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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 27

Inceste
Le lendemain, nous sommes retournés à la plage. Cette fois-ci, le destin m’a souri ; alors que nous entrions dans la paillotte, j’ai eu le plaisir de découvrir que mon jeune ami s’y trouvait. Il m’a souri, comme s’il m’attendait.
J’ai été surpris – mais pas trop, vu le genre de pensées qu’elle inspirait aux hommes, en maillot - de voir avec quelle insistance il regardait ma mère ; il l’a dévorée des yeux, son regard s’est allumé quand elle lui a tourné le dos.
Nous avons déjeuné sur le pouce en discutant, au comptoir, et puis nous sommes allés nous baigner. Alexandre (je connaissais enfin son prénom) et moi nous sommes éloignés, abandonnant Maman qui barbotait au bord du rivage. Une fois au large, il s’est lâché.
— Oh là là, mec, j’avais pas fait attention que ta mère était aussi canon… Le cul qu’elle a ! Et cette paire de nichons !
Il était toujours aussi exalté, mais c’est après Maman qu’il en avait cette fois.
— Je croyais que tu étais amoureux de la tienne, qu’est-ce qui te prend ?
Il s’est rembrunit, a levé les yeux aux ciel.
— Depuis que je l’ai baisée, c’est plus pareil, je ne peux plus rien en tirer. — Tu as réussi à te la faire ? Bravo ! Raconte-moi comment c’est arrivé.— Elle m’emmerde, si tu savais… Elle me repousse sans arrêt, me traite de fils dégénéré quand j’essaye de la toucher… Elle refuse de recommencer, dit que c’était une erreur qui ne se reproduira jamais.— Ne t’en fais pas, elles disent toutes ça au début, et puis elles changent vite d’avis si on insiste un peu.— Sans doute, tu as peut-être raison, mais je ne la supporte plus… En tout cas, je suis bien content de te voir. Qu’est-ce qu’elle est bonne, ta mère ! Si elle était dans mon lit, j’irais pas dormir dans la baignoire, tu peux me croire.
Il ne manquait pas d’air ce petit fumier. Il m’avouait carrément qu’il baiserait volontiers Maman si l’occasion se présentait. Non mais quel toupet !
— Elle te plait tant que ça, ma mère ? — Oh oui… Elle a un corps fantastique… rien que d’y penser j’ai une de ces triques, j’te dis pas.— Si tu veux, je peux t’arranger le coup !


C’est sorti tout seul. Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça. Sans doute pour la même raison qui m’avait poussé à me confier à lui, le jour où il nous avait surpris du haut de sa maison.
J’avais l’impression que tout était possible avec lui, qu’il était le candidat idéal pour monter d’un cran, pour passer à l’étape suivante avec Maman. J’ignorais encore comment la convaincre, elle, mais c’était bien ce que j’attendais. Un pigeon. Un étalon. Il m’a regardé les yeux écarquillés, persuadé que je me foutais de lui.
— Tu plaisantes, pas vrai ?— Mais pas du tout, elle adore les jeunes. Elle m’a avoué qu’elle trompait mon père avec le fils de sa meilleure amie avant que je prenne le relais… un mec tout juste majeur, un gars dans ton genre d’ailleurs… On se dit tout avec ma mère, on ne se cache plus rien.
J’ai vu qu’il se demandait si c’était du lard ou du cochon, mais j’avais capté son attention, et c’était tout ce qui comptait. Je lui racontais n’importe quoi évidemment, Maman n’ayant jamais eu le moindre amant, mais il n’avait pas besoin d’être au courant.
— C’est vrai ? Tu ne me fais pas marcher ?— Elle aime la bite, tu n’imagines pas, c’est une folle du cul, une vraie nympho. — La chance que t’as… Qu’est-ce que j’aimerais être à ta place !
Je l’ai regardé dans les yeux, avec un air complice.
— Ce n’est pas un cadeau tu sais, elle m’épuise, je suis au bout du rouleau… en tout cas, si tu te sens à la hauteur, je pense que tu as toutes tes chances.
Il m’a dévisagé, soudain méfiant.
— Mais ça ne te fait rien, tu n’es pas jaloux ? Tu t’en fous si elle baise avec n’importe qui ? — Je t’aime bien… et puis je préfère choisir moi-même ses amants. J’ai peur qu’elle aille voir ailleurs si je ne prends pas les devants.— Et ben dis-donc, je ne m’attendais pas à ça… T’es vachement large d’esprit quand même, je n’en reviens pas.— Attention, il ne faut surtout pas qu’elle se doute que l’idée vient de moi, que nous sommes complices. Tu vas devoir la courtiser dans mon dos.
— Vraiment ? T’es sérieux, tu n’y vois pas d’inconvénients ? — Si elle sent que tu la désires vraiment, elle ne résistera pas longtemps… fais-moi confiance, je la connais parfaitement. — Putain, t’es un vrai malade toi… mais tu peux compter sur moi.
Ce petit salopard avait mordu à l’hameçon, il était tout émoustillé par ma proposition.

Tout occupés à comploter, nous sommes arrivés dans la crique, sous sa maison.
— Viens, je vais te montrer…Tu vas juger par toi-même comment ma mère me traite.
Elle prenait le soleil sur la terrasse, allongée sur un transat, en maillot de bain.
— Regarde, maman, qui est revenu !
Il s’est penché sur elle, l’a embrassée sur la joue, mais elle l’a repoussé en se raidissant, visiblement excédée par son geste d’affection qu’elle trouvait manifestement déplacée.
— Bon sang, Alex, qu’est-ce que tu peux être collant ! Je t’ai déjà dit cent fois que tu es trop grand pour m’embrasser comme ça tout le temps.
Il ne m’avait pas menti. Elle refusait de partager la moindre intimité physique avec son fils. Elle était même si remontée qu’elle n’hésitait pas à le rabrouer en présence d’un étranger. J’étais si gêné que je lui ai proposé de m’offrir un café. Nous sommes rentrés dans la maison.
— Tu as raison, elle est vraiment en pétard ta maman… Qu’est-ce qui t’a pris, aussi, de l’embrasser devant moi ?— C’était juste un petit bisou, rien de bien méchant, pour que tu vois sa réaction. Elle n’assume pas ses actes, elle a des remords… je la déteste, cette hypocrite. — Tu t’es grillé avec ta mère, il n’y a pas de doute là-dessus, mais je t’assure que tu n’es pas au bout de tes surprises avec la mienne…

Sur le chemin du retour, Maman a exigé d’avoir une explication.
— C’était qui ce garçon ? Qu’est-ce que tu lui as encore raconté ? Pourquoi êtes-vous restés ensemble aussi longtemps ?— Je t’en ai parlé, tu ne te souviens pas ? Je l’ai rencontré le jour où tu as fait une insolation.— Bon sang, Maxime, bien sûr que je m’en souviens… Je ne veux pas que tu fréquentes quelqu’un qui sait ce qui se passe entre nous… Ça me rend nerveuse. — Tu n’as rien à craindre, il n’en parlera à personne.— Je le sens pas ce type, il n’a pas arrêté de me regarder bizarrement… J’ai bien vu qu’il me jugeait.— Tu te trompes, Maman, ce n’est pas du tout ce que tu crois…

Nous avons diné rapidement ce soir-là, et je l’ai entrainée tout de suite après dans le salon. J’étais si pressé que je ne l’ai même pas déshabillée avant de l’allonger sur le canapé, les cuisses écartées. Je me suis contenté de rabattre sa culotte sur le côté, et je l’ai enfilée d’un coup, toutes les lumières allumées.
J’ai imaginé que c’était Alexandre qui la saccageait, qui la faisait crier, et j’étais incroyablement excité à l’idée qu’elle subisse ses assauts avec ma bénédiction. Nous allions de plus en plus loin avec Maman, mais faire intervenir une tierce personne dans notre couple était un défi bien diffèrent de tout ce que nous avions expérimenté jusqu’à présent. Comment allait-elle réagir ? Serait-elle d’accord ? Rien n’était moins sûr.
Je me suis redressé, perdu dans mes pensées, lui ai fourré ma queue dans la bouche. Elle a, comme à l’accoutumée, avalé docilement les giclées de foutre que j’ai déchargées. Après, nous sommes allés nous coucher dans son lit. Nous n’avons pas beaucoup dormi. Nous avons parlé tard dans la nuit.

— J’ose espérer que tu plaisantais hier soir, que tu me faisais marcher ?— Mais non, j’étais très sérieux au contraire.
Nous étions allongés nus et haletant, en sueur, les yeux au plafond. Je venais de lui mettre un petit coup vite fait, histoire de commencer la journée l’esprit libre, les couilles vidées.
— Je ne suis pas une pute, Maxime ! Comment oses-tu me demander une chose pareille ?— Je sais que tu n’es pas une pute, Maman… C’est bien pourquoi je n’ai pas l’intention de faire payer mon copain. — Mais enfin, mon cul m’appartient ! Je ne vais quand même pas le donner au premier venu pour te faire plaisir. Tu as une drôle de façon de me prouver que tu m’aimes, tu ne trouves pas ?
Quand j’avais abordé le sujet la veille, elle m’avait laissé parler sans réagir, trop fatiguée pour m’affronter, mais le moment de m’expliquer plus en détail était venu. Je jouais gros, je savais qu’il fallait que je trouve les mots justes.
— Je serais anéanti si tu me trompais, si tu prenais un amant, mais c’est différent si c’est moi qui décide avec qui, où et quand, tu comprends ? — Explique-moi ce qu’il y a d’excitant là-dedans ? — J’ai envie de te voir faire des cochonneries avec lui, je n’arrive plus à penser à autre chose. — Tu veux me regarder m’envoyer en l’air avec un autre, c’est bien ça ? Mais qu’est-ce qui te prend, bon sang ? Et pourquoi lui ? Tu le connais à peine, ce garçon.— Justement, il n’y a aucun risque. — Tu n’as rien trouvé de mieux qu’un gamin ?— Alexandre n’est plus un enfant, il a mon âge.— Vraiment ? Il a l’air si jeune pourtant.— Je t’assure, il est plus vieux que moi de quelques mois.— Il n’en est pas question… Tu exagères, Maxime, tu pousses le bouchon un peu loin.— Rien qu’une fois s’il te plait, et après… — Et après, quoi ? Tu me demanderas peut-être de me faire sauter sur une aire d’autoroute par des routiers en rut, qui sait ? Et ensuite ? Une boite échangiste ? Une tournante dans la cave d’une citée ? Pourquoi pas après tout, pourquoi t’arrêter en si bon chemin ?
Elle n’avait pas tort, elle marquait des points, mais je n’avais pas dit mon dernier mot.
— Je ne t’obligerais jamais à faire quelque chose qui te déplait, que tu refuses, c’est compris ? Elle est là, ma limite.
Elle a soutenu mon regard, et j’ai vu dans ses yeux qu’elle était rassurée, que nous étions à nouveau sur la même longueur d’onde.
— Et peut-on savoir comment tu comptes t’y prendre, sale petit morveux, pour emmener ton copain dans mon lit ?
Elle se prêtait au jeu, j’étais fou de joie ; je n’en attendais pas moins de sa part. Elle n’était plus en colère, ni sur la défensive ; elle avait même retrouvé sa voix crapuleuse. Elle m’avait fait son numéro de maman outrée avec brio, mais plus pour sauver l’honneur que par réelle désapprobation. Elle était bien plus intéressée par ma proposition qu’elle ne voulait le reconnaitre.
— Ne t’en occupe pas, ce n’est pas ton problème.— J’ai le droit de savoir, non ? Après tout, c’est de mon cul dont il est question !— Je lui ai dit que tu étais constamment en chaleur, que je n’arrivais plus à te satisfaire, que tu raffolais des petits jeunes comme lui, que c’était du tout cuit. — Mais tu es vraiment dégueulasse ! Il doit me prendre pour une vraie salope, la dernière des trainées. — J’espère bien, c’est le but recherché… En plus, il a complètement flashé sur toi… Mais attention, il ne doit pas se douter que tu es complice avec moi.— Tu as tout planifié, hein mon salaud, et je suppose que tu lui as fait à peu près la même recommandation, j’ai pas raison ? — Oh, Maman, comme tu es futée, qu’est-ce que je m’amuse.— Tu devrais avoir honte de m’utiliser, de te servir de ce pauvre garçon qui ne t’a rien fait.— Il est loin d’être à plaindre si tout se passe comme j’ai prévu… Je compte sur toi pour le mettre en confiance la prochaine fois qu’on le verra.— Tu veux que je fasse le premier pas ?— Surtout pas ! Il faut qu’il croit que c’est lui qui décide… Tu ne dois pas le brusquer, juste l’aiguiller.— Mais je ne sais pas comment m’y prendre pour séduire un adolescent ! J’ai passé l’âge depuis longtemps.— Tu n’auras rien à faire, Maman, sinon le provoquer discrètement, user de tes charmes l’air de rien.
J’ai posé ma main sur sa vulve, glissé mes doigts dans sa fente.
— Mais tu es trempée, petite coquine… ça te plait ce que je te dis… tu es tout excitée toi aussi !— Tu vas me rendre folle, Maxime, je ne sais plus où j’en suis… mais ne t’arrête surtout pas, touche-moi… oui, comme ça… Baise-moi, mon chéri, baise ta vilaine maman qui accepte tout de toi.
Je l’ai honorée en prenant tout mon temps cette fois, et puis nous avons pris une douche ensemble avant de partir à la plage…
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