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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 17

Inceste
Je me réveille la tête sur le ventre de ma mère, le visage dans son nid, aussi reposé qu’un bébé qui a fait sa nuit. Elle va mieux ; sa peau est moins enflammée, sa température a chuté. Seul paysage dans le voisinage, sa vulve m’offre la plus troublante des leçons d’anatomie matinales…
Maman se réveille à son tour, me regarde en souriant, s’étire langoureusement et s’installe dans une position qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Je donne un coup de langue dans ses poils et elle soulève aussitôt son derrière, le bassin en reptation.Si les yeux sont le miroir de l’âme, qu’en est-il du sexe des femmes ?Elle est déjà tout excitée ; sa chatte est trempée, baromètre infaillible qui reflète ce qu’elle attend de moi. J’enfonce ma langue dans la fente, lèche les nymphes dentelées, débusque le clitoris qui se développe sous mes aspirations. Elle halète, sa respiration s’accélère ; elle me tire les cheveux, remonte les genoux, écrase son sexe sur ma bouche en poussant son ventre en avant. Elle s’abandonne avec une impudeur inouïe, alors qu’hier encore elle jouait la repentie. Toujours cette dualité, ce conflit entre ses envies et l’interdit qui lui empoisonnent la vie.J’écarte les grandes lèvres replètes avec mes pouces et sa vulve se déploie, s’écarquille en gros plan.
— Oh, Maman, surtout ne bouge plus… Laisse-moi te regarder… Je sors de ce trou… Je viens de là !
Je poignarde son vagin, vrille mes doigts jusqu’à l’entrée du col.
— Oui, mon chéri, je t’ai porté… Tu es ma chair et mon sang … Tu sors de là (elle me montre son ventre), tu y retournes quand tu veux… Je ne fais qu’un avec Toi !
Je lui grimpe dessus le souffle court, fouille dans les poils en me guidant d’une main. Elle soulève les fesses pour m’aider et ma queue glisse à l’intérieur, dans la chair visqueuse et bouillante. Elle m’engloutit, au diapason, et, en même temps, elle m’étreint sur son sein, me serre dans ses bras avec une tendresse toute maternelle.Elle est aussi prévenante que salope. Autant Maman que Putain. Le yin et le yang. Les deux faces d’une même médaille. Je la pilonne, la saccage à grands coups de reins quand soudain, malgré moi, mon sperme gicle hors de moi. Je suis le premier étonné par cette éjaculation aussi précoce que redoutée.Elle plaque ses mains sur mes fesses, noue ses jambes dans mon dos et elle pousse, elle pousse loin son ventre en avant pour se faire jouir tant qu’il en est encore temps. Elle me garde en elle égoïstement, me conserve avidement, mais je débande immédiatement et la laisse en plan.
— Je suis désolé, Maman… Je ne comprends pas… Je n’ai pas pu me retenir !

— Ce n’est pas grave, mon poussin, ce sont des choses qui arrivent… Ne t’en fais pas pour moi… Tu feras mieux la prochaine fois…
Je vois bien ce qu’elle fait : elle veux me rassurer. Elle essaye de me consoler, sur le même ton que si j’avais échoué à un examen mais qu’elle n’avait aucun doute dans mes capacités à le réussir à la session suivante.Il faudrait qu’elle arrête de mettre des gants avec moi.
Pourquoi se croit-elle obligée de me traiter comme un enfant, ou pire encore : comme un époux défaillant que bobonne réconforte lorsqu’il est impuissant ?J’ai envie de la faire jouir, moi, je veux que son corps exulte ; mais je souhaite aussi qu’elle ne cache pas sa frustration quand je l’honore d’une aussi piètre prestation.Comment viser la perfection, sinon ?Je n’en peux plus de sa pitié bon marché, de sa compassion déplacée.Elle est la première femme qui m’invite dans son lit, la première qui se donne à moi, et elle n’est pas une femme ordinaire : il s’agit de ma mère !Notre relation est aussi difficile à gérer pour moi que pour elle : on ne baise pas sa mère sans effets secondaires.Elle pourrait se douter que je me pose des questions moi aussi, non ?Est-ce trop lui demander ?Elle a gâché ce début de journée qui avait si bien commencé…

Plus tard, Maman me rejoint dans la cuisine et se prépare un café. Elle s’est douchée : sa peau est humide, ses cheveux sont mouillés. Elle a enfilé un T-shirt, usé et étriqué, qui lui couvre le bas des reins. Comme elle n’a pas de culotte, je peux voir la raie des fesses ou la toison pubienne au gré de ses allées et venues. Elle virevolte, aussi gracieuse qu’une ballerine en représentation. Elle sait que j’adore la regarder, alors je la soupçonne d’exhiber son corps à dessein ; son cul charnu, ses seins lourds qui bougent, ses jolies jambes fuselées sont autant d’appas qui ne me laissent pas indifférent.
On dirait que la petite séance de baise bâclée dont je l’ai gratifiée au réveil l’a laissée sur sa faim, et que Madame en redemande !Elle n’est pas rassasiée alors elle me fait du gringue, me provoque carrément.
Je réalise à quel point j’ai détraqué son instinct maternel pour qu’elle en arrive à chauffer son fils avec un naturel aussi décomplexé : elle a tout d’une chienne en chaleur !Je m’approche dans son dos, tombe à genoux, lui enlace les cuisses. Je lui renifle l’entrecuisse, lui soupèse les fesses à deux mains, enfonce mes doigts dans la chair abondante, plante mon visage dans son cul.
— Veux-tu bien, Maxime ? Est-ce des façons ? Mais enfin, qu’est-ce qui te prend ?
Elle minaude, se tortille, incline son buste en avant. Elle pose ses mains sur le rebord de l’évier, ses pieds raclent le sol quand elle écarte les jambes. Elle tremble d’excitation, frémissante d’impatience.Qu’est-ce qu’elle en veut la salope, elle n’en peut plus !Elle est à point, elle marine dans son jus.Je suis tout disposé à lui donner ce qu’elle attend de moi… et bien plus encore.Je lèche sa fente du bout de la langue, aspire les filaments de mouille qui dégoulinent sur mon menton, me remplis les narines de l’odeur un peu fauve exhalée par son con. Elle doit être vraiment excitée pour sentir aussi fort alors qu’elle sort de la douche !J’écarte les fesses, promène ma langue sur le périnée.
— Je vais te bouffer le cul, Maman !
— Mais bon-sang, Maxime, qu’est-ce qui t’arrive ce matin ? As-tu perdu la raison ? Je t’interdis, tu as compris… Je ne plaisante pas !
Elle serre les fesses, se débat pour échapper à ma bouche, à ma langue qui la fouille, mais je la tiens et ne la lâche pas. Elle tourne la tête par dessus son épaule à s’en briser le cou, son regard éploré cherchant le mien, dépassée par la tournure que prennent les événements.
Comme Maman est propre, son trou du cul sent bon le savon. Le nez asphyxié, je mets mon projet à exécution. Elle répond à l’agression par des reproches scandalisés, des déhanchements saccadés. Une fois que je l’ai bien lubrifié, que son anus est préparé, je me relève et coince ma queue dans le sillon profond de ses fesses. Elle recule instinctivement son bassin pour me coincer encore plus loin. Elle a beau prétendre le contraire, ça la démange elle aussi. Ses remontrances sont le seul moyen qu’elle a trouvé pour sauver les apparences, mais devant mon insistance, elle capitule enfin.
— Vas-y doucement, mon chéri… J’ai peur d’avoir mal…
Je ne comprends pas tout de suite, et puis je réalise qu’elle m’offre son cul !
Ivre de joie, je l’embrasse dans le cou, sollicite les gros nichons, agace les tétons qui pointent sous le T-shirt. Je lui demande, en lui mordillant l’oreille à travers ses cheveux, de se courber sur l’évier et de creuser les reins. Satisfait par la posture bestiale qu’elle a adoptée, je contemple sa croupe cambrée, son cul bombé.
— Je vais t’enculer, Maman !
— Tu es sûr, mon chéri ? Oh, Mon Dieu, fais attention…Tu vas me déchirer !
— Mais non, voyons… ne t’en fais pas !
Fou de désir, je l’empoigne par les hanches et présente mon gland devant le sphincter verrouillé. La présence de ce corps étranger, sur le point de forcer l’étroite entrée, fait que Maman se contracte et refuse l’intrusion en se débattant de plus belle. Mais ses mouvements désordonnés m’excitent davantage. Ses fesses frissonnent, se couvrent de chair de poule sous la poussée, et je vois mon gland disparaitre dans son trou du cul.
— Arrête-toi tout de suite, c’est très douloureux ! S’il te plait, Maxime, tu me fais mal !
Elle se cabre, envoie son bassin en avant, donne de grand coups de reins pour me déloger, mais ses tentatives désespérées provoquent l’effet inverse : les délicieuses contractions qu’elle exerce sur mon gland décuplent mon intention de m’introduire tout entier dans le cul maternel.
Elle pleurniche, me supplie de me retirer.
— Mais enfin, mon fils, est-ce que tu te rends compte de ce que tu es en train de faire ? Tu me traites comme une putain ! Je suis ta mère quand-même… tu n’as donc plus aucun respect pour moi ?
Voilà qu’elle recommence à me dire qu’elle est ma mère, que je suis son fils, que ce n’est pas bien...Mais elle ne le fait pas par perversion pas cette fois, ni pour m’exciter. Elle l’exprime comme si elle prenait seulement conscience de notre filiation, et qu’elle était stupéfaite par sa découverte vu les circonstances.
Ma verge est plantée profondément dans son fondement, et, comme le chantait Gainsbourg : « Je vais et je viens entre ses reins ».
— Comme tu es serrée, Maman ! Qu’est-ce que ça me plait de t’enculer ! Est-ce que ça te plait, à toi aussi ?
Peu à peu, je perçois un changement dans son attitude, une acceptation un peu résignée, une sorte de soumission active : elle m’accueille volontiers, l’anneau se relâche autour de ma queue, et elle se laisse marteler en suivant docilement la cadence imposée. Sa chair tremble, ses fesses roulent sous mes poussées de plus en plus appuyées.
— Oh, Maxime, tu vas me rendre folle ! Je ne sais plus où j’en suis… Je me sens tellement sale…J’ai honte… mais ça me plait à moi aussi !
Alors j’augmente la cadence, la démonte en faisant claquer mon bas-ventre sur ses fesses.
— Je sens que ça vient… je vais jouir, Maman !
— Oui mon chéri, quand tu veux… Maman est là pour toi... Je suis à toi… Fais-toi plaisir… Prend ton pied !
Comme elle m’y encourage, je m’acharne à lui pilonner le cul jusqu’à ce que mon sperme jaillisse et envahisse ses intestins.
Après je reste vautré sur elle, en sueur, et elle ne bouge pas plus que moi, trop hébétés l’un et l’autre pour réagir.
« J’ai enculé ma mère ! ».
La formule tourne en boucle dans ma tête. Je n’arrive pas à penser à autre chose et je me la répète, afin de me convaincre que c’est bien arrivé.
« J’ai enculé Maman ! »…
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