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Nadège, future ex-belle-mere

Chapitre 1

1st baise

Hétéro
Bonjour, je vais vous raconter une petite histoire coquine qui m’est arrivée en 2010 quand je vivais à Lyon. Pour l’histoire, les prénoms ont été changés. Je n’ai pas mis de dialogue, car je ne me souviens pas en détail de tout ce qui s’est dit. J’espère que ça va vous plaire. Donc moi je suis Franck, j’ai aujourd’hui 41 ans et à l’époque, j’en avais 30. Je suis ancien militaire et à l’époque, j’étais infirmier urgentiste l’hôpital de la tronche à côté de Grenoble. Je fréquentais à l’époque une nana de 5 ans plus jeune, Vanessa qui finissait ses études à l’hôpital. Elle avait été élevée par sa mère et n’a jamais connu son père. Bref ça se passait bien entre nous au lit, classique elle était vierge et ne voulait pas sucer ni de sodo. Par contre dans la relation, elle était particulièrement chiante et jalouse. Elle pensait que dès qu’elle avait le dos tourné, je la trompais avec d’autres nanas.
Mais c’était bien sur faux, car je suis bi et je me faisais aussi bien des nanas que des mecs, voire des couples, mais ça elle ne l’a jamais su. ;)Bref la vie continuait son train. Vanessa dont la mère habitait Lyon était assez anxieuse, car sa mère qui vivait seule faisait de la dépression et avait dans le passé des soucis d’alcool. À un moment donné en 2009, on a demandé tous les deux une mutation sur Lyon pour nous rapprocher de sa mère. Mais à la grande surprise, j’étais le seul à obtenir un poste à l’hôpital Herriot. Bref entre 2009 et 2010, nous vivions en célibataire géographique, ce qui créait pas mal de tension. Cela dit, j’avais beaucoup de temps libre et Lyon est réputée comme place libertine. Un jour, je reçois un message de ma nana qui me demande de la rappeler et quand je le fais, elle pleurait, car sa mère n’allait pas bien. Elle avait peur qu’elle rechute en dépression et tralala. Bref pour la rassurer, je lui propose de passer la voir de temps en temps.
Vanessa a été un peu surprise, mais elle a accepté. Moi de mon côté , je n’avais aucune arrière-pensée. Sa mère Nadège qui avait la cinquantaine n’était pas vraiment attirante. 150 centimètres 45/50 kilos. De tout petits seins un peu en gant de toilette, les cheveux avec une coupe des années 80. Et en plus chose que je ne supportais pas elle fumait. Après je dois dire que je m’entendais bien avec elle et on rigolait bien. Elle était bien plus détendue que sa fille. Bref le soir même après le taf, je l’appelle. Elle est un peu surprise, je lui dis que je dois passer voir un truc dans le 7eme et que si cela lui dit, je peux passer la voir. Elle aussi est un peu surprise, mais accepte. Vers 19h, je sonne et elle m’ouvre. Comme à son habitude, elle est en survêtement et tee short. On se fait la bise et elle m’invite à rentrer. Elle me propose un café, mais je lui demande un verre d’eau simplement et on papote de tout et de rien.
Il y avait une sorte de gêne dans l’air qui s’évanouissait au fil de la discussion.
Et je voyais qu’elle se détendait de plus en plus. Vers 20h, elle me demande si je veux rester pour manger un bout avec elle, mais je lui propose d’aller manger dehors. On était fin juin. Elle refuse à force d’insister, elle accepte et me fait comprendre que ça la gonfle de s’habiller. Je lui propose de lui offrir le resto si elle s’habille pour sortir et qu’elle m’accorde le droit d’être accompagné d’une belle femme pour aller au pizza Pino à Bellecour. Elle savait bien que je rigolais, mais cela lui a fait plaisir. Je pense qu’elle ne doit pas en recevoir beaucoup de compliments. Elle disparaît dans la chambre et ressort 30 min après habillée, un jeans moulant d’un top échancré et des bijoux fantaisie. Je dois reconnaître que pour la première fois, je l’ai trouvée attirante. Faisant encore jour et le temps beau, on y va à pied. Il y avait 4 ou 500 mètres à faire. Elle habite vers la Guillotière pour ceux qui connaissent. Au resto on s’installe dans un angle et on continue de parler.
Je vois que cela lui fait plaisir d’être accompagnée et de sortir. On parle de tout et de rien et au bout d’un moment, je lui demande comment cela se fait-il que Vanessa ne connaisse pas son père et elle me raconte que plus jeune, elle a toujours été attirée par les hommes mariés dont un l’a mise enceinte, mais qu’il n’a pas voulu assumer. Bref une triste histoire. Du coup, elle m’a demandé comment cela se passait avec sa fille. Parlant à cœur ouvert, je lui ai dit que je l’aimais beaucoup, mais que je ne savais pas si cela allait durer, car au lit ça devenait routinier. Pour vous décrire Vanessa, elle faisait 160 centimètres pour 60 kilos, physique banal et cheveux noirs, mais ce que j’aimais chez elle, c’est qu’elle mouillait énormément. Un cunni et plus soif. Et qu’elle jouissait très vite et plusieurs fois d’affilée. Elle avait un clito bien plus gros que la normale. Et faisait la taille d’une noisette une fois gonflé. Quand on a couché la première fois ensemble, elle était vierge.
Mais aussi qu’elle n’a jamais voulu me sucer chose que j’adore et elle voulait toujours une capote. La sodo n’en parlons pas. En mangeant, j’ai commandé une bouteille de vin blanc et même si je savais que Nadège avait des soucis de contrôle avec l’alcool, elle faisait attention. Plus le repas avançait plus la discussion devenait intime. Alors je lui ai dit tout sur sa fille. Elle a été surprise d’après qu’elle était vierge. Et a semblé ne pas comprendre qu’à son âge elle ne veuille pas tenter toutes les facettes du sexe. Elle s’est même laissée à me raconter ses dernières rencontres, etc. Et l’ambiance devait de plus en plus coquine et je vois que cela amuse et émoustille Nadège. Plus le repas avançait plus je voyais aussi que l’alcool faisait effet. Vers 22h quand on quitta le resto pour rentrer, Nadège avait du mal à marcher et le l’ai prise par la taille pour l’aider. Elle sentait le vin, mais aussi le parfum. Et arrière-fond de cigarette.
Sur le trajet qui devait durer quelques minutes, mais semblait plus long à cause de sa démarche, il se met à tomber des cordes et une fois qu’on arrive à l’entrée de l’immeuble, elle somnole presque et on est trempé. J’ouvre la porte f entre de l’immeuble et voyant son état décide de la porte sur les deux étages à monter. Chose que je fais facilement faisant 182 centimètres pour 95 kilos. Je ne comprends pas trop son état, elle n’a bu que deux verres. Je la rentre dans son appartement et la pose sur le canapé pour aller lui chercher une couverture. Dans sa chambre que j’avais juste entrevue en passant dans le couloir, je cherche et je trouve des médicaments sur la table basse. Étant dans le médical, je sais qu’il s’agit des anti-dépresseurs et qu’avec l’alcool, l’effet est traitre parfois. Ce qui expliquerait son état. J’ouvre un tiroir et je tombe sur 2 ou trois sex toys qui semblent usés et utilisés. Cela me fait sourire, car Vanessa ne voulait pas en entendre parler. Si elle savait pour sa mère.
Bref, je ferme le tiroir et je retourne au salon où elle est toujours sur le fauteuil et essaie de défaire ses escarpins. Je la recouvre avec le plaid et je me mets à ses pieds pour défaire ses chaussures. J’en profite pour lui caresser et masser les pieds, ce qui lui fait du bien au vu des gémissements, elle me dit merci avec une voix suave. Je me relève et l’aide à se relever pour l’amener à sa chambre. Je la tiens par la taille pour qu’elle ne tombe pas et une fois dans la chambre, j’ose me coller à elle et lui dépose un baiser sur le cou. Elle fond littéralement et se laisse tomber contre mon torse. Elle a froid et sa peau encore mouillée est glacée. Je lui enlève le plaid et commence à lui enlever son haut doucement. Je vois qu’elle exerce une pression sur ma main pour me dire non, mais je sens bien aussi qu’elle en a envie. Et me laisse faire contre un deuxième baiser et quelques léchouilles sur le cou.
Une fois le haut enlevé avec son soutif qui est venu avec, je la retourne et la repousse contre la commode. Ses seins sont contre mon ventre et sa tête est contre mon torse. Mes mains remontent pour les caresser. Quand elle me dit qu’on ne devrait pas, qu’elle ne veut pas faire ça à sa fille. Je fais mine de m’arrêter et je la regarde profondément dans les yeux. Cela semble durer une éternité et nos lèvres se rapprochent de cm en cm jusqu’à rentrer en contact un peu retissant au départ, le doux baiser se transforme petite à petit en torride combat de langue. Sens qu’elle frotte son entrejambe de plus en plus fort sur la bosse que forme ma queue bandée dans mon pantalon, et j’en peux plus fait que je la baise. Je la soulève et l’assois sur la commode et lui arrache littéralement son jeans. Elle est le quasi nu en tanga, les jambes encerclant ma taille et sa bouche collée à la mienne. Elle le caresse le buste et j’en profite pour retirer mon tee-shirt humide.
Elle défait ma ceinture et le bouton de mon pantalon, mais la position n’est pas simple pour la suite. Je me recule et j’enlève mon pantalon que je jette sur le lit. Je l’attrape le visage fermement de la main droite, l’attire à moi et lui bouffe la bouche. Ma main gauche passe sur son cul et le soulève de la commode. Je fais un 180 et la jette sur son lit. Elle se rassoit et je m’approche pour lui présenter ma queue devant le nez. La seule chose qui sépare son souffle chaud de ma queue bandée c’est le tissu de mon boxer. Elle frotte son visage sur la bosse et tire d’un coup sur l’élastique. Libérant ma queue qui vient, je posais sur son visage. Je n’ai pas une bite énorme, mais elle est respectable. 17/4cm. Mais vu son petit visage, ce lui couvrait entièrement le visage que je biffle lui provoquant un sourire. Elle commence par me lécher et caresser mes couilles, pour remonter le long de la colonne de chair jusqu’au gland. Elle attrape ma queue à pleine main et rentre le gland dans la bouche.
C’est divin. Elle commence à me sucer comme une morte de faim. Tellement goulu que je sens la bave me couler sur les couilles et les cuisses. Au bout d’un moment, sort de sa bouche et je finis de m’enlever le reste des vêtements, elle reste en petite culotte. Assise sur le lit. Je viens me poser sur son lit assis contre la tête de lit, la queue dressée et elle se pose entre mes jambes et continue à me sucer. Je kiffe grave et je lui dis que si elle continue, j’allais gicler. Elle relève la tête, le menton plein de bave et me dit vas-y, ça fait longtemps que je n’en ai pas eu en bouche, ça fera mon dessert !! A ce moment-là, je lui attrape la tête et je fous ma bite au fond de sa gorge. Pendant qu’elle me bouffe la queue, j’entends un son de notification de mon tel je le prends et je vois un message de Vanessa qui me dit :- alors ? Comment ça s’est passé avec ma mère ?Je lui réponds.- bien je pense que ça lui a fait du bien.
Je te raconte demain je vais me coucher demain j’attaque tôt.- merci je suis contente que tu t’occupes de ma mère !!et comment je vais m’en occuper. Je pose le téléphone et je lui baise la bouche jusqu’à sentir le jus monter. Je me crispe, je lui maintiens la queue au fond du gosier et je lâche plusieurs jets de foutre en fond de gorge. Elle suffoque, tousse, mais n’en perds pas une goutte. J’ai fini de jouir et je débande doucement. Je lui caresse les cheveux et elle vient se mettre en perpendiculaire pendant qu’elle nettoie mon chibre. J’en profite pour lui caresser le dos et passer la main dans son sous-vêtement. J’insinue mes doigts dans sa raie et malgré une pilosité plus que touffue, je sens que ça coule littéralement. Je sais de qui Vanessa tient cet attrait ! Je commence à la doigter et lui introduire mon pouce dans le cul. Je l’entends gémir même si ma demi-gaule suffoque le bruit. Je me dis ce que la fille me refuse, la mère va me donner.
Je pousse mon pouce en entier dans son anus et fais des va-et-vient avec mon majeur et mon annulaire dans sa chatte trempée dans un bruit de clapotis. De son côté, elle s’occupe de mes burnes qu’elle lèche et gobe. Et commence à jouer avec ma rondelle. J’ouvre plus les jambes pour lui laisser accès et elle glisse un doigt dans mon cul également, ce qui a le don de me faire rebander directement. Devant l’effet immédiat, elle me reprend en bouche puis me regarde et me dis baise-moi. Elle retire ses doigts de mon cul et se positionne en levrette sur le lit. En carrure elle fait la moitié de moi. Je lui arrache son sous-vêtement qui est trempé de sécrétion intime. Je me positionne derrière elle et je frotte mon gland entre ses lèvres qui s’écartent. J’ai l’impression que ma queue est inspirée en elle quand elle pousse son bassin vers moi pour faire rentrer ma queue en elle. Une fois au fond, elle pose son buste sur le lit et vient écarter ses fesses avec ses mains.
Je vois sa rosette qui palpite. Et ça me rend fou. Je lui attrape les poignets et je commence à lui mettre de grand coup de boutoir. Je lui démonte la chatte littéralement. Je sens mes couilles se balancer et taper contre son pubis. Je lui prends les deux poignets d’une main et en la besognant, je lui glisse un puis deux doigts dans le cul. Je sens la pression sur ma queue à travers la paroi qui sépare son vagin de son rectum. Elle gémit la tête enfoncée dans les draps. Après un moment, je retire mes doigts et m’arrête un peu pour prendre un des godes que j’avais vus dans sa table de chevet. Je retire ma queue de sa chatte et j’y insère le gode que j’allume en vibration. L’effet est immédiat. Sa main que j’avais lâchée vient prendre le gode et prend le relais se le mettant et le sortant à toute vitesse. De mon côté, je place mon gland sur sa rosette et je presse doucement, mais continuellement. D’un coup mon gland est comme happé par son sphincter.
Et ma queue reprend sa progression dans son cul pas si serré que ça. Elle doit y mettre ses godes. Je l’attrape par la hanche et la sodomise de toutes mes forces. Je sens les aller-retour du gode dans sa chatte. Elle jouit deux fois, lâchant à chaque fois du liquide vaginale sur les draps, mais je ne lui laisse pas de répits. Au bout de quelques minutes, je lui dis que je vais gicler. Elle se jette en avant, ce qui fait sortir ma queue de son petit trou. Elle se retourne et vient me re-sucer comme une furie avec la gode toujours dans sa chatte. Je m’allonge et relève mes jambes pour lui faire lécher mon anus. Ce qu’elle fait sans rechigner. Je sens sa langue qui lèche et pénètre mon anus qui se relâche au rythme de ses assauts, c’est top, mais d’un coup alors que je prends mon pied, elle sort le gode de sa chatte et me le rentre d’un trait en moi et en même temps gobe ma queue en gorge profonde. La surprise, la sensation, la prise d’initiative et la chaleur de sa gorge me font exploser en elle.
J’ai l’impression de pisser dans sa gorge tellement je gicle. Un mélange de sa bave et ma semence coulent le long de ma bite sur mes couilles jusqu’à mon cul toujours écarté par le sex-toy qui vibre et tournoi en moi. Nadège lâche ma queue et son visage recouvert de sueur, bave, de sperme et de maquillage vient sur moi me rouler une pelle. Je reconnais le goût de mon propre sperme sur sa langue. Elle gémit et se blottit contre moi. Elle me demande si je n’ai pas eu mal ? Je lui dis que non que ce fût top. J’ajoute que ce n’est pas la première fois que je mords l’oreiller. Elle me sourit et viens m’embrasser à nouveau. Je retire le sex-toy de mon cul, et on reste comme ça, collés l’un l’autre, recouverts de sécrétions. Et on s’endort. Ce fut la première fois avec la mère de ma copine, mais pas la dernière et 4 mois d’intenses parties de baise sans modération et sans limite. La meilleure période de ma vie sexuelle ou j’ai goûté avec elle a plein de choses.
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