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Myriam, mon initiatrice

Chapitre 1

Lesbienne
Bonjour à toutes et à tous,Lectrice occasionnelle du site depuis quelques mois maintenant, j’ai envie partager avec vous une histoire véridique que j’ai vécu il y a plusieurs années. Je m’appelle Lucie, j’ai 32 ans et je vis dans la région Toulousaine.Cette histoire débute il y a 16 ans de cela, alors que j’étais élève dans un lycée huppé de Bordeaux. Studieuse, assidue et discrète, j’ai eu une enfance et une adolescence sage au sein d’un foyer bourgeois. Mes parents, dont je tairais bien sûr le nom, font partie de cette génération post soixante-huitarde qui a su se faire une situation aussi bien financièrement que socialement. Je n’ai jamais manqué de rien. Mes parents ont encouragé très tôt mon côté artistique en m’inscrivant à des cours de peinture, de musique, de danse. Ils ont suivi de près ma scolarité en veillant à ce que j’obtienne de très bons résultats.A ce moment là, mon seul dilemme était de savoir si j’allais poursuivre des études scientifiques ou littéraires, sachant évidemment que je n’aurais aucune difficulté à les mener à bien. Je n’avais pas de petit copain, non pas que la gent masculine me rebutait, simplement j’étais timide et peu portée sur la chose. Pourtant, en regardant les photos de mes 16 ans, j’étais déjà très jolie (à mon goût !). Brune aux cheveux longs, je suis grande et élancée. Une belle chute de reins mise en valeur par un fessier rebondi et une paire de seins naturellement haute. Pour les amateurs de chiffres, un 90b.Le grain de sable qui est venu enrayer cette douce mécanique est l’arrivée d’une famille de nouveaux voisins dans la maison mitoyenne de notre bâtisse familiale dans le centre de Bordeaux. Ils se sont installés dans le courant de l’été 1997 et leur déménagement n’est pas passé inaperçu dans le quartier. En ce beau matin d’été, une armée de déménageurs déchargeait des dizaines de meubles flambants neufs sous la direction autoritaire d’un petit bout de femme accompagnée de son mari. Aboyant et gesticulant, elle ne semblait pas ménager ses efforts sous ce soleil du plomb. Je regardais le va et vient des livreurs d’un œil distrait, détaillant cette femme avec curiosité : petite et charpentée, aussi blonde que je suis brune (manifestement une couleur) et vêtue de vêtements de marques mal choisis. Je me souviens des auréoles sous ses aisselles et de ses gros seins bondissants sous son chemisier lorsqu’elle faisait de grands gestes avec ses petits bras. Je suis allée me présenter en milieu de matinée, intriguée par ces nouveaux arrivants et souhaitant en savoir plus sur eux. Allaient-ils vivre ici ou se chargeaient-ils du déménagement pour le compte d’un tiers ? Pourquoi les meubles étaient-ils tous neufs ?Le premier échange m’a permis de savoir qu’il s’agissait d’un couple de commerçants de la région parisienne ayant gagné à la loterie nationale. Soudainement millionnaires, ils ont réalisé leur rêve de retourner vivre à Bordeaux près de leur famille. Je les laissais terminer leur installation, surprise de rencontrer ce couple, heureux gagnants d’une petite fortune.Par la suite, je les ai régulièrement entendus s’engueuler durant l’été, les murs épais ne couvrant pas les vociférations de Myriam sur son faible mari. Comment une femme si charmante dans la rue, bien qu’ayant de mauvais goûts à en juger par ses vêtements, pouvait-elle hurler si fort et si méchamment ? La tranquillité habituelle du quartier était définitivement rompue par ce couple qui détonnait dans le paysage. Plus tard, je sus que le mari (François) s’adonnait compulsivement aux jeux de paris hippiques jusqu’à en perdre des sommes folles. Rentiers et désœuvrés, ils s’ennuyaient.C’est à la rentrée que je vis une camionnette venir récupérer les affaires de François. En octobre il avait déjà quitté la maison. Séparation et divorce, ils ont chacun gardé la moitié du magot.Quelques jours plus tard, une autre camionnette venait livrer des projecteurs, des fonds blancs, des cartons d’électroniques. Myriam, une fois de plus, surveillait et engueulait les livreurs pour qu’ils prennent soin de son matériel qui lui avait « coûté un bras ». Vêtue d’une jupe courte et perchée sur des talons vulgaires, elle cambrait son gros fessier. Ses cuisses blanches et grasses bougeaient au rythme de ses gesticulations.Je cherchais à en savoir plus :— Bonjour Myriam, qu’est ce que c’est ?— Salut la curieuse. T’as l’œil sur tout toi. C’est du matos de photo. Je reprends mes passions là où je les avais laissés en rencontrant François. Je monte un studio et une chambre noire.— C’est génial. Tu as une chance incroyable. Tout cet espace et tout ce matériel pour toi. Je rêve d’une pièce en plus pour installer mon matériel de peinture et de musique. Ma chambre est surchargée et je ne sais plus…— Passe me voir demain si tu veux. La maison fait 200m² et je suis seule. Y a de la place pour toi.Moment de surprise. Son offre est tellement généreuse mais le ton si autoritaire. Je ne sais pas dire non alors machinalement je réponds oui. Quelle gourde. Si j’avais su, peut –être aurais-je répondu différemment. Mais avec des « si », on pourrait refaire le monde.Et je suis repassée le lendemain pour découvrir la maison et son espace. En effet, avec le départ de François, les pièces semblaient grandes et vides. J’aurais pu y installer une salle de répétition de piano et un atelier de peinture sans la gêner.Rapidement je me suis mis à passer chez elle, à raison d’un soir par semaine et un après midi le weekend. Seule dans une des pièces je pouvais peindre à ma guise tandis qu’elle travaillait au développement de ses photos à l’étage au dessus. On se parlait, peu au départ, de plus en plus par la suite. Discrète, je l’écoutais me raconter son histoire.45 ans, nouvellement divorcée et sans enfant. Une vie lambda et terne qui se retrouve un jour éclairée par le gain d’une somme folle. Et c’était tout ! Elle ne voyait pas sa famille, « des cons jaloux » de la région Centre. Elle avait viré son « abruti de mari » qu’elle traitait volontiers de « bite molle ». De la « graine de cocu » selon ses termes. Elle était rude, cassante et indépendante d’esprit. Mon négatif. Avec les semaines elle prenait du poids, et je finis par me rendre compte qu’elle se négligeait de plus en plus : plus de maquillage, cheveux en bataille. Elle portait des vêtements qui laissaient deviner qu’elle ne mettait plus de soutien-gorge. Ses gros seins lourds ballotaient sous des chemises amples. Egoïstement, et pour protéger mon havre de paix et de création, je n’en disais rien.Un soir d’hiver, je sonnais une fois de plus pour rejoindre mon atelier d’artiste. Elle vint m’ouvrir vêtue d’un affreux peignoir éponge vert, la mine fiévreuse. Je crus qu’elle était malade.Sans même me laisser le temps de lui poser la moindre question, elle s’en retourna à l’étage et s’enferma dans son studio de photo. Déroutant et même inquiétant. Que se passait-il ?Prudemment je montais et murmurait à travers la porte :— Myriam, tu es la ? Ça va ?Silence. Cliquetis d’appareil photo. Bruissement de pas puis silence à nouveau.— Myriam, est-ce que tu vas bien ?Une angoisse commençait à monter en moi. Etait-elle en train de devenir « tarée » selon l’une de ses expressions favorites ?
Je mis mon œil à la serrure espérant me rassurer. Allais-je devoir retourner peindre chez mes parents ? Avais-je envie de quitter cette pièce de parquet massif et ce plafond si haut orné de moulures si charmantes ?Stupeur totale en découvrant le spectacle que m’offrait involontairement mon mystérieux mécène. Elle s’affairait nue sur son appareil photo installé sur un trépied, peaufinant les réglages. Satisfaite, elle s’allongeait en prenant des poses pornographiques en attendant le déclencheur automatique. Etait-ce là sa passion ? Se prendre en photo nue ?Je garde un souvenir à la fois ému et teinté d’angoisse de se corps rond déjà marqué par le temps. Ses seins lourds et tombants sur son ventre rebondi. Ses auréoles mammaires larges. Les vergetures qui lacéraient la peau de ses cuisses et des ses hanches. Son pubis noir et très fourni, vaste triangle qui s’étendait jusqu’à son nombril et ses cuisses. Une de ses poses impudiques me permit de voir son anus sombre ourlé de ce que j’imaginais être des poils. Son regard fiévreux une fois de plus. Etait-elle excitée ou était-ce un travail d’art ? La femme de Toulouse Lautrec dans sa vérité la plus crue de l’année 1997.Je repartis sur la pointe des pieds, tentant maladroitement d’éviter le grincement des lattes de parquet et le claquement de mes chaussures dans l’escalier de pierres blanches. Etourdie par ce spectacle, je ne peignais rien et rentrait retrouver ma famille directement. J’étais choquée mais excitée par cette impudeur. Ce corps disgracieux était un appel à la luxure à ce moment là. J’avais honte de moi en me couchant. Comment pouvais je avoir envie de cette femme moche et manifestement en détresse ? Je peux encore ressentir cette honte quand je me remémore cet instant.Le lendemain soir une enveloppe non timbrée à mon nom m’attendait au courrier. Je reconnus immédiatement l’écriture de Myriam.Lucie,Tu es partie sans dire au revoir et en laissant tes partitions de piano. Tu peux passer ce soir.M.Directe, à son image. Pas d’échappatoire possible, ces partitions sont d’une nécessité absolue. Sans prendre mon manteau, je parcoure les 4 mètres qui séparent nos deux portes d’entrée et m’empresse de sonner pour échapper aux morsures du froid.Elle m’ouvre la porte habillée de cet horrible peignoir éponge verdâtre. On dirait une matrone, et ses cheveux sales et désordonnés lui donnent l’air de sauter du lit alors qu’il est 20h00 passé. Elle contraste totalement avec mon look BCBG de petite adolescente sage vêtue d’un jean, d’une chemise blanche et d’un pull marine.J’entre sans rien dire et je la suis en silence dans la cuisine. Du thé et des biscuits secs dans une assiette.— Tu es partie sans rien dire hier soir et tu as tout laissé en plan.— Oui. Je suis désolée. J’ai dû partir vite.— Tu m’as vu dans mon studio ?— …— Tu m’as vu non ? Je t’ai entendu dans les escaliers. T’as ta tronche de bourgeoise pas nette. T’ose pas dire oui ?— Je… Euh… Je voulais pas en fait. J’étais inquiète et… Euh…— T’as maté ?— Oui… (Aveu)— T’as vu quoi ?— J’ai pas envie d’en parler là. Je suis désolée mais…— T’as vu quoi ? PARLES PUTAIN ! On dirait François là, t’es plantée devant moi comme une conne. PARLES MERDE !— Tu étais à poil sur le dos et…— A poil sur le dos ! Tu causes comment maintenant ? T’as tout vu alors. Tu dois me prendre pour une tarée qui se prend en photo à poil chez elle. Et pis toi tu mates à la serrure comme une vicieuse déglinguée. T’es une curieuse et je te l’ai déjà dis. Ça t’a plu au moins ?— …Etait-ce un silence approbateur ? Je pense qu’elle l’a pris comme tel car elle n’a pas attendu plus de quelques secondes pour sortir un album en cuir marron et épais. Un genre de « best-of » de ses séries de pose nue.Ma curiosité l’emporte sur tout. C’est un défaut chez moi. Alors je prends l’album et l’ouvre. Quel spectacle ! Elle n’a pas un talent très développé mais cela me suffit. Depuis combien de temps prenait-elle ces photos ? L’album est rempli.Des seins lourds et veineux. Gros plans sur un téton dont la texture ressemble à de microsillons bruns qui serpentent sur une colline. Le haut de son pubis noir et dense, luxuriant. Sur le dos, jambes écartées, impudique. Gros plan sur son sexe noir dont coule un liquide à peine coloré tel une source paresseuse des Pyrénées. Sa bouche éclatante de rouge à lèvre se refermant sur un sexe de plastique. Son cul, massif. Son sexe ouvert. Un gode qui me semble énorme planté jusqu’à la base dans son sexe.Je referme l’album.Le rouge me monte aux joues, je me sens moite de voir ce corps exposé. Moi qui ne pense jamais aux garçons, me voilà submergée par l’envie d’embrasser les lèvres de ce sexe. Ce sexe qui appartient à une femme moche qui pourrait être ma mère. La tête me tourne. Je suis sur la brèche. Et je n’ose pas lever la tête de peur de croiser son regard. Je l’entends aller et venir dans la cuisine tout autour de moi sans voir ce qu’elle fait. Et cette boule de chaleur qui monte dans mon bas ventre comme lorsque j’ai lu les premières pages d’Histoire d’O chez un oncle durant l’été de mes 14 ans.Mes tétons sont-ils en train de durcir ? L’a-t-elle deviné ?La voilà qui passe derrière moi en empoignant mes seins à deux mains et plongeant son nez dans mon cou. Collée à moi. Je sens ses doigts serrer ma poitrine tandis que son visage remonte sur ma nuque. Elle hume mon parfum. Je suis pétrifiée. Inexpérimentée. J’ai peur mais je voudrais qu’elle m’embrasse. Mon cerveau me crie que mon premier baiser ne peut pas venir de Myriam mais mon sexe hurle son désir de sentir ses lèvres sur les miennes.— Tu me plais bien avec ton air de bordelaise qui rougit. Il y a longtemps que mes seins ne sont plus comme les tiens. Moi j’ai des nichons. Des gros tout mous qui pendent.Tout en resserrant son étreinte sur mes seins elle me murmure d’une voix un peu rauque :— J’ai envie de toi. Je te veux toute à moi ma petite Lucie. Toute à moi.Ses deux mains épaisses passent sur mes épaules et me retournent. Face à elle. Je garde les yeux au sol.Cette vicieuse à ouvert son peignoir sous lequel elle ne porte rien bien sûr. Ces deux gros nichons, comme elle le dit, pendent bas. Ils ont l’air si lourd et sont parcourus de veines bleues. Je vois son pubis fourni, il y a tellement de poils qu’il en devient impressionnant de près. Je sens odeur de sa peau, brute et animale. S’est-elle lavée aujourd’hui ?Elle me prend la main et la pose sur son pubis. Je sens ses poils crisser sous mes doigts. C’est chaud et épais. Elle se frotte doucement sur mes doigts. Je peux sentir le renflement de son clitoris qui pointe hors de ses lèvres ouvertes entre lesquelles mes doigts glissent. C’est mouillé, très mouillé et légèrement visqueux... Elle fait entrer mon doigt en elle, je peux le voir disparaitre dans son sexe. La tête renversée en arrière, elle se branle avec ma main. Un animal. Sa respiration se fait lourde et profonde. Elle tente de m’embrasser.C’en est trop. D’un geste brusque je me retire en lui tournant le dos. Je ne peux pas rester là une minute de plus ou bien mon cerveau va fondre. Ça ne devait pas se passer ainsi. J’attrape mes partitions sur le comptoir de la cuisine et je file en direction de la porte d’entrée.En claquant la porte je l’entends me dire :— Tu reviendras p’tite conne.Ce soir là, au fond de mon lit, tandis que les heures défilaient, je me suis endormi en reniflant mes doigts. Cette odeur de chatte, si forte semblait s’être imprégnée sur mes doigts. Une odeur puissante, entêtante et légèrement écœurante. Et pourtant, même repus de cette odeur de chatte, je portais encore les doigts à mon nez. Je n’osais les gouter.J’ai plongé un doigt de l’autre main dans mon propre sexe puis je l’ai senti. Rien de particulier. Une odeur sage vaguement teintée d’une fragrance de transpiration (d’urine ?).Je regardais mon sexe surmonté de son pubis noir et entretenu, mes lèvres délicatement dessinées et ce clitoris gonflé qui vibrait de plaisir quand je l’effleurais. Quant à mes seins, ils étaient ronds avec une belle forme de poire parfaite. Rien à voir avec le corps de vache de Myriam. Ce corps qui m’excite.Je sentais encore le sexe de Myriam collé à mon doigt. La FEMME en rut. Et j’aime ça. Cette garce avait raison, je reviendrais sûrement. Je me suis branlé à plusieurs reprises cette nuit-là, reniflant encore et encore mes doigts souillés.Le vendredi suivant, je revins sonner chez elle, honteuse et excitée. J’étais décidée à passer à l’acte, à assouvir cette envie qui venait de prendre possession de moi.En guise d’accueil j’eus droit à un simple :— Entre vite, dépêche toi.A peine la porte fermée, Myriam se jeta sur moi et plaqua ses lèvres aux miennes. Maladroitement je répondais à son baiser. Quel plaisir de l’embrasser. De sa langue, elle ouvrit ma bouche, et s’engouffra dedans. Humm... Je me sentais possédée par cette langue qui investissait ma bouche… Ses mains serraient ma taille et me plaquaient à la porte de bois tandis que son genou passa entre mes jambes. Sous la pression j’écartais les jambes.— Tu es revenue ma petite bourgeoise. Tu es à moi maintenantUn « oui » timide s’échappa de ma bouche, l’aveu définitif de ma reddition. Je l’entendis feuler de plaisir tandis qu’elle m’entrainait dans sa chambre.Quel bordel ! Un gigantesque lit sans cadre trônait au milieu de la pièce. Tout autour des vêtements, des photos en désordre, un godemichet (celui de la photo ?) sur les draps.Myriam me poussa sur le lit, m’écrasant de tout son poids, son habituel peignoir ouvert sur son corps nu. Elle me mordait les lèvres en souriant, satisfaite de m’avoir enfin mise dans son lit. Elle me ceintura les poignets à l’aide de ses mains, les maintenant au dessus de ma tête, m’interdisant tout mouvement par l’écrasement de son poids sur mes bras. Elle reprit ses baisers, léchant ou mordillant mes lèvres à sa guise, s’amusant de mon inexpérience en matière de baiser. Je ressentais un profond plaisir. Pour moi, ça n’était pas de la soumission, je goutais le plaisir d’être guidée par une femme qui en savait bien plus que moi sur le désir entre femmes.— Déshabille-toiPas une demande, un ordre plutôt.Je m’exécutais rapidement, dévoilant mon corps. Je vis ses yeux me dévorer alors que je lui montrais mes seins, mes fesses rebondies et mon pubis quasi naturel.— Putain ! T’es bien foutue ma chère enfant. Viens par là que je touche tout ça.Ses mains me firent frissonner quand elles se posèrent sur mes seins. Elle me caressa tout doucement, touchant chaque partie de mon corps avec une joie non feinte. Bizarrement, je me sentais fière de lui plaire ainsi. Elle évita consciencieusement mes tétons et mon sexe, se réservant le plaisir d’y toucher à la fin comme elle me le dit. Nous nous sommes finalement collé l’une à l’autre, nous embrassant et nous serrant fort mutuellement. Je ne pus résister à l’envie de toucher à nouveau son sexe, si chaud… Si humide… Si odorant… J’y glissais un doigt tandis qu’elle penchait la tête en arrière, savourant la caresse.Ne sachant que faire, je le faisais aller et venir doucement, mon regard vissé sur les lèvres de sa chatte. Clapotis et mouille abondante. Depuis combien de temps n’avait elle été pas touchée ?Elle me saisit le poignet pour le faire aller et venir plus vite et plus loin.— Mets en un deuxième salope.En silence, mais excitée par ce ton ordurier, je lui obéissais en rentrant un deuxième doigt puis un troisième. Elle se branlait la chatte littéralement, utilisant ma main comme un gode, comme une bête qui ne pense qu’à son plaisir. Les yeux clos, elle prenait un plaisir fou. Inconsciemment elle écartait les jambes, sans pudeur et concentrée sur sa jouissance. Je commençais à avoir mal à la main, mes doigts allant et venant dans son trou chaud de plus en plus vite, au rythme de ses halètements et du bruit de mouille de sa chatte.— C’est bon !! Clamait-elle par moment.La chambre s’emplissait de cette odeur de sexe en rut qui avait fait mon bonheur quelques jours plus tôt. Ce parfum fort ajouta à mon excitation. A genoux entre ses jambes, pistonnant son con dégoulinant de mes doigts, je laissais aller ma main sur mon propre sexe. J’étais trempée. Je commençais à me toucher le clitoris. Hum, une première onde de chaleur irradia mon ventre.— Laisse ta chatte tranquille et occupe-toi de moiSurprise comme une enfant que l’on prend en faute, j’arrêtais et me concentrais sur son plaisir. Subitement, elle se contracta sur mes doigts, les écrasant. Je regardais son visage déformé et ridé, sa poitrine se gonflait comme une baudruche. J’ai compris qu’elle jouissait. Elle expira longuement et son visage se relâcha.Elle desserra l’étreinte sur mon poignet et je pus sortir mes doigts de sa chatte dont les lèvres gonflées me semblaient obscènes. Quelle grosse vache !Mes doigts étaient luisants d’une mouille visqueuse qui piquait les petites entailles autour de mes ongles. Quelques poils étaient restés collés, noirs et épais. Cela sentait encore plus fort que la première fois, limite marée basse. Cette garce se lavait-elle la chatte ?Instinctivement, je collais mes doigts à mon nez. Hum, quel parfum. Le parfum de femme.— Ça te plait l’odeur de ma chatte ? Branle-toi en reniflant tes doigts, bourgeoise.Trop heureuse, je plaquais ma main libre sur mon sexe, agaçant mon clitoris, le frottant énergiquement, cherchant mon plaisir comme la branleuse débutante que j’étais. Que c’était bon, je sentais le rouge me monter au joue, mes tempes battaient à tout rompre. Comment pouvais-je être si excitée de me toucher devant Myriam ? Moi la jolie ingénue, si sage, au dessus du moindre soupçon, louée en famille pour ma vertu et mon sens inné du devoir. L’ange de papa et maman qui se touchait comme une vicieuse en reniflant l’odeur de chatte de la voisine vulgaire.— Attrape ça, je dors avec depuis quelques jours.Elle venait de me lancer une large culotte en coton, simple et blanche. Je ne compris pas et ne sus que faire avec.— Renifle le fond espèce de gourde. 100% naturel !Interdite, je restais une nouvelle fois sans rien faire. Son naturel autoritaire qui ne souffre la moindre contrariété repris le dessus. Se relevant, elle empoigna sa culotte d’une main puis ma nuque de l’autre et plaqua le fond de la culotte sur mon nez.— Renifle et branle-toi, vicieuse.Quelle poigne ! Je me mis à inspirer par le nez. Un parfum puissant empli mes narines. Je fermais les yeux pour définir les odeurs. Sexe. Transpiration. Urine. Macération. Nuit chaude. Excitation nocturne. Branlette matinale. Ces odeurs concentrées faisaient exploser tout mes sens. Mes doigts s’agitaient sur mon clitoris gonflé.— C’est ça, branle toi comme ça.Elle fit descendre l’un de ses mains le long de mon dos, caressant mon cul, insérant ses doigts dans ma raie. Elle continua jusqu’au trou de mon sexe et tenta d’y insérer un doigt.— Une pucelle en plus. T’as jamais baisé ?D’une voix étouffée par la culotte crade je lui répondis que non. Myriam me sourit largement puis collant sa bouche à son oreille :— Je vais te dévergonder moi. Je vais te changer en vicieuse. Ça sera pas dur je pense.Elle me dit cela en enfonçant plus profondément le doigt en moi, puis elle le retira et l’appuya sur mon anus qu’elle pénétra également sans précaution. Légère douleur.Elle me branla le trou du cul un moment alors que je continuai à toucher ma chatte trempée. J’étais en transe, dans un état second. Plus rien ne comptai à ce moment là que ma jouissance. Je me concentrais.Ce doigt dans mon cul. Cette odeur de chatte dans le nez. Mon doigt sur mon clitoris.— Tu es à moi Lucie chérie.Explosion. Mon premier orgasme. Il n’en finissait plus, s’immisçant dans chaque interstice libre de mon corps. Il me laissa groggy, fatiguée. Une chaleur bienveillante prit place en moi. Sensation d’être allongée dans du coton.— Tu m’as broyé le doigt avec ton cul.Toujours ce naturel si distingué en toutes circonstances.Myriam prit ensuite ma culotte et la frotta longuement sur elle, essuyant sa chatte et son cul longuement avec le fond de mon slip en coton.— Tu la remets et tu la gardes tout le weekend. Ça te fera un souvenir. Dès que tu viens ici tu es à moi. Chui pas conne, t’es une môme de 16 ans alors va pas croire que c’est officiel ou je-sais-pas-quoi-entre-nous. J’te f’rais pas chier à l’extérieur ou si j’te croise avec ta baronne de mère. Et compte pas sur moi pour te courir après. Tu viens ici quand tu as la chatte en feu et on se fait du bien.Je me rhabillais rapidement, passant la culotte souillée sur moi et pris congé de ma voisine, et désormais amante.— Tu la gardes tout le weekend surtout, me recommanda-t-elle en partantDe retour chez moi je n’en revenais toujours pas de ce que je venais de vivre. Ivre de joie et excitée d’avoir touchée la luxure de mes doigts, je passais les deux soirs suivant à me branler en reniflant le trophée que je portais en permanence. Cette culotte souillée dégageait une telle odeur que je pouvais la sentir lorsque je la baissais à mi jambes lors de mes pipis. Vicieusement, je prenais des initiatives que je trouvais téméraires, ne m’essuyant pas le sexe en sortant des toilettes afin que les dernières gouttes de pipi s’y déposent et agrémentent le parfum de l’étoffe.J’attendis le mardi soir pour décider de retourner chez Myriam. A deux jours des vacances de Noël, j’avais décidé de lui faire une surprise en troquant mon pantalon pour une jupe et des bas piqués à ma mère. Je portais également la culotte souillée depuis Vendredi soir. Elle était imprégnée d’une forte odeur de chatte maintenant. En haut j’arborais un petit débardeur très décolleté que j’avais caché sous un pull pour passer devant mes parents. Lorsque je les croisais dans le salon pour leur souhaiter une bonne soirée, ils ne virent que leur chère Lucie, si sage et gentille. Ils me souhaitèrent une bonne soirée et ma mère me fit jurer de lui montrer les toiles que j’entreposais chez Myriam.Le cœur battant, le ventre noué et le clitoris gonflé, je sonnais chez Myriam.Je me rends compte que mon texte est long. Je n’ai rien coupé et il a été écrit ainsi, d’une seule traite.Voulez-vous la suite ?Lucie
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