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Naissance d’une furie

Chapitre 3

Trash
Nous sommes dimanche matin, c’est le dernier jour du week-end improvisé par Tristan et Coralie. Les deux amants sont toujours cachés sous les couvertures et blottis l’un contre l’autre, profitant de la chaleur qu’ils s’offrent. Elle est la première à ouvrir les yeux et profite de l’instant, elle semble heureuse et promène ses doigts sur le corps masculin encore endormi à ses côtés.
Le regard de la jolie brune s’immobilise sur une bosse qui se forme sous les draps, il semblerait que son amant soit déjà en forme et elle compte bien profiter de l’érection qui naît sous ses yeux. Voilà qu’elle disparaît et se glisse sous la couverture entre les jambes de Tristan. Prenant ce membre dressé entre ses mains, elle crache sa salive qui coule doucement sur toute la longueur et commence des mouvements de va-et-vient en serrant bien sa prise fermement. Son index s’attarde sur son frein humide alors que la raideur de sa queue s’intensifie encore.
Tristan tressaille et ouvre les yeux en soulevant la couverture, découvrant le regard gourmand de Coralie qui se plonge dans le sien. Il ne dit rien et se contente d’observer tendrement son amie qui prend désormais son sexe à pleine bouche. Elle a posé sa main gauche sur le ventre de son amant et y plante doucement ses ongles pendant que sa main droite enserre le pieu qu’elle s’enfonce dans la gorge. Plusieurs minutes s’écoulent quand Tristan attrape les cheveux de son amie et dit :
— Aaah je vais jouir, continue !
Mais elle arrête soudainement ce qu’elle faisait en esquissant un sourire et minaude en se léchant les lèvres pour récupérer la salive qui lui coule au coin de la bouche. La diablesse le laisse allongé et s’enfuit cruellement en courant sur la pointe des pieds, fière de l’avoir frustré, en direction de la salle de bain.
Mais il n’est pas du genre à se laisser humilier de la sorte et patiente quelques minutes avant de la rejoindre au moment où il entend l’eau couler. Il entre dans la salle de bain à son tour et la rejoint sous la douche. L’heure de la revanche a sonné et Coralie semble en avoir conscience, car elle se plaque dos au mur, lui sourit et attrape ses deux petits seins dans ses mains :
— Dis donc petit coquin, qu’est-ce que tu fais là ?
Il ne la laissera pas parler davantage et il se jette contre elle en écrasant ses lèvres contre les siennes, l’embrassant langoureusement, en abandonnant une main curieuse entre les cuisses de son amie qu’elle écarte pour s’offrir à lui. Surprise, elle couine de plaisir et laisse sa tête tomber contre son épaule en fermant les yeux comme pour se concentrer sur chaque phalange qu’elle sent entrer dans son intimité. Ses couinements s’intensifient au rythme de ses doigts qu’il fait entrer en elle, faisant un crochet pour titiller les flammes qui grandissent en elle.
Coralie sent le sol se dérober sous ses jambes tremblantes, son esprit semble s’envoler et ses dents se serrent alors qu’elle est au bord de l’orgasme. Mais juste avant que le précieux sentiment l’envahisse, elle sent les doigts agiles s’arracher hors de sa grotte, laissant un terrible vide. Il vient de se venger en la frustrant exactement de la même manière qu’elle l’avait fait quelques minutes auparavant.
— Voilà, maintenant tu sais ce que ça fait, ce n’est que justice ! dit-il, terminant sa douche en souriant fièrement. — Tu es un petit diable, je te déteste ! Ce petit jeu ne fait que commencer, tu sais...
Les deux amants ont terminé de se préparer, toujours frustrés, car aucun d’eux n’a encore joui. Ils ont décidé de passer leur dernière journée en profitant de chaque instant et ont prévu de déjeuner au restaurant à midi, puis ensuite d’aller à la patinoire avant de rentrer au chalet faire leurs valises et rentrer avant la reprise du travail lundi.
Nous nous retrouvons au restaurant, où Coralie a décidé de continuer son jeu dangereux de provocation. Une fois installés à table, ils commandent leur entrée auprès du serveur pendant qu’elle cherche son homme du regard et sans faire attention à ce qui les entoure, elle commence à sucer son index avec gourmandise. Tristan la regarde, impuissant, en train de littéralement faire une fellation à son index et son majeur. Mais elle ne s’arrête pas là et continue ses provocations, faisant disparaître sa main dans son pantalon et essuie ensuite ses doigts mouillés sur le dos de la main de son amant qui comprend qu’elle vient de les enfoncer dans sa culotte, entre ses lèvres humides d’excitation. Ils se regardent, bouillonnants d’envie, l’ambiance est sauvage, mais ils reprennent conscience des autres personnes qui peuplent la salle du restaurant, ils restent calmes tant bien que mal.
L’entrée terminée, c’est Tristan qui choisira les plats qu’ils mangeront, il connaît les goûts de son amie et sait ce qui lui fera plaisir. Il commande donc des médaillons de volaille avec des légumes de saison et une sauce aux champignons pour elle et prend une pièce de veau accompagné de pâtes au parmesan pour lui. Le serveur leur conseillera une bouteille de vin blanc qu’ils accepteront volontiers. En dessert, ils prennent un assortiment de petits échantillons.
— Oh regarde, je mange comme une cochonne décidément !
Tristan lève les yeux et voit Coralie recueillir du bout des doigts du chocolat fondu qu’elle vient de faire tomber dans le décolleté de son t-shirt, juste entre ses seins.
— C’est dommage que tu ne puisses pas venir lécher ça hein, il y a trop de monde qui regarde ici, lance-t-elle avec un sourire en coin.— Ca te plaît de me chercher hein ? Tu sais que je vais me venger, tu ne perds rien pour attendre petite coquine !
Le repas se termine après les nombreuses provocations qu’elle lui a fait subir sans qu’il n’ait bronché, bien que son regard noir laisse penser que lorsqu’il en aura l’occasion et qu’elle s’offrira à lui, il va la baiser violemment pour évacuer toute cette frustration.

Il est 15 heures et nos deux amis ont une heure pour profiter de la patinoire avant de devoir rentrer au chalet. Ils entrent dans la petite guérite de location de patins où chacun prend une paire avant de rejoindre la glace. Les voilà lancés, filant dans l’air frais comme deux oiseaux et glissant comme deux serpents. La notion du temps leur échappe, leurs cris scindent la musique douce qui est diffusée en fond, ils se prennent par la main pour faire des tours du grand ovale de la patinoire, les bras de Coralie enserrent la taille de Tristan et leurs regards se croisent sans cesse. Leur escapade glacée se termine sur une musique de Scorpion - Wind of change, dansant un slow qui s’achèvera sur un tendre baiser qu’ils s’échangeront tels deux jeunes fiancés.
C’est l’air triste qu’ils se rendent compte de l’heure tardive qui les oblige à regagner leur chalet pour préparer leur départ. Mais à peine la porte franchie, ce n’est pas sur sa valise que Tristan se jette. Il vient de plonger ses mains autour de la tête de son amie et l’embrasse fougueusement. Elle se laisse plaquer contre le mur de bois et siffle entre ses lèvres :
— Il est temps d’évacuer ta frustration, je veux que tu me baises, là maintenant, fais de moi ta chienne.— Tu es sûre ? Tu vas devoir assumer parce que là je suis très excité, tu m’as rendu fou toute la journée ! — Tu n’as pas compris ? Je t’ai demandé de me baiser, fais de moi ce que tu veux.
Le regard de Tristan semble virer au rouge, comme un taureau enragé. Il enlève d’une traite le t-shirt qu’elle porte, la soulève pour la poser sur la table, fait glisser son pantalon et arrache son soutien-gorge. Elle se retrouve en culotte sous ses yeux affamés, descend de la table et se plante devant lui en prenant soin d’attacher ses cheveux en une queue-de-cheval qu’elle porte haute.
— Je ne t’ai pas demandé de descendre de la table, remonte, mets-toi sur dos la tête vers moi et les jambes de l’autre côté !
Elle s’exécute et se retrouve allongée sur la table froide, la tête à l’envers dans le vide à quelques centimètres de l’entrejambe de Tristan. Il baisse son pantalon et son caleçon, ce qui laisse découvrir son sexe déjà dur et imposant. Il prend ensuite les deux petits seins qui se dressent devant lui, enfonce sa queue dans la bouche que son amie lui offre en faisant de grands va-et-vient. Dans cette position, la gorge de Coralie est tout ouverte et il y rentre sans difficulté, l’étouffant à plusieurs reprises, faisant couler de grands filets de bave et de liquide préséminal sur son visage. C’est comme s’il la prenait en levrette, mais par la bouche, et il adore ça.
Sentant sa sève monter, il décide de faire une pause pour la dévorer et faire redescendre son envie. Il passe ses doigts dans les cheveux de sa soumise et la relève fermement puis la fait descendre de la table. Il la fait marcher à travers la pièce, toujours en la tenant par les cheveux pour l’allonger sur le dos, sur le tapis au pied de la cheminée qui a vu naître leur première fois il y a deux jours. Tristan prend les jambes de Coralie et les bascule vers sa tête, offrant ainsi totalement sa chatte. Sans hésiter davantage et toujours en tenant ses jambes vers elle, il plonge son visage entre ses cuisses et fait glisser sa langue entre ses lèvres gonflées et trempées. Il la dévore comme un affamé pendant plusieurs minutes.
— Tu mouilles déjà beaucoup, tu es vraiment une petite chienne ! Dans ce cas, je vais te baiser de suite.
Il la retourne et la met sur le ventre puis serre ses jambes entre elles. Le mâle se met à cheval sur elle, attrape sa queue-de-cheval et maintient son sexe dressé à quelques centimètres de sa chatte puis s’enfonce doucement en elle, pour qu’elle profite de chaque centimètre qui entre. Une fois habituée à sa taille, il la pilonne plus violemment, la pénétrant jusqu’à la garde, faisant claquer son bassin sur ses fesses rebondies. Coralie se met à hurler de plaisir, elle se laisse enfiler sans rien dire.
— Tu aimes ça hein ? Dis-le que tu es ma petite chienne !— Je suis ta chienne, ta petite pute, baise-moi encore s’il te plaît Tristan.
En entendant ces mots qui l’excitent, Tristan redouble d’efforts et la lime toujours plus fort, toujours plus profondément. D’une main, il tire la queue-de-cheval de Coralie, de l’autre, il vient chercher de la salive dans sa bouche et lui enfonce son doigt humide dans sa petite rondelle. Ne s’y attendant pas, elle couine de plaisir, tourne la tête vers lui et lui fait un signe de la tête comme pour acquiescer et lui faire comprendre qu’il peut y aller sans retenue. Il lui donne satisfaction, crache sur son petit trou et enfonce alors deux doigts, puis une troisième qui entre sans problème. Tristan se rend compte qu’elle accepte bien cette nouvelle pratique, il sort de sa chatte meurtrie et présente son membre à l’entrée de sa rondelle.
— Ecarte tes fesses, je vais te prendre par-derrière !
Coralie s’exécute, toujours allongée sur le ventre sur le tapis, elle prend ses fesses entre ses mains et les écarte pour mieux s’offrir à ses pulsions. Elle est prête, elle l’attend sagement. Il rentre doucement au début, pour profiter de ce trou plus serré, sentant les parois qui s’écartent pour rentrer au plus profond d’elle, il la sodomise, elle se sent chienne et elle semble beaucoup aimer cette sensation. Mais pour Tristan, ce n’est pas encore assez, il la veut encore plus soumise et lui relève le bassin, elle est presque à quatre pattes avec la tête sur le tapis en tenant toujours ses fesses écartées.
— Je vais t’enculer comme la petite pute que tu es, je vais te remplir le cul, c’est tout ce que tu mérites. — Putain oui, je suis ta pute vas-y je t’en supplie.
Il se met debout au-dessus d’elle, crache une première fois sur le visage de petite soumise, une seconde fois sur son trou désormais bien élargi, pose un pied sur sa tête et descend sur ses jambes pour lui prendre violemment le cul. Il la pénètre sans ménagement, lui tire les cheveux, l’insulte et lui assène des fessées qui font rougir ses fesses. Elle se fait baiser sur le sol, avec un pied sur sa tête et elle adore ça, elle aime se donner à lui totalement. Cela fait plusieurs minutes qu’il la souille ainsi, il est au bord de la jouissance, accélère le rythme et se plante en elle jusqu’à la garde, sa queue tout entière est enfouie dans ses entrailles et il balance de grands jets de sperme, il lui remplit le cul. Elle sent ce liquide chaud se répandre et couler en elle, elle hurle de plaisir, une larme s’écoule doucement sur la joue humide.
Tristan sort doucement des fesses de Coralie, et du trou élargi déborde un filet épais, blanc et chaud, de sa semence. Il lui tend la main et l’aide à s’asseoir sur le sol.
— Je n’en ai pas encore fini avec toi, j’ai encore envie de jouir, je vais te souiller une seconde fois.
La jeune femme, avec les cheveux en bataille, les joues humides de larmes et de crachats, les fesses qui coulent, hoche la tête pour accepter et s’agenouille devant lui en tirant la langue. Il prend sa queue encore dure et la fait entrer directement dans sa bouche. Tristan met une main autour du cou de Coralie, l’autre attrape ses cheveux, et en la tenant fermement, il lui baise la gorge sans retenue. Elle essaye d’accepter toute sa longueur, essayant tant bien que mal de reprendre son souffle et il frappe sa gorge toujours plus fort avec son gland.
— T’aimes ça hein petite pute ?!
Elle répondit avec le seul son qu’elle arrivait à produire avec la queue énorme dans sa trachée :
— Gaahg Gaahg !
L’étalon arrive au bout de ses capacités et s’apprête à la souiller une deuxième fois, il renforce alors la prise qu’il a autour de la tête de sa petite chienne, lui enfonce toute sa longueur, appuyant ses testicules sur menton, et dans un long râle, il envoie de nouveau de puissants jets pour la remplir. Elle s’étouffe violemment et ne peut plus respirer, elle tousse avec la queue obstruant le passage et le jus s’échappe par sa bouche et ses narines, elle déborde littéralement. Cet étouffement fait contracter tous ses muscles, y compris ceux de ses fesses qui expulsent ce qui restait en elle sur le tapis. Des fils de bave et de sperme se détachent doucement de sa bouche, de son nez et de ses fesses.
Coralie s’écroule d’épuisement sur le sol. Elle est exténuée par cette incroyable séance de baise animale à laquelle ils viennent de s’adonner. Tristan s’allonge à côté d’elle sur le tapis, l’enserre dans ses bras et dépose de tendres baisers sur le front de sa belle.
— Ne restons pas là, viens je vais te porter sous la douche, te laver et on ira se coucher au chaud une heure ou deux avant de partir. — Oui d’accord, aide-moi s’il te plaît.
Notre homme relève sa conquête, il la porte dans ses bras jusque sous la douche et l’assoit sous l’eau brûlante. De ses mains habiles, il lave avec attention chaque partie de son corps, sa peau disparaît sous la mousse savonneuse au parfum de vanille de Madagascar. Coralie se cache contre lui, dans la buée ambiante, ses forces l’ont abandonnée et elle s’en remet à son homme pour être lavée et séchée. Il la porte jusqu’au lit et l’enroule dans les couvertures, au creux de ses bras.
— Dors tranquillement, il nous reste deux heures avant de partir, repose-toi. — Merci chaton.
Le week-end s’achève, les deux amants vont s’endormir quelque temps avant de devoir partir et regagner leurs petites vies loin de ce chalet qui a été témoin de tant de choses. Coralie rassemble ses dernières forces pour confier quelques mots à Tristan :
— Merci pour tout ça, bonne sieste chaton. — Avec plaisir, merci à toi, bonne sieste. — Je... t’aime. — Qu... quoi ? Euhm, je t’aime aussi.
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