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Myriam, source de plaisir

Chapitre 1

Hétéro
J’ai déjà publié une histoire vraie d’une rencontre en covoiturage. Ce mode de déplacement favorise les rencontres improbables, entre personnes de niveau social et d’âge divers, même si ce sont plutôt des personnes jeunes qui l’utilisent. Disons qu’en tant qu’homme d’âge mûr, je suis plus souvent conducteur de jeunes personnes. Voici une rencontre d’il y a plus d’un an que je n’aurais pas penser raconter si je n’avais pas depuis fait une nouvelle rencontre très surprenante que j’ai racontée par ailleurs.
Bien sûr, tous les personnages ont l’âge légal requis pour avoir des relations sexuelles et pour figurer dans les récits publiés sur Xstory.
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Je pars pour un week-end de trois jours dans ma maison de montagne, dans les Pyrénées-Orientales, un trajet de 7 heures qui me fait traverser la France. Comme souvent, j’ai proposé des places sur un site bien connu de covoiturage, et Myriam a réservé, je dois la prendre à 1 heure de chez moi pour la déposer à Perpignan où elle rend visite à sa sœur. C’est le week-end du solstice d’été, il fait beau, assez chaud déjà, sans plus, la circulation est fluide.
Myriam est une jeune femme de 23 ans. Sincèrement, ce n’est pas une fille sur laquelle je me serais spontanément attardée : elle est de taille moyenne, elle n’est pas laide, absolument, mais n’est pas non plus une beauté fatale. Cheveux noirs qui ondulent, une coiffure sans recherche, des yeux sombres, des sourcils épais, une peau mate... C’est une jeune femme qui n’attire pas l’œil. Elle est vêtue simplement, un pull léger brun clair, une jupe noire un peu raide qui lui arrive à mi-cuisse, des sandales plates. Elle est vêtue comme une jeune femme qui part en voyage, simplement et avec des vêtements pratiques, et puis dans le fond moi aussi, tee-shirt et pantalon de jogging léger.
Mais Myriam se révèle rapidement être une bavarde intarissable. Si je prends des passagers, c’est bien sûr pour avoir une compagnie, mais là, c’est le moulin à paroles, elle est souriante, enjouée, rit parfois toute seule de ce qu’elle me raconte, c’est une "bonne nature" comme on dit. On aperçoit depuis l’autoroute une famille de cigognes dans son nid ? Elle me raconte que son père qui militait à la LPO l’emmenait voir des oiseaux et patati patata... On double un camion espagnol ? "Ah ben, j’ai passé une semaine à Barcelone avec ma sœur blablabla...". On voit la sortie "Angoulême" ? Elle me dit qu’elle adore la BD, et enchaîne sur ce qu’elle aime, me demande ce que j’ai lu, si je connais ceci cela... Mais c’est là, en passant devant la sortie "Angoulême" sur l’A10 que l’histoire commence.
Bien sûr que j’aime les BD, mais je lui fais remarquer que je m’attends plus qu’elle me parle de mangas japonais, c’est plus de sa génération, et bien sûr qu’elle s’y connaît en mangas, et ainsi de suite. J’essaye de placer mon grain de sel :
— Pour ma part, les mangas, je trouve que c’est violent, c’est pas Tintin ou Gaston Lagaffe, et puis si je ne me trompe pas, c’est aussi souvent pornographique, non ?— Ah non, là vous confondez, les mangas pornos ça s’appelle des hentais, c’est pas pareil, dans les mangas, il y a des histoires d’amour, même des histoires de filles, vous voyez, des trucs à l’eau de rose, quoi, ou alors des superhéros qui sauvent l’Univers... blablabla... Mais c’est vrai qu’il y a aussi beaucoup de pornographie, c’est sûr, et puis tous les genres, quoi, du sado, du maso, du lesbien, du hard... Ces Japonais, des fois, ils sont vraiment spéciaux je trouve."
J’arrive à glisser — Ah, spéciaux, c’est-à-dire ?— Ah ben, je sais pas si vous avez déjà vu des vidéos... Oui, enfin, moi, je trouve qu’ils sont vraiment spéciaux... Y font des trucs, enfin, je veux pas dire, mais c’est chelou quand même...— Euh, par exemple ?— Ah ben par exemple, je sais pas si vous avez déjà vu, y a des émissions de télé de sexe, oui oui, j’ai vu des vidéos avec le père et la fille qui participent à une émission, et puis les filles sont nues, quoi, mais on voit que leurs seins et leur... euh, enfin leur sexe quoi, et chaque père doit reconnaître qui est sa fille...— Euh, ah bon ? Des émissions de télé ? Qui passent à la télé ?
— Oui oui, c’est ça, alors le père touche les seins des filles, et puis ça va loin, des fois ils finissent par... enfin par aller loin quoi...— Ah ben ça alors... Ils sont vraiment spéciaux ces Japonais...— Ah ben oui, et puis aussi ils font des émissions avec des gamines, enfin, je crois, elles ont vraiment l’air jeunes, mais avec les Japonaises on sait pas toujours, et elles doivent faire des tas de gages ou des trucs comme ça, toutes nues, et ça devient de plus en plus sexuel...— Eh bien, Myriam, vous m’apprenez des choses, je ne connaissais pas !— Oh quand même c’est pas dur à trouver, hein, c’est sur Internet, oui, mais c’est sûr, faut chercher un peu et puis on trouve...— D’accord, je vois. Donc vous Myriam, vous avez cherché ou c’est quelqu’un qui vous en a parlé ou qui vous a montré ?— Euh... (peut-être qu’elle réalise qu’elle est vraiment très bavarde ?)... Ben non, j’ai trouvé comme ça, en surfant, quoi...— Bon, allez, on est entre nous, vous avez surfé à la recherche de vidéos pornographiques, Myriam, j’ai compris et ce n’est pas un crime, n’est-ce pas ?— Ah ben oui, c’est vrai, je le fais, comme tout le monde non ? Pas vous ?— Si, bien sûr, et j’aime aussi regarder des vidéos pornos japonaises, j’avoue, même si ce que vous me racontez me surprend. Mais c’est bien, j’apprends encore à mon âge. Mais alors, dites-moi, est-ce que ça vous plaît ce que vous voyez, ces émissions de télé sexuelles ?— Que ça me plaît, oui, oui, mais enfin, c’est... Oui, j’aime bien.
Elle rit de ce qu’elle me raconte, je la vois un peu se tortiller sur son siège... Est-ce que cette conversation l’exciterait ? On arrive à Bordeaux, la circulation devient dense, ça ralentit, ça bouchonne (oui, comme toujours), et je peux porter un peu plus d’attention à ma voisine. Sa jupe dégage une bonne partie de sa cuisse, la peau hâlée est belle, tentante... Je me mets à mater pendant qu’on continue de parler.
— Mais, allez Myriam, dites-moi ce que vous aimez voir ?— Eh bien... (elle hésite)... moi, ce que j’aime, c’est... Comment je vais dire ?... Oui, c’est plutôt les trucs inattendus, originaux, quoi, des situations qu’on s’y attend pas, je sais pas...— Ah, d’accord, des situations qui expriment de l’érotisme ? Et puis où les protagonistes en viennent petit à petit à se rapprocher et à finalement avoir une relation sexuelle ?— Oui, oui, voilà, c’est ça, moi j’aime bien la surprise, des fois on a l’impression que c’est banal et puis ça devient carrément chaud quoi...
La circulation est arrêtée, on avance très peu.
— Hum, est-ce que par hasard un covoiturage où on en arrive à parler de sexe entrerait dans cette catégorie ?
Blanc. Myriam la bavarde me regarde, les yeux et la bouche grand ouverts, comme figée. Je ris :
— Allez Myriam, ne vous choquez pas, reconnaissez que c’est quand même une situation inattendue justement, vous êtes en covoiturage avec un inconnu, on en arrive à parler de pornographie, vous me racontez ce qui vous excite... Et ça vous plaît, non ? Je me trompe ?...— Myriam, on a encore presque 6 heures de route, là, dites-m’en un peu plus... Qu’est-ce que vous pensez de cette situation, où nous nous trouvons, là ?
Comme nous sommes arrêtés, je me tourne un peu pour la regarder dans les yeux.
—... Oui, c’est vrai... Oui...
OK, la Myriam bavarde est devenue muette. J’insiste :
— Ah, bien sûr on n’est pas à la télé japonaise, mais reconnaissez quand même, Myriam, que cette situation vous plaît ?
Elle se détend, se cale dans son siège, tire un peu sur sa jupe, et reconnaît qu’effectivement, ça lui fait plaisir de parler de ce sujet et que c’est " sympa, quoi".
— Pour ma part, j’aime aussi les scénarios avec des situations inattendues. Il y a quelques années, j’avais trouvé des vidéos (japonaises) où des hommes s’en prenaient à des femmes dans le train ou dans un bus... Je trouvais très troublant, très excitant aussi. Vous connaissez ?
Hésitation, elle bouge un peu sur son siège, toujours les mains à tirer sur sa jupe.
— Oui, oui, je connais, j’ai déjà vu, c’est du "chikan" je crois, un truc comme ça, oui, c’est pareil ils sont dingues ces Japonais, ils s’y mettent à plusieurs autour d’une femme, des fois c’est presque encore des gamines, je sais pas, et puis ils lui mettent des mains, c’est dégueu de faire ça, c’est sûr, la fille elle peut plus rien faire, et elle finit par être violée presque, enfin non, pas vraiment, enfin, voilà...— Vous aimez voir ces vidéos ?— Oh, mais ce que vous me faites dire, là... Oui, oui, j’aime bien...— Ça vous excite ?— Ben bien sûr, hein, je regarde ça pour ça... Maiiiis, vous me faites dire n’importe quoi là ! Arrêtez enfin !
Elle rit.La circulation s’est décoincée, on va arriver à passer Bordeaux. Je m’arrêterai à l’aire de service après le péage.
— Est-ce que vous aimeriez être dans cette situation, je veux dire avec des hommes qui vous touchent comme ça, alors que vous ne pouvez rien faire ?— Oh ben non, ce serait du viol, ça, c’est glauque...— Alors qu’est-ce qui vous plaît à regarder ces vidéos ?— Ben je sais pas... Ça m’excite, c’est vrai, j’imagine que la fille, enfin... je sais pas, la surprise peut-être... Et puis, enfin, j’ai vraiment l’impression que... Enfin, qu’elles prennent du plaisir finalement, voilà...— D’accord, donc par la vidéo, vous imaginez que ça vous arriverait, et ça vous excite, ça vous plaît de vous imaginer dans cette situation de soumission à des hommes, sans pouvoir y échapper, dans un endroit inattendu, par surprise, et puis c’est sans risque pour vous puisque vous êtes chez vous et que vous regardez simplement une vidéo sur Internet...— Oui... C’est ça, dans le fond... Oui, j’aime bien ça.
Ses mains sont coincées entre ses cuisses qu’elle tient serrées l’une contre l’autre, elle est légèrement penchée en avant sur le siège, elle regarde devant elle, je ne sais pas si elle se rend compte à quel point son corps dit toute son excitation. On finit par quitter la rocade, direction Toulouse, je maintiens autant que possible son excitation, je lui raconte ce que j’aime dans les vidéos pornographiques, dans les mangas (oups, hentais !), j’évoque aussi la littérature, je lui demande ce qu’elle aime, ce qu’elle a lu, du coup, c’est moi le bavard. Elle est troublée, me regarde, je souris le plus possible et la fais rire par des plaisanteries, on franchit le péage et je sors à la première aire de service, je me gare et arrête le moteur, elle ne bouge pas et ne dit rien.
— Écoute-moi bien, Myriam, tu vas aller aux toilettes, et tu vas revenir, mais sans ta culotte.
Elle me regarde avec ses grands yeux, incrédule. Je suis passé au tutoiement et je souris toujours.
— Allez, tu aimes les situations surprenantes ? Les inattendus ? Et puis avoue que depuis bientôt une heure, tu es plutôt excitée... Je te propose juste de vivre quelque chose de surprenant qui va t’exciter encore plus, OK ? Tu vas aux toilettes, et quand tu reviens, tu as retiré ta culotte, c’est tout, pas plus, juste comme ça.— Putain, c’est fou, je vais jamais faire ça ! Je me balade pas sans culotte moi !... Vous êtes dingue.— Allez, tu vas aux toilettes, et juste tu en profites pour enlever ta culotte, rien de plus, et tu verras, ça va beaucoup t’exciter.
On est parti aux toilettes, chacun de son côté. Je suis de retour avant elle, j’ai une serviette de bain dans mon sac de linge, je la sors, elle est de couleur bleu marine, je la pose sur son siège, et j’attends son retour sur un muret. Je la vois sortir du bâtiment et... J’ai l’impression... Mais oui, je suis pratiquement certain qu’elle a... retiré son soutien-gorge ! Alors là, je suis bluffé, je crois que je bande instantanément, non seulement je me doute qu’elle a retiré sa culotte, mais en plus elle a libéré sa poitrine sous son pull. La salope...
On monte dans la voiture, elle n’a pas remarqué la serviette de bain apparemment, on s’installe, je lance le moteur. Avant de partir, je me tourne largement vers elle :
— Ouh, mais dis donc, tu as l’air d’être un peu stressée, Myriam. Allez, tu te détends, tu fermes les yeux, tu prends une grande inspiration... voilà, comme ça, tu souffles par la bouche... Voilà, tu vois, ça fait du bien, hein ?
Je profite donc qu’elle a fermé les yeux et s’est un peu relâchée, j’avance ma main droite et je la pose sur sa cuisse.
Surprise, elle pousse un petit cri, ouvre les yeux, met ses deux mains sur mon bras et resserre brutalement les cuisses. Elle ne dit rien, me regarde toujours avec ses grands yeux surpris. Elle essaye de retirer mon bras, mais je suis quand même assez fort pour qu’il ne bouge pas.
— Hum, Myriam, si tu veux que je retire ma main... Il faudrait que tu desserres les cuisses, tu vois.
Du coup, elle ouvre les cuisses, mais j’en profite immédiatement pour remonter un peu ma main, jusqu’au "gras de la cuisse", elle pousse à nouveau un petit cri qui ressemble quand même bien à un début de gémissement. Ses mains sont moins fermes sur mon bras, je redescends ma main en caressant doucement l’intérieur de sa cuisse.
— Tu as une peau très douce, Myriam.
Je retire ma main, j’en ai besoin pour conduire, même si l’avantage de la boîte automatique est qu’on n’en a pas trop besoin une fois qu’on a démarré. Je remets donc tout de suite ma main sur son genou en le caressant doucement, elle ne crie plus, reste passive, sa respiration s’accélère, et elle commence à gémir un peu, la tête en arrière. Je me suis engagé sur l’autoroute, je garde un maximum d’attention à la route, et ma main commence à caresser toute sa cuisse, elle serre compulsivement les jambes, mais le chemin reste ouvert. Après quelques minutes, elle me demande :
— Mais qu’est-ce que je suis censée faire moi, maintenant ?— Ah, eh bien, tu peux me demander d’arrêter... Ou baisser le dossier pour être plus à l’aise.
Elle hésite un peu, puis sa main droite part en exploration, trouve la molette et elle baisse le dossier, ce qui dégage largement son ventre et ses jambes. Je suis donc invité à continuer. Ma main va plus haut, j’arrive jusqu’à son entrejambe. Évidemment plus de culotte, lorsque je frôle ses lèvres, elle commence à vraiment gémir de plaisir, je lui dis quelques mots doux, que c’est bien, qu’elle est douce, je l’encourage. Je sens qu’elle n’est pas épilée, mais je perçois qu’elle est très excitée et qu’elle mouille déjà beaucoup. Mais sa jupe un peu raide me gêne encore pour aller bien plus profondément.
— Myriam, tu es une petite cochonne, tu n’as pas de culotte, tu mouilles comme une petite fille, et tu vas mouiller ta jupe. Tu devrais la remonter pour ne pas la salir...
Ni une ni deux, elle soulève son bassin et remonte complètement sa jupe, elle a d’elle-même dégagé sa foufoune et l’offre à mes caresses, elle garde les yeux fermés et gémit de plus en plus fort.
Je caresse maintenant sa chatte, glisse un doigt entre ses lèves, passe sur son clitoris que je sens nettement à la commissure des lèvres, puis je commence là entrer un doigt dans son vagin. Dans cette position de la main, je ne peux pas aller très profond, mais mon doigt est recourbé et je pense appuyer sur son point G que je repère à sa consistance. Myriam perd le contrôle, elle suffoque, geint, râle, se contorsionne autour de mon doigt et de ma main et je sens que son plaisir monte progressivement, mais sûrement.
Et puis elle cambre ses reins, soulève son bassin du siège, bloque sa respiration quelques secondes et soudain son orgasme explose et moi...
— Oh merde !
Myriam vient de gicler brutalement sur ma main droite. Je suis surpris, je retire ma main par réflexe, et deux autres jets de liquide sont projetés, elle vient "d’éjaculer" dans un énorme orgasme. Je regarde abasourdi ce qui vient de se passer, mais je reviens rapidement à la conduite, il ne faut pas déconner quand même. Je garde ridiculement la main droite dégoulinante au-dessus de Myriam, le tableau de bord est trempé, il y a des éclaboussures sur le pare-brise, la vitre latérale, la console centrale...
— Meeeerde !
Je me concentre sur la conduite. J’avais pris la précaution de mettre une serviette de bain sur le siège, mais je n’avais pas imaginé une inondation de l’habitacle par l’orgasme d’une femme fontaine. Je vois qu’il y a une aire de repos dans deux kilomètres, je vais devoir m’arrêter. Myriam semble être complètement dans les vapes, son ventre est parcouru de spasmes, elle a la tête tournée vers moi, ses mains pendent de chaque côté du siège, elle ne dit rien et respire fort, la bouche entrouverte. Une minute plus tard, j’ai essuyé ma main sur mon tee-shirt (eh oui), je me gare sur l’aire de repos le plus loin possible des autres voitures, et je regarde les dégâts. Eh bien, si j’avais pensé à ça !
Je me penche sur Myriam et lui fais des petits bisous. Elle ouvre les yeux, dit "Oooooh, putain..." elle pose une main sur son ventre, puis entre ses jambes, s’interrompt, se redresse brutalement et écarquille les yeux :
— Oh merde ! Qu’est-ce que c’est ? C’est tout mouillé... Oh merde, qu’est-ce qui s’est passé ?... Oh putain, c’est pas vrai, j’ai fait pipi ???
Je ris, mais non, je la rassure, je lui dis que ce n’est pas si grave, juste qu’elle a eu un énorme orgasme, mais elle ne comprend pas, et je comprends alors qu’elle ne sait vraiment pas ce qui s’est passé.
— Eh bien tu vois, tu as.
Effectivement je vois bien à son air ahuri qu’elle n’avait jamais connu ça. Je commence même à réaliser qu’elle n’a peut-être pas encore beaucoup d’expérience des plaisirs.
— Oh merde, je suis désolée... Mais c’est horrible, j’ai tout trempé dans votre voiture, oh je suis désolée, pardon, pardon...— Myriam, ne t’en veux pas, ce n’est pas grave, on va s’en sortir, ne t’inquiète pas, je vais essuyer.— Oh merde... Pardon, je suis désolée.— Allez, du calme... Écoute, tu vas aller aux toilettes, tu prends la serviette, je te donne du PQ, tu t’essuies, tu reprends tes esprits, et moi je sèche tout ça, ne t’en fais pas.
Elle sort de la voiture (en rabaissant sa jupe, qui a été épargnée par l’inondation), prend la serviette et se rend au bloc sanitaire. Je fais de mon mieux pour nettoyer et assécher, mais je suis abasourdi, il y en a partout, je n’ai jamais vu ni même imaginé une telle situation. Après quoi je vais m’asseoir à une table à l’arrière du bloc, il y a une famille qui retourne à sa voiture et va repartir quand Myriam ressort et vient vers moi. Je lui fais signe de s’asseoir à côté de moi sur la table, et aussitôt qu’elle est assise je me lève et m’assieds sur le banc, entre ses jambes. C’est un peu brusque, mais cela la maintient les jambes écartées et j’ai le visage à hauteur de sa poitrine, et je place mes mains sur ses hanches.
— Alors Myriam, je crois que si tu aimes les situations inattendues, tu es servie depuis ce matin, non ?
Mes mains passent sous son pull et caressent son dos, elle ne dit rien.
— Je te propose quelque chose... Si tu peux, tu décales ton séjour chez ta sœur, je t’invite à passer le week-end avec moi. Je pense qu’on pourrait vraiment passer un super week-end tous les deux. Tu en penses quoi ?
Elle semble réfléchir quelques secondes, pose ses mains sur ma tête, puis répond — D’accord, oui, oui, je suis d’accord.— Embrasse-moi.
Et elle m’embrasse avec un peu de brutalité, en serrant ma tête dans ses mains. Elle retourne à la voiture pour téléphoner à sa sœur, pendant que moi je vais... Hum... Eh bien pour tout vous dire je vais me "vider" aux toilettes, car là je n’en pouvais plus de bander comme un âne !
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