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Naissance d’une furie

Chapitre 2

Hétéro
CHAPITRE 2
Le jour se lève, le rayons du soleil viennent caresser la joue de Coralie. Elle émerge doucement, toujours enfouie dans les bras de l’homme avec qui elle a tant partagé hier. Elle se lève discrètement pour ne pas le réveiller et se dirige dans la salle de bain, elle a besoin de se rafraichir et de se remettre de ses émotions. La jeune femme découvre ainsi la salle de bain du chalet, le sol est en carrelage gris clair, les murs sont en bois sombre et un grand miroir orne la moitié de la pièce. Elle se regarde de longues minutes, appréciant son corps. Coralie est sportive, ses cuisses la fontcomplexer mais elle aime son dos tracé et musclé, ses seins ne sont pas très gros mais ils sont fermes et bien ronds, c’est un de ses atouts préférés.
Ses mains ouvrent délicatement la grande porte vitrée et elle entre dans la douche italienne, tellement grande qu’elle pourrait accueillir cinq personnes. Elle règle l’eau sur une température élevée, profite de ce moment intensément relaxant et la pièce s’envahit rapidement d’une buée épaisse pouvant laisser croire qu’on se trouve à Londres un matin de printemps. C’est le moment que choisi Tristan pour entrer à son tour dans la pièce. Les deux amants poursuivent leur routine matinale comme si de rien n’était, non sans profiter mutuellement de la vue qu’ils s’offrent.— Bien dormi?— Très bien merci, et toi? Je ne voulais pas te réveiller, j’espère ne pas avoir fait trop de bruit.— Oui, je suis en pleine forme. Ne t’inquiète pas, j’ai entendu le bruit de la douche, et je me suis dépêché de venir, je comptais bien profiter duspectacle!
La matinée se poursuit dans une ambiance timide et aucun des deux tourtereaux n’aborde la partie de jambes en l’air partagée la veille. Après le petit déjeuner, ils décident d’aller faire quelques courses et se renseignent sur les itinéraires de randonnées à proximité. Il est donc convenu qu’après le repas de midi, ils iraient marcher quelques heures dans la nature enneigée qui les entoure. Ils sont sportifs, habitués aux longs efforts de marche et passent l’après-midi à parcourir les kilomètres de pistes à un rythme effréné. De grands conifères se dressent sous leurs yeux,ornant le relief immaculé de blanc, il n’y a rien de plus évasif et de reposant, Coralie est sur un petit nuage. Elle l’est d’autant plus qu’elle est accompagnée de son flirt, qui passe son temps à la reluquer sans gène. Il la dévore du regard, abandonnant ses mains à des gestes entreprenants.
Il est maintenant 19 heures et ils sont de retour au chalet. Epuisés après leur journée d’excursion, ils filent tour à tour dans la salle de bain et se préparent pour la soirée. Coralie est chargée du repas, elle met tout en œuvre pour qu’ils passent une soirée parfaite. Elle a préparé un risotto de crevettes et chorizo, recette qu’elle maîtrise à merveille. Pour couronner le tout, elle a enfilé sa plus belle robe, plutôt courte elle lui arrive à mi-cuisse et légèrement fendue sur le côté gauche, les manches en dentelle laissent apparaître la peau de ses bras, le décolleté fait deviner quant à lui ses petits seins nus puisqu’elle ne porte qu’un petit tanga bleu comme sous-vêtements.
Le repas commence, les deux amis se dévorent des yeux, une tension sexuelle est littéralement palpable dans la pièce.— Il serait temps d’ouvrir cette bouteille de vin blanc Tristan, tu ne crois pas?— Je m’en occupe! J’espère qu’il sera aussi délicieux que toi.— Quel baratineur celui-là, j’en conclu que ma robe te plaît?— Elle te va terriblement bien, elle met tes hanches en valeur et donne un terrible avant goût de tes seins. Coralie rougit en entendant les mots flatteurs de son ami, elle le cache mais cela lui a fait grandement plaisir. Même un aveugle verrai à quel point ils ont envie de s’envoyer en l’air tous les deux. Une seule question se pose, lequel lancera les hostilités en premier?
Légèrement éméchée, c’est elle qui semble prendre les devants. Elle se lève, fait le tour de la table et presse sa bouche contre celle de Tristan, force le passage avec sa langue timide et lui roule une pelle. Il reste bêtement assis, surpris, c’est la deuxième fois qu’elle se jette sur lui telle une affamée. La réaction du jeune mâle ne se fait pas attendre, il se sent à l’étroit dans son pantalon, rien de plus normal car une incontrôlable érection s’empare de lui. Leur bouches brillantes de salive se séparent, lui est toujours assis sur sa chaise et il la regarde dans le bleu profond de ses yeux. La furie en puissance continue dans son élan entreprenant et lui demande :— Enlève ta chemise, mets toi torse nu, pose tes mains sur la table et ne bouge plus.

Tristan s’exécute et s’immobilise en la regardant. Elle vient de faire quelques pas en arrière et s’assoit dans le gros fauteuil en cuir noir en face de lui. Ses doigts font glisser son tanga le long de ses cuisses, offrant son intimité à la vue de son ami. Coralie sait qu’il la désire, elle a décidé d’en jouer et écarte ses jambes en les posant sur les accoudoirs du fauteuil. Sa main gauche libère sa poitrine, ses tétons dressés sont dur d’excitation, tandis que sa main droite s’engouffre entre ses lèvres déjà humides.
L’étalon n’en croit pas ses yeux, cette garce est-elle réellement entrain de se doigter devant lui en toute tranquillité? Trop bouillonnant pour rester passif, il tente de se lever mais il est très rapidement rappelé à l’ordre :— Je t’ai demandé de garder tes mains sur table et de ne pas bouger! Regarde moi, c’est tout.L’homme obtempère, et esquisse un sourire diablement pervers en la fusillant du regard. En guise de punition, Coralie décide de reprendre de plus belle ce qu’elle faisait et s’enfonce deux doigts, puis trois aussi profondément qu’elle peut dans son vagin en poussant de forts gémissements. Elle prend plaisir à maîtriser les émotions de Tristan, qui reste tant bien que mal impuissant en regardant cette sirène se donner du plaisir, encore et encore. Elle se mets à trembler, ferme les yeux en fronçant les sourcil, elle va jouir, là sous le regard de son voyeur.— Aaaah! Oh putain! lâche-t-elle entre ses dents.
Étourdie, les doigts engourdis, elle se relève et le rejoint d’une démarche téline et plonge deux de ses doigts trempés de cyprine dans la bouche de son captif. Maintenant tu peux te déshabiller, j’ai fini de jouer, nous pouvons passer aux choses sérieuses. Je suis toute à toi. "Je suis toute à toi", il ne fallait pas le dire deux fois.— Tu es sûre? Tu es prête à assumer ce que tù viens de me faire subir?— Oui, baise moi s’il te plaît, j’en meurs d’envie.
Tristan enlève sauvagement la robe de sa tortionnaire et la jette au sol, il défait ensuite sa ceinture, ouvre son pantalon qui tombe sur ses chevilles, libérant sa queue qui se dresse comme un pieu.— Mets toi à genoux, ouvre la bouche et tire la langue.Elle obéit sagement et s’offre à lui. Prenant son membre en main, il le fait glisser sur sa joue, le claque à deux reprises sur la langue tirée devant lui et l’enfonce dans sa bouche. Il pousse un râle de soulagement.— Oooh c’est bon ça. Garde le rythme!Coralie met du cour à l’ouvrage, elle croise ses mains dans son dos et s’applique à le sucer en essayant de ne pas lui faire sentir ses dents, chose compliquée étant donné la taille généreuse. Il lui baise la bouche et elle accepte docilement. Il va jusqu’à marteler l’entrée de sa gorge, manquant de l’étouffer à plusieurs reprises. De la salive s’échappe de sa bouche, coulant sur ses seins et le sol.
Satisfait, Tristan attrape les cheveux de Coralie et la retire de sa queue. Un filet de bave relie ses lèvres à son gland, qu’elle s’empresse d’attraper avec ses doigts pour l’avaler. Il la relève en la tenant toujours par les cheveux, la soulève pour la prendre dans ses bras et la dépose sur la table. Elle est sur le dos, les cuisses écartées, comme si elle lui était offerte. Il se penche entre ses jambes et dépose sa langue sur le clitoris de sa belle quisursaute de plaisir en attrapant ses cheveux. Plusieurs de ses doigts viennent fouiller son intimité pendant que sa langue de feu continue ses mouvements précis.— Aaaah putain c’est bon! Je n’en peux plus, prends moi je t’en prie!
Il ne sait pas si c’est un ordre ou si elle l’implore, mais peu importe il va lui donner satisfaction. Il se redresse, prends les jambes de la jeune femme sur ses épaule, plonge ses yeux dans les siens et approche son membre de l’entrée de son vagin. Il peut lire dans son regard qu’elle le supplie de la pénétrer. Lentement, il la lui met. Elle sent chaque centimètre et chaque veine entrer en elle, elle se tortille de plaisir. Les coups de reins sont lents et profond, les respirations des deux amants semblent suspendues.— T’aimes ça hein? Je savais que tu étais une petite chienne.Ces mots résonnent dans la tête de Coralie, il avait raison, elle adorait qu’il la prenne comme ça et à cet instant, elle était vraiment sa chienne. Elle lui fait un signe de tête pour acquiescer entre deux couinements, et ça le rend fou. Il accélère le mouvement et la pilonne, ses jambes toujours sur épaules, il la percute profondément, son bassin claque sur ses cuisses et ses fesses.
Elle adore cette position, il ne lui faudra que quelques minutes pour avoir un orgasme intense qui lui procurera un plaisir inimaginable. Ses ongles sont plantés sur les avant-bras de son bourreau et ses lèvres sont meurtries tellement elle s’est mordue. De grosses gouttes de sueur perlent sur son front et ses yeux se révulsent. Tristan est au bord de jouir en voyant ça, et elle le sait. Il se retire doucement, et laisse les jambes tremblantes de sa conquête se reposer doucement.
— Achève moi, baises moi la gorge pour en finir s’il te plait, dit-elle en levant les yeux vers lui.Coralie joint le geste la parole et se mit de nouveau à genoux devant lui. De sa main ferme, il lui prend la nuque tandis que son autre main enserre son membre palpitant. Il se branle devant son visage, admirant son regard qui pue le sexe et sa langue qui demande à être souillée. Il ne lui faudra pas longtemps pour sentir la sève monter en lui et il empoigne fermement la nuque et les cheveux de Coralie, s’enfonçant de toute sa longueur dans sa bouche. Son gland entre dans sa gorge et il explose en elle, la remplissant de sperme. De puissants jets inondent sa bouche, elle avale ce qu’elle peut mais une partie déborde sur ses lèvres et son menton, tombant même sur ses seins. Il relâche son emprise et Coralie reprend une grande inspiration en le regardant droit dans les yeux, dégoulinant de son jus. Du bout des doigts, Tristan récupère ce qui a coulé hors de sa bouche et le dépose sur la langue qu’elle vient de tirer pour le nettoyer. Ils sont épuisés, abasourdis par l’acte sauvage qu’ils ont partagés. Il tend ses mains vers elle et la relève pour la blottir contre lui.
Elle a du mal à marcher et se laisse guider par son étalon dans la chambre. Plongeant sous les couvertures, ils passent de longues minutes à se regarder sans rien dire. Leurs mains s’abandonnent à de délicates caresses, et ils s’endorment paisiblement en oubliant tout autour d’eux. Ils semblent heureux, peut-être ne l’ont-ils même jamais autant été.
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