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Nana

Chapitre 8

L'arrière-boutique

Avec plusieurs hommes
— Yeuyeu, est-ce qu’on ne lui changerait pas de tenue à notre mini-vide-couille ?— Excellente idée, garçon !— Ma petite poupée, avec Tonton Yeuyeu, on va aller te trouver autre chose pour t’habiller. Tu prends une douche en attendant ?— Mais j’aime bien avoir ton sperme sur mon visage !— Je sais mon cœur, mais pour recevoir, il faut aussi donner. Ce serait mieux si tu offrais aux hommes qui arrivent un visage frais et propre pour qu’ils puissent, pas vrai ? — Moui...— Et puis tu auras plein d‘autres faciales de ma part maintenant qu’on vit ensemble.— Moui, c’est vrai...— Allez, arrête de faire ta boudeuse et file à la douche !
Anaïs se déshabille complètement et part faire un brin de toilette, alors que je rejoins Mayeul qui avait déjà commencé les recherches.
— Bon petit, qu’est-ce que tu dis de ça... Et de ça aussi...— Pas mal, ça irait bien avec ça, ou ça peut-être...
Une fois que nous avons mis la main sur une tenue appropriée, nous revenons vers Anaïs qui sort tout juste de la douche, fraîche et pimpante. Elle a la force de la jeunesse pour être encore d’attaque après ce qu’elle a déjà pris aujourd’hui. Le tout doublé d’une perversité d’un autre monde, car après tout, c’est elle qui demande à ce qu’on la monte encore. Nous lui passons les articles avec lesquels elle s’empresse de s’habiller.
Elle commence par enfiler un body ouvert formé de lanières en cuir rouge. Elles ne font qu’entourer ses seins et son sexe sans les cacher, comme une invitation à bien viser. Avec ça, une paire de bas résille noire à larges carreaux, autofixants, qui monte jusqu’à la moitié de la cuisse. Pour le bas, une minijupe en latex rouge qui s’arrête juste sous les fesses tout en les moulant très fortement. Je ne sais même pas comment elle fait pour marcher avec, Mayeul a vraiment un compas dans l’œil. En parlant de marcher, on a troqué ses cuissardes contre une paire d’escarpins qui fait écho à ceux que portaient les prostituées du siècle dernier. Un classique noir verni, bout pointu et fermé, dont le col s’arrête sous la cheville. La chaussure est fermée par le cuir qui se lace par-dessus le pied, le talon est une aiguille qui fait une quinzaine de centimètres.
Pour le haut, un t-shirt blanc crop qui s’arrête juste sous la poitrine, on peut alors admirer l’entrelacement de bandes de cuir qui courent sur son ventre blanc. Est inscrit dessus, en noir, "Cum Princess". Après s’être recoiffée en ayant fait deux longues couettes hautes, Anaïs enfile la touche finale, un collier en cuir, toujours rouge, à l’avant duquel pend un anneau métallique.
— Les garçons, vous me trouvez comment ?— T’es à croquer ma petite, si j’avais 20 ans de moins, je te serais r’passé dessus encore une fois !— Et moi pareil, si j’avais eu 6h de sommeil en plus. J’attends le jour où je te trouverai laide ou fade. Mais je me fais une raison, plus le temps passe, plus j’ai le sentiment qu’il n’arrivera jamais.— Donc si je comprends bien, ça ne vous suffisait pas de me faire jouir comme une folle, il fallait aussi que vous soyez adorables ?

Je l’attrape par la taille et l’embrasse, alors que Mayeul lui donne une affectueuse tape sur le cul.
— Bon par contre, Mayeul, je les vois venir tes loustics, il va falloir fixer des règles.— Et les gars vont probablement arriver au compte-goutte. Donc faudra les répéter, la tannée...— Bien vu Mayeul. On les écrit et on met ça à l’entrée ?— Oh ! Je peux écrire alors ! Je peux écrire siouplaît M’sieur Yeuyeu ?
Nous sourions à l’engouement de notre petite chérie, la voir tirer autant de plaisir de petits bonheurs est rafraîchissant. Nous déterminons tous les trois les règles à poser sur papier et Anaïs se met ensuite au travail.
Une fois fait, Mayeul retourne ouvrir le magasin et je m’allume une cigarette dans le canapé de l’arrière-boutique. Cette journée est folle, mais pas déplaisante. De son côté, Anaïs prend quelques selfies. Elle varie les poses et les expressions, le tout oscille entre l’innocence étonnement bien feinte et la lascivité pure. Elle joue aussi avec la lumière et les arrières-plans, une bonne partie de la collection de la salle de jeux y passe. Une fois faite, elle vient s’asseoir contre moi et me pique ma cigarette.
— Merci pour cette journée... Je m’amuse comme une folle, je savais pas que c’était possible de prendre autant de plaisir.— Je suis plutôt étonné aussi ! Mais surtout, je suis heureux que tu t’amuses autant. Et puis j’y trouve aussi mon compte !
Anaïs passe vivement ses bras autour de mon cou, faisant danser ses deux couettes. De manière étouffée, mais audible, j’entends Mayeul discuter avec ce qui semble être un client.
— Bonjour Monsieur, est-ce que je peux vous aider ?— Bonjour Monsieur ! Alors voilà, j’avais vu la dernière photo que vous avez postée...— Ah, oui ! Un phénomène la petite, n’est-ce pas ?— Hahaha, tout à fait oui ! Alors je me demandais...— Alors vous vous d’mandiez ?— Si c’était possible de... Comment dire ? D’en "profiter" ?— Hahaha, mais mon bon Monsieur, tout est possible en ce bas monde !— Vraiment ?— Mais oui !— Je... Je ne sais pas quoi dire, je ne pensais pas que ce serait aussi... Simple ? Pour quelque chose d’aussi tentant.— Hahahahahahahaha, vous alors ! C’est parc’que ça n’est effectivement pas aussi simple !— Comment ça ?— Eh bien, vous, vous voulez tirer un coup ?— O-oui, on peut le dire comme ça...— Et moi... J’ai un magasin à faire tourner.— Ha, d’accord... Vous voulez comb-— Teu teu teu, pas de ça ici Monsieur voulez-vous.— Vous voulez quoi alors ?— Déjà un peu de visibilité, ça f’ra pas d’mal à la cave du bon Mayeul, pas vrai ? Allez mettre une chouette note sur ma page, ça s’ra un bon début.— Voilà, je l’ai fait, regardez. Vous voulez autre chose ?— Bah je sais pas moi, vous pourriez en profiter pour faire quelques achats. I’ s’pourrait bien qu’en passant à la caisse, je vous dise comment trouver vot’ bonheur...
Je ne les entends plus discuter, j’imagine que le type en question est parti chercher des trucs à acheter.
— Voilà Monsieur Mayeul, je prendrai ces petites choses-là.— Hmm, c’est gentil, mais je vous trouve un rien... Oh, ne l’prenez pas mal Monsieur, mais je vous trouve un rien radin.— Quoi !— Quoi quoi ? Vous pouvez payer si vous n’êtes pas d’accord, ou laisser les articles... Et partir.—... Bon.
De nouveau, le type s’éloigne et finit par revenir à la caisse.
— Aaaaaah, vous voyez quand vous voulez ! Payez, laissez les articles ici, vous les récupérerez en sortant. Maintenant, passez par la porte là, traversez la pièce. Là y aura une autre porte avec un message écrit dessus, vous le lisez et vous le suivez à la lettre. J’ai bien dit à la lettre, d’accord ? Sinon ça va très mal se passer entre nous. Et là, vous trouv’rez vot’ bonheur...— Merci Monsieur Mayeul !— Mais je vous en prie, à vot’ service.
J’entends les pas du type se rapprocher. Il pose la main sur la poignée de la dernière porte qui nous sépare, mais ne l’ouvre pas directement, il doit être en train de lire le message écrit par Anaïs. Je l’ai photographié, accroché sur la porte, pour en garder un souvenir :
"Salut toi !
Moi c’est Nana, 18 ans, fraîchement dépucelée et déjà pas mal coquine ! Si t’es ici, c’est que tu es venu profiter de moi et c’est tant mieux. Il faudra juste suivre quelques règles :
On porte une capote ! Je préfère sans, mais on ne se connaît pas, alors pas de risques ! (il y en a dans le petit panier à droite dès que tu rentres)
On ne prend pas de photos ! Juste mon Maître a le droit, il t’en enverra peut-être si tu es sage.
Si je dis non, c’est non.
Si mon Maître dit non, c’est non.
Si t’as une envie particulière, demande à mon Maître ou à moi.
Signe en bas de la page avant d’entrer, ça me fera un souvenir !
Pas de sodomie aujourd’hui ! La place est réservée.
Interdiction de me faire l’amour : je veux être baisée.
Une fois que t’as joui, ne jette pas la capote, fais un nœud avec et dépose-la dans le petit plateau en métal à côté de la sortie. Ça me fera un autre souvenir !
J’espère que je vous ferai plaisir avec ma chatte et ma bouche ! J’ai encore beaucoup à apprendre, mais j’ai envie !
Merci pour vos bites ❤
Nana"Le type rentre finalement dans la pièce où nous nous trouvons. Il doit avoir mon âge, peut-être légèrement plus âgé, aucun signe particulier. Je le regarde en souriant, Anaïs remarque sa présence :
— Ah ! Vous êtes venu pour la photo ?— Heu, oui... Je l’ai trouvée très belle, enfin, je veux dire que je vous ai trouvé très belle.— C’est gentil, merci !
Et sans en dire plus, elle se lève et marche jusqu’à lui en nous faisant profiter d’une démarche aguicheuse. Son cul qui se balance en devient une œuvre d’art à lui tout seul. Elle pose sa main sur l’entrejambe de l’heureux inconnu et caresse doucement en le regardant droit dans les yeux. En dépit de la chaleur qui monte, il doit être plongé en plein hiver, ou au moins dans une tempête d’émotions. Elle finit par le déceinturer et arrive à l’objet de ses désirs qui a déjà pris une belle forme, tendant ainsi la toile du boxer. Elle s’accroupit, je vois le lierre de cuir rouge lui veiner le dos alors qu’elle squatte. Anaïs mordille la queue du bienheureux à travers le boxer, il ferme les yeux pour apprécier et semble ne pas oser la toucher. Elle finit par la découvrir et enrobe le gland dans sa petite paume chaude. Elle tend le sexe et dépose une myriade de petits baisers humides sur la hampe, jusqu’aux couilles qu’elle finit par gober.
Sa main branle le sexe qui a maintenant toute sa taille alors qu’elle lui lèche les burnes, elle finit par les abandonner pour lécher la hampe en partant des couilles, elle remonte jusqu’au gland - circoncis - sans toucher l’urètre.
— Nana, ma chérie, fais attention... Monsieur est probablement clean, mais dans le doute...— HMM ! Mais c’est juste trop tentant...— Je sais ma chérie, mais prudence...
Elle attrape suite à mes mots le préservatif que l’inconnu tenait, déchire l’emballage et l’étend sur le sexe. Protégés, Anaïs engloutit sa bite et commence à le pomper habillement. Le mec en question laisse échapper un gémissement de surprise et de bonheur en sentant la bouche chaude et humide envelopper sa queue. Elle le suce comme ça un moment, bien profondément, avant de lâcher sa sucrerie.
— Dites Monsieur l’Inconnu, il serait peut-être temps de me prendre la chatte, non ?
Et sans plus, elle se redresse et passe la porte de la salle de jeux de Mayeul. Le type remonte son pantalon en vitesse et la suit, je leur emboîte le pas.
Dans la salle de jeux, Anaïs se tient debout face à la table BDSM, penchée en prenant appui sur le bord. Son cul arrogant est bombé, il appelle aux baises les plus brutales. L’inconnu l’a compris, il se débarrasse de son pantalon, retrousse sa minijupe d’un coup et l’attrape par la taille. Alors il la pénètre d’un coup sec, un coup de poignard presque, et se met à la tringler sévèrement. Anaïs gémit sonorement, encaissant du mieux qu’elle peut les assauts. Sa chatte s’écarte largement à chaque fois que le mec rentre tout entier, la base lui élargissant bien le trou, c’est aussi le moment où la voix de la petite se fait plus aigüe. Anaïs synchronise les mouvements de son cul avec ceux de la bite qui la fait couiner, le plaisir fait d’elle une bonne élève. De mon côté, je prends des photos, encore, lorsque la porte s’ouvre. Un nouvel homme vient de rentrer, il me fait un signe de la tête. Anaïs, malgré les assauts, remarque sa présence :
— B-bon-jour M’sieur, je m-m’appele A-Anaïs ! V-v-vous v-v-oulez u-une pipe ?— Bonne idée !
C’est la seule parole du second arrivant. Anaïs interpelle rapidement celui qui la baise déjà, échange un mot avec lui et se retrouve sur la table, couchée sur le dos, la tête en arrière sur l’autre bord. Le premier l’attrape par les cuisses et reprend son va-et-vient bien sec, il profite de chaque seconde et elle de chaque centimètre. L’autre se positionne près du visage de la belle et sort de sa queue. C’est le négatif de celle de Mayeul, là où le vieux a une queue plus petite que la moyenne, mais bien grosse, lui a une queue assez fine, mais d’une longueur assez impressionnante, alors qu’il ne bande pas encore tout à fait. Quoi qu’il en soit Anaïs n’en a pas peur, elle s’est bien entraînée avec le gode que je lui ai passé. En vérité, elle semble avoir des étoiles dans les yeux :
— O-OH PUTAIN !
Elle a définitivement des étoiles dans les yeux. Le type se branle en regardant Anaïs se faire pilonner la chatte par cet homme qu’elle "connaît" depuis moins d’une heure. Sa queue prend forme, on est facilement sur du 25 centimètres, Anaïs tire la langue. Je surveille, le second enfile une capote et approche sa longue bite des lèvres roses. Anaïs ouvre grand la bouche, il y entre lentement, voir l’engin disparaître dans sa petite gorge est assez impressionnant. Il arrive à aller jusqu’au bout du premier coup, ses couilles pendant sur le nez de la jeune fille. Il commence par une très lente pénétration qui déforme la gorge d’Anaïs qui émet de gutturaux gémissements de plaisir, les bras ballants, ses petits pieds s’agitant au rythme de la saillie. Un ange qui est aux anges...
Le second en profite pour relever le t-shirt et jouer avec ses petits seins. Il tire sur les tétons, modulant les gémissements d’Anaïs doublement fourrée. Au bout de quelques instants de ce traitement, elle jouit, les deux autres continuent de s’occuper de leur plaisir.
Ils ont vite compris la nature d’Anaïs. Ils se la tapent comme ça pendant une dizaine de minutes alors que d’autres types arrivent, au nombre de trois. Tout le monde suit les règles, certains se déshabillent complètement. Ils enfilent leur capote et s’approche de la scène, certains guidant les mains d’Anaïs vers leur queue qu’elle branle énergiquement.
Les deux premiers jouissent, le deuxième donne même une petite tape sur la joue d’Anaïs, un truc affectueux, j’imagine. Ils retirent la capote, la nouent, me font un signe de tête doublé d’un sourire de remerciement, jettent la capote sur le plateau prévu à cet effet et sortent. D’autres parmi les nouveaux arrivants prennent leur place.
Et tous continuent en malmenant Anaïs dans tous les sens. Les positions s’enchaînent, on saute de l’efficace à l’acrobatique. Légère, la jeune femme voltige dans tous les sens, continuellement remplie par deux bites énervées qui lui rappellent ce qu’elle est : un sex-toy vivant. Les participants ne se privent pas de lui rappeler par ailleurs : "pute", "chienne", "salope" et autres sobriquets sont légion, tous sont mérités ceci dit. Lorsqu’on lui crache "traînée", Anaïs sourit. À se demander si un mot est assez juste pour saisir toute l’obscénité d’Anaïs. Ils sont 9 en tout actuellement, quatre rugbymen sont arrivés ensemble les derniers. Voir ces masses de muscle déboîter la jeune fille est une scène fabuleuse. Sa chatte prend toutes les queues, son corps se tend et se détend pour tous les accueillir, tous les encourager. Elle est affamée de sexe, elle en redemande même. À peine sa bouche est-elle vidée qu’elle réclame une autre bite.
Mais à un moment, l’un des rugbymen sort son téléphone portable et prend une photo, j’interviens :
— Hey, les règles ! On a dit pas de photos !— Fous-moi la paix toi, continue de regarder sale cuck.— Efface ça tout de suite connard.— Hahahaha, ouais ouais, compte sur moi...
Vu qu’il est inutile de discuter plus longtemps, je m’approche de lui d’un coup. Vu sa tête, ça devait être surprenant, pas par rapport à mon gabarit, mais plus par rapport à ma vitesse. Le mec en question commence à adopter une pose défensive, les rugbymen ont l’habitude de se battre sur le terrain. Mais je suis plus vif et lui ai envoyé mon pied de toutes mes forces dans le côté du genou. Le type plie dans une génuflexion de douleur.
— MAIS ÇA VA PAS FILS DE PUTE ?
Je remarque que son portable est par terre désormais. En vérité, je crève de mal au pied, mais j’essaye de préserver les apparences. Du talon, j’éclate le téléphone.
— Maintenant ça va. Et toi ?
C’est gratuit, petit, et surtout ça passe mal. Du coin de l’œil, je vois que le gang bang s’est arrêté, Anaïs a les yeux écarquillés. Ses trois copains s’approchent de moi avec un air menaçant, ça sent la chaise roulante pour les prochains mois. Je recule jusqu’à une table, je sens, comme dans les films, exactement, quelque chose sous ma main. Je m’en saisis et donne un énorme coup dans la gueule du plus proche. L’arme en question : un superbe godemichet d’une trentaine de centimètres, d’un rose bien flashy, souple. Je ne pensais pas un jour tabasser un rugbyman avec un sex-toy, mais c’est ce genre de petite chose qui participe à la beauté de la vie. Je balance le sex-toy en visant la gueule d’un autre, mais il a le temps de parer. Me voilà nu, prêt à ramasser encore plus qu’Anaïs. La porte claque et Mayeul débarque, une carabine à la main.
— QU’EST-CE QUE C’EST QU’CE PUTAIN DE FOUTOIR ICI ? QU’EST-C’QUI S’PASSE BORDEL À QUEUES ?
On nage en plein surréalisme et si Mayeul n’existait pas, il faudrait l’inventer.
— DÉGAGEZ D’ICI AVANT QUE J’M’ÉNERVE BANDE DE CHIENS GALEUX !— Yeuyeu, tout doux. Ce sont juste les quatre armoires à glace là qui sont des connards. Les autres sont tranquilles.— T’ES SÛR GAMIN ?— T’inquiète. Hey l’équipe B, ramassez votre pote et tirez-vous d’ici. Et essayez même pas de vous venger, Yeuyeu a le sang chaud et moi les idées froides, on vous ratera pas.
Les trois rugbymen debout ramassent leur coéquipier qui boite. Ils me jettent un regard noir, je me contente de rester impassible. Ça a au moins le mérite de les agacer de leur montrer qu’on ne se laisse pas impressionner.
— Hey ducon.
Il me regarde en silence.
— Bonne chance pour la prochaine mêlée, tu penseras à moi.
Je me la raconte beaucoup trop, mais ça n’arrive qu’une fois dans une vie. J’imagine. J’espère ? Quoi qu’il en soit, ils partent dans un flot d’insultes, Mayeul surveille le tout avec son air mauvais et la vieille pétoire de chasse de son grand-père. Il ferme la marche et les raccompagne dehors.
— OK messieurs, désolé pour cette interruption ! Reprenez, je vous prie, vous ne voulez quand même pas laisser cette demoiselle sans assistance ?
Et ils reprennent leur baise alors qu’Anaïs me sourit.
Tous lui passent dessus, la plupart dans les deux orifices. Je ne sais pas combien de fois déjà elle a joui, le mec qui est planté entre ses reins quand ça arrive doit être au paradis. Sentir les contractions de sa chatte autour de la queue fait partie des plus doux plaisirs de cette existence... 3 heures se sont écoulées et tous ont joui, le petit plateau de capotes déborde. Nous sommes 7 en tout dans la salle de jeux, Mayeul nous a rejoints. Alors qu’ils se refroquent, je passe la laisse au collier de ma sportive petite nymphe. Ça a été intense pour elle, mais elle a tout pris, comme une obéissante petite putain.
— Suivez-moi. Tous.
Je la traîne derrière moi et passe une autre porte encore, je sais qu’elle donne sur une courette privée. Les autres sont derrière moi. J’accroche la laisse à un tuyau mural, sors une cravache et retourne un petit coup dans le tibia d’Anaïs. Je lui intime de squatter, elle le fait. Sa jupe est retroussée sur son ventre, ses seins sont rouges de tripotages, sa peau brille de sueur. Ses couettes sont en bataille, ils ont tous tiré dessus. Je range la cravache et je sors ma queue. Je lui urine dessus. Je pisse sur son visage, dans ses cheveux, sur sa chatte. Ses seins. Et sa bouche, qu’elle a grande ouverte.
— Si quelqu’un d’autre veut se soulager...
Et quelqu’un d’autre le fait, puis un autre et encore un autre. Tous le font, même Mayeul qui fume en même temps. J’immortalise la scène. Toute cette pisse atterrit sur Anaïs qui finit trempée, fourbue et tellement heureuse. Ils partent tous en nous remerciant tous les trois. Je détache Anaïs.
— Je suis fier de toi. Extrêmement fier de toi ma chérie. Et toi ?— Je suis épuisée... Mais tellement, tellement heureuse putain... C’était... Woaw. Juste woaw.— À ce point ?— À ce point oui. J’ai joui 17 fois, j’ai la chatte en feu.— J’imagine... Le gros Mayeul va te passer de la pommade anti-inflammatoire.— Le gros Mayeul va faire ça et il t’emmerde.— M’sieur Yeuyeu ! L’écoutez pas, vous êtes top !— Hahaha, merci ma jolie !— Allez, file à la douche toi, on rentre après ça.
Anaïs sort de la douche, apaisée. Elle court nue jusqu’au plateau de préservatifs usagés. Elle les compte : 21. Elle a un sourire jusqu’aux oreilles. Elle se prend en selfie avec le plateau près de son visage.
Nous remercions Mayeul qui, en guise de cadeau, nous laisse emporter tout ce qu’Anaïs a utilisé ainsi que deux trois petites choses encore. Elle prend avec elle la feuille de règles signée.
Une fois de retour chez nous, je lui prépare à manger et lui fais couler un bain, que nous prenons ensemble. Je roule un joint qu’on se partage. Je crois que je commence à développer des sentiments pour elle.
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Les histoires narrées dans ces quelques lignes impliquent des sujets consentants et possèdent leur part de fantaisie. Oui au sexe, mais dans le respect de vos partenaires et de leurs limites.
—---------— X. Lamy.
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