Loin d’être une tenue classique, c’était un véritable appel au viol. Assez court, il dévoilait plus de la moitié des fesses, et s’arrêtait juste au dessous de son minou. Au moindre geste, Christelle offrirait toute son intimité à la vue de sa cliente. Quand au haut, il ne cachait quasiment rien, un seul bouton retenait l’ensemble. Et encore, placé au niveau du nombril, et semblant ne tenir que par miracle, ses seins étaient encore plus mis en valeur, et pour un rien, le peignoir s’ouvrirait totalement. — Comme tu peux le voir, il suffit que ta cliente tire un peu sur un des pans, et tu comprendras alors aisément qu’elle préfère te voir sans rien. Malgré ces petits détails qui auraient pu la choquer avant, Christelle était fière de s’exhiber dans cette tenue. Elle me stupéfiât même, en me demandant de la prendre en photo ainsi vêtue. Le deuxième cadeau fut ouvert aussi promptement que le premier. Il contenait cinq sexe-toys de formes, et de diamètres différents. Nous n’en n’avions pas encore, et Christelle qui n’en n’avait vu qu’en photo, s’empressa de les prendre dans ses mains. Avide de détails, elle demanda à Nadia comment ils fonctionnaient, et comment s’en servir. J’étais de plus en plus abasourdi par l’attitude de Christelle. Elle, si timide, ne semblait avoir qu’une hâte : les essayer tour à tour. Nadia était aux anges, de voir la prude Christelle devenir en si peu de temps, aussi délurée. Elle ne se priva pas de lui vanter tous les avantages de chaque jouet, et les plaisirs que chacun pouvait lui apporter. Lorsque Christelle fut rassasiée de renseignements, Nadia proposa de passer aux travaux pratiques. Elle se dévêtit promptement, et s’allongea à son tour sur la table. — Tu vas commencer directement par ma poitrine. Précisa Nadia en tirant sur le peignoir de Christelle. Celle-ci avait bien retenu la leçon. Elle le retira lentement pour faire durer le plaisir, et le posa ensuite sur un meuble à côté d’elle. — Continue tes photos. M’indiqua-t-elle. Christelle s’approcha de Nadia, et plaça directement ses mains sur les seins de Nadia. La « cliente » glissa une main entre les cuisses de sa masseuse. Toujours réceptive aux conseils prodigués, elle écarta assez largement les genoux.
— C’est bien. L’encouragea Nadia. Tu apprends vite. Les caresses de Christelle commencèrent à porter leurs fruits, les bourgeons commencèrent à éclore tranquillement. Comme elle le faisait lorsqu’elle se caressait devant moi, Christelle s’attaqua franchement aux pointes déjà bien dressées. Nadia lui donna nouvelle directive. — Continue avec ta langue. Comme si les désirs de Nadia étaient des ordres, la langue de Christelle se posa sur ces mêmes extrémités. Elle les câlina un long moment, prenant bien soin de ne pas faire de jaloux entre eux. Sa langue semblait n’avoir fait que cela durant toute sa vie. Elle les suça, téta, lécha, et mordilla jusqu’à ce qu’ils soient durs comme du béton. — Il serait temps que tu descendes plus bas à présent. Enchaîna Nadia. La langue de Christelle entreprit une descente vers le nombril. Masseuse consciencieuse, elle ne laissait pas ses mains inactives, une d’entre elles repris les câlineries sur les seins, tandis que l’autre découvrait la douceur des cuisses de Nadia. Les mains de cette dernière n’étaient pas restées inertes non plus. Ou plus particulièrement ses doigts, dont un des deux plus grands représentants avait trouvé une belle cachette dans l’intimité de Christelle. Celle-ci avait d’ailleurs du mal à rester concentrée sur son ouvrage, tant la dextérité de Nadia était grande.Voyant cela, Nadia avait laissé tomber un peu la pression. C’était elle qui venait pour du plaisir, et non Christelle. En parlant de plaisir, Nadia sentait monter le sien, elle reprit ses directives sans détour. — Ta bouche sur mon minou. Christelle plaqua ses lèvres juste sous le Mont de Vénus de Nadia, et commença à l’embrasser et à la suçoter sans retenue. Vraiment je ne reconnaissais plus ma Christelle, ce n’est pas possible, ce devait être une autre Christelle que j’avais devant moi ! Sa langue finit par pénétrer plus profondément, et s’activa au rythme imposé par Nadia. Celle-ci la guida un moment, puis la laissa se débrouiller seule. Sa tête montait et descendait en cadence, la langue bien pointée en avant, comme si c’était un sexe d’homme. Mais je connaissais bien la préférence de Nadia, je savais que ce petit jeu ne durerait pas longtemps. En effet, Peu de temps après, Nadia retint la tête de Christelle, en lui disant : — Attends une seconde que je change de position. L’instant d’après, Nadia était à quatre pattes, les genoux très éloignés l’un de l’autre, et la poitrine collée sur la table de massage. — Reprends où tu avais arrêté. Lui dit-elle. Sans être troublée par cette demande, Christelle se remit à la tâche. Elle planta à nouveau sa langue dans le lieu qu’elle venait de quitter l’instant d’avant, et reprit son manège. Nadia la laissa faire une nouvelle fois, avant de l’interrompre peu de temps après. — Maintenant, je veux que ta langue remonte entre mes fesses, et visite mon petit trou, c’est ma caresse préférée. Christelle, qui marqua un léger temps d’arrêt, fut choquée par cette demande si particulière, et continua comme si elle n’avait rien entendu. — Tu es sourde. Grogna Nadia. Continue plus haut. Christelle fit l’ignorante, mais s’activa avec plus d’ardeur sur le petit bouton de Nadia. — Je te rappelle que la cliente est reine, alors dépêche-toi avant que je me fâche. Christelle ne pouvait plus refuser à présent, elle plaça enfin la pointe de sa langue à l’endroit désigné. — C’est bien. La loua Nadia. Mais câline le bien, et ensuite tu la feras entrer plus profondément. Christelle se résigna, et obéit aux injonctions de sa cliente. Sa langue tourna tout autour du petit orifice, et entreprit de le pénétrer. Nadia lui donna un nouveau conseil : — Mets tes mains sur mes fesses pour les écarter, ta langue entrera plus facilement Elle fit ce que Nadia lui demandait, et fit entrer sa langue le plus profondément possible. Ses lèvres étaient à présent collées tout contre le postérieur de Nadia. — Fais la bien explorer tous les recoins, je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps. Moi qui la connaissais bien, j’avais remarqué que Nadia était prête à exploser depuis un moment, et qu’elle faisait tout pour contenir son plaisir. Mais son plaisir passait aussi par la dégradation morale de Christelle, et elle ne se lâcherait que lorsqu’elle aurait obtenu ce qu’elle voulait. A ces mots, Christelle sentant venir la fin de son calvaire, se déchaîna comme elle ne l’avait jamais fait jusqu’à maintenant. Je voyais sa tête tourner au même rythme que sa langue, et pour mettre fin plus rapidement à sa souffrance, elle lança directement ses mains en avant, l’une sur les seins, et l’autre sur le minou de Nadia. En moins d’une minute l’affaire fut entendue, Nadia se libéra bruyamment du trop plein de plaisir qu’elle contenait. Quelques secondes après avoir repris ses esprits, elle se releva, attira Christelle contre elle, et l’embrassa amoureusement. Et pour mieux lui montrer son contentement, elle plaqua sa main sur le bas ventre de Christelle. Experte en caresse féminine, elle alla droit au but. Son majeur s’activa comme un vrai pro, et trouva vite sa proie. Christelle, excitée par tant d’émotions, parvint à la jouissance en un rien de temps. Ce n’est que lorsque cette dernière eut bien manifesté son allégresse, que Nadia cessa son baiser. — Tu es une vrai pro maintenant. Lui annonça-t-elle en guise de remerciements. — Tout ceci, c’est grâce à Joshua. Ajouta-t-elle. Il serait peut être temps de le remercier comme il se doit.
Et pour bien lui faire comprendre ce qu’elle attendait, elle lui appuya sur les épaules, jusqu’à ce qu’elle soit à genoux devant moi. Christelle, qui ne me refusait jamais ce genre de plaisir, reçut le message cinq sur cinq. En un rien de temps, ses lèvres m’aspirèrent goulûment. Depuis les premières photos, j’ai cru que j’allais me lâcher dans mon pantalon, comme un adolescent lors de son premier baiser.Aussi, Christelle n’eut pas besoin de beaucoup de temps, pour me prouver son amour. Ce n’est qu’une fois tout mon plaisir dégusté, qu’elle se releva pour me remercier de cet après-midi. Nadia en avait profité pour prendre quelques photos supplémentaires. — Ce n’est pas tout à fait fini. Prévint Nadia. Je vais te masser à mon tour, tu verras ce que tu pourras également faire avec tes clientes. Christelle s’allongea à son tour sur la table de massage. Nadia s’approcha d’elle, lui prit les pieds, lui écarta les jambes, et les éleva presqu’à la verticale. Après avoir admiré le tableau quelques secondes, elle plongea la tête en avant, à la pointe du triangle. Lui ayant bécoté sa fente intime quelques instants, c’est sa langue qui prit immédiatement le relais. En vrai connaisseuse, elle ne mit pas longtemps à mettre Christelle en transe. La langue curieuse laissa la place au premier vibromasseur, un modèle tout à fait ordinaire. Le gadget vibrant parcourut chaque recoin, s’attardant plus particulièrement sur le petit bouton sensible. Tout en continuant son travail d’excitation, Nadia lança à présent sa langue sur le petit trou plissé à peine plus bas. Lui aussi eut droit à une exploration profonde et minutieuse. Lorsque Nadia sentit que l’orifice était prêt à recevoir un autre visiteur, elle y logea le vibro qu’elle venait de retirer juste au dessus. Comme le premier lieu visité sembla vexé par cet abandon, elle le remplaça immédiatement par un nouveau gadget. Celui-ci était un peu plus gros que son prédécesseur, aussi Nadia eut-elle un peu plus de mal à le faire pénétrer. Lorsqu’il se fut enfin faufilé ou il devait aller, Nadia commença à le faire aller et venir. Les deux appareils avaient le même mouvement à présent, soit au même rythme, soit décalés. Quand l’un était quasiment sorti, le second était presque totalement englouti. Leur vitesse également était variable, parfois très lente, et l’instant d’après, on avait du mal à les suivre des yeux. Nadia connaissait parfaitement les gestes qui amenaient le plaisir à ses consœurs. Nadia était déjà en train de penser à mettre en œuvre le troisième olisbos, que Christelle s’arque bouta comme un arc bien tendu. Passionnée par ce qu’elle faisait, elle n‘avait pas vu le véritable état d’excitation dans lequel Christelle baignait. Cette dernière émit un long râle, et se laissa retomber sur sa couche, comme vidé en un instant de toutes ses forces. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits. Nadia fut satisfaite de ce qu’elle venait de faire, même si aurait bien voulu que cela dure un peu plus longtemps. Christelle n’avait pas mit dix minutes à accéder au plaisir suprême. A peine remise de ses émotions, Christelle reprit le sens des affaires. — Pour un massage plaisir, tu me dois 100 euros. Annonça-t-elle à Nadia sans frémir. Cette dernière éclata de rire, et lui donna la somme méritée. C’est ainsi que Christelle débuta dans le métier du massage. Nadia est revenue comme «cliente », pendant les quelques jours suivants, pour lui montrer comment se servir des autres sexe-toys. Christelle l’a massée gracieusement, sans rien lui demander cette fois. Grâce à Nadia, qui lui envoya de nombreuses clientes, nous pouvions mettre beaucoup de beurre dans nos épinards. Christelle est maintenant beaucoup plus sûre d’elle, et il lui arrive de m’inviter à la seconder dans ses massages, lorsqu’une cliente désire quelque chose d’un peu plus viril : C’est le bonheur. Merci de m’envoyer vos réactions à : azkinato@hotmail.fr