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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 5

Inceste
Quand je me réveille, je ne fais tout d’abord pas le lien direct avec mon propre vécu. Je suis déboussolé. Je m’assied sur mon lit, réalise que mon subconscient est allé déterrer un pan tout entier de mon passé qui sommeillait en latence.Il s’agit d’un souvenir précis, pas d’un songe chimérique, et encore moins d’un traumatisme d’enfance.C’est même exactement le contraire !Alors que je me souviens très bien de plusieurs anecdotes antérieures, je ne comprends pas comment il est possible que ma mémoire ait occulté un événement aussi déterminant pendant si longtemps. Il faut croire que le cerveau (la conscience, l’âme ?) est capable d’organiser les tris sélectifs qui lui conviennent, indépendamment de notre volonté…

A l’époque où nous passions nos vacances dans cette ferme du Poitou, deux ou trois ans après l’épisode des poussins, je me trouvais dans la chambre de mes parents, avec la mission de récupérer les lunettes de soleil de mon père, quand ma mère a déboulé, nue de la tête aux pieds.Elle était jeune, cet été là.Elle est magnifique aujourd’hui, je peux en témoigner : elle pourrait faire tourner la tête de n’importe quel homme pour peu qu’elle s’en donne la peine.Mais elle était ravissante alors, la vie l’avait miraculeusement épargnée ; elle rayonnait d’une innocence préservée.
Comme il faisait une chaleur suffocante, elle n’avait pas résisté à la tentation de prendre en vitesse une douche glacée, mais elle avait oublié de prendre des affaires pour se changer.Elle était pressée de s’habiller : on l’attendait.
« Dépêche-toi de descendre, ma chérie, nos invités te réclament », a hurlé mon père depuis la terrasse.
Quand elle m’a découvert, planté au milieu de sa chambre, la stupeur a déformé ses traits.Comme je l’observais bouche-bée, pétrifié sur place, elle a marqué un temps d’arrêt, mais s’est vite reprise.Elle a pudiquement replié un bras sur ses seins, a plaqué farouchement une main sur sa pilosité – malgré sa nervosité, qu’est-ce que ses gestes étaient gracieux ! - afin de dissimuler sa nudité du mieux qu’elle pouvait.
Je la regardais sans y croire, j’étais écarlate ; je voyais Maman dans le plus simple appareil, et c’était un spectacle merveilleux.La situation avait beau être embarrassante pour elle comme pour moi, j’étais en admiration devant ce corps féminin si séduisant que je découvrais.
Elle a probablement réalisé, à cet instant, qu’elle était sans doute la première femme que je voyais toute nue.
— Et bien, vilain garçon, est-ce des façons ? Tu n’as pas honte ? Sors de ma chambre immédiatement !
Elle n’a pas eu besoin de me le dire deux fois.J’étais si troublé que j’ai dévalé les escaliers quatre à quatre, en oubliant ce que j’étais venu chercher…


Apercevoir la nudité de ma mère m’avait fait une si forte impression que je n’arrivais plus à penser à autre chose.J’étais trop jeune pour comprendre ce qui m’arrivait, mais je devinais que je traversais une de ces étapes cruciales qui jalonnent la vie d’un homme. Je venais d’être confronté au stupéfiant pouvoir de la féminité, à la redoutable attraction qu’exerce sur les mâles le corps des jolies femmes.
Le lendemain, j’ai patiemment attendu qu’elle monte à l’étage pour prendre sa douche, et je me suis précipité dans son sillage comme un petit fantôme malveillant.Qu’elle fut ma mère n’entrait pas en ligne de compte dans mon calcul : l’idée de la revoir nue m’affolait !
Dans le couloir, la joue collée au carreau, j’ai fait semblant de suivre ce qu’il se passait dehors, mais je surveillais la porte avec nervosité : j’espérais que mon attente serait récompensée.Attendre, quand on sait que ce qu’on attend est susceptible de se réaliser, s’avère une torture particulièrement délicieuse.Je crois que je l’ai compris ce jour là.Mais j’étais si peu discret que j’imagine qu’elle a tout de suite compris mon manège, au premier regard échangé.
Le soir même, mon père est entré dans ma chambre et s’est assis au bord de mon lit. Il était nerveux. Il m’a dit que je leur faisais beaucoup de peine, à tous les deux. Il m’a expliqué, avec tout le tact dont il était capable, qu’il fallait que j’arrête, qu’un fils n’avait pas le droit de regarder sa mère de cette façon, que c’était un péché mortel.
Je ne comprenais pas comment il avait deviné, alors que c’était mon secret.Je n’étais qu’un enfant. J’étais mortifié. Je lui ai promis tout ce qu’il voulait. Nous n’en avons plus jamais reparlé, puis j’ai oublié, et la vie a continué…



Aujourd’hui, je comprends mieux du coup les crises de colère de mon père.Ses accès de jalousie, sa fébrilité quand nous étions un peu trop collés l’un à l’autre, avec Maman.Il se souvenait et il flippait. Il ne savait comment l’empêcher.Comme il a dû en chier, ce connard !
Il se doutait que le lien qui nous unit, Maman et moi, était déjà bien plus puissant que son amour pour elle, pourtant intact à l’époque.Il y a un fil invisible, comme un fluide qui circule entre nous deux depuis que je suis né, depuis qu’elle m’a mis au monde.Une connexion qui a toujours existé, plus forte que jamais.Mon père a dû être terrifié quand il l’a réalisé. Le pauvre, j’ai presque pitié de lui…

Je m’habille sans prendre de douche, ne déjeune pas avant de partir au lycée.Je quitte la maison sur la pointe des pieds, comme un voleur. Je ne veux pas la réveiller.Ce que j’ai fait à ma mère la nuit passée est impardonnable, je me sens coupable.
J’espère qu’elle ne s’est aperçue de rien, que je n’ai pas tout gâché avant même de commencer.Je ne suis pas fier de moi, je manque d’expérience en la matière, pourtant des doutes subsistent : peut-on faire mouiller une femme contre sa volonté, l’exciter malgré elle ?
Dormait-elle vraiment ou faisait-elle semblant ?
« Oh, mais alors, si elle ne dormait pas, ça signifie… ça veut dire… ça veut dire quoi, au juste ? »
Je suis incapable de réfléchir plus loin…
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