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Naissance d'un fantasme

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
C’était un vendredi soir et nous avions décidé avec Emma de passer une soirée grignotage devant la TV. J’étais en train de préparer les petits fours pendant qu’Emma était derrière moi en train de découper des crudités en bâtonnets. Elle était vêtue d’un petit déshabillé noir transparent avec un soutien-gorge et un string en dessous. Elle était d’humeur coquine ce soir là. Elle collait ses fesses sur moi, posait sensuellement des tomates cerises dans ma bouche, m’embrassait à chaque fois qu’elle en avait l’occasion… La soirée s’annonçait plutôt bonne et je sentais l’excitation grimper en moi. J’attrapai Emma par les hanches et parcouru son corps avec mes mains sous son déshabillé, en arrivant au niveau de son soutien gorge je décidai de le dégrafer d’un geste habile. Elle me regarda en souriant et me dit : 

-Tu es en forme ce soir ! -C’est toi qui me rend comme ça, et l’idée de voir tes magnifiques seins a travers cette nuisette me motive beaucoup. 

Elle passa alors ses bras hors de son soutien-gorge et l’enleva d’un coup sec en le balançant dans le salon. Son déshabillé laissait apparaitre clairement les tétons clairs de son 90C en détail ainsi que son string en dentelle noire. Elle se retourna et se cambra légèrement pour continuer de découper ses légumes, j’admirai le spectacle avec une érection qui commençait a grandir dangereusement. Je pris la décision de venir me coller à ses fesses en prétextant avoir besoin d’un ustensile dans le placard au dessus d’elle. En cherchant un peu je ne trouvai alors rien d’autre que la boite à thé. Elle se retourna et me regarda en éclatant de rire : 

-Il est curieux ton ustensile, je ne suis pas sûr que les sachets de thé soient d’une grande aide pour tes petits fours. 

J’éclate de rire a mon tour puis sur le ton de l’humour lui dis que le thé est aphrodisiaque avec les mini croque-monsieur. Elle sourit et me regarda dans les yeux : 

-Je n’aurai pas besoin de ça ce soir, en retournant à sa découpe.

Mon excitation était au stade de l’ébullition, mais je préférai ne rien faire pour le moment et lui laisser prendre les commandes quand elle le souhaiterais. Je pris la grille de petits four et tentai d’ouvrir le four avec mon pied lorsque la sonnette de la maison retenti. Emma me regarda et je lui montrai que je ne pouvais pas y aller car j’étais en situation périlleuse avec ma grille, mon four et mon pied. Je la vis faire un signe de tête et sortir de la cuisine en se dirigeant vers la porte. Je continuai de lutter contre mon four pour arriver à l’ouvrir puis je me figeai d’un coup sans bouger… Je venais de réaliser qu’Emma allait ouvrir la porte dans une tenue plus que légère. J’écoutai ce qu’il se passait et je l’entendis entrouvrir la porte : 

-Bonjour Pierre vous allez bien ? -Oui Emma ça va et toi ? Je venais récupérer mon pistolet à colle que je t’avais prêté, Annie en a besoin. 


Pierre et Annie étaient nos voisin, c’était un couple de jeune retraité de 65 ans avec qui nous avions de très bon rapport. Toujours figé avec ma grille j’imaginai Emma, pudique comme elle est, se cacher derrière la porte en ne laissant dépasser que sa petite tête. 

-Bien sur, je vais vous chercher ça tout de suite, entrez ! -D’acc… euh… D’accord, dit-il doucement

Et c’est à ce moment que j’entendis la porte s’ouvrir en grand et se refermer derrière Pierre. A sa réponse j’imaginais que l’homme avait pu avoir la chance de voir Emma dans cette tenue. 

Je posai alors la grille sur le plan de travail de la cuisine, me précipitai dans le salon et la je vis Emma marchant devant Pierre vers la table du salon, Pierre ne perdit pas une miette de la vision que lui offrait Emma. Elle avait des fesses quasi-parfaite, elle faisait beaucoup de sport, ce qui lui donnait des fesses bien rondes et fermes. A la vue de cette scène mon coeur battait à 100 à l’heure, j’étais tellement excité, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, ma Emma si pudique habituellement venait de passer un cap d’exhibition extraordinaire, elle n’avait jamais été pudique avec moi mais lorsqu’il s’agissait des autres, c’était limite si elle ne sortait qu’en manches longues.Mais elle était là exposant presque la totalité de son corps nu à notre voisin. J’étais tellement excité, je prenais un plaisir incroyable à contempler ce qu’il se passait ! 

-Bonjour Antoine, vous allez bien ? -Ça va très bien et vous ? -Ca va. 

Je crois que nous étions tous les deux autant déboussolé l’un que l’autre de ce qui se déroulait sous nos yeux.

-Asseyez vous Pierre, vous voulez boire quelque chose pendant que je vais chercher le pistolet ? lui demanda Emma d’un naturel troublant compte tenu de la situation. -Non, ne vous embêtez pas, je file tout de suite je ne veux pas vous déranger-Mais vous ne dérangez jamais Pierre asseyez vous, Antoine va vous ramener quelque chose. 

Puis elle parti à l’étage. Je regardai Pierre en souriant : 

-Que désirez-vous Pierre ? Verre d’eau ? Café ? Whisky ?

Me connaissant bien en tant que grand amateur de Whisky, il savait que je lui offrirai un très bon verre. Il opta donc pour un whisky. Je me dirigeai alors vers la cuisine et sortis deux verres à Whisky pour finir au bar du salon. Je servis deux verres de Lagavulin 16 ans d’âge quand j’entendis Emma redescendre en râlant qu’elle ne trouvait pas le pistolet à colle. 

-Tu ne l’as pas mis dans le placard ? lui dis-je-Ah mais oui il doit être ici, je l’ai utilisé avant-hier, me répondit-elle-Sinon je reviendrai plus tard, ne vous embêtez pas Emma, dit alors Pierre. 

Je me disais que Pierre aimerait beaucoup repasser une prochaine fois pour pouvoir contempler le même genre de spectacle que lui offre actuellement Emma. Emma ouvrit alors le placard du salon qui se trouvait a quelques mètres de nous et commença à fouiller. 

-Alors Pierre, la mustang roule toujours ? -Toujours, nous allons la sortir ce week-end avec Annie pour faire une virée au bord de la mer. -Ah je comprends, nous aimons faire ça également avec ma petite décapotable quand il fait beau. -…

Pierre avait la tête tournée vers Emma et ne me regardait plus, je ne comprenais pas pourquoi jusqu’à ce que je tourne moi-même la tête. 

Emma était à 4 pattes en train de fouiller en bas du placard, elle était cambrée les fesses en l’air sous nos yeux. Sa nuisette était tellement courte que dans cette position, elle lui arrivait en haut des fesses et nous laissait jouir d’une vision magnifique de son string noir transparent. 

-J’ai trouvé, s’écria-t-elle ! 

Elle se releva, se retourna, sa poitrine à notre hauteur s’avançait vers nous en rebondissant à chaque pas. Elle posa le pistolet à colle sur la table et s’étonna de ne rien avoir à boire. Je m’excusai en lui demandant ce qu’elle souhaitait.

-Il doit y avoir de la bière au frais s’il te plait. 

En revenant avec sa boisson je les vis s’installer devant la table basse du salon. 

-On sera plus a l’aise sur le canapé non ? me dit Emma-Oui tu as raison, je n’y ai pas pensé. 

Emma retira le soutien-gorge qui avait atterri sur le canapé quelques minutes plus tôt comme s’il s’agissait d’un coussin ou d’un autre objet banal. Je vis Pierre rougir en détournant le regard pour faire comme s’il n’avait pas remarqué.

Pierre s’installa dans le canapé, Emma devant sur le fauteuil et moi a coté du voisin. 

Emma était assise devant nous, adossée au fond du fauteuil, les jambes croisées, son 90C déployé sous nos yeux grâce à la transparence de son déshabillé. Elle commença à discuter de la voiture de Pierre. J’étais plongé dans mes pensées, je réfléchissais à ce que je ressentais à ce moment précis. En tournant en rond j’arrivais toujours au même point, je prenais un vrai plaisir à voir ma Emma dénudée devant les autres. Je repensais à cette promenade au bord de la mer il y a deux semaines, je regardais ce qu’il se passait sous mes yeux et imaginais peut-être d’autres scénarios du genre… Le faisait-elle exprès ? Elle, que je pensais si pudique. Est ce que je devais lui en parler ? Je restais pour le moment sans réponse. Une chose était sur, un nouveau fantasme, une nouvelle envie venait de naître en moi. 

Je repris mes esprits et pris part à la conversation en scrutant attentivement ce qui se déroulait. Pierre ne regardait pas beaucoup Emma dans les yeux, sauf quand elle s’adressait à lui. Moi il ne me regardait pas du tout, ce que je peux comprendre. L’excitation était telle que je dus cacher mon érection avec un coussin. Jobservais Emma à moitié nue discutant de son travail, puis Pierre pour voir ses réactions à chaque mouvement de jambes de Emma. En observant son pantalon, je vis même une bosse de déssiner. Pierre devait être très heureux d’avoir pris la peine de venir chercher son pistolet à colle ce soir là.

 Après quelques minutes à discuter de tout et de rien Pierre décida de rentrer chez lui, nous nous levâmes, il me serra la main et je vis Emma le raccompagner jusqu’à la porte, marchant devant lui,  offrant la vue de ses fesses cachées partiellement par sa nuisette et son string noir. Elle ouvrit la porte et s’écria : 

-Attendez Pierre vous oubliez votre pistolet à colle ! 

Elle se retourna et couru vers la table pour aller chercher l’objet. Quelle vision magnifique, sa poitrine rebondissait au rythme de ses pas, sa nuisette se soulevait laissant apparaitre complètement le bas de ses fesses. En arrivant devant la table, une bretelle de sa nuisette avait glissé de son épaule laissant le magnifique sein de ma Emma à l’air libre. Pierre attendait à la porte et ne la voyait que de derrière, je me dis qu’elle allait remonter sa bretelle avant de se retourner, mais ma stupeur fut complète lorsqu’elle fit volte face avec le pistolet dans les mains ainsi que son sein nu. Elle se dirigea d’un pas pressé vers Pierre qui paraissait encore plus troublé que tout a l’heure. Elle transmit l’objet au retraité et fit un geste du bras pour remonter sa bretelle tout en le saluant. Emma ferma la porte, se dirigea vers moi, m’embrassa avec passion et me pris la main pour m’emmener dans la cuisine finir ce que nous avions commencé. 

Ce soir là, nous avons fait l’amour sauvagement contre la table du salon, mais n’avons pas parlé de ce qu’il s’était passé… Je me demandais pourtant si cette scène avait été faite volontairement, ou pour m’exciter, ou innocemment. Je mourrais d’envie de lui dire ce que j’avais ressentis, que j’aimerais revivre des situations pareil mais pour une raison que j’ignorai, j’avais peur de lui en parler. 

Pendant les semaines suivantes je repensais souvent à ce qu’il s’était passé, mais rien de similaire n’arriva jusqu’à ce que …

La suite au prochain chapitre.
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