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Nadine, la vengeance d'une maman

Chapitre 29

Inceste
Nadine ne s’attendait pas à ça. Quel choc ! Dire qu’elle prenait Alexandre pour un enfant. Ce n’en est plus un, loin de là, mais bien un homme, un vrai. Il a une de ces triques le gamin, quel gourdin putain ! Elle en est toute remuée. Elle n’imaginait pas qu’il pouvait avoir un pareil engin, qu’il était encore mieux monté que Maxime qui se défend pourtant bien.
Il enlève son t-shirt. Tout nu, son érection parait encore plus disproportionnée ; Nadine lui reluque la queue d’un air gourmand, avec un regard un peu trop insistant. Il y a quelque chose de troublant, de vraiment obscène entre le corps fluet de l’adolescent et son sexe turgescent. Un décalage, un contraste saisissant.
Alexandre la nargue en souriant, s’approche la bite en avant ; le cœur de Nadine s’emballe, sa respiration s’accélère. Elle est au supplice, ça coule entre ses cuisses. Soudain, elle s’inquiète. Un voisin, un passant dans la rue pourrait lever la tête et les surprendre, mais elle réalise, un peu surprise, qu’elle s’en fout complètement, que ce n’est pas important.
Il s’assoit sur ses genoux, passe un bras autour de son cou. Elle le caresse distraitement. Les épaules, le dos, les flancs. Elle sait que Maxime les observe, alors elle presse le corps nu du bel éphèbe contre le sien, écrase ses gros seins sur le torse frêle. Elle lui masse les pectoraux, le ventre ; Alexandre se crispe en gémissant.
La main de Nadine descend, se saisit de la queue ; l’énorme matraque de chair palpite entre ses doigts. Quelle merveille ! Elle est aussi dure que du bois, mais tellement plus vivante. Son ventre la torture. Elle s’imprègne de l’incroyable fermeté du manche, de l’extrême douceur de la peau du gland. Tout en le masturbant, elle enveloppe dans sa paume les couilles qui pendent dessous, les soupèse tendrement.
L’adolescent n’en revient pas, il n’en attendait pas autant. Il s’agite, l’agrippe, plante ses ongles dans la chair tendre des épaules, pousse son ventre en avant. Nadine est incapable de dompter sa propre excitation. C’est le Mâle abondant qu’elle dirige, le Phallus sacré qu’elle gouverne, qu’elle amène vers l’orgasme. Elle en a oublié Maxime, le plan. Le pouvoir de la Queue est trop puissant.
Elle perçoit les premiers soubresauts qui annoncent le plaisir imminent. Alexandre se raidit, pousse un grognement ; il envoie, très loin, plusieurs giclées de foutre gras. Elle regarde émerveillée, les yeux écarquillés, le sperme qui jaillit et vient éclabousser sa jolie petite robe d’été. Elle en a partout. Elle est ahurie qu’il en produise autant.
Une fois qu’il a joui, Alexandre se lève, la regarde d’un air triomphant, se rhabille précipitamment.
— Merci Nadia, c’était vraiment super… mais je dois y aller maintenant.
Il s’enfuit presque en courant. Nadine est scandalisée – non mais quel toupet, quel goujat ce morveux ! - mais surtout effarée par son propre comportement. Elle reste assise, prostrée, se demande ce que pense Maxime en ce moment. Il ne lui laisse pas le temps de s’apitoyer longtemps.
— Alors, tu es content ? C’est ça que tu voulais ?
Elle se sent coupable alors elle aboie, montre les dents, car elle a réalisé ces derniers temps que l’attaque est la meilleure défense.
— Tu as été fantastique, Maman !

Il la regarde, les yeux brillants, et la pression retombe immédiatement. Elle se détend.
— Vraiment ? Tu ne m’en veux pas ?— Pourquoi je t’en voudrais ? Tu n’as fait que ce que je te demandais.— Tout s’est passé si vite… J’aurais dû le faire languir plus longtemps.— Mais pas du tout ! Tu l’as chauffé à blanc, tu l’as poussé à bout.— Tu trouves ? Il est odieux ce garçon… et tellement arrogant. — Il est surtout monté comme un âne, Maman !— Oh là là, tu as vu ça ! — J’ai cru que tu n’allais pas pouvoir t’empêcher de le sucer… Ne me dis pas que tu n’y as pas pensé avec la queue qu’il a !— Et ça ne t’aurait pas dérangé ?— Sans doute un peu… mais j’aurais tellement aimé te voir prendre sa grosse bite dans la bouche !— Seigneur, Maxime, tu es de plus en plus tordu, j’espère au moins que tu as conscience.— Tu ne comprends pas… Si tu lui avais taillé une pipe sous mes yeux, j’aurais été jaloux, c’est évident… mais je n’aurais pas pu t’en vouloir puisque c’était mon idée.
Nadine regarde son fils, épouvantée par son aveu, mais il y a aussi du désir, de l’incrédulité dans ses yeux.
— Ça fait longtemps que je sais que tu es pervers, mais alors à ce point… Je n’en reviens pas !
Elle se lève, sort de la terrasse en toute hâte. Une fois à l’intérieur, elle se débarrasse de sa robe, baisse sa culotte, s’installe à quatre pattes à même le sol, l’invite du regard les jambes écartées, le cul en bombe, les reins creusés.
— Viens, viens-vite sale petit vicieux… Baise-moi… Baise ta vilaine maman prête à tout pour satisfaire son petit garçon capricieux.

Nous avons atteint un sommet ce jour-là, un raffinement dans le vice que je ne soupçonnais pas, et pourtant Dieu sait que j’étais persuadé que nous n’avions plus rien à nous prouver sur le sujet.
Bien plus tard, seul dans mon lit, je n’ai pas réussi à m’endormir. J’avais tout fait pour rassurer Maman - avant de la sodomiser, après lui avoir longuement travaillé le trou du cul avec ma langue, afin de bien le préparer - mais j’étais pourtant inquiet. Alexandre avait entre les jambes un argument susceptible de faire perdre la tête à la plus amoureuse, la plus fidèle des femmes mariées, alors à plus forte raison à une femme comme ma mère qui adorait le sexe.
L’occasion faisant le larron, provoquer un nouveau tête-à-tête (façon de parler !) entre eux était le plus sûr moyen de leur permettre d’aller trop loin. D’autant plus qu’il était impossible de renoncer à Maman une fois qu’on y avait gouté, et Alexandre n’échappait pas à la règle. Il faisait désormais partie des rares privilégiés. J’avais la désagréable impression de foncer dans le mur tête baissée. Mon sommeil a été peuplé de rêves agités.

Il m’a téléphoné le lendemain matin. Il était si excité qu’il bégayait. Comme je ne voulais pas lui parler, je lui ai proposé qu’on se retrouve à la paillotte à l’heure du déjeuner, en guettant du regard l’approbation de Maman.
— Non ! Fous-moi la paix ! Je n’ai pas envie d’y aller !
Elle murmurait, faisait de grands gestes ; j’ai confirmé avant de raccrocher.
— Je ne veux pas le voir, mon chéri… Restons à la maison… tous les deux… Tu vas voir, Maman va bien s’occuper de toi.
Elle s’est jetée sur moi, m’a poussé dans le canapé ; elle s’est agenouillée, a déballé ma queue et s’est mise à la sucer avec une frénésie, une fougue qui trahissait son émoi. Quand j’ai senti que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps, je lui ai proposé de venir s’allonger sur moi. J’avais envie de lui lécher la chatte pendant qu’elle me bouffait le nœud, mais elle n’a rien voulu savoir. Elle a continué à me pomper, recroquevillée à mes pieds, jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche. Elle a tout avalé, et, juste après, elle s’est vicieusement passée la langue sur les lèvres en me regardant droit dans les yeux.

Alexandre nous attendait, assis au comptoir, nous a fait signe quand nous sommes entrés. Il exultait. Je voyais que Maman était contrariée, qu’elle ne savait pas comment se comporter. Nous avons bu des fruits pressés, bavardé comme si de rien n’était, et puis j’ai proposé qu’on aille tous se baigner. Elle a décliné l’invitation.
— Alors, dis-moi, comment ça s’est passé avec ma mère ?
Nous nous sommes éloignés du rivage, avons barboté au large afin que notre conversation reste privée.
— C’était fantastique mec, elle t’en a pas parlé ?— T’es malade ou quoi ? Je te rappelle qu’elle n’est pas au courant de notre petit arrangement.— C’est vrai, pardon, mais t’avais raison… Qu’est-ce qu’elle est chaude ta mère ! — Je t’avais prévenu.— Putain… Oh putain mec ! Qu’est-ce qu’elle aime la bite… C’est vraiment une folle du cul ta maman ! — Tu l’as baisée ?— Non, pas encore, elle m’a juste branlé… mais tu m’as pas menti… Il ne faut pas lui en promettre à cette salope !
Il n’était pas seulement odieux et arrogant, il était vraiment très con pour oser me parler d’elle sur ce ton.
Ou alors très sûr de lui.
C’est à ce moment précis que j’ai compris qu’il était convaincu qu’il se la taperait un jour ou l’autre, que ce n’était qu’une question de temps pour lui, une simple formalité, et qu’il avait l’intention de se l’envoyer avec ou sans mon accord. J’étais à deux doigts de lui dire la vérité, de le renvoyer jouer à touche-pipi avec sa mère névrosée, mais je me suis repris. Je n’en avais pas fini avec lui. Puisqu’il le prenait ainsi, il allait être servi. Je jouais avec le feu, mais j’avais confiance en Maman ; jamais elle ne me trahirait.
— Vous avez prévu de vous revoir ?— Pas vraiment… mais je peux te dire qu’elle en meure d’envie.— Tu m’as l’air bien sûr de toi.— Fais-moi confiance mec, elle n’attend que ça.— Et qu’est-ce qui te fait croire que c’est le cas ?— T’aurais vu comme elle était déçue quand je suis parti… Elle voulait que je reste… que je la baise… mais c’est toi qui décide mon pote… C’est toi le boss !
Il me caressait enfin dans le sens du poil, me passait de la pommade mais un peu tard, et surtout je n’étais pas dupe ; il était plein de morgue, m’insupportait.
— Tu ne peux pas revenir chez nous, c’est trop risqué… Elle va finir par se douter de quelque chose.— Ne t’en fais pas pour ça. Téléphone-moi le moment venu, et je m’occuperai du reste… Tu trouveras bien une nouvelle excuse pour t’absenter, pas vrai ?
Nous sommes sortis de l’eau, avons mangé un morceau, et Maman a demandé qu’on rentre juste après. Ça tombait bien. Je ne supportais plus cet idiot qui la mettait mal à l’aise avec ses allusions de lourdaud. Nous n’avons pas dit un mot dans l’auto.

Arrivés à la maison, je l’ai tout de suite entrainée dans sa chambre. L’attitude d’Alexandre m’avait exaspéré, mais pas seulement ; j’étais incroyablement excité, j’avais envie de la faire crier. Elle m’a suivi en trainant un peu des pieds, mais docilement, avec cette étonnante soumission canine qu’elle adoptait chaque fois je prenais l’initiative et qui me surprenait toujours autant.
Nous avons fait l’amour tout l’après-midi. J’ai profité de son corps jusque tard dans la nuit. Elle s’est comportée, du début à la fin, comme un objet sexuel à ma disposition, une poupée de chair malléable à souhait qui ne dit jamais non, qui accepte toutes les perversions. Elle avait d’instinct compris que je la voulais absolument passive.
Alors que nous somnolions dans le noir, dégoulinant de sueur, allongés sur le dos main dans la main, épuisés par nos innombrables excès, je lui ai expliqué comment Alexandre envisageait la suite, et elle est aussitôt sortie de sa torpeur.
— Sois raisonnable mon chéri, ce petit jeu a assez duré. — Au contraire Maman, il ne fait que commencer.— Mais que cherches-tu à la fin, qu’est-ce que tu veux prouver ?— La prochaine fois que vous vous verrez, tu ne vas pas te contenter de le branler... C’est moi qui te le dis !— Ah bon ? Et que va-t-il se passer, d’après toi ? — Tu vas lui sucer la queue, lui lécher les couilles, le trou du cul… Tu vas le rendre fou… Je veux qu’il ait envie de te baiser à en crever, cet enculé !— Mais pour quelle raison, à quoi bon ?— Laisse-moi finir, je n’ai pas terminé… Juste avant de passer à l’acte, tu le repousseras… et tu éclateras de rire.— Où veux-tu en venir, bon-sang ?— Tu ne comprends toujours pas ? C’est le moment que je choisirai pour me montrer… Il réalisera qu’on s’est foutus de sa gueule depuis le début, que nous l’avons manipulé, que nous sommes complices tous les deux.— Explique-moi donc un peu pour quelle raison je ferais une chose pareille ?— Parce que ce connard s’imagine que l’as dans la peau, que tu n’en as plus rien à foutre de moi… Il va comprendre sa douleur, ce sale petit fumier.— Mais c’est ridicule, voyons ! Ton histoire ne tient pas debout !— Fais-moi confiance, ça va marcher.— Admettons… mais tu te rends compte de ce que tu me demandes ? Pour qui va-t-il me prendre ?— Tu crois que ce qu’il pense de toi est important ? C’est nous qui nous servons de lui, pas l’inverse… C’est notre petit jeu à nous, pas le sien. — Non, mon chéri, c’est ton petit jeu à toi, seulement le tien, et je n’ai plus envie de jouer.— Allez quoi, s’il te plait… Je te promets que je ne te demanderai plus rien après, mais laisse-moi humilier cet enfoiré… Je t’en supplie, Maman !

Elle a allumé sa lampe de chevet, s’est assise en haut du lit. Elle avait le visage ravagé, les yeux cernés. Elle était à bout de nerfs.

— Ce n’est pas une bonne idée, tu sais… Tu risques de vraiment le regretter.— Pas si tu fais exactement ce que j’ai dit.
Elle a soupiré, haussé les épaules, m’a lancé un regard désabusé.
— Je suis fatiguée… Je voudrais que tu me laisses dormir maintenant.
Je me suis approché d’elle, ai glissé ma langue dans sa bouche en laissant ma main s’attarder sur ses seins. Elle a sursauté, m’a vivement repoussé. Je n’ai pas insisté, suis sagement retourné dans ma chambre.

Je savais qu’Alexandre lui plaisait, qu’il lui faisait beaucoup plus d’effet qu’escompté, mais j’étais tellement aveuglé par mon acharnement à vouloir le faire payer que j’ai refusé d’en tenir compte. J’aurais dû me douter qu’il est impossible d’humilier quelqu’un qui se fait sucer sous les yeux de son rival consentant. C’est même tout le contraire qui a des chances de se produire. Le seul qui courait à la catastrophe, avec ce stupide projet qui ne pouvait que mal tourner, c’était moi. Le caprice dérisoire d’un sale gosse trop gâté qui prend ses désirs pour la réalité.

Car en poussant ma mère à agir de la sorte, je ne faisais que précipiter ce qu’Alexandre avait parfaitement anticipé : je la lui offrais sur un plateau…
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