités d’une jouissance orgasmique évidente :
— Maman, comment as-tu pu en arriver là ?— L’engrenage, ma fille. Prise dans le tourbillon, le bas-ventre toujours en demande après les aphrodisiaques ingurgités, tu sais, tu es prête à tout pour assouvir ton besoin de jouir !— Je vois que tu ne simules pas effectivement. Mais là, c’est toi qui invites tous ces naturistes à venir s’occuper de toi. Tu as bien conscience alors que tu t’offres en gang-bang, non ?— Oui d’autant que c’était mon premier en réel, mais que j’en ai subi tant dans mes rêves érotiques que je ne pouvais pas passer l’occasion qui m’était offerte cet après-midi-là !— Je crains le pire pour moi alors. Car je dois vous avouer que je fais ce genre de rêves toutes les nuits depuis que je suis ici à mouiller mes draps chaque jour comme vous avez pu le constater. Mon dernier concerne le séminaire auquel je participe où je me vois rejoindre les toilettes « homme » à la pause pour me faire prendre à la chaîne comme toi maman avec les naturistes !— C’est prémonitoire, je crois ma fille. Au fait, tu continues de t’y exhiber devant tes collègues ?— Oui. Je ne me reconnais plus. Je suis si excitée à l’idée de les faire bander que ce matin encore lors de la visite dans un hôpital pour découvrir une nouvelle technique opératoire, je me suis laissée peloter dans la pénombre par plusieurs mains avec ma jupe plissée remontée à la taille et mon chemisier dégrafé offrant ma poitrine totalement à l’air à toutes les palpations possibles. Je crois qu’une bonne partie de l’assistance masculine s’est donné le mot pour en profiter. J’ai même fini par jouir quand l’un m’a masturbé le rectum avec le plug que tu m’as prêté maman !— J’en suis heureuse pour toi, ma fille que tu puisses te libérer de la sorte. Demain c’est sûr que tu vas te faire baiser en les provoquant une fois de plus.— Oui, je l’espère, sans me l’avouer encore totalement et sans doute pas qu’une fois alors que je n’ai connu jusqu’ici que la bite de mon mari et depuis peu la tienne papa ! — Tu te lâches aussi dans ton langage, je t’en félicite. Cela doit t’exciter aussi non ?— Oui, j’avoue que c’est grisant de se sentir une autre personne plus vulgaire. A voir ton comportement maman dans ce club libertin, je me demande jusqu’où je suis capable d’aller à mon tour, si je dois te suivre dans cette escalade vers un plaisir toujours renouvelé.— Tu es bien partie déjà pour être toujours tentée par de nouvelles expériences.
Nous reprenons deux autres verres de ce délicieux cocktail au gingembre avant de passer à table et poursuivre notre discussion où Hélène se demande comment son mari va la retrouver à la fin de la semaine, forcément bien changée !

Les effets de l’apéro et sans doute de plats plus ou moins composés d’aphrodisiaques à la sauce Mylène mettent notre fille dans un état tel que c’est elle qui réclame cette fois à sa mère la traditionnelle promenade exhibitionniste avant d’aller se coucher. Elles partent aussitôt toutes les deux vêtues de leurs seules chaussures plates. Je suis surpris de voir la voiture de Mylène démarrer quelques minutes après. C’est plus d’une heure plus tard qu’elles rentrent, les cheveux en bataille, mais surtout le corps et le visage couverts de foutre ! Elles se vautrent sur le canapé pour récupérer et c’est notre fille toujours hyper-excitée qui commence le récit de leur soirée en insistant pour que je la sodomise ce soir tant elle est en manque de bite en elle. Un dialogue débridé s’installe alors, mêlant la description de leur sortie en ville avec celui de l’intromission simultanée de ma bite dans le cul de ma fille :
— Papa, tu as deux salopes maintenant à la maison, capables d’aguicher des inconnus pour les sucer et les branler ensuite, pour finir d’être humiliées en se faisant doucher de leur semence.— Raconte ma fille dans le détail et toi chérie apporte-moi le lubrifiant.— Voilà, nous sommes parties au centre-ville pour nous garer près d’un parc. En sortant toute nue en pleine lumière sur le trottoir, je me suis sentie incroyablement bien, complètement désinhibée. J’ai même adoré les regards posés sur moi par les quelques passants et n’ai surtout pas du tout réagi aux remarques déplacées, d’autant que je me sentais vraiment pute comme ils m’injuriaient souvent ! Vas-y papa prépare moi à ma première sodo. Je suis excitée comme jamais à cette idée.— Voilà je te retire le plug et je vais te masser avec plusieurs doigts pour bien détendre ta rondelle. En attendant que je te pénètre, continue ton récit.— Tu dois bien t’imaginer que nous ne sommes pas entrées inaperçues dans ce parc, suivies bientôt d’une bande de jeunes branleurs. De ton côté, continue papa. J’ai hâte de te sentir en moi par ce côté-là !— Voilà je pose mon gland contre ta petite porte, ma fille.— Oui je le sens. Tu peux pousser. Je te dirai si j’ai mal. En tout cas, j’étais très excitée de voir toutes ces bites dressées sortir bientôt des pantalons quand on s’est assise côte à côte sur un banc. Oh oh ! Fais doucement quand même, papa !— Tu es vraiment souple, car mon gland est entièrement passé. Tu n’as rien senti ?— Si, mais seulement un bien-être fou d’être remplie par là sans avoir à l’expulser. Vas-y, enfonce-toi à fond maintenant. Voilà cela va mieux. Tu peux pousser un peu plus ton sexe en moi. Je poursuis notre histoire. J’avais déjà pu remarquer la diversité des sexes masculins dans mon boulot, mais c’était la première bite noire aussi démesurée qui se présentait sous mes yeux en gros plan. J’ai voulu me rendre compte de sa taille en tentant d’en faire le tour avec ma main. Puis toujours marquée par la vidéo de maman avec le cheval, j’ai avancé ma bouche avant d’étirer au maximum mes lèvres pour que son gland épais puisse entrer. Il a fini par me couvrir copieusement le visage de son jus épais, à croire qu’il éjaculait pour la première fois. Mes paupières se sont collées, mes narines se sont colmatées et ma bouche s’est remplie après avoir tendu la langue pour en capter un maximum au passage.— Je sens que cela t’excite de me raconter tout ça. Et là maintenant mon gland passe bien dans ton cul ?— Ah ouiii. C’est trop bon ! Lâche-toi ! Encule ta fille papa, elle le mérite, salope comme elle est aujourd’hui !
Elle ne peut plus s’exprimer ensuite que par onomatopées pour exprimer sa jouissance montante. C’est donc sa mère qui résume la suite :- Nous avons été vite submergées avec des mains nous tripotant de toute part et des doigts dans nos vagins sans discontinuer. Nos bouches n’ont pas connu de répit non plus, chacun voulant goûter, souvent pour la première fois apparemment, à la sensation d’être sucé. Il ne leur a pas fallu longtemps donc pour commencer d’éjaculer sur nous. Mais vu le nombre, les premiers avaient déjà rechargé leur batterie quand les derniers se finissaient sur nos visages. Ils ont ainsi, pour la plupart, pu se faire sucer deux fois avant que je siffle la fin de la récré, même s’ils avaient tous quitté le lycée depuis quelque temps déjà.
Je continue de pilonner le cul de ma fille qui en redemande toujours plus, aussi je fais signe à Mylène d’appeler notre voisin, Monsieur Marcel à la rescousse. Pour ne pas perturber Hélène, je lui propose de couvrir ses yeux avec un foulard de sa mère pour qu’elle se concentre sur ses seules sensations. Mylène part donc discrètement à la rencontre de Marcel. En attendant leur retour, je m’assois dans le fauteuil en demandant à Hélène de guider elle-même ma bite dans son cul et de s’agiter dessus à son rythme. Dès que Marcel est à poil et mis en condition par une fellation de Mylène, j’attrape ma fille sous les genoux pour lui écarter les cuisses et offrir sa chatte à notre voisin. Il ne s’est fait pas prier. Hélène pousse un cri de surprise, qui se transforme rapidement en supplique pour accélérer la cadence. Les dernières éjacs reçues ce soir-là ont été pour sa chatte et son cul complétant ainsi la bacchanale nocturne.
Marcel s’éclipse en nous remerciant d’un pouce levé avant qu’Hélène ne défasse elle-même son foulard pour nous remercier à son tour :
— Quel pied une fois de plus. Jamais je n’aurais pu imaginer que l’on pouvait jouir si intensément en étant doublement remplie et surtout sans connaître le propriétaire de mon intromission vaginale, en quelque sorte un gode humain !— Te voilà prête à tout, ma fille !— Oui tout mon corps en tremble encore. Je vais aller prendre un bain pour me détendre.— Fais bien attention de ne pas utiliser le vibro dans l’eau !— Non je te l’emprunterais maman pour la nuit, ainsi que ton plug.— Essaie quand même de dormir un peu. Ta journée de demain va être longue et pleine d’imprévus !— Oui c’est sûr. Bonne nuit. Je vous aime.
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Nous nous retrouvons tous les trois à déjeuner de bonne heure le matin chacun devant rejoindre son boulot. Elles sont toutes les deux toujours aussi émoustillées que la veille. Les tenues de la mère et la fille se ressemblent étrangement mettant en évidence l’absence de leurs sous-vêtements à un point tel que même un malvoyant serait excité. Il me tarde de nous retrouver ce soir pour un compte rendu détaillé de leur journée respective. Mylène n’a pas jugé utile de s’habiller hormis son imper tandis qu’Hélène est habillée si légèrement qu’au moindre coup de vent, elle se retrouvera quasi à poil, mais surtout cela devrait lui permettre de se dénuder très rapidement, si le besoin s’en fait sentir.
Je suis le dernier à rentrer et les retrouve donc toutes les deux à poil en train déjà de débriefer leur journée. C’est Hélène qui a démarré la première, elle en est à raconter la pause-café du matin pendant laquelle, elle est allée aux toilettes, mais le côté « fille » étant saturé avec une file d’attente de plusieurs minutes et son envie trop pressante, qu’elle décide d’aller chez les « hommes » ! Mais là stupeur, les portes des cabines individuelles sont occupées et seules les pissotières murales sont disponibles avec seulement trois emplacements de libres au milieu de cinq gars en train de se soulager et qui tournent immédiatement la tête avec étonnement dans sa direction quand elle leur dit :
— Excusez-moi les gars je ne peux plus attendre plus longtemps, le côté « fille » est occupé pour un moment. — Ne nous dis pas que tu as pissé debout au milieu d’eux ? lui répond sa mère.— Eh bien si. Quel plaisir de pouvoir me soulager, mais surtout d’exposer ma chatte ouvertement devant mes collègues !— Mais tu n’as pas pu t’essuyer les dernières gouttes ? relance sa mère.— Non, aussi j’ai eu l’idée de leur proposer de le faire pour moi !— Alors là, tu m’étonnes de plus en plus ma fille.— Un premier s’est approché avec un kleenex et au lieu de me le donner, il l’a lui-même passé sur mes lèvres pour les essuyer avant de laisser traîner ses doigts.— Tu l’as laissé faire ?— Oui d’autant qu’il a rapidement glissé un doigt dans mon vagin détrempé par la situation. Je n’ai même pas pensé à rabaisser ma jupe.— Qu’ont fait les autres ?— Ils se sont rapprochés. Deux d’entre eux m’ont soulevé en me prenant chacun par une jambe pour me conduire dans un recoin de la pièce derrière les cabines.— Ils étaient toujours tous les cinq autour de toi ?— Oui. C’est la jupe relevée et le chemisier défait dans la foulée qui leur ont permis de me peloter de toutes parts. J’ai alors fermé les yeux revivant mon rêve de la veille avec mon corps flottant comme dans du coton et une jouissance envahissante dès les premiers coups de boutoir dans ma chatte. Les deux premiers me tenaient toujours par les jambes pendant que les trois autres se succédaient en moi jusqu’à l’éjac avant de quitter la pièce. Le bouche-à-oreille a dû fonctionner, car je suis restée dans cette position quasiment jusqu’à la fin de la pause après le passage de plus d’une dizaine d’autres collègues. Les deux porteurs ont fini par me prendre en double et m’ont nettoyé une fois de plus avec un nouveau kleenex en me remerciant pour ce moment et surtout pour le spectacle de mon corps dénudé offert à l’occasion tout au long du séminaire.— Eh bien là tu as goûté à ton premier gang bang, ma fille. Tu ne t’imaginais pas ça à ton arrivée, lundi dernier ?— Non j’en étais à mille lieues, même si la vue de vous deux à poil à vous câliner, m’a perturbé non pas moralement d’ailleurs, mais bien dans le bas-ventre en sentant mon vagin s’humidifier !— Tu as donc apprécié depuis, ta mise en condition progressive pour être capable trois jours après d’accepter d’être baisée à la chaîne ?— Oui et je vous en remercie tous les deux. Je n’imaginais pas que l’on pouvait jouir aussi fort ! Et toi maman, comment s’est passée ta première journée de boulot dans cette clinique spéciale que nous allons d’ailleurs visiter le dernier jour du séminaire pour découvrir les secrets du Dr Folamour capables de remettre sur pied aussi vite les patients qui lui sont confiés ?
Mylène commence par dire que les « hôtesses de soin » dont elle fait partie maintenant sont logées dans un bâtiment séparé à l’écart de la clinique. Elles y circulent en effet toujours entièrement à poil et n’enfilent qu’une blouse pour rejoindre les patients et faire leur toilette intime le matin et participer l’après-midi aux activités de remise en condition comme les massages, les bains en jacuzzi ou le sauna et le hammam. Le plus surprenant pour elle est la partie formation qui se fait dans leur bâtiment avec d’autres employés volontaires de l’établissement qui jouent le rôle de patients plus ou moins dociles.
Elle a ainsi dû faire uriner un collègue dans un pistolet qui gardait ses mains derrière la tête pour simuler un handicap l’empêchant de le faire lui-même. C’est quand il lui a demandé de bien faire tomber la dernière goutte en agitant sa queue plus longtemps que nécessaire qu’elle a compris qu’il fallait qu’elle le branle. Le Dr Folamour qui supervisait justement cette première journée de formation, a demandé à chaque cobaye de me pousser le plus loin possible dans l’humiliation pour tester mes limites, a-t-il dit. J’ai dû masser plusieurs collègues hommes et femmes en restant entièrement à poil, pour bien sûr me laisser caresser, voire baiser une ou deux fois. Je crois qu’avec les passages dans le sauna, le hammam et le jacuzzi tous les mecs présents ce matin me sont passés dessus sous le regard de tous les autres qui applaudissaient plus ou moins fort selon mes performances me donnant ainsi une note correspondant au niveau sonore enregistré par le Docteur.
Satisfait de mes prestations, il m’a invité à déjeuner pour me dire qu’il m’engageait avant de me proposer de poursuivre ma formation pour des activités extra-médicales.Je l’ai remercié. A ma grande surprise, je n’ai pas passé le repas à ses côtés, mais bien à poil sous la table à devoir sucer tous ses invités, hommes ou femmes d’ailleurs, sans les avoir vus au préalable, puisque contrainte d’être déjà en place avant leur arrivée. C’est à sa position en bout de table que j’ai découvert l’engin démesuré de mon nouveau patron qui lui ne s’est pas contenté d’une simple fellation, me forçant à faire demi-tour pour le masturber avec mon vagin comme il me l’a vu faire dans le « glory-hole » de son établissement nocturne. C’est le ton des discussions qui m’a le plus troublé finalement où chacun l’a félicité pour trouver des hôtesses toujours plus performantes et qu’à l’occasion ils seraient heureux de pouvoir les avoir à disposition l’espace d’une soirée pour faciliter certaines transactions délicates avec leurs clients. La réponse du Docteur m’a déconcerté :
— Celle-ci est toute nouvelle, mais je peux vous assurer que vous ne serez pas déçus. Elle est capable, je crois, de tout accepter et de devenir un véritable jouet sexuel entièrement soumise à vos caprices du moment.— Je peux la tester là maintenant au milieu de vos invités ? lui demande l’un des invités.— Oui bien sûr. Mylou mon toutou, tu peux sortir de là ?
Et là, vous n’allez pas me reconnaître, mais à ces mots, je me suis sentie si chienne que je suis sortie de sous la table à quatre pattes ! Il m’a tapoté le visage, puis les fesses en me disant :
— Elle va faire tout ce que veut Monsieur, n’est-ce pas Mylou ?
J’ai fait un simple signe d’accord de la tête, comme ces petits chiens sur la plage arrière des voitures qui basculent leur tête au moindre mouvement. J’ai reçu aussitôt une claque puissante sur les fesses, puis sur le visage. Il a retiré sa ceinture pour me frapper ensuite sur tout le dos avant d’insister sur ma chatte. Je me suis mise à crier jusqu’à ce qu’il me fasse taire avec sa bite enfoncée jusqu’au fond de la gorge. Pendant ce temps tout en me regardant me faire corriger, les invités ont continué de questionner le Docteur dont une femme très classe :
— Je me suis laissée dire que vous pratiquiez à l’occasion des actes de chirurgie mammaire et même de nymphoplastie ou de clitoridoplastie ?— Oui c’est exact, nous développons des techniques et instruments nouveaux en la matière. Si vous voulez bien me suivre, je peux vous montrer, Mylou servira de cobaye pour vous montrer leur usage.
Je les suis toujours à quatre pattes, mais cette fois en laisse avec mon « bourreau » qui me guide. Nous pénétrons dans une sorte de salle de tortures genre donjon, mais là pour des besoins thérapeutiques, comme je me l’imagine après avoir lu la BD « La Clinique du Docteur Farrel ». Là c’est le Dr Folamour qui demande à son interlocutrice quels sont ses problèmes. Elle ne se démonte pas et soulève sa jupe pour lui montrer sa chatte lisse avec ses seules grandes lèvres très gonflées en lui disant que ses petites lèvres et son clito ne se sont jamais vraiment développés à son grand regret, un peu comme toi ma fille. En se dépoitraillant devant tout le monde ensuite, nous avons tous pu constater que ses seins non plus n’avaient pas trop poussé et encore moins ses mini-tétons se distinguant à peine au milieu d’aréoles roses d’un centimètre de diamètre maximum. Il la tripote un peu devant l’assistance avant de dire :
— On peut d’abord étirer tout ça avec cet appareil.
Tout le groupe s’approche alors de l’appareil où il m’harnache à une sorte de harnais qui me soulève hors du sol avec mes seins pendant dans le vide. Il vient ensuite fixer des pinces à mes tétons et mes petites lèvres qu’il relie ensuite à des poids et des câbles avec un jeu de poulies qui font qu’au moindre mouvement pour retrouver l’équilibre, les poids agissent pour étirer mes lèvres ou mes seins à la limite du supportable.
— Vous voyez Madame avec une séance comme cela d’une demi-heure deux fois par jour, j’aurai bientôt suffisamment de peau pour redonner une forme acceptable à vos tétons et vos lèvres. Quant à vos seins et votre clito, il faudra passer sur la table d’opération pour leur redonner du volume.— Si vous réussissez à me faire ressembler à votre chienne Mylou, je suis partante.— Il vous faudra avant ça venir à des séances de mise en condition pendant quelques mois à base de massage, d’étirements comme celui-ci ou d’autres, de toucher thérapeutique et stimulation électrique et si vous le souhaitez nous pourrons également procéder à des exercices de dilatation vaginale et anale et de musculation du périnée.— Vous me garantissez qu’à l’issue de ce traitement ma libido n’en sera que plus développée ?— Oui surtout si vous vous laissez aller complètement dans une détente globale de votre corps entre les mains de mes collaborateurs et collaboratrices.— Quel programme. Quand pourrais-je commencer ?— Il faudra voir avec ma secrétaire en fonction des disponibilités.
Je suis toujours attachée à l’appareil quand il va chercher une sorte de micro qu’il nomme appareil d’électrostimulation pour le passer sur mon entrejambe et me faire ainsi bouger en spasme étirant par là même mes tétons et mes nymphes. Je finis par jouir plus que de souffrir au point que j’ai un orgasme en public. Pour clore la visite, il me détache et invite les participants volontaires à continuer de s’amuser avec moi. Je suis alors pénétrée de toutes parts plusieurs fois d’affilée, tout comme la BCBG aux petits seins, bientôt allongée sur une table de massage.
Une fois tous les invités repartis, le Docteur s’est approché de moi pour me féliciter pour ma docilité en m’embrassant à pleine bouche avant de me dire que j’avais bien mérité mon après-midi de repos !
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Nous avons continué de parler un long moment de ce nouveau boulot qui n’allait pas être de tout repos justement pour Mylène qui doit encore ménager ses parties intimes. Le cocktail du Docteur servi une nouvelle fois par ma femme nous a détendus tous les trois au point que nos mains sont allées à la rencontre de l’autre pour finir par un plan à trois. C’est dans une position inattendue où j’encule ma fille en 69 sur sa mère que nous entendons la porte s’ouvrir pour voir apparaître Jean-Jacques et sa femme Marie à poil eux aussi. Mylène les invite à s’asseoir sur les fauteuils nous faisant face. Ils répondent en chœur :
— Ne vous dérangez pas pour nous. Continuez comme si l’on n’était pas là. Faites comme chez vous !
Ils se servent alors l’apéro et commentent notre prestation. Une fois que j’ai eu éjaculé dans les bouches de ma femme et ma fille pour qu’elles puissent ensuite s’embrasser pour se répartir équitablement ma semence, nous avons repris une position assise normale côte à côte sur le canapé. Jean-Jacques félicite d’abord Hélène d’être aussi libre avec ses parents et Mylène ensuite pour sa première journée à la clinique dont le Docteur lui a dit le plus grand bien. Nous papotons un long moment pour permettre à Hélène et nos amis de faire plus ample connaissance avant de dîner ensemble. Arrivés au dessert, Jean-Jacques reparle de l’échange de maris de l’autre jour en proposant cette fois d’inverser les lieux conjugaux des couples ainsi reformés. Lui restant ici pendant que je le remplacerais auprès de sa femme chez eux. Hélène, un peu surprise au début convient finalement que ce serait amusant pour elle d’avoir une sorte de beau-père à la maison.
Je prépare aussitôt un petit « baise-en-ville », jamais aussi bien nommé, avec mes affaires pour partir au boulot le lendemain directement de chez eux.Nous quittons donc ensemble la maison avec Marie à poil pendue à mon cou pour me rouler une pelle.Une fois chez elle, elle me fait faire cette fois le tour complet de leur appartement en baisant bien sûr dans chacune des pièces, y compris les toilettes. Elle tient cette fois-là à ce que je me soulage sur elle pendant qu’elle urine à son tour. Elle avance la tête pour que je l’arrose ouvrant la bouche à l’occasion pour profiter totalement de cette douche dorée avant d’aller en prendre une, ensemble dans la salle de bains. Cette nouvelle expérience de « jeunes mariés » d’un soir se poursuit par un bon petit dîner de traiteur livré par un coursier qui ne regrette pas son pourboire sous forme de fellation complète sur le palier ! Le reste de la soirée se déroule essentiellement dans la chambre où elle me fait un défilé de toutes ses tenues les plus affriolantes en me demandant d’en choisir une pour Mylène. Puis c’est la démo de tous ses sex-toys et instruments SM en tous genres.
Elle m’enseigne la technique du bondage et me donne un jeu de cordes et cordelettes en remerciement de ma prestation. Nous rebaisons dans toutes les positions, même les plus impensables pour que je puisse ensuite les réessayer avec Mylène.
Mais c’est quand à son tour qu’elle me fait mettre à genoux pour une nouvelle position et qu’elle m’attache les membres aux quatre pieds du lit avant de la voir s’harnacher d’un gode-ceinture que je pâlis d’autant qu’elle s’approche avec un tube de lubrifiant à la main. Je vais moi aussi ressentir sous peu ce que ma femme et ma fille viennent de connaître récemment quand je les ai dépucelées de ce côté-là ! Elle me prépare longuement en me disant que je vais connaître une volupté jamais atteinte jusque-là. En effet une fois la sensation d’écartèlement comme lors d’une constipation difficile à extraire, elle me suggère justement de faire des mouvements d’expulsion avec mon anus tout en venant à sa rencontre pour mieux faciliter le passage du gode. Elle passe ensuite une main sous mon ventre pour venir me branler au rythme de sa copulation. Je finis par éjaculer avec une sensation nouvelle vraiment agréable de sentir ma prostate massée ainsi.
Insatiable, elle me réveille plusieurs fois pendant la nuit pour satisfaire ses besoins de baise en me suçant à chaque fois pour me mettre érection suffisante pour tenter de rassasier son appétit sexuel boulimique. Au petit matin, les yeux en « trous de pine », je me prépare tant bien que mal pour aller au boulot.
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A mon retour à la maison le soir, il me tarde d’avoir le compte rendu de la soirée et de leur nuit passée avec Jean-Jacques. C’est Hélène, rentrée la première avec la mine défaite et les cheveux en bataille, qui se lâche en me racontant d’abord sa dernière journée de stage :
— Je n’en peux plus papa. Heureusement que mon séminaire est terminé.— C’était si épuisant que ça d’écouter des intervenants et prendre des notes, je ne comprends pas ?— C’est qu’à la fin je n’ai plus eu à prendre de note, mais plutôt donner de moi-même, si je puis dire !— Mais encore ?— Figure-toi qu’après le gang-bang de la veille, cette fois durant la visite de la clinique de maman, c’est moi qui ai été désignée cobaye comme maman la veille à la demande générale de mes collègues, lorsque le Docteur a sollicité une volontaire.
Elle se déshabille alors sur place pour me montrer l’état de ses tétons allongés et toujours durs et de ses petites lèvres qui effectivement apparaissent au grand jour cette fois entre ses grandes lèvres gonflées.
— Tu es très mignonne comme ça. Ton mari ne va plus te reconnaître ?— Oui c’est sûr. D’autant qu’après cette semaine de baise continuelle, je n’aurai pas la même envie qu’après l’abstinence des séminaires précédents et vais sans doute le décevoir !— Si tu le suces et que tu lui offres ton cul pour la première fois, il sera vite heureux de te revoir, non ?— Il risque de remarquer mon œillet passablement strié maintenant et surtout justement les tétons et mes lèvres plus distendues.— Tu n’auras qu’à lui dire que tu t’es prêtée à une nouvelle technique réparatrice dans le cadre de la visite d’une clinique spécialisée en lui demandant justement son avis sur le résultat et surtout s’il pense que de nouvelles séances de thérapie seraient nécessaires pour parfaire ta silhouette.— Tu as tout à fait raison et en plus je ne lui mentirais pas tout en ayant l’occasion de revenir vous voir avec ou sans lui et les enfants.
C’est sur ces dernières paroles que sa mère fait son entrée nue comme à son habitude désormais, l’air détendue et satisfaite de sa journée en s’adressant à sa fille :
— On m’a dit que c’est toi, cette fois qui as joué le cobaye du jour ?— Oui. Regarde le résultat !— En effet avec quelques séances supplémentaires tu auras des tétons super excitants pour aguicher les mecs et des lèvres assez grandes pour te faire téter par les filles !— Tu n’en rates pas une maman, mais je t’aime et te remercierais jamais assez pour la semaine que tu m’as fait passer.— Au fait, tu as raconté à ton père notre nuit à trois dans le même lit avec Jean-Jacques ?— Non. Je finissais de résumer ma journée dans ta clinique. Je t’ai trouvé d’ailleurs très pro quand on est passé dans ton service et que tous ont vu comment tu te laissais peloter à l’occasion pour redonner le moral aux patients.— Et pas qu’aux patients, puisque plusieurs de tes collègues en ont profité également en passant près de moi, ne se doutant pas probablement de notre lien familial.
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Elles se mettent ensuite alternativement à me décrire leurs sensations respectives de s’être donnée corps et âme à Jean-Jacques qui a usé et abusé d’elles pour leur plus grand plaisir, même si cela a été un peu dur parfois. Après votre départ avec Marie, il a exigé qu’on le vouvoie et de toujours répondre « Oui Maître » quel que soit l’ordre donné. Mais, s’il devenait impossible de continuer, vue la douleur ressentie, les deux seuls mots autorisés étaient « JE JOUIS » pour le faire arrêter aussitôt. En conséquence, si on les avait prononcés alors qu’on jouissait vraiment, la punition aurait été féroce !
Jean-Jacques s’est montré si pervers que nous ne nous attendions jamais à ce qu’il allait nous faire subir. Il a démarré pianissimo pour nous mettre en confiance surtout avec moi, a continué Hélène en lui demandant d’abord de jouer la danseuse pro d’un cabaret pour le faire bander avant de le sucer. Mais tout cela dans le jardin sous les yeux du voisin manifestement prévenu, puisqu’il avait deux copains à ses côtés à la fenêtre aussi âgés et décrépis que lui avec une bedaine leur cachant sans doute la bite quand ils pissent pour te donner une image. Ils m’ont traitée de tous les noms pendant mon show, même si je me donnais beaucoup avec un long foulard de maman pour le glisser entre mes seins ou entre mes cuisses pour bien les exciter et surtout mon Maître qui a commencé de bander doucement, comme s’il contrôlait entièrement son début d’érection.
Quand il a voulu que je le suce, il m’a demandé de m’asseoir sur ses genoux face aux vieux voyeurs-branleurs avant de me saisir par les mollets pour me les poser sur ses épaules afin d’avoir ma chatte sur sa bouche. J’étais inconfortablement installée la tête en bas en appui sur les avant-bras pour prendre en bouche sa queue et qu’il me la baise en gorge profonde. De son côté, il a tenté d’aspirer mes toutes petites lèvres avant d’en coincer une entre ses dents pour l’étirer à m’en faire pleurer. J’ai pu souffler un peu avant qu’il ne réussisse à se saisir de l’autre. Il a fini par pincer mon capuchon entre ses doigts pour en extraire mon gland clitoridien qu’il a réussi à mordiller. Une violente décharge a traversé alors mon bas-ventre au point que j’ai versé des larmes, mais j’ai surtout joui comme jamais.
J’ai failli m’étouffer plusieurs fois et craché une quantité de salive sur sa queue avant qu’elle se mélange avec sa semence qu’il m’a forcée à avaler, mais avec grande difficulté ayant dû garder la tête en bas ! Il m’a laissé là par terre en m’obligeant à me masturber face aux vieux pour les exciter.
De retour à la maison, il a dit que c’était au tour de sa petite femme d’un soir de s’occuper de son mari maintenant, a poursuivi Mylène. J’ai dû trouver le meilleur moyen de le faire rebander dans les dix minutes sous peine d’une bonne correction. J’ai eu alors l’idée d’utiliser le suceur de mon aspirateur pour faire gonfler de sang son gland d’abord avant d’utiliser l’embout circulaire de diamètre légèrement supérieur à sa grosse bite. En le masturbant par aspiration, il a retrouvé très rapidement une complète érection. Pour me féliciter, il m’a embrassé à pleine bouche enroulant sa langue autour de la mienne avant de me mordre la lèvre inférieure pour me punir de mon audace. Il a sorti ensuite une corde de son sac à dos qu’il a noué à mes pieds, puis à mes poignets avant de les rassembler pour me replier les genoux contre les seins dans une position douloureuse pour mon dos.
Il a passé ensuite la corde au-dessus de la poutre de séparation entre la cuisine et la salle à manger pour me hisser jusqu’à avoir ma chatte et mon cul à la hauteur de sa bite. Il m’a d’abord utilisé comme un punching-ball en me frappant avec le plat de la main sur le dos, les côtes et la poitrine, puis pour me fesser carrément y compris sur la vulve. Une fois le bas-ventre en feu, il a daigné m’enfiler pour quelques va-et-vient dans le vagin, avant de m’enculer à sec.
Il est ressorti pour venir voir où j’en étais de mon exercice solitaire, a repris Hélène. Découvrant les trois pépés du « Muppet show » en totale érection après mon spectacle, il les a appelés pour qu’ils viennent se soulager. Quand j’ai entendu la porte s’ouvrir, a continué sa mère, j’ai pris peur. Les vieux pervers accompagnant Monsieur Marcel avaient une allure vraiment « crade » au point que j’ai fermé les yeux pour me concentrer sur mes seules sensations. En entrant dans la salle à manger, a poursuivi Hélène, j’ai été décontenancé par la vue de maman pendue comme une truie prête à l’abattage. C’est ce qui lui est arrivé en quelque sorte quand le premier vieux lui a bloqué les hanches pour que son copain la pénètre, avant lui-même de la sodomiser. Lorsqu’ils ont eu fini de se vider en elle, Jean-Jacques m’a forcé à aller lécher l’entrejambe de maman pour la nettoyer. Monsieur Marcel s’est ensuite approché pour que je le pompe et qu’il puisse se vider à son tour dans ma bouche.
Hélène a poursuivi le récit de leur soirée avec Jean-Jacques :
— Une fois en famille recomposée à trois, mon beau-père d’un soir a détaché maman pour récupérer la corde et me la passer à mon tour, avec mes pieds et poignets réunis cette fois dans l’autre sens dans le dos et me pendre au même endroit. Il a sorti un martinet de son sac, pour me rougir la peau sous toutes les coutures en insistant sur ma chatte, mon ventre et mes seins. Il a ensuite fixé des pinces à mes petits tétons qu’il a étirés au maximum pour les pincer le plus haut possible avant de les réunir par des chaînes auxquelles il a accroché des poids légers au début. Il a procédé de la même façon avec mes petites lèvres qu’il a pincées avec ses doigts pour les tirer au maximum jusqu’à ce que je crie. Il y a fixé des poids plus lourds. Il a alors repris ses coups de martinet plus appuyés au point que je me suis mise à gémir. Il m’a alors obligé à compter les coups pour ne plus crier. Mais la douleur a continué de s’amplifier au point que j’ai fini par hurler : « JE JOUIS ». Et là, à l’arrêt des coups, un afflux de sang a envahi soudain mon bas-ventre au point que j’ai vraiment joui !

J’ai dû le sucer ensuite a repris Mylène pour lui redonner vigueur avant qu’il baise à nouveau Hélène en lui tenant la taille pour s’en servir de balancier et se masturber avec son vagin. Il a changé d’orifice pour l’enculer avec la même technique jusqu’à se répandre en elle. M’obligeant évidemment à récupérer son foutre en lui pratiquant une feuille de rose. Il a décroché Hélène et nous a demandé d’aller dans le jardin où il a pris le jet d’eau pour nous rincer, comme il a dit, en augmentant la pression du jet pour nous nettoyer l’entrejambe, une fois à quatre pattes comme à la ferme avec les génisses, avant de les conduire à l’abattoir ! Il nous a demandé de nous sécher au soleil et de s’occuper l’une de l’autre en se caressant toujours sous la fenêtre des vieux, la bite à l’air.
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Hélène au bord des larmes en se remémorant cette soirée, m’a dit qu’elle ne s’est jamais trouvée aussi humiliée de se voir rabaissée au rang de femelle juste bonne à vider les couilles de mâles en rut :
— Tu sais papa, je me suis alors demandée, si je n’allais pas m’enfuir de la maison pour aller te retrouver et que tu me réconfortes.
Elle s’est alors lovée contre moi avant de poursuivre en disant que Jean-Jacques a dû l’anticiper en venant la rejoindre dans le jardin pour l’enlacer et la câliner un long moment. Elles ont continué la soirée avec Jean-Jacques comme une famille normale en parlant de choses et d’autres sans aucune allusion au sexe. Il leur a concocté un excellent repas débouchant même une bouteille de champagne qu’il avait amené pour fêter leur rencontre aussi charnelle et intense. Il a tenu à savoir ce qu’elles pensaient vraiment de lui en précisant qu’il ne leur en voudrait pas, si elles avaient pu le haïr à un moment ou un autre et qu’il n’exercerait pas de sévices en représailles.
C’est Mylène qui d’abord l’a remercié de lui avoir fait ressentir autant d’orgasmes en quelques jours dans des situations inimaginables pour elle la semaine avant. Elle a indiqué qu’elle a parfois vraiment souffert, mais dans un mélange d’excitation très troublant au point de se demander aujourd’hui, si elle ne serait pas adepte de pratiques SM. Hélène a surenchéri en disant qu’elle s’est sentie si avilie ce soir-là qu’elle pense qu’elle va en garder une plaie profonde plus dans la tête que dans ses chairs. D’ailleurs, elle lui a demandé s’il pouvait lui donner les pinces et les poids pour s’étirer elle-même les lèvres et les tétons tout en se masturbant avec le vibro et le plug de sa mère en place pour ressentir, une fois chez elle, tous les troubles qui l’ont envahi durant cette semaine incroyable qui aura changé sa vie sexuelle si monotone jusque-là.
Ils ont ensuite occupé le lit conjugal ensemble tous les trois, avec cette fois comme règle que Jean-Jacques se donnerait entièrement à sa femme et sa belle-fille d’un soir quoiqu’elles lui demandent et à n’importe quelle heure de la nuit.
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Nous avons, pour ce dernier soir avec Hélène à la maison, continué de discuter de choses et d’autres et surtout de ses enfants qu’ils nous tardent de revoir. Le dîner a commencé par le célèbre apéro cocktail au gingembre pour se finir par du champagne et un bon gâteau ramené par Mylène. Et bien sûr, nous avons partagé notre lit conjugal avec notre fille comme durant ses premières années d’existence, mais cette fois avec plus d’intimité quand elle a tété ma queue au lieu de son biberon avant de me demander de la prendre alternativement avec sa mère sur laquelle elle s’est allongée poitrine contre poitrine et chatte contre chatte pour pouvoir l’embrasser à pleine bouche en enroulant sa langue avec celle de sa génitrice pendant que son géniteur la remplissait à son tour de sa semence !
Voilà qui conclut cette saga, avec quelques délires qui ne vous ont, j’espère, pas trop troublés. Merci pour vos encouragements jusque-là.
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