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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 8

Inceste
Nadine émerge graduellement du moment d’égarement qu’ils viennent de partager.Elle est effarée par sa propre passivité.Elle ne s’est pas défendu, ne s’est pas refusée, lui a donné ce qu’il était venu chercher.

Son fils la regarde. Il a le visage hagard, les yeux fous, comme si l’ampleur du dérapage le frappait à son tour de plein fouet.Maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait, il se précipite hors de la chambre sans dire un mot.On dirait qu’il refuse d’assumer les conséquences de ce qu’il a fait, pourtant elle jurerait qu’il sourit. Il a l’air fier de lui.Ils viennent de transgresser l’ultime tabou sacré.Ils ont joué aux apprentis sorciers.
« Oh Mon Dieu, alors cette fois c’est vraiment arrivé ? »
Elle en est quitte pour une seconde nuit blanche d’affilée…


La journée avait pourtant bien commencé.Nadine était enchantée de battre le pavé, elle débordait d’une saine vitalité. Dans une vitrine, une petite robe lui avait fait de l’œil, un détail avait accroché son regard.Elle n’avait pas réfléchi et l’avait achetée dans la foulée.
Plus tard, elle s’était arrêtée devant une boutique de lingerie.Elle avait regardé les sous-vêtements, les avait détaillés, avait rougi involontairement en imaginant ses courbes et ses rondeurs mises en valeur par ces dessous affriolants.Elle avait baissé les yeux, embarrassée, en payant la vendeuse qui lui souriait d’un air entendu.

« Un soutien-gorge et une culotte de pute… et puis quoi après… des menottes et un fouet ? »
Elle agissait en dépit du bon sens, sa conduite lui échappait.
Après une euphorie de courte durée, sa bonne humeur était retombée comme un soufflé.Seuls les dépressifs chroniques étaient à même de comprendre ce qu’elle endurait : ce principe d’alternance qui rythmait sa vie.Elle avait erré, assaillie par de mauvaises pensées.En broyant du noir, elle était rentrée chez elle et avait pris un bain.
Ce qu’elle avait fait dans la baignoire, elle préférait ne pas y penser…
Flageolante et pantelante, encore ruisselante, elle était retournée dans sa chambre et s’était préparée.(Pour qui, pourquoi ?)Elle avait pris son temps, tout le temps nécessaire. Elle s’était polie-vernie-maquillée-coiffée. Elle n’avait rien négligé, rien oublié, sinon le soutien-gorge assorti à la culotte (de pute !) qui aurait juré sous la robe qu’elle portait.Assise au bord du lit, elle s’était regardée dans la glace de l’armoire qui lui faisait face.Le résultat était stupéfiant. Elle ne se reconnaissait pas. Elle était métamorphosée.
Alors c’était aussi simple que ça ?Il suffisait donc de si peu de choses ?De la pommade, quelques artifices, et voilà je suis une autre : emballée-pesée !
Quelle comédie !Le ramage et le plumage. La sonate à Kreutzer.Quelle mascarade !
Elle avait frissonné. Les poils de ses bras s’étaient hérissés.Dans un vertige, elle avait pressenti l’avenir. Leur avenir. « Et pourquoi pas, après tout ? »
Elle haïssait son mari plus que jamais. L’idée de le tromper avec son fils (leur unique enfant) - ce témoignage vivant de leur amour révolu - suivait son chemin à travers les dédales sinueux de sa conscience mise à mal. Existait-il revanche plus implacable ?Rendre la monnaie de sa pièce à cet épouvantable connard, et de cette façon par dessus le marché !Quelle impitoyable vengeance, n’est-ce pas ?Ce salopard adultère méritait une bonne leçon, une correction à la hauteur de sa trahison. Il ne s’en remettrait jamais. Il n’aurait que ses yeux pour pleurer, et l’éternité pour regretter.
Avec appréhension, débordante d’une vilaine excitation malsaine, elle avait patiemment attendu le retour de son fils. Les dés étaient jetés. Elle ne voulait pas le brusquer, mais elle avait pris sa décision.Pourtant, elle était loin d’imaginer sa réaction le soir même…

Son regard quand il était entré. Son incrédulité face au spectacle qui l’attendait.Leur désir réciproque qui couvait : comment anticiper un tel raz de marée ?Disparue la morale, balayés les interdits.Elle ne se souvenait pas de la progression, de l’enchainement des situations… à quoi bon !
Quand il avait fourré la main dans sa culotte (de pute), elle s’était débattue, indignée par son audace inouïe.« Mais pour qui me prend-il ? Je ne suis pas une de ses petites copines, tout de même… je suis sa mère, bon-sang ! »Pourtant, malgré sa stupeur scandalisée, elle avait écarté les cuisses et creusé les reins pour lui faciliter l’accès.Très vite, elle avait perdu pied.Elle était stupéfaite qu’il connaisse d’instinct ses préférences.Il faisait les mêmes gestes, la touchait aux endroits qu’elle avait stimulés, en solo, quelques heures plus tôt.
Vautrée sur lui, elle gisait telle une grenouille sur le dos, écartelées, toute molle, abandonnée.Et il l’avait tétée comme quand il était bébé. Il avait sucé son sein avec la voracité d’un nouveau-né affamé. Et il l’avait branlée. Elle n’en revenait pas que ce soit aussi bon, qu’il la caresse si bien ! Elle avait abdiqué toute dignité.Seule la main de son fils comptait. Ses doigts qui entraient et ressortaient, qui la fouillaient.Elle avait joui bruyamment, bestialement.
Après, elle s’était enfuie, honteuse, dévorée par les remords et la culpabilité.Elle avait éprouvé un désarroi total, l’impression d’avoir dépasser les bornes, d’avoir franchi la limite autorisée. Le point de non-retour.Pourtant, elle n’était pas au bout de ses surprises.Il était venu dans sa chambre, alors qu’elle était persuadée qu’il n’en aurait pas le cran, pas après ce moment de folie partagé.C’est peu dire qu’elle se trompait…

Maman bondit hors du canapé en maugréant.Je ne quitte pas des yeux son cul, hypnotisé par ses fesses rebondies, son derrière moelleux qui tremble alors qu’elle s’éloigne.
Une fois qu’elle a disparu, je me déshabille calmement, enlève lentement tous mes vêtements et me dirige vers sa chambre.Je n’ai pas encore joui, moi : je bande comme un chien en rut qui réclame son dû.
Quand je pénètre dans sa chambre, je vois tout de suite qu’elle est dépassée par les événements, qu’elle ne sait plus comment elle doit se comporter avec moi.Elle panique, elle est au bord des larmes : il suffirait d’un rien pour qu’elle s’effondre et que je perde l’avantage.Mais je sais que c’est maintenant que je dois saisir ma chance.Je tiens une occasion rêvée : c’est ce soir ou jamais !
Qu’est-ce qu’elle est belle !Qu’est-ce qu’elle est bandante !Je m’avance vers elle, la queue raide. Je la prends dans mes bras, essaye de lui ôter sa nuisette. Elle ne se dérobe pas mais me regarde avec incrédulité, comme si tout ce que nous venions de partager n’était qu’un jeu sans conséquences auquel il fallait immédiatement mettre un terme.Pourtant elle lève docilement les bras au dessus de la tête, comme un enfant qui attend qu’on le déshabille avant de le mettre au lit.
Elle est nue. Je la pousse. Elle tombe sur le lit, à la renverse. Elle se prend les joues dans les mains. Son regard est suppliant.
— Non, Maxime, je t’en prie…
Je me couche sur elle, chair contre chair. Ma peau est sur sa peau.Je la maintiens les bras en croix en pesant de tout mon poids, écarte ses jambes avec mes genoux.
— S’il te plait mon chéri, ne fais pas ça… tu n’as pas le droit !
Pourtant elle soulève le bassin, remonte les genoux, ouvre les cuisses, s’offre à moi.
Je fouille entre ses poils, trouve la fente.
— Oh Maman, laisse-toi faire… s’il te plait… rien qu’une fois… j’en peux plus… j’ai envie !
Je m’agite, pousse et rentre dans la chair gluante, pénètre à l’intérieur de la muqueuse bouillante.
Je remue. Mon sexe est aspiré tout entier dans la gaine lubrifiée. C’est délicieux. Je suis survolté.
J’ai l’impression que Maman s’aperçoit que je suis trop excité, que les sensations sont inédites pour moi, alors elle n’ose pas se manifester et elle subit stoïquement mes assauts de puceau.
Elle laisse passer l’orage, et elle n’a heureusement pour elle pas besoin d’attendre longtemps.
Incapable de me retenir, mon sperme gicle hors de moi, malgré moi, et je sens qu’il se repend dans son ventre.Je jouis, en poussant un espèce de barrissement inquiétant qui échappe à mon contrôle et dont je suis le premier étonné.



J’ai baisé Maman !Putain, je l’ai fait ! J’ai baisé ma mère…
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