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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 6

Inceste
Comme la journée promet d’être magnifique, Nadine décide de sortir ; faire du shopping lui changera les idées.Il s’agit d’un premier pas vers ses bonnes résolutions, une étape importante dans sa remise en question.Elle est heureuse de se retrouver au milieu des gens, dans les vapeurs d’essence, le vacarme du trafic, après une séquestration volontaire aussi longue. La vie est un peu moins déprimante, plus élégante, tellement plus intéressante lorsqu’on en fait partie...

Elle ne supporte plus ce qu’elle est devenue : cette créature prostrée et indolente qui dépend de la gentillesse de son fils. Quand elle pense à ce qui se passe, comment les choses s’accélèrent entre eux, elle est prise de vertiges ; elle a l’impression de tomber dans le vide sans rien pour se raccrocher.
« Je ne peux pas lui donner ce qu’il attend... c’est impossible, voyons ! »
Elle essaye de le chasser de son esprit, mais il revient sans cesse à la charge, la hante. Depuis ce qu’il s’est passé hier soir (ce qu’elle a laissé faire), c’est comme s’il l’avait empoisonnée et que son venin se diffusait inexorablement dans son sang.


Quand il est sorti de sa chambre, elle n’a pas pu s’endormir ; elle a cogité toute la nuit.Elle n’imaginait qu’être aussi proche de son rejeton, le fruit de ses entrailles, déboucherait un jour sur une situation qui la dépasserait à ce point.Cette attraction qui les précipite l’un vers l’autre était supposée être innocente et sans danger ; il n’a jamais été question qu’elle prenne on ne sait pourquoi une tournure aussi explicitement sexuelle !
Il y a bien eu une alerte une fois, elle s’en souvient ; le jour où son mari est rentré et les a surpris sur le canapé. Il s’était montré ridiculement jaloux, les avait embarrassé par ses allusions à peine déguisées.Mais c’était juste avant qu’il ne la quitte : il préparait déjà sa sortie, inventait n’importe quel prétexte pour l’humilier et la culpabiliser.De fil en aiguille, la jalousie disproportionnée dont avait fait preuve son époux lui rappelle une bien plus vieille anecdote, qu’elle avait oubliée. Sur le moment, le souvenir est si limpide, elle revoit la scène avec une telle précision qu’elle a la conviction que son fils partage la même vision, en même temps.

Nadine est une femme pragmatique, à l’esprit rationnel.Elle pense que la télépathie n’est qu’un tour de magie de plus, de la poudre aux yeux, une spéculation qui ne repose sur rien de concret sinon sur la crédulité des personnes concernées.Elle est née dans un pays qui connaît, mieux que tout autre, le lourd tribut que font payer les religions aux gens de bonne volonté. Alors les sciences occultes, ou la parapsychologie… non merci !Mais elle ne doute pas des forces de l’esprit.Elle ferme les yeux, se remémore les faits…


C’était en été. Elle était heureuse alors, loin d’imaginer ce qui l’attendait.Par un malheureux concours de circonstance, son fils l’avait vue nue. Il l’avait regardée ébahi, de ses grands yeux innocents. Il n’y avait aucune malice dans son regard, rien de pervers ni de malsain ; juste de la stupéfaction, de l’incrédulité.Le lendemain, il était retourné roder sur les lieux du crime, s’attardant autour de la salle de bain à dessein, et elle avait réalisé ce qu’il attendait. Elle avait trouvé sa démarche d’une naïveté désarmante, presque gratifiante, mais quand elle en avait parlé à son mari, ce dernier n’avait pas du tout réagi comme elle s’y attendait.Il lui avait fait une scène épouvantable, avant d’aller culpabiliser le pauvre petit qui n’avait rien demandé.Comment un père de famille - l’homme qu’elle aimait depuis des années et qu’elle n’avait jamais trompé – pouvait-il péter les plombs pour si peu ?Tout ce ressentiment parce qu’un pré-adolescent en pleine puberté avait réalisé que sa mère était une femme magnifique, et qu’il cherchait seulement à la revoir toute nue, si sublime à ses yeux.Elle en était plutôt flattée, et savait surtout fait la part des choses : il n’y avait rien d’inquiétant dans le comportement de son petit garçon, pas de quoi s’alarmer.Il s’agissait d’un simple bouleversement hormonal, tout au plus une bouffée de désir incontrôlable qu’il avait probablement du mal à s’expliquer lui-même.
Du moins était-ce vrai à cette époque, mais tout a changé aujourd’hui, son fils a bien grandi depuis…
Elle rentre chez elle après avoir fait plusieurs magasins, dévalisé de nombreuses boutiques.Elle est épuisée d’avoir gambergé toute la journée pour en arriver à une aussi sinistre conclusion : son couple a explosé, elle n’a aucun projet, sa vie sociale et amoureuse est derrière elle.
« Je ne compte plus que pour Maxime… il est le seul qui se soucie de moi, qui m’aime encore un peu… »
L’amertume qu’éprouve Nadine est absolue. Elle est victime, à cet instant, d’un épouvantable cafard qui lui donne envie de s’allonger et de sangloter jusqu’au lendemain.
« Mon fils… le seul qui me désire vraiment… qui me convoite assez pour braver les interdits ! » chuchote alors une petite voix dans sa tête, avec une insistance qui lui donne à nouveau l’impression de tomber en chute libre…
Elle décide de prendre un bain.Pendant que l’eau coule, elle se déshabille et s’assied en équilibre sur le rebord de la baignoire.Elle se regarde dans le miroir mural, bombe le torse.Elle n’a jamais aimé ses seins, qu’elle a toujours trouvés trop gros. Elle ne s’explique pas pourquoi les poitrines opulentes rendent fous les hommes, attisent à ce point la convoitise des plus jeunes d’entre eux.Elle se redresse, tourne sur elle-même, coquettement d’abord, puis se cambre et se déhanche lascivement, en prenant des poses de plus en plus suggestives.
Elle essaye de se mettre dans la peau d’un jeune-homme, et plus particulièrement dans celle de son fils.En toute objectivité, elle reconnait qu’elle est superbe, plus voluptueuse que jamais.Elle a des formes un peu trop prononcées à son gout, mais elle se doute que c’est justement ce qui leur plait.Elle se glisse dans son bain brulant, s’immerge dans l’eau jusqu’au cou. Elle ferme les yeux.


Son fils était fou de désir hier soir, incapable de se contrôler ; il était sur le point de déraper, d’aller trop loin, et elle n’aurait rien fait pour l’en empêcher.Elle est stupéfaite de penser à lui de cette façon. Il y a longtemps que son mari ne l’a pas touchée, une éternité qu’elle n’a pas éprouvé du plaisir. Pourtant, elle adorait le sexe. Elle n’aimait pas provoquer ni séduire, mais elle aimait faire l’amour. Elle pensait naïvement qu’elle était la gentille épouse fidèle dont tout époux rêve : une salope à disposition, une femelle dévouée prête à s’abandonner.Elle se trompait, bien sûr. Personne ne se satisfait de ce qu’il a.Elle ne comprend pas comment les choses ont pu merder à ce point, comment sa vie entière a pu basculer.
« Et voilà, je recommence à déprimer ! » se lamente-t-elle.
Cependant, elle prend conscience que broyer du noir ne lui apportera aucun réconfort : elle a déjà donné. Elle ne veut pas se laisser envahir par la tristesse, perdre pied, alors elle pense à son fils, ce gentil, ce beau garçon qui ne lui veut que du bien.Nonchalamment, sans même s’en apercevoir, elle se caresse un sein, s’excite le mamelon entre le pouce et l’index.Sa main descend lentement, s’égare dans sa toison. Elle empaume sa motte, replie tout de suite ses doigts à l’intérieur de la chair gluante, les enfonce tout au fond.
« Mon Dieu, mais qu’est-ce que je fais ? »
Rien, dans l’éducation de Nadine, ne l’a préparée à la masturbation. Elle en a toujours refusé l’idée.Elle a grandi selon des principes éternels et définitifs : il s’agit d’une caresse sacrilège, répugnante, particulièrement déshonorante pour une femme qui se respecte.C’est la raison pour laquelle elle est doublement honteuse de se branler, alors qu’elle navigue entre excitation et accablement.
« Mais c’est mon fils… c’est à mon fils que je pense, enfin ! »
Pourtant, elle garde les cuisses écartées, frappe hystériquement de ses talons le fond de la baignoire, fait éclabousser l’eau qui déborde tout autour. Elle se tripote, appuie sur son clitoris, l’écrase sous son pouce, les autres doigts toujours enfouis au fond du vagin.
Elle jouit. Elle pousse un cri rauque, une plainte d’animal blessé. L’orgasme la dévaste. Et alors, aussitôt après, le remord prend le pas sur le plaisir.Nauséeuse, elle reste dans son bain jusqu’à ce que l’eau devienne froide, les yeux perdus dans le vague.
Elle en sort quand ses extrémités sont toutes fripées, qu’elle tremble de la tête aux pieds…
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