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Nana

Chapitre 1

Fac 'n' Fuck

Trash
La première fois que j’ai vu Anaïs, j’avais mon sexe plongé dans celui de sa grande sœur, Adèle. Nous travaillons dans la même faculté en tant qu’assistants-chercheurs sur des projets différents et le hasard étant doux, Adèle avait besoin de mes connaissances pour approfondir un passage de sa thèse de doctorat alors que j’avais justement quelques questions à lui poser pour étayer un passage de mon projet de recherche. Le doctorat étant une période extrêmement chronophage il reste peu de temps pour mener une vie sociale épanouissante, ce qui se ressent sur la libido. Enfermez une personne chez elle alors qu’elle doit travailler, et ce sans une supervision continuelle de ses supérieurs hiérarchiques et vous obtenez le cocktail parfait pour une libido bouillonnante et rarement satisfaite. Adèle comme moi avions besoin d’un peu de contact humain et l’expertise de l’autre dans l’optique d’une collaboration tombait à pic.
La collaboration avait duré à peu près un quart d’heure durant lequel nous avions passé plus de temps à nous dévorer du regard qu’à lire des articles de revues scientifiques, un quart d’heure jusqu’à ce que nous craquions et que nous nous embrassions. D’abord gentiment, pour tâter le terrain, se goûter les lèvres, sentir la langue de l’autre, puis de plus en plus passionnément, poussés par notre appétit sexuel. En moins de trois minutes, Adèle avait eu le temps d’attraper mon entrejambe et de la masser vigoureusement avant de dégrafer ma braguette et de sortir ma queue bandée. Dans la foulée je l’avais attrapée par les hanches et posée sur mes genoux, le bout de ma queue, déjà humide, poussait tranquillement contre le tissu de sa petite culotte imbibée de cyprine.
J’avais cherché dans son regard un encouragement, un feu vert, la réponse quant à l’utilisation d’un préservatif, Adèle s’était contentée d’écarter le tissu et de glisser lentement sur ma bite en fermant les yeux, la bouche ouverte, en laissant un gémissement à moitié étouffé s’échapper lorsqu’elle a avalé toute ma queue dans sa chatte brûlante. Les pans de sa jupe couvraient nos sexes imbriqués, nos bassins dansaient en rythme alors que nous nous embrassions et c’est à ce moment qu’Anaïs était entrée dans le salon de la maison que nous pensions vide. Elle s’était figée en nous voyant, le rouge aux lèvres, ses yeux ciel d’hiver grands ouverts, avant de reprendre sa marche - les joues encore plus rouges - et de s’enfuir dans sa chambre en nous adressant un timide “bonjour”. De son point de vue elle n’avait dû apercevoir que sa grande sœur embrassant un homme, assise sur ses genoux.
Adèle et moi étions partagés entre un début de gêne et un début de fou rire, je bandais toujours bien planté dans sa chatte trempée. Elle s’était remise à remuer les hanches avant de m’inviter, dans un éclair de sagesse, à finir dans sa chambre.
À peine étions-nous entrés dans sa chambre que je l’avais jetée sur le lit et arraché sa petite culotte humide. Elle m’avait demandé, dans un murmure en manque d’air, de faire moins de bruit par rapport à sa petite sœur, je lui avais demandé de me prévenir si ça va trop loin. Elle m’avait alors répondu par un petit sourire, à quatre pattes sur son lit, la jupe retroussée, sa petite chatte ouverte à tous mes désirs. Je l’ai attrapée par les hanches et ai commencé à la baiser comme si c’était ma première ou ma dernière fois. Je sentais ma queue s’imposer entre ses muqueuses brûlantes, je percevais lointainement ses petits gémissements étouffés à chaque fois que la base de mon sexe s’écrasait à l’entrée du sien. Je ne savais pas si c’était l’abstinence de ces derniers mois, son cul rond et rebondi, sa propension à se donner toujours plus, la situation et le fait d’avoir croisé sa petite sœur ou bien un mélange de toutes ces causes, mais je n’étais plus qu’une machine à baiser.
Adèle aimait ça, je le voyais à sa difficulté grandissante à retenir ses gémissements, aux mouvements de son bassin qui se synchronisaient aux miens. En fait Adèle adorait ça, au point de devenir un peu trop bruyante. Dans un élan de lucidité, j’avais récupéré sa culotte abandonnée sur lit pour la lui enfoncer dans la bouche et la couvrir de ma main. Bâillonnée, je pouvais la tringler à cœur joie sans me soucier de ses gémissements de petite chienne en chaleur. J’en garde le souvenir de quelque chose de très bestial, il n’y avait pas de souci de compétence de ma part ou de la sienne, juste deux corps qui devaient s’enlacer le plus furieusement possible jusqu’à ce qu’ils cèdent. J’avais continué à déboîter Adèle comme ça encore quelques instants, jusqu’à ce que ses bras lâchent et qu’elle se retrouve le cul en l’air, la tête enfoncée dans le matelas à convulser, prise d’un orgasme fulgurant.
Elle tremblait comme foudroyée alors qu’un jet de cyprine jaillissait de sa fente gonflée pour atterrir sur mon t-shirt. Je continuais à la baiser encore, par réflexe, avant de ralentir et de stopper pour la laisser reprendre ses esprits.
Couchée sur son flanc, les joues rouges, les mèches mouillées sur ses tempes, ses vêtements collés par sa sueur, Adèle courrait après son souffle, sa culotte au tissu assombri par sa mouille et sa salive crachée à côté de son visage, le regard dans le vide. J’étais assis à côté d’elle, je me rappelle aussi m’être laissé aller à une caresse du dos de la main, sur sa joue. Adèle s’était redressée et avait enlacé ses bras autour de mon cou avant de se fondre dans un baiser dont la douceur m’avait marqué par son contraste. Une fois nos lèvres séparées, elle m’avait regardée un instant avant de me dire que je n’avais pas joui. Je n’avais pas eu le temps de lui répondre qu’elle avait déjà sauté du lit et qu’elle commençait à se déshabiller. Je profitais du spectacle en rebandant, ses cheveux châtains clairs une énième fois ébouriffés par son top qu’elle retirait.
Mes yeux croisaient parfois son regard glacial avant de se balader sur le reste de son corps menu, son cou gracile qui ne demande qu’à être embrassé, son timide bonnet B aux tétons rose pâle qui ne demandent qu’à être léchés. Mais que ce soit dans sa chambre ou à la fac, mes yeux étaient aimantés par son cul. Rond, généreux, gonflé, arrogant et trônant sous une taille de guêpe, mes yeux avaient quelques fois dérapé dessus. J’en profitais pour le regarder, avant qu’elle ne se retourne et m’offre une vue improbable sur son pubis touffu, par volonté ou manque de temps. Finalement mes rétines ont fini leur croisière sur ses belles jambes aux cuisses un chouïa charnues que j’ai regretté ne pas avoir saisies pendant que je la prenais.
J’étais assis sur le bord du lit, la bite à l’air, Adèle était nue et parfaite. Elle s’était approchée de moi avant de se planter debout entre mes jambes, de baisser son visage vers mon et de planter ses yeux dans les miens tout en caressant le bout de mon sexe avec ses ongles. Elle a fini par l’attraper pour masturber doucement le haut, toujours debout, j’ai fermé les yeux et mes lèvres se sont perdues en baisers sur son ventre. Adèle s’était ensuite agenouillée entre mes cuisses. Ses yeux clairs avaient attrapé les miens, mes couilles s’étaient retrouvées dans la paume chaude de sa petite main. Elle les caressait, les massait doucement et, sans même cligner des yeux, posait ses lèvres sur mon urètre, tel un baiser. Je sentais le bout de sa langue danser dessus, me couper petit à petit la respiration, jusqu’à ce qu’elle commence à gober le gland, puis, petit à petit, la hampe.
Adèle me prodiguait une fellation digne de la plus affamée des nymphomanes, je la voyais engloutir ma bite, toujours en soutenant mon regard, dans sa petite gorge chaude et serrée, jusqu’à la garde. En bonne petite chienne, elle avait poussé le vice jusqu’à lécher mes bourses du bout de sa langue. Ça devait bien faire une minute que j’étais enfoncé dans sa gorge avant qu’elle ne finisse par libérer ma bite tenue, à deux doigts de l’orgasme. Adèle reprenait son souffle, un filet de salive glaireux tendu entre ma bite et ses lèvres pulpeuses. Elle avait alors saisi ma bite d’une poigne décidée avant de se coller à elle, agenouillée, la tête relevée vers moi. La bouche mi-ouverte, sa petite main branlant énergiquement ma bite mouillée, elle m’avait demandé, presque supplié, de lui baiser la gorge comme je lui avais baisé la chatte. C’était stupéfiant, mais je ne pouvais l’ignorer : Adèle avait encore faim.
Il y a à peine quelques minutes elle tremblait comme une feuille et là cette fabuleuse petite pute voulait que je me serve de sa gorge tel un sex-toy. Frustré de ne pas encore avoir joui, gonflé à bloc, j’étais incapable de refuser. Je me rappelle de la pulsion qui m’a brûlé le ventre à l’entente de ses mots pervers, à la vision de cette jeune femme soumise à ma queue. Je l’avais attrapée par les cheveux, derrière le crâne, avant de lui enfoncer ma bite d’un coup sec dans le fond de sa gorge assoiffée. Bien vissé dans sa gorge, j’avais étouffé un gémissement de bonheur, le sien et le mien, et je lui avais maintenu la tête enfoncée comme ça une minute ou deux en profitant de la vue, de sa bouche grande ouverte, des larmes qui commençaient à perler au coin de ses yeux hiver, de sa gorge déformée par la présence de mon sexe, de ses tétons qui pointaient dur.
J’avais ensuite tiré sur ses cheveux pour que ma queue reprenne un peu l’air et ma petite traînée personnelle aussi, juste une demi-seconde avant de lui renfoncer mon membre dans la bouche et de l’irrumer. D’une main je la maintenais et lui imposais un rythme, celui de mon sexe qui va-et-vient rapidement entre ses joues rougies par l’effort et le manque d’air. Je lui baisais purement et simplement la gorge et le meilleur c’est qu’Adèle était aux anges. Ses doigts avaient migré vers son entrejambe, cette petite pute se caressait en même temps. J’avais continué comme ça quelques longues et délicieuses minutes avant de lui lâcher, entre deux grognements de plaisir, que j’allais jouir. Adèle m’avait alors soudainement et violemment repoussé, sans arrêter de se masturber, pour me dire qu’elle voulait une faciale, qu’elle en rêvait depuis une semaine. Une semaine, c’était le temps écoulé depuis ma dernière masturbation.
Je m’étais relevé d’un coup, la bite sur le point d’exploser, Adèle, à mes pieds, me branlait furieusement tout en se branlant, la bouche grande ouverte, la langue tendue, en laissant échapper un incontrôlable “aaaaaaaaah” de salope affamée. C’était l’image de trop pour moi, j’avais fini par éjaculer. Cinq, six jets longs et épais étaient venus exploser sur ses joues, ses lèvres, dans sa bouche, jusqu’à former un petit, mais généreux dépôt sur sa langue. Adèle avait alors fermé la bouche et tout avalé dans un obscène bruit de déglutition pour finalement la rouvrir et me montrer fièrement qu’elle avait bien tout ingéré. Je la regardais, à moitié ailleurs, récupérer d’un doigt fin et agile les traces de sperme sur son visage pour ensuite le sucer. Perfectionniste et/ou insatiable, elle avait nettoyé le bout de ma queue des dernières gouttes de sperme avant de me sourire et de se relever pour m’embrasser.
Je me souviens de cet après-midi comme l’une des entrevues les plus satisfaisantes que j’ai connues. Nous avions décidé de mettre les choses à plat, nous n’étions pas un couple, mais amants, même si nous nous entendions très bien. Nous en discutions en fumant une cigarette. Nous n’avions pas retouché à notre thèse de toute la journée, mais nous avions encore baisé quelques fois. Adèle avait 28 ans, moi aussi. Notre relation continuait ainsi sans accrocs, elle est une partenaire délicieuse et elle y trouve son compte avec moi.
Je repensais à notre première fois lorsque mon portable me sort de mes rêveries. Un SMS d’Adèle, elle m’explique que sa petite sœur suit des cours dans notre fac, elle est en première année. Elle a un devoir à faire sur un sujet que je maîtrise bien. Elle me propose une pipe contre mon tutorat, je lui assure que je peux le faire gratuitement. Elle me taquine, me dit qu’elle le sait bien, mais qu’elle tient quand même bien envie à me sucer dans les jours qui viennent. Elle me donne le numéro d’Anaïs pour que nous nous arrangions par rapport à son devoir.
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Les histoires narrées dans ces quelques lignes impliquent des sujets consentants. Oui au sexe, dans le respect de vos partenaires et de leurs limites.
—---------— X. Lamy.
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