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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 16

Inceste
Maman se dirige vers sa chambre comme une somnambule, se laisse tomber sur son lit les bras en croix, dans un abandon total de sa personne. Elle ne se douche pas, ne se change pas ; en maillot, elle git sur le dos, aussi inerte qu’une poupée…
Que voulait-elle prouver en se laissant rôtir de la sorte ?L’a-t-elle fait volontairement, était-ce une simple imprudence ?Avait-elle l’intention de se punir (me punir) ?
Je me suis comporté tel un monarque qui exerce son droit de cuissage, et puis je l’ai plantée là avant de revenir à la charge pour lui asséner le coup de grâce. Qu’est-ce qui m’a pris de jouer les amoureux transis ?Maman bafoue la morale, piétine les convenances, ne respecte pas les règles élémentaires de vie en société.Elle a trente-neuf ans (bientôt quarante), elle s’envoie en l’air avec un gamin qui en a tout juste dix-huit… et qui n’est autre que son fils !Elle est confrontée à un dilemme impossible. D’autres ont perdu la raison pour bien moins que ça.Ce n’est pas en réagissant puérilement, en me montrant égoïste et mesquin que je rétablirai l’équilibre.Une nouvelle turbulence de cette amplitude serait fatale à notre « couple ». J’aurais pu détruire ce fragile édifice en faisant allusion à la nature des sentiments que j’éprouve à son égard. Par ma faute, elle se sent coupable. Si je l’embarrasse, si je l’importune avec mes états d’âme, elle ne voudra plus que je la baise et tout sera fini entre nous. Il faut que je regagne sa confiance, que j’étouffe dans l’œuf ses réticences. J’ai frôlé la catastrophe mais j’ai retenu la leçon : je ne commettrai plus la même erreur.
Fort heureusement, le trajet s’est bien mieux achevé qu’il n’avait commencé : je l’ai branlée pendant qu’elle conduisait, et elle a joui sous mes doigts sans se dérober.Mais elle est sur ses gardes, les nerfs à fleur de peau…

Il devient urgent d’hydrater Maman, d’apaiser sa peau si fragile, si peu préparée à la morsure du soleil.Elle n’a pas dit un mot depuis que nous sommes rentrés, reste prostrée sur son lit et se contente de fixer le plafond d’un regard éteint. Elle est cramoisie, bouillante de fièvre ; elle frôle l’insolation.Afin de la soulager, je vais chercher la Biafine et lui demande de se mettre à plat ventre. Elle m’obéit docilement, se retourne en gémissant mais elle reste stoïque, souffre sans se plaindre. J’étale une couche épaisse sur son dos, frictionne doucement la peau pour que la crème pénètre bien. Quand le produit est absorbé, je recommence.

— Je vais dégrafer ton maillot, Maman… il me gêne trop…— Fais ce que tu veux, Maxime… mais surtout ne me fais pas mal !
Je presse le tube sur ses reins, les oins généreusement, déborde sur les flancs, remonte par les côtés jusqu’à la naissance des seins et je redescends. Maman s’abandonne à mon massage bienveillant, pousse des petits soupirs satisfaits qui m’indiquent qu’elle apprécie le traitement. Je glisse mes pouces sous l’élastique en la tenant par les hanches, et elle soulève imperceptiblement le bassin, comme si elle coopérait, comme si elle m’invitait tacitement à la déculotter.Sa nudité n’est pas une nouveauté pour moi, mais le choc est immense.Son cul, épargné par le soleil, est d’une pâleur irréelle, encore accentuée par le contraste saisissant qu’il offre avec le reste de son corps enflammé.Je suis incapable de résister à l’appel de ce fessier charnu, d’une virginale blancheur.Son derrière est si attirant que je l’empoigne à pleine main, presque malgré moi.Je malaxe les tendres fesses élastiques, je m’en mets plein les doigts.
— Arrête-toi tout de suite, Maxime ! Ne commence pas à t’exciter pour rien… je ne veux pas… je ne suis pas en état… Nous ferons tout ce que tu veux une autre fois… mais sois gentil mon chéri, laisse-moi…
— Je l’adore ton derrière, Maman… Je l’aime tellement, ton cul… C’est ce que je préfère chez toi !
— Et bien dis-donc, tu parles d’un compliment ! On peut dire que tu sais parler aux femmes, mon fils… Un vrai gentleman ! Allez, calme-toi maintenant…
Echaudé par mon dérapage matinal, je n’insiste pas et la bascule pour la tartiner de l’autre côté. Elle se laisse manipuler avec l’indolence d’une grosse poupée de chair. Mais une fois qu’elle est sur le dos, c’est presque pire ! Ses gros nichons laiteux me narguent, m’invitent à les pétrir tout autant que son cul quand elle était sur le ventre, et plus bas, il y a le contour préservé du triangle de son pubis, ilot immaculé au milieu d’un océan de chair écarlate. Je manque d’air, je ne sais plus où donner de la tête ; je bande tellement que mon sexe, à l’étroit dans le maillot, menace de forcer la barrière de l’élastique à tout moment.
Maman s’en aperçoit, et elle s’en désole.
— Bon-sang, Maxime, tu es encore plus obsédé que je ne le pensais ! Je t’avais pourtant demandé de ne pas t’exciter… tu vois comme tu es ? Mon pauvre chéri … je ne peux quand même pas te laisser comme ça… ce n’est pas bon pour la santé… Allez viens, vilain garçon !
Qu’est-ce qu’elle est gentille ma Maman, qu’est-ce qu’elle me comprend bien ! Elle me pardonne tout, ne veut que mon bonheur.Je m’assieds à côté d’elle, rabats mon maillot pour libérer ma queue, et j’attends ma récompense en frétillant.
Maman soupire, me regarde avec cette expression qu’elle me réserve quand je l’ai contrariée ou qu’elle me trouve un peu trop retors.
— Tu n’es qu’un profiteur, un sale petit opportuniste… Tu le sais au moins, n’est-ce pas ? confirment ses gros yeux inquisiteurs.
Elle se penche vers moi, résignée, ses cheveux me chatouillent le ventre. Les lèvres en avant, elle prend ma queue dans sa bouche, enroule sa langue autour du gland, l’aspire en creusant les joues. Sa tête monte et descend pendant qu’elle me pompe à fond, et j’éjacule en un rien de temps.Comme elle sait que je tiens vraiment à ce qu’elle avale mon sperme, elle ouvre la bouche et me tire la langue, pour me prouver qu’elle a tout avalé, qu’il ne reste rien. C’est un rituel que Maman observe chaque fois qu’elle me suce la queue jusqu’au bout.
Après, elle me nettoie avec sa langue, ne s’arrête que lorsque ma queue est toute propre, rose, luisante de salive. Elle s’allonge et je me love contre elle, les yeux fermés. J’ouvre la bouche et je cherche à l’aveugle, comme un nouveau-né affamé, le mamelon de ma mère à ma portée. Quand je l’ai trouvé, je referme les lèvres autour et la tète comme un bébé.
Tout en suçant son nichon, je pose ma main sur son sexe. Elle écarte aussitôt les jambes, avec un abandon complice. Mes doigts glissent entre ses cuisses, frôlent son clitoris, baignent dans l’humidité des secrétions que je déclenche.J’accentue la pression pour qu’elle comprenne bien qu’elle est à moi, qu’elle m’appartient, et son corps au diapason me prouve qu’elle l’accepte sans restriction, et qu’elle me donne raison.Elle me démêle les cheveux, avec une tendresse toute maternelle, et j’empaume sa vulve en conquérant. Nous n’étions pas vraiment fâchés, mais nous sommes réconciliés ; mon bonheur est parfait.J’aspire son sein, lui tripote la chatte, je suis bien…

Maman s’est endormie, son nichon toujours fourré dans ma bouche, alors que je la tète comme un glouton. A regret, pour ne pas la déranger - afin qu’elle récupère de cette journée riche en émotions - je me lève et sors de la chambre. Elle est épuisée, elle mérite de se reposer.Je n’ai presque rien mangé de la journée, alors je me prépare un plateau-télé et m’installe sur le canapé où je grignote en zappant sans conviction.Deux heures plus tard, dépité par la pauvreté des programmes proposés, je vais prendre une douche.Je sors sur la terrasse avec un soda, m’allonge dans le transat, m’allume une cigarette. L’air est toujours aussi doux dehors, et la nuit est tombée, mais Maman ne se manifeste toujours pas. La pauvre, elle a besoin de sommeil. Je rêvasse. Je l’imagine, abrutie de soleil, bouillante, fiévreuse, toute nue sur son lit. L’image est si nette, la vision si suggestive que ma queue se réveille.
Cette envie permanente que j’ai de la baiser, ce n’est quand même pas normal ; je dois être malade, non ?Mais pour combattre cette maladie, le seul médicament qui agit, c’est le corps de ma mère.C’est à dire que le remède et le poison se confondent. Je dois souffrir d’une sorte d’affection longue-durée non diagnostiquée ! Donc ce n’est pas de ma faute, n’est-ce pas ?
Comme je ne veux pas la brusquer – c’est beaucoup trop risqué – je reste sur la terrasse, le cul entre deux chaises, incapable de me décider.Mais plus le temps passe, et plus mon impatience à raison de ma prudence.
Je rentre dans sa chambre sur la pointe des pieds.Il n’y a a pas si longtemps, c’est tremblant d’une excitation malsaine que je venais la rejoindre pour commettre mon forfait.Je me sentais coupable, j’agissais dans son dos.Tout a changé depuis, j’ai fait de nombreux progrès… mais je suis pourtant toujours aussi inquiet, aussi troublé que la première fois que je me suis approché de son lit.
Elle dort sur le côté, les genoux repliés sur le ventre.Dans la position qu’elle occupe, ses fesses s’épanouissent, scandaleuses d’abondance. Profusion de chair offerte à ma concupiscence. Je suis aussi ému que la première fois que je les ai vues par accident.
Maman paraît si vulnérable dans son sommeil. Je contemple la croupe déployée, les lèvres entrouvertes, la fente qui baille.Je rampe sur le lit, m’approche et glisse mon visage entre ses cuisses bouillantes pour venir accoupler ma bouche à son sexe.Elle gigote, remue comme si elle cherchait à se débarrasser de quelque chose qui la dérange dans son sommeil, mais elle ne se réveille pas tout de suite.Je lèche du bout de la langue la tendre muqueuse, et je l’enfonce dans son vagin, tout en pinçant son clitoris entre le pouce et l’index.Comme elle ne s’est pas douchée, elle a un gout salé.Sa chatte est délicieuse. J’ai l’impression de déguster un violet, un de ces coquillages très iodés qui vous emportent la bouche et vous embaume les narines de leur parfum marin.C’est si bon, si stimulant de tirer Maman du sommeil en la dévorant.
— Bon-sang, Maxime ! Tu es écœurant… Je ne me suis même pas lavée… je suis sale, enfin !
— Laisse-toi faire Maman, profite bien… Je me régale !
Je me déchaine, la bouffe voracement. J’aspire, lèche, tète la chair sensible et réactive, en produisant des bruits de succion particulièrement obscènes et excitants.
Son corps se tend, son bassin se soulève, et elle donne de violents coups de reins pour venir au contact, pour frotter autant qu’elle peut sa chatte sur ma bouche.Elle pousse un cri bestial, mon visage emprisonné dans l’étau de ses cuisses, et la tension retombe d’un coup. Elle a joui, c’est fini.
Nous ne parlons pas, ne bougeons pas, trop hébétés l’un et l’autre pour admettre la puissance de ce qui vient de se passer.Nous reprenons nos esprits dans le noir, retrouvons notre souffle, et elle se rendort (ou fait semblant).Je ne quitte pas ma place, ma tête toujours entre ses cuisses, ma bouche sur son sexe, mon nez dans ses poils, une main sur son ventre un peu rond et brulant.

Je m’endors dans son odeur, avec son gout sur la langue, sa chaleur sous ma main…
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