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Mystère dans le Léman.

Chapitre 1

Chapitre 1 : la routine… mais bientôt finie

Hétéro
Au bord du lac Léman, côté Suisse, il n’y a pas que des châteaux, des vignobles, des manufactures horlogères et le siège de multitude de multinationales. Ce lieu est aussi très connu pour ses vestiges du passé. En effet, les Romains y étaient très bien établis et faisaient commerce d’une rive à l’autre. Depuis peu, j’ai la chance d’étudier cette histoire qui me passionne tant. Diplômé d’histoire et d’archéologie, je passe mon temps à voyager de chantier à chantier, pour relever les découvertes éventuelles des ouvriers du bâtiment. La plupart du temps, rien de spécial ou pire, ces personnes me font déplacer pour un cimetière celte, mais je découvre des os de poulet... Au moins, je suis un peu payé pour ça.
Je m’appelle Martin, 27 ans, et j’habite dans la région Lausannoise dans un petit studio avec ma copine Kaya d’origine équatorienne. Nous sommes ensemble depuis cinq ans et, comment dire... nous nous emmerdons. Elle a tellement travaillé et donné pour pouvoir vivre une vie décente que je ne me vois pas la quitter à deux mois d’un permis de séjour définitif. Au début, nous étions inséparables. Nous pouvions parler de tout et de rien pendant des heures et lorsque nous étions “muet” c’était pour faire des galipettes dans le lit ou n’importe où. C’est en emménageant ensemble que les choses se sont compliquées. J’étais son premier copain et elle n’était absolument pas prête à partager ses repas, ses draps, son ennui et ses frustrations. Conséquence, quand je rentre du travail, nous nous saluons, petit bisou froid, manger puis Netflix.
Un matin avant d’aller chercher ma voiture de fonction, mon supérieur m’appelle pour me prévenir qu’un gamin a vu quelque chose sur le chemin de l’école. Cet enfant a prévenu un policier qui passait par là qui lui-même a fait remonter l’info. Il souligne bien de ne pas trop m’y attarder. C’est vrai que ce genre de tuyau qui passe par plusieurs mains avant d’arriver à mon oreille est souvent du temps perdu. Mais bon, c’est sur le chemin d’un chantier que j’inspecte, un petit crochet par là ne me décalera pas trop la journée.
Arrivé sur place, je rencontre le policier que l’enfant a prévenu. Un homme très sympa et agréable, je comprends que l’enfant s’est confié à lui.
— Bonjour, vous êtes Martin ? Sergent Chapelle enchanté.— De même, alors qu’est-ce que c’est cette histoire. Un enfant qui joue les Indiana Jones, lui dis-je sur le ton de la plaisanterie.— Pas loin, suivez-moi.
Me voilà intrigué, peut-être que la journée sera un peu plus intéressante. Le sergent me guide jusqu’au bord du lac.
— L’enfant m’a dit qu’il cherchait un raccourci pour passer en travers de cette grosse propriété.— Vous lui avez dit de ne plus faire ça j’espère.— Pas du tout, les rives du lac sont publiques, malgré tout ce que ces riches autour de nous croient. Et regardez-moi cette baraque, elle est dans cet état depuis des lustres. Plus grand monde doit s’y occuper.
Le sergent n’avait pas tort. Je me demandais d’ailleurs pourquoi la municipalité ne l’avait pas encore rasée.
— Et voilà nous y sommes.
Il me montre du doigt un trou dans la terre. Un peu surpris, je me tourne vers lui :
— Un trou ? C’est plutôt aux services communaux de se charger de le reboucher.
— Regardez d’un peu plus près.
En m’approchant, je remarque que le trou est entouré d’un rebord assez marqué. J’arrive assez vite à une conclusion, ce détour au bord du lac m’a maintenant mis en retard pour l’inspection du chantier.
— C’est qu’un vieux puits, il faudra faire le nécessaire pour qu’il soit rebouché.— Bon s’il faut vous prendre par la main.
D’un coup sec, il me prend par la main et me tire vers le côté sur du trou. Il me fait soudainement un peu peur.
— Et voilà monsieur.
Il enlève un bon morceau de mousse et découvre que ce puits est formé de pierres empilées. Je me retrouve scotché.
— Putain ! lance-je.— Vous voyez.
Ces pierres qui pouvaient sembler ordinaires pour le commun des mortels étaient potentiellement la plus grande découverte archéologique du canton. En effet, on trouve ce genre de construction chez les peuples précolombiens d’Amérique du Sud ; pas de ciment, pas d’homogénéité, mais des pierres qui s’emboîtent parfaitement les unes sur les autres.
— La dernière fois que j’ai vu quelque chose de similaire, dit l’agent, c’était lors d’un voyage en Bolivie et Pérou. On avait vu le machu pichu...— Je vois bien oui ça y ressemble fort, mais il faut rester sur terre. Tant qu’on a pas daté et fouillé plus en détail, il est possible qu’un amateur ait voulu copier la technique.— Vous êtes assez impatient, monsieur l’historien.
Il sort sa lampe de poche et éclaire dans le trou. Je m’approche et il me dit :
— Ça par contre, j’ai vu pratiquement le même à Tihunacu.
Je distingue à peine une forme, comme une statue. L’agent replace un peu sa lampe et je manque tomber à la renverse. C’était un monolithe monstrueux.
— Vous avez une échelle ou je vous fais venir les pompiers ?
C’est certainement la chance de ma vie. Je ne peux pas le dire d’emblée à mon patron, avec mon peu d’expérience, le projet me passerait à la barbe et je retournerais au chantier. Mais je ne peux pas non plus rien dire. Je me tourne vers le policier et lui explique :
— En dix vies d’archéologue, vous ne trouverez pas d’opportunité pareille. Si je transmets l’info à mon boss, je ne reverrai sûrement jamais ce trou.
Le policier me regarde longuement, fait un sourire et me tend la main. Je la lui serre et il me dit :
— Je m’appelle David et je m’apprête à contourner la loi pour vous, alors faites pas le con.— Merci David, j’apprécie.— Trouvons ce que nous allons dire à nos hiérarchies.
Nous élaborons une stratégie afin de pouvoir explorer le site qui, après avoir été mis en application, a marché du tonnerre. Cependant, David qui doit partir s’il y a la moindre urgence a demandé à son chef l’assistance d’un officier junior. Ils lui ont répondu par l’affirmative et nous enverrons dès demain matin quelqu’un qui finit l’école de police de Savatan.
Maintenant que nous nous sommes équipés d’une échelle, nous descendons. Le monolithe paraît encore plus énorme de face. Il n’y a pas beaucoup d’espace autour de lui, mais quelques gravats dans un coin laissent à penser qu’il y a ou avait un passage. David se met à genoux et commence à creuser à la main. De mon côté, j’observe le monolithe et prends quelques photos avec mon téléphone, en attendant d’avoir mon boîtier pro. Les inscriptions ressemblent en effet à ce que l’on trouve en Amérique latine. Vu l’origine de ma copine, je pense que cette histoire va lui plaire, ça nous donnera en tout cas un bon sujet de conversation.
La fin de service de David approche. Nous décidons de partir. Quand nous voulons positionner l’échelle pour remonter, mon pied bute sur un objet, je le ramasse.
— David ? Regarde ça.— C’est quoi ?— Un biblo... en tout cas c’est étrange, ça a tout de la pierre, du jade ou quelque chose comme ça, mais c’est léger comme de l’alu.
Je le tends à David.
— En effet, c’est fou. Regarde, il y a comme des gravures sur ce côté, on dirait des genres de divinité, et là comme un cercle bizarre.— Il vaut mieux que je le prenne. Je regarderai ça de plus près ce soir.— Ne le perds pas, dit David avec un petit sourire.
Sur le chemin du retour, je me sens émoustillé de parler et de montrer ma découverte à Kaya. Me voici d’ailleurs arrivé :
— Coucou Kaya !— Salut Martin, elle ne quitte pas son écran d’ordi pour me le dire.— Il m’est arrivé quelque chose de dingue aujourd’hui qui devrait t’intéresser.
Elle souffle un coup, sûrement que son travail de master est plus passionnant, mais fait un gros effort pour lever la tête et écouter ce que je vais dire.
— Ah bon, lance-t-elle doucement ?
Pendant une heure, je lui raconte tout. Et, incroyable, elle est scotchée à mon histoire. Elle a un beau sourire, rebondit sur des passages, rit, bref je la tiens. Je lui montre quelques photos et films sur mon téléphone, elle dit :
— Joder, j’hallucine... c’est irréel. Il en dit quoi ton boss ?— J’ai pas dit grand-chose pour pas que le chantier me passe sous le nez, mais suffisamment pour que moi et le flic restons en tout cas toute la semaine. — Wow, j’aimerais trop voir ça.— Attends, t’as pas tout vu.
Elle me regarde intriguée en train de fouiller dans mon sac. Je sors le biblo étrange.
— C’est pas vrai t’as piqué un truc ? s’exclame-t-elle avec son accent latin.
J’allais dire un truc un peu ballot genre : "j’ai pris parce que c’était la fin de la journée, mais je le ramène blablabla..." mais je lui dis toute autre chose :
— Je me suis dit que ça te ferait plaisir.— Ohhhh, me sort-elle avec un regard attendrissant.
Chose incroyable, elle s’approche de moi et me fait un bisou très sincère sur les lèvres. J’ai l’impression de retomber sous son charme.
— Tu es trop mignon ! Mais tu as pas le droit de le prendre, tu le ramèneras.
Elle pose l’objet sur la table basse.Pendant une seconde, nous faisons silence. Je la contemple rapidement et la vois comme pour la première fois ; ses charmants longs cheveux noirs d’une profondeur que seuls les Amérindiens ont, son teint de peau foncé, mais beaucoup moins que le reste de sa famille, ses jambes qui paraissent étonnamment longues par rapport à sa taille (1m58), ses fesses et seins parfaitement bien proportionnés.
Je redescends sur terre et reprends l’objet :
— Tu as vu ce détail à côté de la cette tête gravée ?— Ce cercle ?— Oui, il sort un peu de nulle part par rapport au reste.
Elle me le prend des mains, regarde d’un peu plus près et appuie sur le cercle. Celui-ci s’enfonce et un bref jet de poussière très fine sort de la bouche de la figure divine. Nous avons tous les deux un sursaut et regardons, surpris, cette poudre se diffuser dans l’air. Après un moment de silence, nous nous regardons dans les yeux et nous nous collons les lèvres sauvagement.
Les vêtements volent, je m’allonge sur elle dans le canapé. Nos langues se caressent intensément. Je ne sais pas ce qui se passe, je me sens dans un état second et quelque chose me dit que Kaya est dans le même état. Nos vêtements volent dans la pièce à une vitesse dingue. Je n’en peux plus, il faut que je passe à la vitesse supérieure. Je prends mon sexe en main afin de le guider dans la vulve de ma tendre, mais elle me repousse brutalement, me serre le cou avec ses deux mains jusqu’à ce que je me retrouve assis sur le canapé. J’ai peur et je suis complètement excité. Elle me regarde dans les yeux avec un air sauvage très sexy et elle s’enfonce sur mon sexe d’un trait. Elle me chevauche sans ménagement agrémenté de gémissement sincère. Je lui agrippe ses fesses, les pétris tout en l’accompagnant dans ses mouvements. Elle va de plus en plus vite, je sens littéralement des gouttes de sa sueur me couler sur le torse, moi même je suinte très abondamment.
Après cinq à dix minutes d’effort, Kaya commence à crier de plus en plus fort. Je décide de mettre fin à son marathon. Je la pousse violemment sur le canapé, la retourne et la prends en levrette. A ce moment, je me déchaîne, j’ai même de la peine à me reconnaître, mais j’aime la personne que je suis. Kaya part dans un orgasme, je le sens à travers ses mouvements de vulve et ses tremblements. Elle ne tient plus sur ses genoux et s’effondre sur son ventre. Me sentant encore bien parti, je n’ai pas l’intention de m’arrêter là et reprends mes va-et-vient. Mais Kaya en décide autrement :
— Attends, Martin attends, dit-elle doucement dans une voix d’après effort.
Je m’arrête un peu interloqué et un peu déçu. Elle cherche de sa main gauche son sac à dos qui est contre le canapé et sort un vibromasseur. Je suis un peu surpris, je ne savais pas qu’elle en avait un et je le suis d’autant plus que je ne sais pas ce qu’il va se passer maintenant.
Elle m’attrape la base du pénis et le retire de sa vulve et, comme de rien, se l’enfonce dans l’anus. Comme dans du beurre, il n’y a pas la moindre résistance. Elle commence à faire des mouvements de bassin afin que je recommence ma besogne. Je ne me fais pas tarder, c’est extrêmement agréable. Kaya allume les vibrations de son jouet et se l’enfonce dans sa vulve, réduisant encore la dimension de son canal anal. Nous sommes repartis dans un festival de cris et de bestialité.
Après plusieurs dizaines de minutes, je finis par décharger dans son anus. Elle a eu au moins trois orgasmes. Nous nous effondrons l’un contre l’autre pendant bien une demi-heure sans parler, sans la moindre tension dans le corps.
C’est Kaya qui coupa le silence en premier :
— Compte pas sur moi pour cuisiner ce soir !— Perso, je bouge pas de là.
Elle a un petit rire attendrissant.
— Passe-moi s’il te plaît mon téléphone. Merci ! Sushi ça te dit ?
Avec plaisir.
— OK c’est commandé... oh !— Qu’est-ce qui se passe ? demande-je interloqué.— Il y a un délai de quarante-cinq minutes avant la livraison.
Elle jette tout simplement son téléphone au sol puis se met sur moi avant de me lécher le cou. Elle descend vers mon ventre et finalement sur mon sexe. Sa fellation est à l’image de notre session de tout à l’heure ; sauvage. Sa salive, ou plutôt sa bave, dégoulinant de partout. Elle ne se soucie même pas que ma tige était, il y a peu, et pendant plusieurs dizaines de minutes, dans son anus.
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