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Nana

Chapitre 2

Cours de rattrapage

Trash
Anaïs devrait arriver chez moi dans quelques instants. Elle a debuté un cursus de psychologie dans la faculté où j’officie, l’une de ses matières est un cours de sociologie que le professeur enseigne avec peu de pédagogie, surtout pour des premières années. Rencontrant quelques difficultés à bien saisir le cours et les attentes du professeur, Anaïs s’était initialement tournée vers sa sœur pour obtenir un peu d’aide, mais elle l’a renvoyée vers moi. J’imagine qu’elle veut le meilleur pour sa petite sœur vu que je m’y connais mieux qu’elle en la matière, tout comme je la soupçonne de vouloir me refiler le bébé pour pouvoir se concentrer sur sa thèse. Quoi qu’il en soit, l’interphone sonne et je déverrouille à distance le portail pour Anaïs.
Au vu de la situation durant laquelle nous nous sommes rencontrés, je n’avais pu que l’apercevoir et son existence s’était rapidement résumée dans mon esprit à une image floue et minimaliste : “la sœur d’Adèle”. Image qui s’est transformée, gravée d’un coup dans cœur lorsque j’ai ouvert la porte de mon appartement. Anaïs ressemblait énormément à sa sœur et, en raison de leur taille quasi identique (Anaïs devait avoir trois ou quatre centimètres de moins qu’Adèle), on aurait pu les croire jumelles. Ses cheveux toutefois étaient bien plus longs, Adèle les avait un peu au-dessus de l’épaule, ceux d’Anaïs devaient lui lécher le nombril lorsqu’ils n’étaient pas rassemblés en une queue-de-cheval. Anaïs avait le même regard bleu de gel que sa sœur, peut-être une teinte plus claire encore. Plus jeune, sa poitrine est aussi plus plate.
On devine sous le chemisier noué un bonnet A timide, comme si la puberté s’était chargée de gonfler les lèvres de la jeune fille, semblables à un fruit gonflé par l’été, en ignorant ses seins. Un rapide coup d’œil m’indique la dernière différence entre la plastique des deux jeunes femmes, le cul d’Anaïs est sensiblement plus rebondi que celui de sa grande sœur qui est déjà bien gâtée par la nature. Un rien disproportionné par rapport à sa petite taille et sa silhouette en sablier, sans être gros bien qu’Anaïs soit maigre, on croirait que son cul généreux et aguicheur va faire exploser son legging. Elle est habillée avec une certaine élégance, le legging est sobre, il s’arrête juste au-dessus de la cheville. Toujours par souci d’élégance, mais aussi peut-être par complexe, Anaïs est chaussée d’escarpins noirs vernis dont le talon doit bien faire dix centimètres.
Mes yeux remontent discrètement, j’essaye de ne pas lui faire croire que je la dévisage ou la juge et j’essaye de me faire croire que je ne suis pas en train de la mater. Ma rétine bloque une demi-seconde sur ce pan de peau laiteuse entre son legging et son chemisier noué, les températures sont chaudes pour la saison. J’avais en face de moi 18 années de fraîcheur et de beauté en éclosion. Je la fais entrer.
“Je vous remercie Monsieur pour votre aide, j’ai vraiment du mal avec cette matière alors que c’est celle sur laquelle je travaille le plus...”“Pas de “Monsieur” avec moi, ni de “vous”, je ne suis pas ton prof... On va voir ça ensemble et rattraper le cours de ton prof de socio. Je l’ai eu aussi, c’est vrai qu’il est parfois un peu dur à suivre.”“Ah ! On pensait que c’était juste nous dans l’amphi !”“Oh ne t’inquiète pas, ça arrive chaque année... Bon, c’est quoi ton devoir ?”
Anaïs a commencé à m’expliquer le devoir qu’elle devait rendre pour la semaine qui arrive. Je la regarde dans les yeux, mais en raison des 30 centimètres qui nous séparent, mon regard dévie un peu parfois vers son cou. Elle a le même cou fin et délicat qu’Adèle et je ne peux m’empêcher de penser à tous les baisers, toutes les morsures que j’y ai laissées. L’espace d’une seconde, je m’imagine lui sauter au cou pour l’embrasser, comme un prédateur sur sa proie, le lécher et remonter jusqu’à sa bouche de baisers en morsures. Je sens que je déphase un peu, mais heureusement les consignes qu’Anaïs m’explique sont claires, ça a l’air d’être dans mes cordes. Nous nous mettons au travail.
Après une demi-heure de travail, je lui propose un rafraîchissement qu’elle accepte volontiers. Une fois revenu de la cuisine, je vois que son décolleté est plus plongeant, mais je mets ça sur le dos de ma libido. Ça doit faire une quinzaine de jours que je n’ai pas couché avec Adèle. Quoi qu’il en soit nous continuons de travailler, je reprends à peu près tout son cours depuis le début, c’est une élève attentive. Assise à ma table de salon, je me lève pour me dégourdir les jambes, tout en continuant à lui expliquer. Je me penche ensuite sur la table en prenant appui sur mes deux bras tendus pour mieux lire un passage de son scilabus. Inévitablement, mon regard trébuche dans son chemisier et j’en perds le fil de mon discours pendant une seconde : elle ne porte pas de soutien-gorge. Je reprends mon cours de rattrapage improvisé sans arriver à m’empêcher de lorgner, mes yeux y reviennent toujours tous les trois ou quatre mots.
Ses seins ont la forme de deux petits fruits plats, chaperonnés d’aréoles d’un rose sucré, comme ceux de sa sœur. Son bras frôle le mien, m’arrachant à ma contemplation. Elle me demande, avec un éclair de rouge sur ses joues de neige, où se trouvent les toilettes. Je les lui indique et fais quelques pas dans la direction opposée : j’ai un début d’érection. Elle est dans ma salle de bain et rien ne m’empêche - si ce n’est peut-être l’idée de trahir Adèle - d’essayer de la charmer et de la baiser. Dans mon état, je serais incapable de la moindre douceur, si elle me donnait le feu vert, je ne pourrais pas me retenir, je lui démonterais le cul. Je laisse la pression redescendre, Anaïs prend son temps, peut-être quelque chose de féminin. Je suis accoudé à la fenêtre dans mon salon, j’allume une cigarette.
C’est presque par surprise que je l’entends arriver derrière moi. Elle me demande si ça me dérange si on fait une pause et qu’elle fume, je ne réfléchis pas trop, je dis oui, encore perdu dans mes pensées. Par réflexe, je lui tends mon paquet de cigarettes, sans me retourner, puis me ressaisis et me tourne vers elle afin de l’allumer. Encore une fois, Anaïs m’électrocute le temps d’un souffle : cette fois-ci c’est certain, elle a déboutonné un peu plus son chemisier. La dernière fois que j’avais regardé, il y avait un bouton de dégrafé sur les quatre, là il y en a deux. Le mouvement de ses grandes créoles me rappelle à la raison, j’essaye de ne pas bander comme un taureau, j’essaye de ne pas la culbuter là, à ma fenêtre, devant tout mon quartier. Nous fumons en parlant de tout et de rien, elle écrase son mégot couronné de rouge à lèvres carmin mat, me lance un sourire. Un sourire un peu étrange dans lequel j’ai envie de trouver des espoirs que je ne devrais pas avoir.
Elle part se rassoir. Ses talons chaloupent sa démarche, elle fait rouler son magnifique cul, mon cœur bat une fois sur deux et il manque de s’arrêter : de son legging dépasse le sourire de son string à ficelles noir. Je bande, j’ai passé l’âge de jouir face à ce genre de spectacle, mais qu’est-ce que je bande putain. Elle prend exemple sur sa sœur et au vu de ma libido insatisfaite, ça me plaît autant que ça me torture. Je me retourne et essaye d’arranger ma queue le plus discrètement possible afin de masquer un peu, tout en écrasant mon mégot.
Je reviens vers elle et me place debout dans son dos afin de garder mon érection le plus loin de ses yeux. Je reprends mes explications tout en me calmant, les mains dans les poches. Elle se redresse, sa tête effleure mon ventre, ça m’électrise, j’ai le sentiment - ou peut-être que j’y crois trop - qu’elle aussi. Ça a duré moins d’une seconde, elle se penche à nouveau sur son devoir. Je me rassois à ses côtés.
C’est peut-être une maladresse, mais d’un mouvement de bras, elle fait tomber un stylo entre nous. J’amorce un mouvement pour le ramasser, mais elle est plus rapide que moi, elle se penche vers mes cuisses pour le récupérer. À aucun moment, elle ne me touche, et à aucun moment, je ne cesse de mater son cul de déesse. Elle se relève, nos regards s’accrochent. Il y a moins d’une seconde de battement, j’ai l’impression qu’elle dure des heures. Elle me refait le même sourire étrange, je ne laisse rien paraître. Son bras touche le mien, mais ne bouge pas tout de suite, c’est une seconde ou deux de trop par rapport à ce qu’on pourrait attendre dans ce genre de situation. Le silence est lourd sans être désagréable.
Anaïs a fini son devoir. Elle me remercie chaleureusement, toujours avec ce sourire étrange. Les joues légèrement empourprées, elle repart chez elle, j’en profite pour mater son cul rouler dans son legging, perché sur ses escarpins. J’ai envie de la baiser comme la dernière des putes.
Une fois la porte refermée, je me jette dans mon lit et déverrouille mon portable. J’ai quelques nudes d’Adèle, je trouve la photo parfaite : elle est couchée sur le dos, les jambes écartées, la chatte entrouverte, rose, mouillée, indécente. Sa petite chatte exquise, d’où dégouline mon sperme, c’est la dernière photo que j’ai prise d’elle, après l’avoir fourrée bien sèchement, j’avais joui dans sa chatte jusqu’à ce que ça déborde. La photo est aussi idéale pour une autre raison : on ne voit pas son visage, ce qui me permet d’imaginer celui que je veux à la place. Je me masturbe, le souffle très court, en m’imaginant déboîter le cul de son allumeuse de petite sœur. Je me vois bien la plaquer sur ma table ou mon bureau, baisser son legging de pute soignée juste sous ses fesses et écarter la ficelle de son string avant de l’embrocher d’un coup et de la saillir. Je veux faire à sa fente ce que j’ai fait à celle de sa salope de sœur, juter dedans jusqu’à ce que ça coule.
Et si Anaïs est aussi appliquée que sa sœur, elle me lècherait la queue pour me la nettoyer, avec le sourire. Tous ces fantasmes me traversent l’esprit, il ne me faut pas beaucoup de temps pour jouir.
Une dizaine de jours plus tard, je reçois un SMS d’Anaïs, ou plutôt un MMS au vu de la notification. J’ai le cœur qui bat, je me demande évidemment ce qu’elle m’envoie. Fébrilement, j’ouvre la photo : c’est un selfie d’elle, tout sourire, tenant la copie de son devoir à côté de son visage avec un très honorable 18/20 écrit en rouge dessus. Je souris de même en la voyant si satisfaite, content d’avoir pu l’aider. Je ne peux pas vraiment dire en raison du cadrage, mais j’ai l’impression qu’elle est nue ou au moins topless, il n’y a rien sur ses épaules en tout cas, mais on ne voit que le bout de celles-ci et sa tête. Songeur, j’essaye de zoomer afin de trouver des indices jusqu’à ce que je reçoive un SMS de sa part. Elle a encore un devoir à faire en sociologie et me demande si on peut remettre ça, même si celui-ci n’est pas pour la semaine qui vient.
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Les histoires narrées dans ces quelques lignes impliquent des sujets consentants et possèdent leur part de fantaisie. Oui au sexe, mais dans le respect de vos partenaires et de leurs limites.
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© X. Lamy
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