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naissance de sonia

Chapitre 1

Travesti / Trans
C’était la fin d’après midi sur une route de la forêt noire et je tentais de rentrer chez moi en stop après un week-end passé chez des amis allemand. Je m’étais retrouvé coincé à la sortie d’une petite ville ; les voitures se faisaient de plus en plus rare et je commençais à m’inquiéter de savoir ou passer la nuit lorsqu’une voiture s’arrêta à mon grand soulagement. Le chauffeur un homme d’une cinquantaine d’année me demanda ou je souhaitais aller et je tentais de lui expliquer dans un allemand très approximatif ma destination. Il m’invita à monter dans sa grosse berline. Il engagea la conversation mais constatant mes limites dans sa langue natale il se contenta de questions simples auxquelles j’essayais de répondre de mon mieux. J’étais français en vacances et en visite pour quelques jours dans son pays. J’avais menti sur mon age en lui disant que j’avais 18 ans (j’en avais 16) sans savoir trop pourquoi et il m’avais regardé d’un drôle d’air sans doute à cause de mon air juvénile qui me faisait passer plutôt pour plus jeune. La conversation tournait un peu court et de temps en temps il me jetait des regards de côté ou me lançait quelques mots en riant auxquels je ne comprenais rien. Aussi par politesse je lui répondais par des sourires un peu gênés. Le soir commençait a tomber et a un moment il se pencha vers la boite a gant d’où il sortit une revue en papier glacée m’invitant à la consulter. C’était une revue en allemand bien entendu et la couverture ne laissait rien présager de son contenu. Je l’ouvris au hasard et ce que je vis me fit rougir jusqu’aux oreilles instantanément. C’était une photo pornographique ou l’on voyait une jeune et jolie transsexuelle en train de s’accoupler avec deux mâles très virils. Il faut dire qu’en raison de mon âge je n’avais quasiment aucune expérience du sexe et compte tenue de mon extrême timidité mon expérience avec des filles se résumait a quelques baisers plutôt chastes. Dans le monde virtuel de l’internet j’avais poussé les choses un peu plus loin ; il m’était arrivé de visiter des sites pornos et parfois même je m’étais attardé sur des sites de trans qui je dois l’avouer m’avaient profondément troublé. Ne sachant comment détacher mon regard de cette image, je sentais mon cœur battre a tout va mes mains devenir moites et mes joues en feu. Mon chauffeur m’invita a poursuivre ma lecture en riant et je m’exécutais machinalement. A chaque nouvelle vision c’était un choc et je sentais perdre tout contrôle de moi-même. A ma peur et ma confusion extrême s’était ajouté à ma grande honte le désir manifesté par une forte érection. L’homme me dévisageait avec plus d’insistance et m’apostrophait avec des expressions plus hardies. Je continuais à tourner les pages ne pouvant m’empêcher de détailler chaque scènes tiraillé par de multiples émotions contradictoires : honte peur désir …. Ma volonté semblait anéantie et quand il posa sa main sur ma cuisse et la fit glisser sur mon sexe je restais sans réaction hormis mon sexe qui se mit à réagir de lui-même répondant à ces attouchements par de petits soubresauts. Habilement l’homme me tenait sous son contrôle et sa voix grave et maintenant autoritaire me donnait des ordres auxquels je ne comprenais rien. Joignant le geste à la parole il me fit comprendre d’écarter les cuisses pour pouvoir m’explorer plus à loisirs. Il avait réduit considérablement sa vitesse sur cette route isolée ou de rares voitures nous croisaient ou nous dépassaient. Il promena un instant sa main libre sur mon visage s’attardant sur mes lèvres puis m’intima l’ordre d’ouvrir ma braguette. Soumis a sa volonté je m’exécutais et sortis mon sexe tendu et humide de désir qu’il s’empressa de saisir en le pressant et en éructant. Il me fit alors comprendre d’enlever chaussures slip et pantalons ce que je fis machinalement, étant complètement soumis à sa volonté. Soudain il engagea sa voiture dans un chemin de traverse et après quelques dizaines de mètres arrêta le moteur en plein milieu d’un bois. Assis sur le siège passager, le pantalon et le slip baissé il continuait a me presser le sexe pour maintenir l’excitation observant sa proie. Incapable de me confronter à ma peur j’avais renoncé à toute forme de révolte et accepter ma soumission. Parlant d’abord pour lui même il m’ordonna de fermer les yeux. Je l’entendis chercher sur la banquette arrière et puis appliquer sur mes yeux un bandeau. Il repoussa mes chaussures et pantalons et m’ordonna d’enlever veste t-shirt chaussette. J’étais maintenant complètement nu. Il fit reculer son siège pour être plus a son aise. Je sentais qu’il fixait sur mon cou un collier ou il attacha une laisse. J’entendais sa voix de plus en plus excitée ; il tira sur la laisse pour me faire mettre a genoux écartant les jambes pour que je me retrouve face a lui. Il se mit ensuite a me caresser la tête puis les épaules le dos les fesses tout en proférant des paroles de satisfaction. Puis après un moment il me pris une main et la dirigea vers son sexe qu’il avait libérer. M’accompagnant du geste il me fit comprendre de le branler. Pendant que je m’activais timidement sous ses ordres , il poursuivit son exploration de mon anatomie s’attardant sur ma queue satisfait de sentir mon incontrôlable excitation. Mouillant ses doigts au jus qui s’échappait de mon sexe il les plongea dans ma bouche qu’il maintenait ouverte faisant en sorte que mes lèvres deviennent humides. Il s’attarda dans ma bouche et je me mis a lécher ses doigts en un acte de soumission absolu. Apparemment très satisfait il m’encourageait à m’abandonner totalement a son désir par des commentaires grossiers et des attouchement sans équivoques. Cela dura quelques temps puis je sentis quelque chose m’effleurer la narine avec une très forte odeur de produit pharmaceutique. M’ordonnant de l’inhaler je m’exécutais. Aussitôt la tête me tourna et mon cœur se mit a battre a tout va sentant des vagues de chaleurs m’inonder et me plonger dans un état de semi inconscience. Tirant fermement d’un main sur la laisse il me fit ouvrir la bouche de l’autre en y introduisant son sexe dur et épais. Je commençais a téter et totalement soumis a sa volonté je me sentis submerger par un désir irrépressible. De cette manière je fus initié à ma première fellation. D’abord gauchement je m’enhardissais progressivement sous ses directives me laissant complètement aller au plaisir et a la jouissance de cette situation, encouragé par ses remarques ordurières, ses caresses lubriques, exalté par le puissant aphrodisiaque qu’il m’administrait régulièrement. Prenant conscience que j’étais devenu une chienne, sa chienne, la barrière de la langue n’étant plus un obstacle, j’appris a satisfaire son désir en devenant une bonne suceuse. Après m’avoir longuement initié à cette pratique il me déchargea son foutre en bouche que je reçus frissonnant de désir et de jouissance. Après m’avoir fait faire sa toilette intime dans les règles, nous restâmes un moment silencieux puis il m’enleva mon bandeau et se mit a me caresser la croupe en me félicitant avec des mots crus. Puis ouvrant la portière, il sortit en me tirant a sa suite avec la laisse. Il faisait presque nuit maintenant. Me faisant avancer a quatre pattes il se dirigea vers l’arrière du véhicule et ouvrit le coffre d’où il en sortit un petit sac. Toujours a 4 pattes il m’écarta les fesses pour m’enduire l’anus d’un gel puis y introduisit un gode avec délicatesse. Il sortit d’un autre sac des vêtements qu’il me fit essayer et je me trouvais bientôt portant un string et une robe courte et moulante , mes premiers habits de femelle. Il sortit également des menottes de poignet et de cheville et retournant a la voiture me fit assoir sur le siège passager ; m’aidant a fixer les menottes il m’attacha les pieds au bas du siège, relia les menottes de poignets par une chaîne courte. Etant correctement entravé, il sortit un bâton de rouge a lèvres qu’il m’appliqua. Satisfait du résultat il mit le moteur en marche et fit la manœuvre pour rejoindre la route. Tout en roulant dans la nuit pour une destination connue de lui seul, il continuait a parler pour lui même profitant par instant du spectacle de la proie docile que j’étais devenue, une main tantôt posée sur ma cuisse tantôt sur mon sexe et prononçant en riant ses mots « Sonia, scheune bube ». Moi, en tenue de fille, le cul chauffé par le gode, la bouche encore humide de son foutre, l’esprit embrumé par les vapeurs du poppers je laissais défiler les images de ma première fellation, les photos pornographiques et, entravé menotté, je prenais conscience de la créature lascive et soumise qui venait de naître.
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