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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 14

Inceste
Nous retournons sur la plage en longeant les rochers, notre arrivée ne passe pas inaperçue.
Maman essaye de conserver un semblant de dignité, mais sa nervosité en révèle bien plus qu’elle ne voudrait sur ce qu’il s’est passé.
Elle s’allonge sur sa serviette de bain, offre son corps au soleil sans se préoccuper de moi ; elle me fait ouvertement la gueule.Je n’ai pas l’intention de me disputer avec elle, et encore moins de me justifier en public ; je la confronterai bien assez tôt.Je la laisse à sa rancœur et retourne me baigner.
Je nage vers le large, fais plusieurs brasses, un crawl acharné ; je ne m’arrête que quand je suis essoufflé.Je pédale doucement sur place pour rester à la surface.L’endroit où nous avons échoué - l’enclave où je l’ai baisée debout - m’apparaît dans sa beauté sauvage préservée.Seule construction dans les environs, la maison surplombe les lieux de sa masse imposante, bâtisse majestueuse défiant l’horizon.
Bercé par le clapotement, sous un soleil de plomb, je fais la planche…

Qu’est-ce que j’ai agi égoïstement, quand même !J’ai traité Maman comme une moins que rien, un objet sexuel dont je peux disposer pour assouvir mes plus vils instincts : il n’est pas étonnant qu’elle m’en veuille, qu’elle soit fâchée. Pourtant je ne regrette rien : ni le danger de nous faire surprendre, et encore moins son regard implorant quand elle a réalisé ce que je m’apprêtais à lui faire.
A quoi pense-t-elle en ce moment, seule sur la plage, rôtie par le soleil, son amour propre mis à mal ?M’en veut-elle encore ?
Comme je suis suffisamment éloigné du rivage, que personne ne peut m’entendre, je crie à pleins poumons :
« Oh, Maman…ma chère petite Maman, je te baise n’importe où et n’importe quand maintenant ! »
Je m’enivre du plaisir sacrilège de faire coexister « Maman » et « je te baise » dans la même phrase…

Je regagne la plage et la découvre endormie en plein soleil. Malgré mes recommandations, elle n’a pas jugé utile de s’enduire de la crème à fort indice de protection que nous avions achetée en prévision.
J’en connais une qui va le regretter amèrement !
Elle transpire par tous les pores de sa peau, elle cuit sur place.Je la laisse mijoter dans son jus et me dirige vers une des paillotes qui bordent les environs. Je m’installe en terrasse, à l’ombre d’un parasol, et commande un coca.

Alors que je sirote tranquillement mon soda bien frais, je m’aperçois que quelqu’un m’observe. C’est un garçon qui doit avoir plus ou moins mon âge. Il reste en retrait et me regarde fixement, comme s’il voulait me dire quelque chose d’important mais qu’il n’osait pas faire le premier pas. Je l’interroge du regard et il s’approche.
— Salut, je te dérange pas, au moins ? Tu permets ?
Je me demande ce qu’il me veut, et, surtout, pourquoi il paraît aussi nerveux.
Je l’invite à s’asseoir en face de moi.
— On se connaît ?
— Non, c’est pas ça ! Je vous ai vus tout à l’heure… vous étiez dans la crique… en dessous de chez moi…
Maintenant qu’il m’a fait comprendre où il voulait en venir, il semble encore plus mal à l’aise ; il pique un fard et baisse pudiquement les yeux.
— C’était donc toi ! Je savais bien qu’il y avait quelqu’un ! Et tu m’as suivi jusqu’ici… pourquoi ?
Je deviens méfiant, pourtant il n’a rien d’effrayant. Il est propre sur lui et paraît aussi inoffensif qu’un fils de bonne famille ; on lui donnerait le Bon Dieu sans confession.
— Je voulais te demander… J’étais un peu loin mais… la dame qui était avec toi… elle est beaucoup plus âgée, pas vrai ? Comment tu fais pour… enfin, tu vois ?
Il me questionne en murmurant, il parle si bas que j’entends à peine ce qu’il dit. Il se triture nerveusement les doigts, se broie les mains.
— Tu veux savoir comment je fais quoi ? Et explique-moi un peu en quoi ça te regarde ?
— Pardon, je voulais pas t’offenser ! Je suis désolé… Excuse-moi…
Il est livide, comme s’il s’apercevait soudain que sa question est déplacée, comme s’il mesurait l’incongruité de sa démarche. Son désarroi est si flagrant que j’ai pitié de lui.
— C’est bon, calme-toi ! Tu as raison, tu sais… elle est bien plus vieille que moi… et pour ne rien te cacher… cette dame, c’est ma mère !
J’ai chuchoté, moi aussi.
Il se fige. Il a le souffle coupé. Il ouvre la bouche en grand. Il a les yeux fiévreux, un regard douloureux d’intensité. Il a l’air sidéré, pourtant il ne l’est pas autant que moi.
Qu’est-ce qui m’a pris, bon-sang ?
Pourquoi lui ai-je dit ça, alors que je ne le connais même pas ?
— Je le savais ! Je m’en doutais ! Putain, j’en étais certain ! Merci ! Oh, merci… je te remercie pour ta franchise !
Il est en transe, il déborde de gratitude.
— Tu veux bien te calmer, s’il te plait ? Nous allons nous faire remarquer si tu continues à t’agiter comme ça !
Mais il ne m’écoute pas. Il est tellement surexcité qu’il n’a même pas l’air de se souvenir que nous étions deux parfaits étrangers l’un pour l’autre dix minutes plus tôt.
— Comment c’est arrivé ? Je veux dire, la première fois ? C’était ton idée ou celle de ta mère ? Je t’en supplie, dis-le moi… sois sympa… j’ai besoin de savoir !
Rien ne semble en mesure de satisfaire sa curiosité, de tempérer son enthousiasme. Il est parti pour ne s’arrêter que lorsqu’il m’aura tiré les vers du nez.En le voyant aussi exubérant, je réalise pourquoi j’ai avoué aussi facilement.J’avais besoin de me confier, de dire mon secret à quelqu’un, et c’est tombé sur lui : j’en arrive à croire que c’est le destin qui a placé sur ma route ce garçon au bon endroit et au bon moment.
— Et pourquoi ça t’intéresse autant ?
— Parce que… parce que je voudrais faire la même chose avec la mienne !
Il n’a pas fini de me répondre qu’il devient cramoisi, que son visage s’embrase comme s’il avait pris feu. Mais on dirait qu’il est soulagé de s’être débarrassé de ce poids trop lourd à porter. Et c’est exactement l’impression que j’ai moi aussi.Décidément, il me plait bien ce garçon, nous sommes faits pour nous entendre !
— Alors tu voudrais coucher avec ta mère, c’est ça ?
— Oh, Mon Dieu, oui, si tu savais ! J’en ai vraiment envie !
Je suis pris d’un fou rire nerveux en imaginant la réaction des autres clients s’ils avaient la plus petite idée du sujet de notre conversation, alors que nous discutons en nous enflammant comme deux amis qui refont le monde.
— Et tu voudrais que je te donne des conseils, tu crois que je peux t’aider ?
— C’est exactement ça ! J’aimerais que tu m’expliques comment tu as fait pour y arriver…
— Et bien ça s’est fait presque par hasard ! Mon père nous a quittés et elle a fait une dépression… Elle prenait des cachets… Un matin, je suis allé la réveiller… Elle dormait avec sa chemise de nuit remontée. J’ai vu son cul. Après, je ne l’ai plus jamais regardée de la même façon… Tout est devenu différent entre nous… et puis les choses se sont enchainées… et maintenant je la baise !
— Putain ! Oh, putain mec, la chance que t’as !
— Et toi, ça fait longtemps que tu désires ta mère ? Ça t’a pris comment ?
— Nous passons nos week-ends dans cette maison, rien que maman et moi… Mon père est décédé… Un jour, elle est sortie toute nue de la douche devant moi… C’était un accident… Mais j’ai eu le temps de bien la voir… J’ai tout vu. Tout. Depuis, j’arrive plus à penser à autre chose… Ça m’a donné des idées… J’en peux plus… Je vais devenir fou !
Il a l’air si sincère et déterminé que je suis horrifié de découvrir que je commence à bander rien qu’en écoutant son histoire.
— Elle est jolie, ta mère ?
— Oh oui ! Elle est canon ! Mais c’est pas du tout le même genre que la tienne… Elle est blonde, grande, elle a de jolis seins, des belles jambes bronzées, la chatte toute rasée et un super cul. Elle a un de ces cul, mec, si tu voyais ça !
Et dans la foulée, comme si c’était la seule chose à faire, il m’invite à venir boire un café chez lui.Il veut me présenter sa mère, afin que je juge par moi-même.Il me plait de plus en plus ce type. Il est spontané et franc. Quelles étaient statistiquement mes chances de tomber sur un garçon qui partage la même obsession que moi ?Je jette un regard au loin, vers Maman. On dirait qu’elle dort encore. Qu’est-ce qu’elle va déguster, ce soir…

Sa mère est telle qu’il me l’a décrite, si ce n’est qu’elle paraît si jeune qu’elle doit passer plus souvent pour une grande sœur que pour une maman : elle a probablement dû tomber enceinte par accident, encore adolescente.C’est une jolie blonde racée, grande, d’allure sportive, avec un port de tête et la démarche assurée d’une femme bien née.Elle a des petits seins proportionnés à sa silhouette et un cul de joggeuse, de belles fesses musclées qu’on devine très fermes.Elle est volubile mais mesurée dans ses propos, occupe l’espace de manière calculée, parfaitement à l’aise avec son corps qu’elle doit entretenir comme une machine de guerre.
Ce qui est fascinant, mais assez déstabilisant, c’est le rapport surprenant qu’ils entretiennent tous les deux. Il est évident qu’il est en adoration devant sa mère et qu’elle le sait parfaitement.Il boit ses paroles, ne la quitte jamais du regard, tout tremblant d’une extase qui saute aux yeux.Elle débite des banalité comme si de rien n’était, comme si elle ne se rendait pas compte de la vénération qu’elle lui inspire, ou alors qu’elle la trouvait parfaitement naturelle.
Je suis en présence d’un cas typique de fusion dominant-dominé - de nature cérébrale, mais combien de temps avant qu’elle n’évolue ? - et ce spectacle si intime ne tarde pas à me mettre très mal à l’aise, un peu comme si je violais leur sphère privée.
Je suis persuadé que cette femme sait que son fils rêve de coucher avec elle, et qu’elle ne fait rien pour l’en dissuader.
Arrivé à ce stade de ma réflexion, je me dis qu’il lui a fallu bien du courage pour oser venir me parler. Il a vraiment envie de la baiser, sa maman ! Et nul doute qu’il y parviendra un jour, mais seulement quand elle l’aura décider, parce que le choix ne pourra venir que d’elle. C’est elle qui tient leur destin entre ses mains…
Alors que je croyais être le seul dans ma situation, je m’aperçois que d’autres sont concernés, et qu’ils empruntent - dans le cas présent - des chemins encore plus détournés que le mien.C’est une révélation, mais comme ils n’ont plus rien à m’apprendre, je prends congé après avoir bu plusieurs thés et qu’ils m’aient fait faire le tour de la propriété.
Cette charmante famille dysfonctionnelle a donné un coup de fouet à ma libido, et c’est fort émoustillé que je m’en vais rejoindre Maman.

J’ai plus que jamais hâte de me retrouver en tête à tête avec elle…
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